Coursac
Coursac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Coursac | |||||
L'église de Coursac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
Maire Mandat |
Pascal Protano 2020-2026 |
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Code postal | 24430 | ||||
Code commune | 24139 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 211 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 90 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 07′ 43″ nord, 0° 38′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 89 m Max. 225 m |
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Superficie | 24,65 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Périgueux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Astier | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Généralités
La commune de Coursac est incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1].
Communes limitrophes
Coursac est limitrophe de huit autres communes dont Marsac-sur-l'Isle au nord par un simple quadripoint.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Coursac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | |||||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène | non présent | ||||||||||||||||||||||
Éocène |
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Paléocène | non présent | |||||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | |||||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 89 m et 225 m[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 24,65 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 25,25 km2[4].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Cerf, le Naussac, le ruisseau de Chabannes, le Rosier (également appelé ruisseau de Chantebrune) et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Le Cerf, d'une longueur totale de 15,37 km, prend sa source dans la commune de Boulazac Isle Manoire (territoire de l'ancienne commune d'Atur) et se jette dans l'Isle à Razac-sur-l'Isle[16]. Au nord, il arrose le territoire communal sur près de quatre kilomètres dont la moitié sert de limite territoriale face à Coulounieix-Chamiers.
- L'étang du Rosier entre Saint-Paul-de-Serre, au premier plan, et Coursac, sur la rive opposée.
- Réseaux hydrographique et routier de Coursac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[25] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 33 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 13,1 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[31].
Urbanisme
Typologie
Coursac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[35],[36].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,3 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), terres arables (21,1 %), prairies (13,6 %), zones urbanisées (4,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %)[37].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Un plan de prévention des risques naturels (PPRN) a été approuvé en 2005 pour Coursac, dont la quasi-totalité du territoire est exposée aux risques de retrait-gonflement des sols argileux et de tassements différentiels[38],[39].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Coursac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :
- Baillou
- Beau
- Beleycout
- la Beylie
- Blanchou
- Blanquet
- Blouze
- les Borderies
- les Brandeaux
- Broussas
- la Brousse
- les Brujoux
- Bruyols
- Buis
- le Cerf de Mémie
- la Chabanne
- Chatras
- Chaussidoux
- Chiconet Bas
- Chiconet Haut
- Coupe-Gorge
- Aux Embois
- Enveaux
- la Faye
- la Feuillade
- Font de Meaux
- les Forêts
- les Girardies
- Goujatoux
- Grands Marots
- Guillaumias
- la Jarthe
- la Jutherie
- Lalande
- Laudonie
- Laugerie
- Lauglusie
- Lespinasse
- Linard
- Maison Jeannette
- Maison Neuve
- Manou
- Maraval
- les Marches
- les Mares
- Mareuil
- Mauvignier
- Meynichoux
- Monsac
- la Morinie
- le Moulin de la Jarthe
- Mourcin
- le Paysset
- le Petit Cerf
- Picharoux
- les Privats
- le Puy de Monsac
- le Ruisseau Noir
- Valadet
- Volvey.
Toponymie
Coursac doit son nom au nom latin Corsacum, du nom d'un personnage gallo-romain du nom de Curtius, suivi de -acum[41].
Histoire
Au lieu-dit Font de Meaux, des fouilles préventives durant l'été 2004 complétées par une fouille de l'INRAP en 2005 ont permis de localiser un habitat datant du Néolithique final, et deux enclos circulaires de l'âge du Fer[43].
Pendant des siècles, les ruines d'une villa gallo-romaine ont subsisté. Il n'en reste rien aujourd'hui.
La paroisse de Coursac est sous le patronage de saint Martin et elle formait jusqu'en 1790 une seigneurie dont les évêques de Périgueux furent de tout temps les seigneurs. C'est d'ailleurs au hameau de Mourcinq que le , l'évêque Frotaire de Gourdon, en visite dans la paroisse, fut assassiné[44].
Politique et administration
Rattachements administratifs
Dès 1790, la commune de Coursac a été rattachée au canton de Saint-Astier qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est supprimé et la commune est rattachée au canton de Grignols dépendant de l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[6].
Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014 et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[45].
Intercommunalité
Le 27 décembre 2002, la commune adhère à la communauté d'agglomération périgourdine créée trois ans plus tôt. Celle-ci disparait le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[46],[47].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Coursac relève[51] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
- Fernelmont (Belgique) depuis 2000
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].
En 2019, la commune comptait 2 211 habitants[Note 10], en augmentation de 8,76 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 078 personnes, soit 51,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (80) a augmenté par rapport à 2010 (61) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,4 %.
Établissements
Au , la commune compte 115 établissements[56], dont soixante-deux au niveau des commerces, transports ou services, vingt dans la construction, treize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et neuf dans l'industrie[57].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de La Feuillade, qui perdit ses tours peut avant la fin de la 2e guerre mondiale, lors d'un incendie. Ce château appartint jadis à plusieurs familles de nobles lignage : la Famille d'Aix (de la fin du XVe s. au XVIIIe s.), la Famille de Beaupoil (au XVIIIe s.) et la Famille de Chancel (qui le détenait en 1789).
- Château de la Jarthe, XVe et XVIe siècles, avec sa chapelle et son pigeonnier inscrits aux monuments historiques depuis 1948[58]. Ce château appartint jadis à plusieurs familles de noble lignage : la Famille du Puy de La Jarthe (des déb. du XIVe s. à 1583) la Famile de Chillaud (de 1583 au XVIIe s.), la Famille du Saillant (du XVIIe au XVIIIe s.) et la Famille de La Roche-Aymon (du XVIIIe s. à 1836).
- Château de Manou, qui appartint jadis à plusieurs familles de noble lignage : la Famille de Benoit du XVIe s. à 1891, la Famille de Scoraille (de 1891 à 1928) et la Famille de Marignan (qui le détenait durant la 2e guerre mondiale).
- Église Saint-Martin[59]., dont les cloches sont d'origines, les révolutionnaires n'ayant pas réussi à les descendre pour les faire fondre et en faire des canons.
L'église Saint-Martin. Son portail. Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Simone Mareuil (1903-1954), actrice de cinéma, y a vécu.
Héraldique
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Les armes de Coursac se blasonnent ainsi : « D'azur à trois étoiles d'or, l'une en chef et les deux autres en pointe, à deux épis de blé, aussi d'or, mis en pal, l'un à senestre, l'autre à dextre. »
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Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Démissionne en tant que maire et devient 1er adjoint. Source : Pascal Protano est le nouveau maire de Coursac, Sud Ouest édition Dordogne du 26 mars 2013, p. 12-13.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Coursac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Coursac » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Coursac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Coursac », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Coursac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- Sandre, « le Cerf ».
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
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- [PDF] Courdsac - Mouvements différentiels de terrain liés au phénomène de retrait gonflement des sols argileux, DREAL Aquitaine, consulté le 15 avril 2019.
- « Coursac » sur Géoportail (consulté le 22 janvier 2021)..
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 121-122, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
- Le nom occitan des communes du Périgord - Corsac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Isabelle Kerouanton, « Les enclos circulaires de l’Âge du fer de Font de Meaux à Coursac (Dordogne) », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 106, no 2, 2009, p. 357-371 lire en ligne.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 412.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 19.
- « L'installation des maire se poursuit », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 13.
- H.C., « Ne nous oubliez pas ! », Sud Ouest édition Périgueux du 9 avril 2014, p. 15.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Dossier complet - Commune de Coursac (24139) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 septembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Coursac (24139) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 septembre 2018.
- « Château de la Jarthe », notice no PA00082508, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 55.
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