Damas-aux-Bois

Damas-aux-Bois est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Damas (homonymie).

Damas-aux-Bois

L'église Saint-Médard.
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Épinal
Maire
Mandat
Jacques Aubry
2020-2026
Code postal 88330
Code commune 88121
Démographie
Gentilé Damasiennes, Damasiens
Population
municipale
271 hab. (2019 )
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 55″ nord, 6° 27′ 09″ est
Altitude Min. 279 m
Max. 366 m
Superficie 29,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Charmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charmes
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Damas-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : France
Damas-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Damas-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Damas-aux-Bois

    Géographie

    Selon la carte IGN, le bâtiment de La mairie est situé à 300 mètres d'altitude.

    Le village est construit sur la rive gauche de l'Euron. Cette petite rivière draine la totalité du territoire communal. Elle coule du Sud vers le Nord et prend sa source dans la commune voisine de Rehaincourt.

    Localisation

    Situation géographique de Damas-aux-Bois.
    Légende.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par l'Euron, le ruisseau le Loro, le ruisseau de la Foret du Terne, le ruisseau le Portieux, le ruisseau d'Essegney et le ruisseau du Pre Armand[1],[Carte 1].

    L'Euron, d'une longueur totale de 27,9 km, prend sa source dans la commune de Saint-Genest, en limite de Rehaincourt et se jette dans la Moselle à Lorey, après avoir traversé dix communes[2].

    Le ruisseau le Loro, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Euron à Froville, après avoir traversé six communes[3].

    Réseaux hydrographique et routier de Damas-aux-Bois.

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Damas-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,7 %), terres arables (17,8 %), prairies (13,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), zones urbanisées (1,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Paul Marichal donne ecclesiam Dumart en 1134, Amud Dommart en 1181, Viam de Dommart en 1183, Dammahart en 1230, Dommaix et Dompmay en 1511, Dommay en 1528, Dompmay aux bois en 1560, Dompmart en 1572, Dommart aux bois en 1594, Domas en 1625, Dommars aux bois en 1656, Dommay aux bois en 1677, Domay ou Damas au Bois en 1711, Dommard aux Bois en 1768[11].

    La Société d'Émulation du département des Vosges relève Domnus Medardus et Damnahart en 1260, Domart en 1402, Domnay en 1441, Domais en 1476, Dommart au XVIe siècle, Dommey-au-Tocs au XVIIe siècle[12].

    Henri Lepage indique Domnus Medardus en 1690, Domney-aux-Bois en 1704.

    La carte de Jaillot en 1710 indique Dommars-aux-Bois[13].

    Les derniers patoisants prononçaient Domaâr avec [r] expiré et amuï.

    De toutes ces variantes, on constate la persistance du préfixe dom et celle du suffixe mar. Dom vient du latin dominus que l'on rencontre aussi dans Domptail, Domvallier, Dombasle, Etc. Mar est la variante régionale de Médard que l'on rencontre aussi à Saint-Mard et à Saint-Max. St-Médard est le patron de l'ancienne paroisse de Damas-aux-Bois.

    Histoire

    Préhistoire

    Au sommet du plateau de la Voivre (lieu-dit château des Sarrazins) un groupe de trois tumuli a été fouillé en 1878 par Deguerre puis en 1938 par A. Pierron et enfin par J. Fromols. Ces sépultures datent de la civilisation de Hallstatt ancien-moyen Hallstatt (600 av. J.-C.). La civilisation de Hallstatt est originaire du centre de l'Europe et couvrait à son origine l'est de la France la Suisse, l'Allemagne du sud et l'Autriche. Le préfixe Hall précise un lieu d'où est extrait le sel.

    Dans le tumulus 2 fouillé par A. Pierron a été découverte une inhumation double associant un adulte et un adolescent avec un crâne d'enfant à leurs pieds. Sept autres sépultures non datées se trouvaient dans ce tumulus.

    Ces découvertes ne sont pas une exception puisqu'un tumulus de la même époque existait entre Haillainville et Fauconcourt et les historiens mentionnent la présence d'une castramétation au sommet de la côte d'Essey. Ces communes sont toutes voisines de Damas. (voir la section histoire d'Essey-la-Côte et d'Haillainville sur Wikipedia). Parlant de cette époque et de ce secteur, on ne peut pas ne pas mentionner l'importante nécropole de la Naguée à Clayeures qui n'est distante que de quelques kilomètres. On constate ainsi que La civilisation du Hallstatt était importante dans ce secteur géographique.

    Le mobilier des sépultures découvertes à Damas-aux-bois est conservé au Musée départemental d'art ancien et contemporain tandis que les archives et photos des fouilles de 1938 sont conservées au musée de Bibracte du mont Beuvray.

    Période gallo-romaine

    La commune est traversée par la voie antique, probablement pré romaine, Moyen - Giriviller - Essey-la-Côte - Damas - Portieux[14]. Elle est orientée Nord Sud-Ouest. Divers documents historiques, fort peu précis, font état d'un diverticule qui partirait d'Haillainville pour rejoindre cette voie sur le territoire de Damas.

    Des fouilles archéologiques réalisées en 1898 au lieu-dit Mézières ont mis au jour une importante villa gallo-romaine[15].

    Moyen Âge

    Un catalogue des chartes de franchise de la Lorraine contient un curieux paragraphe pour l'année 1211 : « Hugues II comte de Vaudémont, ayant fondé une ville neuve à Dommart (Damas-aux-Bois) selon les usages et coutumes de Marville, donne le tiers à Ferry II duc de Lorraine et à ses héritiers »[16].

    Dans le pouillé de 1412 du diocèse de Toul, on lit que la collation de l'église de Damas-aux-Bois était à l'abbaye de Moyenmoutier.

    Ancien régime

    En 1544 et en 1594, Damas appartient pour deux tiers au bailliage de Châtel et pour un tiers à la prévôté de Rosières dépendant elle-même du bailliage de Nancy[12]. L'édit ducal de 1751 place la totalité du village dans le bailliage de Châtel.

    En 1862 au cours d'une démolition, un ouvrier maçon a mis au jour un pot contenant des pièces de monnaie datant du XVIIe siècle. La plus récente est de 1692[17].

    Le , Edme-Claude de Simianne comte de Moncha, donne son dénombrement pour Saint-Boing (Saint-Boingt), Damas-aux-Bois, Etc[18]. Cela signifie qu'il avait un droit seigneurial sur tout ou partie du territoire et de ses habitants.

    Le pouillé de 1711 indique que Passoncourt fait partie de la paroisse de Damas-aux-Bois.

    Dans une confirmation d'ascensement du en faveur de Charlotte-Evarine D'Anglure veuve Lambertye, il est rappelé que la dite dame jouit « des domaines utils et honorifiques des hautes, moyennes et basses justices de Damas-aux-Bois, Clésantaine, Etc »[19]. On sait par l'édit de 1751 que ces droits ne concernent qu'une partie du village.

    Révolution française

    Entre 1790 et l'an IX, Damas-aux-Bois fait partie du canton de Fauconcourt.

    Période moderne

    Carte postale ancienne de Paul Testart, montrant l'église de Damas-aux-Bois

    Damas-aux-Bois possédait une enclave, lieu-dit « goutte de Béfort », dans le territoire voisin de Saint-Boingt. Une ordonnance du 26 avril 1831 la soustrait du territoire communal au profit de Saint-Boingt[11].

    Au milieu du XIXe siècle lors de la création du chemin vicinal n°18 reliant Gerbéviller à Épinal, le conseil d'arrondissement d'Épinal émet plusieurs vœux pour que cette route passe par Damas et non par Haillainville[20],[21]. Faute d'être entendu, il demanda ensuite la réduction de la participation financière de la commune de Damas[22].

    En 1865, le conseil municipal vote une subvention de 1 000 francs pour l'établissement d'une voie de chemin de fer entre Charmes et Rambervillers[23]. Le est promulgué un décret relatif à la création d'une ligne de chemin de fer entre Rambervillers et Charmes. Le de la même année est rendu un jugement par le tribunal de grande instance d'Épinal prononçant l'expropriation de terrains nécessaires à la création de cette voie sur le territoire de Damas[24]. Ils sont très probablement situés à l'extrémité Sud-Ouest du ban communal, en limite du territoire de Portieux (voir le paragraphe suivant).

    La loi du , promulguée le 1er août suivant, distrait plusieurs parcelles du territoire au profit de la commune de Portieux[25]. Cette cession est un accord entre les deux communes. Les terrains en question étaient situés à proximité de la gare de Portieux et supportaient des auberges trop éloignées de Damas pour que l'autorité municipale puisse s'y exercer dans les meilleures conditions[26].

    En 1878, le conseil général du département des Vosges accorde quatre foires à Dama-aux-Bois[27]. La dernière de l'année a lieu le 6 décembre[28].

    Un arrêté préfectoral de 1893 supprime les quatre foires aux bestiaux De Damas-aux-Bois. Le nombre d'animaux présenté était trop faible pour couvrir les frais engendrés[29],[30].

    En 1896, l'annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical recense une fanfare à Damas-aux-Bois dont le président est Monsieur Simon et le directeur monsieur Kaufman[31].

    Le 31 mai 1921, le village inaugure le monument aux morts, en mémoire des 36 enfants de Damas morts pendant la première guerre mondiale[32].

    « L'union sportive Saint-Médard » de Damas est créée en 1929[33]. Elle connaît une période faste jusqu'au début de la seconde guerre mondiale. Son équipe de football rayonne dans le secteur d'Épinal-Nord[34]. En 1931, elle étend son activité avec une fanfare et une section gymnastique[35],[36].

    La même année 1929, l'hiver est très rigoureux, il y fait une température de -30° en février[37].

    Le 5 juin 1934, un avion à croix gammée, piloté par un aviateur perdu, atterrit dans un champ à côté de Damas-aux-Bois. Le pilote allemand, originaire de Stuttgart sera logé pour la nuit chez le maire, M. Vialis, avant de regagner sa commune[38].

    En 1936, le directeur des haras nationaux supprime la station de Damas-aux-Bois[39].

    Le 26 décembre 1999, une grande tempête avec des vents de 150 km/h cause d'important dégâts aux bâtiments et en forêt[37].

    Liste des maires

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (février 2021). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
    Liste des maires successifs[40]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Avant 1744 Avant 1777 Georges Milan    
    Avant 1777 1794 Jean Etienne Thomas    
    1794 22/09/1794 Claude Joseph Gerbaut   officier public
    22/09/1794 22/09/1797 Jean Joseph Pesse   officier public
    22/09/1797 22/09/1798 François Noël   officier public
    22/09/1798 23/09/1799 Joseph Humbert    
    23/09/1799 23/09/1800 Joseph Baland    
    23/09/1800 1806 Jean Joseph Thomas    
    1806 1812 Nicolas Cunin    
    1813 1830 Joseph Humbert    
    1831 1846 Nicolas Thiriat    
    1846 1847 Jean François Antoine Vosgien   est encore mentionné comme maire en 1849 par l'annuaire statistique[41] et en 1850[42]
    1847 1850 Joseph Constant Courroy   est encore mentionné comme maire en 1856 par l'annuaire statistique[43]
      1857[44] Charles Villaume   décédé en cours de Mandat
    1858 1871 Joseph Mourot    
    1871 1874 Charles Just Vosgien    
    1874 1880 Jean Joseph Thomas    
    1880 1882 Charles Just Vosgien    
    1882 1884 Eugène Légé    
    1884[45] 1889 Charles Villaume    
    1889 1890 François Jannot    
    1890 1890 Amable Thiriat    
    1890 1891 Auguste Guillaume    
    1891 1904[46] Jean Joseph Veron    
    1904[46] 1925 Amable Thiriat    
    1925 1943 Juste Auguste Vialis    
    1943 1944 Camille Aubry   fut maire à une autre période avant 1930[47]
    1944 1989 Léon Grosjean    
    1989 1989 Henri Mougeolle    
    1989 2001 Denis Grosjean    
    2001 En cours Jacques Aubry DVD  

    Finances locales

    La mairie-école.

    En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[48] :

    • total des produits de fonctionnement : 251 000 , soit 940  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 171 000 , soit 641  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 159 000 , soit 596  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 409 000 , soit 1 530  par habitant ;
    • endettement : 161 000 , soit 602  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 17,20 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 3,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 17,33 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 13,45 %.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

    En 2019, la commune comptait 271 habitants[Note 3], en augmentation de 1,88 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,86 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    600613807806841824863890875
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    878862819727748698666603581
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    566457470470416399397387364
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2019
    306263257236264268259268271
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Carte postale du village vers 1912.
    • Église Saint-Médard et son orgue d'Enri Didier de 1891[53],[54],[55].
    • Monument aux morts[56].
    • Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours[57].
    • Ancien lavoir[58].
    • Salle polyvalente[59].

    Personnalités liées à la commune

    Blason populaire

    Les habitants étaient surnommés « les craâs de Damas », ce qui signifie les corbeaux[98]. La rime facile n'est probablement pas étrangère à ce sobriquet.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Janine Heulard, Les familles de Damas-aux-Bois 1640-1939, Familles de nos villages,

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Damas-aux-Bois » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )

    Références

    1. « Fiche communale de Damas-aux-Bois », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
    2. Sandre, « l'Euron »
    3. Sandre, « le ruisseau le Loro »
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Charmes », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, Imprimerie Nationale, 553 p. (lire en ligne), p. 120.
    12. Société d'émulation des Vosges Auteur du texte, « Annales de la Société d'émulation du département des Vosges », sur Gallica, (consulté le ), p. 74
    13. Congrès national des sociétés françaises de géographie, XXIIe session, Nancy, Berger-Levrault, , 285 p. (lire en ligne), p. 125.
    14. Les routes romaines d'après A. Fournier ou les routes romaines d'après l'Abbé Idoux.
    15. Annales de la société d'émulation du département des Vosges, Épinal, Ch. Huguenin, imprimeur pour la société d'émulation, , 368 p. (lire en ligne), p. XLIX-L.
    16. Société d'histoire et d'archéologie de Lorraine Auteur du texte, « Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ), p. 388
    17. Académie de Stanislas (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de l'Académie de Stanislas », sur Gallica, (consulté le )
    18. Henri Lepage, Les communes de la Meurthe, volume 2, Nancy, A. Lepage, , 812 p. (lire en ligne), p. 451.
    19. Généalogie de la maison de Lambertie (lire en ligne), p. CX.
    20. « Annuaire statistique et administratif des Vosges pour 1852 », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    21. « Annuaire statistique et administratif des Vosges pour 1850 », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    22. « Annuaire statistique et administratif des Vosges pour 1843 », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    23. « Le Courrier des Vosges : moniteur du département », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    24. « Le Courrier des Vosges : moniteur du département », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    25. recueil général des lois et arrêts, Paris, Imprimerie de J. Dumaine, , 1110 p. (lire en ligne), p. 738.
    26. Assemblée Nationale, Impression : projets de lois, propositions, rapports., Versailles, Cerf et fils, , 25 p. (lire en ligne), p. 2.
    27. « L'Ami du peuple », sur Gallica, (consulté le ), p. 64
    28. « L'Écho de Nancy : petite gazette de Lorraine / rédacteur F. Jacquot », sur Gallica, (consulté le )
    29. « Le Mémorial des Vosges : politique, agriculture, industrie, commerce », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 3
    30. « Le Républicain des Vosges, journal hebdomadaire, politique, indépendant et progressiste », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    31. Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, , 904 p. (lire en ligne), p. 655.
    32. « Le Télégramme des Vosges », sur kiosque.limedia.fr, (consulté le ), p. 2
    33. « Le Télégramme des Vosges », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    34. « L'Express de l'Est : journal républicain quotidien », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    35. « Le Télégramme des Vosges », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    36. « Le Télégramme des Vosges », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    37. Heulard 2016, p. XV.
    38. Frédéric Balland, Les deux guerres de Charles Balland 1939-1945 - Tome 1 - 1939-1940 La drôle de guerre, Metz, Frédéric Balland, , 400 p. (ISBN 978-2-9572234-0-4), p. 41.
    39. Marie-Jean-Joseph-André de (Vte) Auteur du texte Tonnac-Villeneuve et François-Xavier de Lande d'Aussac (1875-19 ; baron de) Auteur du texte Saint-Palais, « Rapport de l'inspecteur général directeur des haras à M. le ministre de l'Agriculture sur la gestion de l'administration des haras en... », sur Gallica, (consulté le ), p. 12
    40. Heulard 2016, p. XVI.
    41. https://kiosque.limedia.fr/ark:/18128/dj13xmqs830mmh81/p201.item.r=damas%20aux%20bois
    42. https://kiosque.limedia.fr/ark:/18128/dpslsxj1rqq3sggm/p174.item.r=damas%20aux%20bois
    43. https://kiosque.limedia.fr/ark:/18128/dhkg0c9lkvb8993g/p65.item.r=damas%20aux%20bois
    44. https://kiosque.limedia.fr/ark:/18128/d1jg1zhr1dw3brlf/p3.item.r=damas%20aux%20bois
    45. https://kiosque.limedia.fr/ark:/18128/dbfnqcgk7pjsxmp1/p3.item.r=damas%20aux%20bois
    46. https://kiosque.limedia.fr/ark:/18128/d7kqwbk02gz45nhh/p2.item.r=damas%20aux%20bois
    47. https://kiosque.limedia.fr/ark:/18128/d7j252qf6l339s19/p2.item.r=damas%20aux%20bois
    48. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 19 avril 2019 sur l'Internet Archive).
    49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    53. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 221 à 223.
    54. Orgue de l'Église saint-Médard.
    55. Inventaire de l'instrument.
    56. Monument aux Morts devant la mairie.
    57. Chapelle Notre Dame de Bon Secours.
    58. Ancien lavoir.
    59. Espace de convivialité - Salle polyvalente.
    60. « Edpt123/GG_11-21636 - 1762-1763 », sur Archives départementales des Vosges (consulté le ), p. 6
    61. Le maître sculpteur Jean Bailly et les sculpteurs de Damas-aux-Bois.
    62. Recherches du Cercle généalogique et historiques de Vincey et du bailliage d’Épinal.
    63. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Le Pays lorrain : revue régionale trimestrielle illustrée / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, 1993-01-xx (consulté le ), p. 24
    64. Ministère des affaires étrangères, Les combattants français de la guerre américaine 1778-1783, Paris, Ancienne maison Quentin, , 327 p. (lire en ligne), p. 322.
    65. Monographie de la commune de Damas-aux-Bois., monographie, , 22 p. (lire en ligne), p. 20-21.
    66. Colonel Goré, Biographie vosgienne.
    67. « 4E123/4-21688 - 1829 », sur Archives départementales des Vosges (consulté le ), p. 8-9
    68. « GAIA 9 : moteur de recherche », sur consultation.archives.hauts-de-seine.net (consulté le ), p. 25
    69. Justin Vilmain, dit J. Villeman, Dictionnaire des Vosgiens célèbres.
    70. « Le Mémorial des Vosges : politique, agriculture, industrie, commerce », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    71. « 4E271/9-83692 - 1893 », sur Archives départementales des Vosges (consulté le ), p. 24
    72. « 4E27/6-80831 - 1895-1896 », sur Archives départementales des Vosges (consulté le ), p. 7-8
    73. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
    74. « L'Express de l'Est : journal républicain quotidien », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    75. « L'Express de l'Est : journal quotidien d'informations », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    76. « Le Télégramme des Vosges », sur kiosque.limedia.fr (consulté le )
    77. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le )
    78. « Charles Auguste Adolphe Balland », sur MatchId
    79. Balland 2020, p. 324
    80. Balland 2020, p. 142
    81. Balland 2020, p. 254
    82. Balland 2020, p. 262
    83. Balland 2020, p. 274
    84. Balland 2020, p. 286
    85. Frédéric Balland, Les deux guerres de Charles Balland 1939-1945, Tome II 1943-1945 La guerre active, Frédéric Balland Éditeur, , 400 p. (ISBN 978-2-9572234-1-1), p. 43
    86. Balland 2022, p. 59
    87. « Charles Balland », sur Mémoire des hommes
    88. Balland 2022, p. 92
    89. Balland 2022, p. 97
    90. Balland 2022, p. 135-137-140
    91. Balland 2022, p. 142-144
    92. Balland 2022, p. 288
    93. Balland 2022, p. 296
    94. Balland 2022, p. 298
    95. Balland 2022, p. 307
    96. « Anciens d'Italie : cérémonie à l'occasion du départ de la présidente et de la remise de trois Légions d'honneur », Le Républicain Lorrain,
    97. « Journal officiel du 10 mai 1975 », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
    98. « Cartographie des blasons populaires (sobriquets) en Langue lorraine-romande », sur cherbe.free.fr (consulté le ).
    • Portail des communes de France
    • Portail des Vosges
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.