Doissat

Doissat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Doissat

La mairie de Doissat.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède
Maire
Mandat
Bruno Lallier
2021-2026
Code postal 24170
Code commune 24151
Démographie
Population
municipale
103 hab. (2019 )
Densité 6,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 43′ 56″ nord, 1° 04′ 11″ est
Altitude Min. 131 m
Max. 323 m
Superficie 15,30 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Doissat
Géolocalisation sur la carte : France
Doissat
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Doissat
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Doissat
Liens
Site web doissat.fr

    Géographie

    Communes limitrophes

    Doissat est limitrophe de huit autres communes dont Besse au sud-est sur environ 400 mètres.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Doissat est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 831 - Belvès » et « no 832 - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Doissat.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 131 m et 323 m[6],[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 15,30 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 15,65 km2[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Doissat[Note 3].

    La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Beuze, le Gaugeard, le Lécadou, le Merdalou, le ruisseau de Trompette et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15,5 km de longueur totale[15],[Carte 1].

    La Beuze, affluent de la Nauze, prend sa source sur la commune et lui sert de limite au nord-ouest sur quatre kilomètres et demi face à Orliac et Sainte-Foy-de-Belvès. Son affluent le Gaugeard arrose le nord du territoire communal sur quatre kilomètres, dont un demi-kilomètre face à Saint-Laurent-la-Vallée.

    Le Merdalou, affluent de la Vallée, naît également sur la commune et marque sa limite territoriale à l'est sur un kilomètre, face à Saint-Pompont. Son affluent le Lécadou prend sa source à l'est de la commune, lui servant de limite sur un kilomètre et demi face à Saint-Laurent-la-Vallée.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17]. La quasi-totalité du territoire communal dépend du SAGE Dordogne amont. Seule en est exclue une partie minime d'environ 17 hectares à l'extrême sud, au sud de la RD 54, ne dépendant d'aucun SAGE.

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 927 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[24] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[25],[Note 7], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 25 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[28], à 12,7 °C pour 1981-2010[29], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Doissat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[31],[32],[33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64 %), zones agricoles hétérogènes (28,2 %), prairies (4,1 %), cultures permanentes (3,8 %)[36].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Doissac[37].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Doissat a été rattachée au canton d'Orliac qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Belvès dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

    Intercommunalité

    Fin 2000, Doissat intègre dès sa création la communauté de communes Entre Nauze et Bessède. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[38],[39].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
      1959 Étienne Robert Vialard    
    1959 1977 Fernand Merchadou    
    1977 1983 Roger Lanternier    
    1983 1995 Catherine Joffre    
    mars 1995 mars 2008 Brigitte Pundiak    
    mars 2008 mars 2014 Jean-Jacques Varga SE[40] Retraité de l'aéronautique
    mars 2014 février 2021[41] Christian Boissy[Note 9]   Retraité de l'agriculture
    février 2021 juin 2021 Bruno Lallier[42]   2e adjoint faisant fonctions de maire
    juin 2021 En cours Bruno Lallier    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Doissat relève[43] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].

    En 2019, la commune comptait 103 habitants[Note 10], en diminution de 14,88 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    417530538556572618617637640
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    609564533503505502502503459
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    404388345279255232209209174
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    154153137127125127112118126
    2015 2019 - - - - - - -
    108103-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[47], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante personnes, soit 46,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (huit) a augmenté par rapport à 2010 (six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quinze établissements[48], dont sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six au niveau des commerces, transports ou services, un dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[49].

    En 2021, la commune compte une nouvelle entreprise spécialisée dans la réalisation de drones ainsi que la prestation de service de ces derniers, dans le domaine audiovisuel, agricole et technique[50].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Hilaire.
    • Château de Doyssac[51],[52] : la terre de Doyssac a été achetée par le capitaine huguenot Geoffroy de Vivans (ou Vivant) à Marguerite de Lustrac en 1578. Le château a été construit par son fils, Jean, en 1605. Le château sera en partie démoli en 1794.
    • Église Saint-Hilaire construite en 1869, comme l'indique la plaque placée au-dessus du portail.
    • Manoir de Mondiol constitué d'un corps de bâtiment du XVIIe siècle accosté d'une tour[53]. Il a appartenu successivement aux familles Bessou de Signac et Savy[53]. Joseph Savy du Mondiol, fils de Louis Savy et de Mathurine de Bessou, dame du Mondiol, y est né le 29 août 1779, mort à Toulon le 20 juillet 1847. Il est entré à 12 ans dans la marine sous les ordres de Pierre-Félix Lapalisse (de Belvès). Il s'est battu à Aboukir, à la prise du vaisseau anglais le Swiftsure, au cap Finisterre, et à Trafalgar. Il est nommé capitaine de frégate en 1821, et chevalier de la Légion d'honneur en 1822, officier en 1835[54],[55].

    Personnalités liées à la commune

    • Geoffroy de Vivans a acheté la terre de Doissac à Marguerite de Lustrac en 1578. Le château a été construit par son fils, Jean de Vivans, en 1605. Le château a été en partie démoli en 1794.
    • Jean-Baptiste Sirey (1762-1845), jurisconsulte français fut le curé de Doissat.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Décédé en fonctions.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Doissat » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Doissat » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Doissat », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 832 - Gourdon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Doissat », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Doissat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « SAGE Dordogne amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    18. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    19. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    20. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    21. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    22. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    23. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    24. « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    26. « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    28. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    29. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    40. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 3.
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    42. Nathalie Bouilhaguet, « Les électeurs appelés aux urnes les 30 mai et 6 juin », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 22.
    43. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
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    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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    50. Nathale Bouilhaguet, « Doissat : une nouvelle entreprise de drones créée », Sud Ouest, .
    51. Deboysson : château de Doyssac
    52. Comtesse Geneviève de Vivant, Richard de Boysson, « Doyssac. Origine, grandeur et ruine d'un château du Périgord Noir », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1926, tome 53, p. 251-256, 288-303 (lire en ligne)
    53. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 181.
    54. « Savy du Mondiol, Joseph », base Léonore, ministère français de la Culture.
    55. J. Durieux, Une lettre de M. Savy du Mondiol (1776), dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1931, tome 58, p. 81, note (lire en ligne)
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