Dieudonné (Oise)

Dieudonné (également nommée Dieudonne non officiellement) est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France .

Pour les articles homonymes, voir Dieudonné (homonymie).

Dieudonne (Oise) redirige ici.

Dieudonné

La mairie
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC Thelloise
Maire
Mandat
Thérèse-Marie Descatoire
2020-2026
Code postal 60530
Code commune 60197
Démographie
Gentilé Deudonisiens, Dieudonisiennes
Population
municipale
889 hab. (2019 )
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 53″ nord, 2° 14′ 55″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 170 m
Superficie 10,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Dieudonné
Géolocalisation sur la carte : France
Dieudonné
Géolocalisation sur la carte : Oise
Dieudonné
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Dieudonné
Liens
Site web http://www.commune-de-dieudonne.fr

    Géographie

    Vue générale du village

    Dieudonné est un village périurbain du Pays de Thelle dans l'Oise situé à km au nord de Chambly, 17 km à l'ouest de Creil, 25 km au sud-est de Beauvais et 35 km à l'est de Gisors.

    Son territoire est tangenté à l'ouest par l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 1001).

    Dieudonné est traversé par le sentier de grande randonnée GR11, dit « Grand Tour De Paris »,

    La commune de 10,38 km2 compte environ 35 % de bois en 2016[1].

    Au milieu du XIXe siècle, Louis Graves indiquait que le territoire communal « est coupé par plusieurs ravins qui se réunissent au midi pour former un seul vallon descendant vers la vallée de la Lesche. Le chef-lieu est placé à l'origine de ce vallon; il consiste en une seule rue large et tortueuse composée de quatre-vingts feux. Le ruisseau de Gobette a une source intermittente au nord du village[2] ».

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le ru la Gobette, affluent de l'Esches, et sous-affluent de l'Oise, y prend sa source (intermitante)[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 713 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontoise - Aero », sur la commune de Boissy-l'Aillerie, mise en service en 1946[9] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 638,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    Plusieurs bois (de Montchavert, des Cailles, du Chaufour, de Dampierre et l’Abbé) se trouvent dans la commune[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Dieudonné est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67 %), forêts (24,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), zones urbanisées (3,6 %), prairies (0,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    La commune compte deux hameaux : Montchavert (à l'ouest) et La Fosse-Saint-Clair, au nord-est de son territoire.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 338, alors qu'il était de 325 en 2013 et de 311 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 92,9 % étaient des résidences principales, 2,2 % des résidences secondaires et 4,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,9 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Dieudonné en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,2 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (95,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Dieudonné en 2018.
    Typologie Dieudonné[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 92,9 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,2 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 4,8 7,1 8,2

    Toponymie

    Le lieu était dénommé vers 1250 Deudonis Villa, en hommage à un personnage d’origine germanique Deudon[1].

    Histoire

    L'origine du village est très ancienne, puisqu'on y a trouvé au XVIIIe siècle au lieudit « Camp César » des vestiges de l’époque romaine, et, au sud de l’église, des sarcophages[1].

    Sous l'Ancien Régime, Dieudonné dépendait de la paroisse de Puiseux-le-Hauberger, et, en 1649 un vicaire y est institué[2]

    Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, le village était connu pour ses vignes et on y a fabriqué des boutons en poils de chèvres, ainsi que du travail de la soie et de la passementerie. En 1900, le village comptait encore deux cafés-épiceries[1]. En 1842, la commune est dotée d'une école alors récemment construite et est propriétaire de quelques parcelles de friches. La population se compose de moyens et petits cultivateurs. Quelques femmes sont également occupées au travail de la soie[2].

    Afin de sauvegarder le village et de permettre le maintien de l'école, la municipalité, qui avait été confronté à une baisse de 60 habitants en dix ans, a décidé la création d'une quinzaine de logements locatifs[1] ainsi qu'une cinquantaine de maisons en accession sur le Mont des Vignes. La question de la perte du "caractère rural" du village a été posée lors de la création de ce lotissement[23].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Neuilly-en-Thelle[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Méru.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[25], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[26],[27].

    La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise puis communauté de communes Thelloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792   Nicolas Baut    
    1793   Denis Dufay    
    1797   Nicolas Baut    
    1808   Frédéric August Vaast    
    1811   Nicolas Prévost    
    1826   Antoine Grange    
    1831   Frédéric August Vaast    
    1837   Étienne Floréal Millet   Maire par intérim
    1837   Jean-Baptiste Poitevin    
    1840   Étienne Millet    
    1841   Pierre Louis Vaast   Maire par intérim
    1842   Jean Lubin Denoyelle    
    1851   Pierre Louis Dufay   Maire par intérim
    1851   Nicolas Prevost    
    1901   Frédéric August Vaast    
    1904   Théodule Quoniam    
    1908   Jean-Baptiste Duchatel    
    1916   Maurice Doliger   Maire par intérim puis élu maire en 1919
    1957 1969 Henri Bridot    
    février 1969 1977 Bernard Montmirel    
    mars 1977[1] 2001 Pierre Savignac[30]    
    mars 2001[1] mai 2020 Alain Leriverend[31],[32] SE Chef d'entreprise retraité
    mai 2020[33] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Marie-Thérèse Descatoire   Cadre de la fonction publique
    Vice-présidente de la CC Thellosie (2020 → )

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Le village compte une école, dénommée les Trois cahiers de quatre classes en 2016, et un centre de loisirs[1].

    Culture

    Une bibliothèque est implantée au village[34].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2019, la commune comptait 889 habitants[Note 8], en augmentation de 6,34 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    440489525554493525532536548
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    437422394360375331331301309
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    314327255245242228169194164
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    149151260668791836856854841
    2015 2019 - - - - - - -
    821889-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 425 hommes pour 428 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    0,0 
    4,1 
    75-89 ans
    2,2 
    20,0 
    60-74 ans
    17,5 
    23,5 
    45-59 ans
    25,0 
    17,6 
    30-44 ans
    18,5 
    15,9 
    15-29 ans
    15,5 
    18,7 
    0-14 ans
    21,3 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Économie

    La commune ne compte plus en 2016 de commerces de proximité, mais plusieurs artisans (un spécialiste en climatisation, un maçon, un électricien, un menuisier, un haras à Montchavert, un fromager, un marchand de fruits et légumes bio, un technicien SNCF et un fabricant de savons) y sont implantés[1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église.
    • L'église Notre-Dame, datant des XIIe et XVIe siècles, de plans sensiblement carré marqué par l'excroissance constituée par une tourelle d’escalier polygonale, couverte d’une pyramide en pierre.
      La nef suivie d’un chœur à chevet plat de deux travées du XIIe siècle ont été complétées au XVIe siècle du bas-côté sud.
      La façade, protégée par un petit auvent, s'ouvre par portail travaillé de voussures décorées d’étoiles, de tores et de billettes sont reçues de chaque côté par deux colonnettes en délit dont les chapiteaux sont décorés de feuilles et de tiges se terminant en crochets datables des années 1190.
      Les aménagements intérieurs sont eux datables du XVIe siècle sauf la dernière travée du chœur, qui a conservé sa voute et ses chapiteaux du XIIe siècle[40].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'argent à l'écusson d'azur au lion naissant d'or ; ledit écusson accompagné de trois grappes de raisin de sinople, 2 et 1, et de trois boutons de couturières d'or, percés de quatre trous de sable, 1 et 2[41].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Dieudonné », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Philippe Delattre, « Dieudonné, une histoire liée aux Romains et à la vigne », L'Observateur de Beauvais, no 964, , p. 26.
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Neuilly-en-Thelle, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 148 p. (lire en ligne), p. 73-75, sur Google Books.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Pontoise - Aero - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Dieudonné et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Pontoise - Aero - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Dieudonné et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. « A Dieudonné, le nouveau lotissement fait grincer des dents », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    26. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    27. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    28. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
    29. « Les institutions », Histoire, sur https://www.commune-de-dieudonne.fr (consulté le ).
    30. « L'ancien maire médaillé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Pierre Savignac a été élu du village pendant sept mandats successifs (...) Pierre Savignac a été conseiller municipal entre 1959 et 1965, adjoint de 1965 à 1977, puis maire jusqu'en 2000 ».
    31. « Dieudonné : une seule liste pour les municipales », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    32. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires élus et réélus avec les nouveaux conseils municipaux installés », L'Echo du Thelle, no 523, , p. 13.
    33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    34. « La bibliothèque », sur http://www.commune-de-dieudonne.fr (consulté le ).
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