Saint-Paul-de-Serre
Saint-Paul-de-Serre est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Paul.
Saint-Paul-de-Serre | |||||
Le village de Saint-Paul-de-Serre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
Maire Mandat |
Florian Chantegreil 2022-2026 |
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Code postal | 24380 | ||||
Code commune | 24480 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
304 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 05′ 18″ nord, 0° 38′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 91 m Max. 214 m |
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Superficie | 10,44 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Périgueux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Périgord central | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saintpauldeserre.fr | ||||
Géographie
Généralités
Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune de Saint-Paul-de-Serre se situe dans la partie sud-ouest du Périgord central. Elle est arrosée par le Vern, par son affluent le Serre dont le nom se retrouve dans celui de la commune, et par le Rosier, affluent du Serre.
Le territoire communal est desservi par les routes départementales 43 et 44.
Le village de Saint-Paul-de-Serre, dans la vallée du Serre et sur la route départementale 44, se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au nord-ouest de Vergt et dix kilomètres au sud-est de Saint-Astier.
Communes limitrophes
Saint-Paul-de-Serre est limitrophe de six autres communes, dont Bourrou au sud-ouest par un quadripoint.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Paul-de-Serre est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | ||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène | non présent | ||||||||||||||
Paléocène | non présent | ||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | ||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 91 mètres[6] au sud-ouest, près du lieu-dit la Chassagne, là où le Vern quitte la commune et entre sur celle de Manzac-sur-Vern, et 214 mètres[6] au sud-est, près du lieu-dit les Clèdes, en limite de la commune de Creyssensac-et-Pissot[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 10,44 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 10,8 km2[4].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Vern, le Serre, le ruisseau le rosier et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Le Vern, d'une longueur totale de 40,4 km, prend sa source dans la commune de Val de Louyre et Caudeau et se jette dans l'Isle à Neuvic, après avoir traversé dix communes[16].
- L'étang du Rosier à Saint-Paul-de-Serre.
- Réseaux hydrographique et routier de Saint-Paul-de-Serre.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[25] et qui se trouve à 27 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 29 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 13,1 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[31].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[32],[33].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe dans sa « zone de transition »[34].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].
Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[36].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2022, une ZNIEFF est recensée sur la commune d’après l'INPN[37].
Cette ZNIEFF de type 1[Note 8] concerne certains coteaux du Vern[38],[39], notamment sept zones distinctes totalisant environ 140 hectares, en rive gauche du Vern, près du lieu-dit les Granges, ainsi qu'en rive droite du Vern, près des lieux-dits le Champillou, Chante-Alouette, Chavantou, la Mouthe, les Virades, la Chassagne, et Chamaly en rive droite de son affluent le Serre. Celles-ci représentent près de 30 % de la superficie totale de cette ZNIEFF où une espèce déterminante de plantes et quatre espèces d'oiseaux protégées au titre de la Directive oiseaux de l'Union européenne ont été répertoriées[38].
Il existe également une ZNIEFF de type 2[Note 9] « Vallée de l'Isle de Périgueux à Saint-Antoine-sur-l'Isle, le Salembre, le Jouis et le Vern » qui concerne notamment toute la vallée du Vern depuis l'amont de Bordas jusqu'à sa confluence avec l'Isle[40].
Urbanisme
Typologie
Saint-Paul-de-Serre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[41],[42],[43].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[44],[45].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,8 %), forêts (43,1 %), terres arables (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[46].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Saint-Paul-de-Serre proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[47] :
- Barbary
- la Basse Côte
- Belair
- les Boiges
- le Borderage
- les Bourdoux
- la Bouyerie
- la Brande
- le Champillou
- Chante-Alouette
- la Chassagne
- Chavantou
- les Clèdes
- la Côte
- la Garenne
- les Granges
- la Haute Côte
- Larcivie
- Maison Neuve
- les Mangours
- Moncouche
- la Monnerie
- le Moulin
- le Moulin de Moncouche
- le Moulin du Rosier
- la Mouthe
- Paret
- la Pésille
- la Pinerie
- les Piniers
- les Piniers Bas
- les Piniers Hauts
- la Tabatte
- les Virades.
Histoire
La découverte au hasard des travaux de silex taillés et de pierres polies atteste l’ancienneté de l’occupation de ce territoire. L’époque gallo-romaine est représentée par des vestiges de villas trouvés dans les champs (tuiles, ciment, mortier, débris de marbre et de poteries). Une motte – surélévation de terrain entourée d’un fossé – est encore visible au milieu des bois et le village de la Mouthe tient probablement son nom d’une telle construction.
Plus tard, l’église a probablement été construite vers le XIe siècle mais « sur l’emplacement et les fondements d’une autre église qui pourrait dater du VIIe ou du VIIIe siècle »[49].
Le nom de Saint Paul de Serre apparaît pour la première fois dans un acte de 1226 sous la forme de Sanctus Paulus de Sera[49].
Le premier dénombrement de population connu date de 1365. On peut penser qu’à cette époque là, il y avait à peu près 180 âmes à Saint Paul de Serre. La situation évoluera et en 1851 le village est à son apogée avec 591 habitants.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la paroisse de Saint Paul de Serre dépend de la châtellenie de Grignols[50].
De nos jours, soutenues par leur maillage de lierre, les dernières pierres du château des d’Abzac (ils en étaient propriétaires au XVe siècle), dominent toujours le petit bourg groupé autour de son église dédiée à saints Pierre et Paul.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Saint-Paul-de-Serre est rattachée au canton de Grignols qui dépend du district de Périgueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, La commune est rattachée au canton de Saint-Jean-de-Vergt, renommé ultérieurement en canton de Vergt, lui-même dépendant de l'arrondissement de Périgueux[6].
Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, le canton de Vergt disparait, remplacé par le canton du Périgord central, au périmètre bien plus vaste[51], dont le bureau centralisateur reste fixé à Vergt.
Intercommunalité
Fin 2001, Saint-Paul-de-Serre intègre dès sa création la communauté de communes du Pays vernois. Celle-ci est dissoute le et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe. Elle est elle-même dissoute le et ses communes sont intégrées à la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux le .
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[52],[53].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Paul-de-Serre relève[59] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
Les communes du Pays vernois sont jumelées avec la ville canadienne de Saint-Jacques de Montcalm depuis 1996[60].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[62].
En 2019, la commune comptait 304 habitants[Note 14], en augmentation de 15,15 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
En 2015[64], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 136 personnes, soit 49,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinq) a fortement diminué par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 3,6 %.
Établissements
Au , la commune compte vingt-deux établissements[65], dont onze au niveau des commerces, transports ou services, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois dans la construction, et trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[66].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul[67], néo-romane du XIXe siècle.
- Chartreuse des Bourbous[68] (ou des Bourdoux) du XVIIe siècle, avec sa chapelle et son pigeonnier en ruines.
- Manoir de Chavantou[69].
- Tour ruinée du château de Saint-Paul[70].
Personnalités liées à la commune
- Jean de Calvimont : ~1490/1557, seigneur de l'Herm.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[35].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Démission de l'ensemble conseil municipal. Source : « Le maire et le Conseil ont démissionné », Sud Ouest édition Périgueux, 7 décembre 2018, p. 23.
- Démissionne de ses fonctions de maire mais reste conseiller municipal.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Paul-de-Serre » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Paul-de-Serre » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Paul-de-Serre », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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- Sandre, « le Vern »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Dossier complet - Commune de Saint-Paul-de-Serre (24480) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
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- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest année=1996, 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 81.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest année=1996, 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 260.
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