Élisabeth Antébi

Élisabeth Antébi, née le à Paris, est une historienne, animatrice de télévision, éditrice, écrivaine et journaliste française, qui s'attaque aujourd'hui au spectacle "Seule en Scène".

Élisabeth Antébi
Elizabeth Antébi avec Théodore Komaniecki au piano
Naissance
Paris, France
Activité principale
Distinctions
Licences ès Lettres classiques et d'Histoire de l'art
Auteur
Genres

Biographie

Études

Après un double cursus en Histoire de l'art et en Lettres classiques, et un long passage au Cours Dullin de Théâtre, suvi d'une représentation de George Dandin ou le Mari confondu où elle tient le rôle d'Angélique, Élisabeth Antébi passe un doctorat à l'École pratique des hautes études (EPHE) en histoire des sciences religieuses. Elle a par ailleurs un diplôme de l'Institut Goethe de Grafrath.

Journaliste

Elle présente l’émission Post-scriptum de février à . Fait en tant qu'auteur et réalisatrice plusieurs reportages pour le Service de la Recherche à l'ORTF de Pierre Schaeffer et le Magazine de Jean-François Chauvel sur FR3, puis sur TF1, sur les Jésuites, Alan Watts (émission "Un Certain Regard"), "La Mort de Life et du grand reportage", les écrivains de Science-Fiction ("Les Evadés du Futur", avec Philip K. Dick, Isaac Asimov, Norman Spinrad, Bob Silverberg, Ted Sturgeon, John Brunner). Publie en tant que journaliste indépendante dans L'Express va plus loin, Lui, et bien d'autres magazines dont V.S.D. [1].

Éditrice

Travaille pour les éditions Tchou et dirige (et rédige parfois) la collection en huit volumes Arawak sur les Antilles et le Guyane dont elle réunit l'iconographie. Se rend souvent en Haïti. Fonde les éditions Hologramme en 1981, de beaux livres avec une collection de vulgarisation des Sciences et Techniques. Puis elle fonde, toujours avec la publication de Beaux Livres, les Editions Antébi[2].

Vulgarisation des sciences et des techniques

Dans les années 1980, elle se consacre pendant dix ans à la vulgarisation des sciences et des techniques : elle publie "La Grande Epopée de l'Electronique" (traductions anglaise et allemande) et "Le Génie de la vie : les Biotechnologies" (traductions en anglais, hollandais, japonais).

Bécherel

Part pour Bécherel, près de Rennes, où elle ouvre une librairie-galerie et lance et dirige le Festival Européen Latin Grec, dont le peintre Georges Mathieu lui offre le logo[3].

Düsseldorf

Puis, pendant dix ans encore, elle vit à Düsseldorf où elle enseigne le latin pendant deux ans au lycée français. Elle ouvre, sous les auspices de l’Amitié des Françaises, un Salon de Madame Verdurin/Vert du Rhin. Puis elle fonde un Atelier-Théâtre avec une troupe d'une douzaine de personnes de 13 à 73 ans et monte successivement Chantecler de Edmond Rostand, puis un Cabaret franco-allemand. La troupe joue au Theatermuseum et dans un cabaret-théâtre[4].

Entre-temps, elle a traduit avec Marie-France Saignes Le Petit Nicolas en latin - Pullus Nicolellus, aux éditions IMAV. Elle a aussi écrit régulièrement dans Le Petit Journal.com des Français de l'Etranger (en Allemagne) où elle a créé la rubrique "Le Génie de la Langue" et dans l'appli IPhilo [5].

Retour en France

Au retour en France, elle s'inscrit à l'Ecole du One Man Show et monte un "Seule en Scène" sur l'amour et le langage au temps des algorithmes, "Aïe Tech, une époque épatante" [6].

Œuvres

Notes et références


Voir aussi

Liens externes

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