Dun-sur-Auron

Dun-sur-Auron est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Dun et Auron (homonymie).

Dun-sur-Auron

L'hôtel de ville.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes Le Dunois
(siège)
Maire
Mandat
Louis Cosyns
2020-2026
Code postal 18130
Code commune 18087
Démographie
Population
municipale
3 655 hab. (2019 )
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 53′ 08″ nord, 2° 34′ 21″ est
Altitude Min. 151 m
Max. 188 m
Superficie 50,09 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bourges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dun-sur-Auron
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Dun-sur-Auron
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Dun-sur-Auron
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Dun-sur-Auron
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Dun-sur-Auron
Liens
Site web dun-sur-auron.fr

    Géographie

    Le territoire de la commune est traversé par les rivières de l'Auron et de l'Airain.

    Localisation

    Toponymie

    Le nom de Dun est probablement issu du terme d'origine gallo-romaine Dunum. Ce toponyme fait référence à la notion d'« enceinte fortifiée »[1].

    Au Moyen Âge, la ville de Dun est connue sous le toponyme de « Dunensi » (en 880), et sous celui de « Duno », en 1095[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Dun-sur-Auron est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dun-sur-Auron, une unité urbaine monocommunale[5] de 3 844 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,3 %), prairies (17,8 %), zones urbanisées (7,2 %), forêts (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[10].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Dun-sur-Auron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dun-sur-Auron.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[13]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 85,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 977 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1049 sont en en aléa moyen ou fort, soit 53 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[11].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].

    La commune est en outre située en aval du barrage de l'étang de Goule, de classe B[Note 3]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[17].

    Histoire

    Âge du fer

    Le site de Dun-sur-Auron fait l'objet d'une occupation celtique dès la fin de l'âge du bronze et le début du 1er âge du fer. Des fosses à incinération, recouvertes de tumuli, ont été exhumées lors de fouilles réalisées dans la seconde moitié du XXe siècle au sein de la plaine dite de « La Périsse », dans les marges de Dun. Le viatique recueilli dans ces structures funéraires, d'époque bronze final / Hallstatt « A1 », est entre autres composé de bracelets, de lames d'épées et de torques à reliefs triangulaires[18]. À partir du Hallstatt « final », puis au cours du 2e âge du fer, le site de Dun-sur-Auron fait partie de la civitates (ou territoire) des Bituriges Cubii[19].

    Grâce aux prospections archéologiques effectuées sur les terres dunoises à partir du XIXe siècle[Note 4], des structures protohistoriques, telles que des sépultures funéraires appartenant à une nécropole, ont ainsi été mises en évidence[21]. L'ancien cimetière celte de Dun se développe à proximité de la vallée de l'Auron[20]. L'emploi de la nécropole s'amplifie à la fin de la période laténienne « finale » et connaît une phase d'utilisation qui se prolonge jusqu'au début de la romanisation de Dun[19]. D'autres investigations, opérées au sein de certaines de ces tombes au cours des années 1960[22], ont permis de dégager des mobiliers funéraires notamment constitués d'artefacts sous la forme de pièces d'armes les unes de combat, les autres dites « de parade »[19]. Les rapports archéologiques montrent qu'il s'agit de sépultures aristocratiques[19].

    Antiquité

    Au cours de la période gallo-romaine, la cité berrichonne se pare d'un schéma urbanistique de forme rectangulaire[23]. Le centre de la ville laisse apparaître un système de voirie d'aspect quadrillé[23]. Quelques vestiges de structures domestiques et d'autres de type fortifié attribués à cette époque ont été signalés sur les pourtours de la ville dunoise[23]. En lisière du territoire dunois, des photographies d'archéologie aérienne ont permis d'indiquer l'existence de ruines d'un habitat domestique appartenant à une villa. Cette villa, dénommée villa « des Tourattes », est localisée à 9 kilomètres « à vol d'oiseau » au Nord-Ouest de la commune de Thaumiers dont le site a délivré d'importants vestiges archéologiques attribués à l'époque gallo-romaine[24].

    Moyen Âge

    D'origine très ancienne, Dunum est un lieu fortifié gaulois. Au Moyen Âge, la seigneurie de Dun dépendait du vicomte de Bourges. En 1100, le dernier vicomte, Eudes de Dun surnommé Arpin, vendit sa vicomté à Philippe Ier pour pouvoir partir en croisade. Dun devint la troisième ville royale du Berry, prit le nom de Dun-le-Roi et Philippe Auguste la dota d'importantes fortifications. La carte aérienne de la ville montre que ces structures d'enceinte présentent globalement l'aspect d'un ovale[23][25][23]. Toutefois, le cœur de la cité de Dun conserve un plan de quadrillage orthonormé et rectiligne mis en place à l'époque gallo-romaine[23].

    Les habitants bénéficient d’une charte communale inspirée de la charte de Lorris[26].

    Durant l'été 1183, une compagnie de mercenaires (ou brabançons), commandée par Curbaran et Raymond Brun, ravage le pays. Le 20 juillet, les Capuchonnés, peut-être assistés de troupes de Philippe Auguste, les massacrent près de Dun[27],[28],[29].

    Des guerres de religion à la Révolution française

    En 1709, une révolte secoue la ville. L’année précédente, les récoltes ont été très mauvaises, le grain manque ou devient très cher. Réduits aux dernières extrémités, les habitants prennent d’assaut un grenier, en proclamant qu’ils « mouraient de faim », demandant « qu'on les pendît pour finir plus tôt leur vie »[30].

    Révolution française et Premier Empire

    Durant la Révolution, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune de Dun-le-Roi change de nom pour Dun-sur-Auron[31]. À la Restauration, la commune reprend son nom d’Ancien Régime, qu’elle conserve jusqu’à la Troisième République. En 1880, la commune reprend son nom révolutionnaire qu’elle conserve jusqu’à aujourd’hui[31].

    XIXe et XXe siècles

    En 1892 y est installée une colonie familiale pour aliénés. Un livre est consacré à cet épisode : Juliette Rigondet, Un village pour aliénés tranquilles, Fayard, 2019.

    En 1940, la 114e compagnie de travailleurs étrangers est installée à Dun-sur-Auron pour travailler pour le compte du ministère de l'Air[32].

    De 1940 à 1942, le 72e régiment d’artillerie (régiment d'Île-de-France), est cantonné à Issoudun, Dun-sur-Auron et L'Isle-Jourdain (Vienne)[33].

    Le , des combats ont lieu près de Dun entre des éléments allemands de la colonne Taglischbeck, battant en retraite, et du 2e bataillon de la 33e 1/2 brigade FFI, faisant 14 victimes françaises, soldats tués au feu et civils abattus. Un monument a été élevé en 1950 à la mémoire de ces victimes de la libération de Dun[34].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 1989 Berthe Fiévet[35] PS Psychiatre des hôpitaux[36] Députée de 1981 à 1986
    1989 1995 Bernard Boussard Centre Gauche[37], puis DVD[38] Industriel agro-alimentaire ("Huiles Comestibles Bernard Boussard")
    1995   Louis Cosyns UMP-LR Agent général d'assurances
    Député du Cher de 2002 à 2012
    Réélu pour le mandat 2014-2020[39]
    mars 2014 En cours Louis Cosyns[40],[41] DVD Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

    En 2019, la commune comptait 3 655 habitants[Note 5], en diminution de 11,31 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 8492 8492 9293 2823 8744 0194 0974 6174 948
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5 3655 4605 4545 0935 0014 5554 2744 1234 244
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 4624 6874 6024 0403 8703 8433 7753 6763 782
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4 0083 9954 1544 2384 2614 0133 8543 8214 002
    2014 2019 - - - - - - -
    3 9483 655-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie locale

    Événements

    Music A Dun se déroule une semaine avant le Printemps de Bourges Cinémobile[réf. nécessaire]

    Presse écrite

    Radios

    Télévision

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Cadre de vie

    Dans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[49].

    Héraldique

    Les armes de Dun-sur-Auron se blasonnent ainsi :

    D'azur à la fasce cousue de gueules, accompagnée en chef de trois fleurs de lys d'or et en pointe d'un mouton d'argent[50].


    Notes

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[16].
    4. Ces travaux d'investigations archéologiques sont notamment réalisés par Moreau et Martinet et leurs rapports ont été publiés en 1878[20].
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Ernest Nègre, « Noms de peuples gaulois 2421 2546 », dans Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, , 708 p. (lire en ligne), page 150.
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Dun-sur-Auron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. « Les risques près de chez moi - commune de Dun-sur-Auron », sur Géorisques (consulté le )
    12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    13. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    14. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    16. Article R214-112 du code de l’environnement
    17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    18. O. Buchsenschutz, M. Willaume et P. Gablin, « Le site Bronze final : Premier âge du Fer des Grandes-Chapelles à Brion (Indre) - Études et travaux », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. tome 76, nos 10 et 12, , pages 410, 418 et 419 (DOI 10.3406/bspf.1979.5164, lire en ligne, consulté le ).
    19. Anne Villard, « Approche des rites funéraires dans les tombes aristocratiques de la fin de l'Age de Fer et du début de l'époque romaine, à partir de l'exemple biturige. (An outline of burial practices in aristocratic graves of the Late Iron Age and Early Roman period: the example of the bituriges). », dans Anne Villard et al., Monde des morts, monde des vivants en Gaule rurale : Actes du Colloque ARCHEA/AGER (Orléans, 7-9 février 1992), vol. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 6, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), pages 319 à 321.
    20. Ian B. M. Ralston (dir.), Laurence Augier et Olivier Buchsenschutz (dir.), « L'histoire des recherches et le contexte archéologique. », dans Olivier Buchsenschutz (directeur d'ouvrage), Ian Ralston (directeur d'ouvrage) et al., Occupation de l'âge du Fer dans la vallée de l'Auron, vol. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 22, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du centre de la France, (lire en ligne), page 27.
    21. Serge Lepeltier, Olivier Buchsenschutz (dir.) et Ian Ralston (dir.), « Préface », dans Olivier Buchsenschutz (directeur d'ouvrage), Ian Ralston (directeur d'ouvrage) et al., Occupation de l'âge du Fer dans la vallée de l'Auron, vol. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 22, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du centre de la France, (lire en ligne), page 13.
    22. Buchsenschutz 2015, p. 45.
    23. Jacqueline Soyer, « Les fortifications circulaires isolées en France. », Annales de Normandie, vol. 15e année, no 3, , pages 330 et 331 (DOI 10.3406/annor.1965.6731, lire en ligne, consulté le ).
    24. Christine Bryant-Villerio, « Thaumiers. », dans Christine Bryant-Villerio et al., Agglomérations secondaires antiques en Région Centre, vol. 1, t. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 17, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), page 48.
    25. Cette forme ovoïde est en grande partie effacée postérieurement à l'opération de reboisement réalisée au cours des XVIIe et XVIIIe siècle[23].
    26. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 15.
    27. Georges Duby. Les Trois Ordres, ou l’imaginaire du féodalisme, in Féodalité. Gallimard, 1996. Collection Quarto. p. 795-803. Première publication : 1978.
    28. La guerre au Moyen Âge – 2003 – PUF - Philippe Contamine - page 401
    29. Histoire du Berry: Volume 2 - 1844 - Louis Reinal - page 68-72
    30. Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris, Gallimard, 2008, collection Folio (ISBN 978-2-07-035971-4), p. 423.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Didier Arnold, Les réfugiés de la Guerre d'Espagne dans le Cher. 1936-1946, documents disponibles aux Archives départementales du Cher, Archives départementales du Cher, mis à jour en mars 2013, consulté le 25 mars 2013, p. 2
    33. Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l'Occupation, Lyon, Horvath, 1993, 264 pages (ISBN 2-7171-0838-6), p. 41.
    34. "Paul Boisset, mort pour la France", section Histoire et généalogie de l'Association Artls et Loisirs, Saint-Laurent-Nouan, septembre 2010.
    35. indiquée en fonctions en 1988, Brigitte Coulon, Gérard Coulon, « Les femmes à la conquête de leurs droits : autour d'une polémique dans la presse locale en 1913 », Berry no 7, automne 1988, ISSN 0985-1569, p. 8
    36. Fiche Berthe Fiévet sur le site de l'Assemblée nationale
    37. Marc Metdepenningen, « Ces villages qui «font» de la psychiatrie », Le Soir, (lire en ligne, consulté le ).
    38. L'Executif des départements et des régions, C.E.E.P.P., 1991, p. 112
    39. « Maires et adjoints déjà élus dans le canton de Dun-sur-Auron », L’Écho du Berry (Édition du Cher), no 3124, , p. 24.
    40. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    41. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    45. « Berry Roman: en Berry: ma campagne a du style, Berry province.com », p. 26
    46. Notice no PA00096787.
    47. Notice no PA00096788.
    48. Notice no PA00096790.
    49. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
    50. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : février 2009.

    Bibliographie

    • Olivier Buchsenschutz (dir.), L'Europe celtique à l'âge du fer : VIIIe – Ier siècles, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Nouvelle Clio », , 437 p. (ISBN 978-2-13-057756-0). 
    • Collectif - DIREN (Direction Régionale de l'Environnement), « Fiche 9 : La vieille ville de Dun-sur-Auron », dans Direction Régionale de l'Environnement, Atlas des sites du département du Cher, Centre du développement durable, , 110 p. (lire en ligne [PDF]), pages 51 à 56.
    • Michèle Dassas, « Dun-sur-Auron : la guerre des Lys », dans Michèle Dassas, Sur la Route de Jacques Cœur : Rêves et découvertes - des lieux et des contes, Romorantin, Éditions CPE, , 192 p. (ISBN 2-84503-168-8), pages 141 à 148.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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