Entrains-sur-Nohain
Entrains-sur-Nohain est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Entrains-sur-Nohain | |||||
La mairie d'Entrains-sur-Nohain. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Nièvre | ||||
Arrondissement | Clamecy | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haut Nivernais-Val d'Yonne | ||||
Maire Mandat |
Michel Poirier 2020-2026 |
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Code postal | 58410 | ||||
Code commune | 58109 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Entraînois, Entraînoises | ||||
Population municipale |
748 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 27′ 54″ nord, 3° 15′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 210 m Max. 332 m |
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Superficie | 58,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Clamecy | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | entrainssurnohain.fr | ||||
Ses habitants se nomment les Entraînois et les Entraînoises.
Géographie
Situation
Située à l'extrême nord du département de la Nièvre et contigüe au département de l'Yonne, Entrains-sur-Nohain est à 25 km (à vol d'oiseau) de la rive droite de la Loire - et du département du Cher qui commence à la Loire. Clamecy à 22 km à l'est, leur préfecture Nevers est à 61 km au sud, Avallon (Yonne) à 60 km à l'est Dijon (Côte-d'Or) à 166 km par l'autoroute A6, Auxerre (préfecture de l'Yonne) à 50 km au nord-est[1].
Communes limitrophes
Bouhy | Sainpuits (Yonne) | Étais-la-Sauvin (Yonne) | ||
Ciez | N | Billy-sur-Oisy Corvol-l'Orgueilleux | ||
O Entrains-sur-Nohain[2] E | ||||
S | ||||
Menestreau | La Chapelle-Saint-André |
Description
Entrains-sur-Nohain est une ancienne ville gallo-romaine, assise au milieu d'une plaine, entourée d’une chaîne de collines et de vastes forêts qui s’étendent sur plusieurs kilomètres.
Transports
La plus proche entrée/sortie pour l'autoroute A77 — qui longe la Loire — est la no 22 « Cosne » à 32 km à l'ouest. Celle pour l'autoroute A6 est à 71 km à l'est : entrée/sortie no 22, « Avallon »[1].
La gare d'Entrains (Clamecy à Cosne, ouverte en 1893[3],[4]) est maintenant fermée.
Hydrographie
La commune est traversée presque entièrement par le Nohain, affluent de la Loire qui prend source dans le nord-est de la commune et en sort au sud-ouest ; il conflue avec la Loire à Cosne-Cours-sur-Loire. Au bourg, il reçoit en rive droite (côté ouest) le Trelon, qui lui aussi prend source sur la commune. Au sud du bourg, il reçoit en rive gauche le ruisseau Saint-Nicolas, qui prend source sur la Chapelle-Saint-André[2].
Le Nohain alimente deux étangs sur la commune, près du bourg ; et le ruisseau Saint-Nicolas en alimente deux autres : étang de Saint-Fiacre et étang de Saint-Nicolas[2].
Géologie
La commune se trouve essentiellement sur les plateaux calcaires du Jurassique supérieur (Oxfordien moyen et supérieur), qui composent en partie la zone charnière entre le Morvan et les premières côtes du bassin de Paris d'âge Portlandien et Crétacé[5]. Ce substrat est lacéré par des failles plus ou moins parallèles orientées N.N.E./S.S.O.[6] La faille la plus marquée traverse le bourg[7]. Une grande partie du substratum secondaire est recouvert par des formations superficielles tertiaires[6].
Urbanisme
Typologie
Entrains-sur-Nohain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,9 %), forêts (39 %), prairies (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones urbanisées (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
La première mention connue remonte au IIe siècle : Intaranum (inscription d’Autun)[15]. On relève également Interamnum au VIe siècle; Interamnis vers 600; Interrannis en 1120; Antrain en 1496; Entrain en 1562 et Entrin en 1678[16].
Il s'agit d’une formation toponymique gallo-romaine basée sur les éléments latins inter « entre » et amnis « cours d’eau, rivière », rhabillage d’un composé gaulois, peut-être de intar « entre » et anum « marais »[17].
Histoire
Antiquité
Entrains-sur-Nohain était autrefois une importante cité gallo-romaine à un carrefour routier[18]. Son nom en latin est Intaranum, indiqué sur une plaque découverte en 1840 à Autun (CIL 13, 2681[19],[20],[21] communément appelé l'itinéraire d'Autun, donnant entre autres un trajet de Autessiodorum (Auxerre) à Intaranum (Entrains) par Odona (Ouanne)[15].
Ville puissante et prospère qui s'étend sur près de 120 hectares y compris les nécropoles[19], on y a retrouvé de nombreux vestiges archéologiques de l'occupation gallo-romaine et en particulier l'Apollon citharède, statue en calcaire de 2,65 m conservée au musée d'archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye[22], ainsi qu'une statuette en bronze de Mercure assis conservée à Paris au musée du Louvre[23]. En 1910 Espérandieu publie une liste descriptive de 81 objets (dont les deux précédemment cités) découverts à Entrains[24].
À partir de 1960 de nombreuses études et recherches sont faites sur la commune : fouilles, sondages, observations de travaux d’urbanisme, prospections aériennes et pédestres[19].
L'Inrap y a mené de nombreuses fouilles entre 2008 et 2015, mettant à jour des peintures, des sculptures de divinités domestiques et un exceptionnel ensemble de décors de stucs d'une maison romaine[25].
Apollon à la cithare. MAN Laraire découvert au quartier de Saint-Cyr près de la gare.
H. 40 cmDans un mur à la Tuilerie : buste de femme dans une niche
- Carrières et centre de production de sculptures
Dans un rayon de 6 km du bourg se trouvent plus de 48 carrières antiques[5]. Elles ont exploité principalement les calcaires récifaux d'âge Oxfordien moyen à supérieur que l'on trouve au nord-est, au sud et à l'ouest d'Entrains[26] ; mais aussi les calcaires à chailles d'âge Oxfordien moyen au nord-est du bourg, dont une grande carrière dans le bois de Minier[27]. Plus de la moitié de la sculpture inventoriée dans la Nièvre provient des fouilles d'Entrains ; Devauges définit même un style de sculpture typique à Entrains. Le tout laisse penser que ce lieu était un centre important de fabrication de sculptures[5],[28].
- Lieu-dit les Hopitaux (« chantier Chambault »)
Une insula artisanale y est implantée sur le côté ouest de la voie antique reliant Entrains à Auxerre[29] (direction nord-est). Cet ensemble de constructions est révélé par les travaux de construction d'une maison qui mettent au jour du matériel céramique et un trésor monétaire gaulois ; à la suite de quoi le propriétaire accepte qu'un chantier de fouilles y soit mené par M. Devauges. Trois niveaux d'habitat y sont reconnus dans les parties sud et sud-ouest du site : époque de Constantin (310-337) ; un sol de béton du IIIe siècle ; et une couche de remblai recouvrant un niveau du Ier siècle (céramique de Saint-Rémy-en-Rollat, plombifère (Saint-Rémy est le principal atelier du centre de la Gaule fabricant des céramiques à glaçure plombifère), céramique grise moulée, céramique noire peignée)[30]. Au nord se trouve un dallage de cour ou de passage, et à l'ouest une grande cour qui a été nivelée et aménagée entre deux périodes d'habitat[31].
Des fouilles de 1966 à 1972 ont mis au jour trois habitats avec chacun un sous-sol / cave, plusieurs cours intérieures et une aire industrielle. Un puits a été exploré ; sa base à — 15 m était formée de chevrons de chêne[32].
Construites au IIe siècle, les caves ont été abandonnées vers la fin du IVe siècle[33].
Deux des sous-sols fouillés sont installés de part et d'autre d'un ambitus aménagé entre deux habitats[34] (voir le plan du site dans Martin 1970, fig. 32, p. 383). Leurs escaliers d'accès, système d'aération et système d'assainissement sont bien conservés et démontrent l'excellence de leur construction ainsi que leur importance pratique — et rituelle, car l'un d'eux a livré l'effigie en calcaire d'un dieu de la prospérité, représenté assis sur un siège à haut dossier et portant encore des traces de peinture rouge, et toujours installé dans sa niche aménagée dans la cave[34].
Les fouilles ont livré notamment des vestiges de bassins alimentés par un réseau de canalisations assez complexe, des fragments d'enclume de pierre dure et surtout un dépôt de douze lingots de fer (30 à 35 cm de long et 15 à 18 mm de large), découpés par tranche à chaud[34] ; ainsi que des outils de forgeron[35]. Il y avait donc là une activité de transformation et de trempe du fer, occupation typique dans cette région, bien exploitée aux IIe et IIIe siècles par les ferriers de Fontenay-sous-Vézelay[34] (le ferrier antique de Tannerre-en-Puisaye, un des deux plus grands ferriers antiques de France, est à moins de 35 km au nord-ouest[36]).
Monnaies et céramiques (sigillées avec empreintes, céramique d'Argonne, céramique décorée à la barbotine, céramique métallisée, etc.) concourent à dater l'occupation de ce lieu à partir de la fin de la période d'indépendance gauloise au IVe siècle[37].
- Ferme de la Boussille ou la Roussille
Ce site est à 3 km au nord-ouest du bourg et environ 400 m de la rive gauche du Nohain[2]. À la suite de la découverte d'un fragment de fronton décoré d'un trophée d'armes, des sondages ont mis au jour les vestiges d'un bâtiment du IVe siècle qui a utilisé en remploi des matériaux dont faisait partie le bloc sculpté ; ainsi que la sole d'un four et un anneau-support de cuisson qui indique la présence d'un atelier de potier[38].
- Lieu-dit les Quatre- Vents
Les Quatre-Vents est à 500 m au sud-est du bourg[2]. Il s'y trouvent des vestiges d'un habitat et d'un atelier de métallurgie du fer, avec une fosse dépotoir remplie de débris ferreux résultant du travail de forges[38].
- Site de l'ancienne halle
En 1972, M. Meissonnier a mené une fouille de sauvetage à l'emplacement de l'ancienne Halle située au centre de la bourgade gallo-romaine. Il semble que de très anciens travaux y aient supprimé les couches d'occupation des IIe, IIIe et IVe siècle : ses recherches n'ont livré que du mobilier médiéval, directement au-dessus de couches renfermant des vestiges datés à cheval sur la fin du Ier siècle av. J.-C. et le début du Ier siècle : fibules à ressort, potins, céramique peinte, grise, ocellée, poterie d'Acco et pots à balustres, et une importante quantité de céramique commune composée principalement de pots à gros dégraissant et à lèvre rainurée et micacée[39].
- Le bois des Huets
Le bois des Huets est dans le sud-ouest de la commune. Il a livré un habitat et atelier de potier et, dans la cave, deux statuettes en terre cuite blanche représentant une déesse-mère allaitant ainsi que six vases miniatures habituellement réservés aux contextes cultuels[40].
Moyen Âge
En 596 le règlement de saint Aunaire, 18e évêque d'Auxerre (572-605), inclut Entrains dans les trente principales paroisses du diocèse[41].
L'église d'Entrains a pour saint-patron saint Sulpice. Le chœur de l’église est de style roman et le transept est de style gothique.[réf. nécessaire]
Politique et administration
Jumelages
- Saranac Lake (États-Unis) depuis 1990[42].
- Monzingen (Allemagne) depuis 1965[42].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].
En 2019, la commune comptait 748 habitants[Note 2], en diminution de 17,8 % par rapport à 2013 (Nièvre : −5 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Services
- Piscine ;
- Salle polyvalente ;
- Centre de loisirs (enfance).
Sports
Le VTT peut être pratiqué sur la commune sur trois parcours balisés : circuit de l'eau, circuit nature, circuit histoire.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Sanctuaire gallo-romain monumental avec une cella circulaire au centre d'une cour entourée d'une large galerie. Les deux couloirs encadrent une niche ayant supporté une statue, vraisemblablement celle de la divinité (site enfoui)[47].
- Vestiges d'un théâtre gallo-romain de 115 m de diamètre, au lieu-dit les Terres Noires, sur le côté nord de la départementale 957. Le site a été découvert par prospection aérienne en 1974 ; des sondages effectués par la suite ont permis d'en préciser le plan (site enfoui)[48],[49].
- Maison des fouilles, qui expose une grande partie du mobilier découvert lors des fouilles archéologiques[50].
- Maison de l'Amiral du XVIIe siècle, habitée par le duc de Bellegarde, puis par l'amiral de Coligny.
- Église romane Saint-Sulpice, XIIIe siècle, XVIe siècle : chapelle du chœur du XVIIIe siècle, abside et clocher du XIXe siècle et épitaphes du XVIe siècle. L'église est inscrite comme Monument historique[51].
- Château du Réveillon construit dans la seconde partie du xixe siècle à la place d'une maison forte, propriété de la famille de Mortemart[52].
- Prêche des huguenots.
- Petit Fort.
- Lavoirs.
- Puits antique, fosse commune médiévale[53].
- Le théâtre romain.
- La maison de l'Amiral.
- L'église Saint-Sulpice.
Personnalités liées à la commune
- François Roger de Gaignières (1642-1715) : généalogiste, antiquaire et collectionneur, né à Entrains-sur-Nohain.
- Loup-Thomas dit Bonnotte, prêtre, confesseur des ursulines à Paris, mort en 1792, béatifié par le pape Pie XI en 1926[54].
- Nicolas Augustin Paliard, dit Paillard (1756-1832) : général de brigade de Napoléon Ier. Il fut également maire d’Entrains-sur-Nohain. Son nom figure sur l'Arc de Triomphe à Paris, parmi ceux de 660 personnalités. Il apparaît sur la 6e colonne (orthographié : « Paillard »).
- Nicolas Joseph Hervez de Chegoin (1791-1877), médecin de Louis-Philippe.
- L'abbé Jacques-François Baudiau (1809-1880) : historien du Morvan et auteur d'une Histoire d'Entrains, il fut curé doyen d'Entrains-sur-Nohain de 1876 à sa mort en 1880.
- Amédée Jullien (1819-1887), peintre qui réalisa de nombreux tableaux et gravures de la ville.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Entrains-sur-Nohain, carte », sur google.fr/maps (consulté en ).
- « Entrains-sur-Nohain, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
- « L'ancienne ligne Cosne-Clamecy », sur cahiersduvaldebargis.free.fr (consulté en ).
- « La gare d'Entrains sur Nohain (58) », sur forum.e-train.fr (consulté en ).
- [Lamotte 2000] Didier Lamotte, « Les calcaires utilisés à l'époque antique à Entrains-sur-Nohain (Nièvre) » (actes du colloque d’Argentomagus), Revue archéologique du centre de la France, supplément, no 18 « La pierre dans la ville antique et médiévale », , p. 75-81 (voir p. 75) (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
- Lamotte 2000, p. 76.
- « Entrains-sur-Nohain, carte géologique interactive » sur Géoportail.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- [Salway 2011] B. Salway, « Les itinéraires antiques, manuscrits et monuments », Dossiers d’archéologie, no 343, , p. 6-11 (voir p. 8-9) (lire en ligne [sur academia.edu], consulté en ).
- Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique de la Nièvre, Paris, 1865, p. 68 (lire en ligne sur DicoTopo)
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6)
- « Histoire d'Entrains », sur entrains-sur-nohain.blogspot.fr (consulté en ).
- [Meissonnier 2013] Jacques Meissonnier, « Religion privée et religion publique dans l'agglomération gallo-romaine secondaire d'Entrains-sur-Nohain (Nièvre) », Dialogues d'histoire ancienne, t. 39, no 2, , p. 33-47 (voir p. 33) (ISSN 0755-7256, lire en ligne [sur cairn.info], consulté en ).
- O. Hirschfeld et C. Zangemeister, Corpus Inscriptionum Latinarum, vol. 13, Pars I, fasc. 1, no 2681 : Inscriptiones Aquitaniae et Lugdunensis, Berlin, , sur _ _ _.
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- « Apollon Citharède », notice no 50010000872, base Joconde, ministère français de la Culture.
- « Mercure assis sur un rocher », Musée du Louvre, numéro catalogue : Br 1055 ; numéro d'entrée : MNC 734 ; collection : Département des Antiquités grecques, étrusques et romaines, sur collections.louvre.fr (consulté en ).
- [Espérandieu 1910] É. Espérandieu, Recueil général des bas-reliefs, statues et bustes de la Gaule romaine, t. 3, Paris, Imprimerie Nationale, , sur academia.edu (lire en ligne), p. 246-276 nos 2240 à 2320.
- [Boislève & Venault] Julien Boislève et Stéphane Venault, « Entrains-sur-Nohain, un rare décor en stuc d'une maison romaine », dans Julien Boislève, Alexandra Dardenay & Florence Monier (dir.), Peintures et stucs d'époque romaine. Études toichographologiques (Actes du 29e colloque de l'AFPMA, Louvres, 18 et 19 novembre 2016), Ausonius, , sur academia.edu (ISBN 9782356132444, ISSN 2273-7669, lire en ligne), p. 101-123. Première publication dans Archéologie, no 545, juillet-août 2016, p. 40-45.
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- [Rollet 1972] Claude Rolley, « Circonscription de Bourgogne », Gallia, t. 30, no 2, , p. 443-467 (voir p. 455) (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
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- Devauges 1974, p. 442, dont fig. 27 : deux marteaux.
- « Parcours à pied d'Entrains à Tannerre », sur google.fr/maps (consulté en ).
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- Martin 1970, p. 386.
- Devauges 1974, p. 442.
- Meissonnier 2013, 1 - « Cultes domestiques ou privés ».
- Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne), p. 117.
- « Annuaire des villes jumelées | AFCCRE », sur www.afccre.org (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Archéologia, no 482, novembre 2010, p. 38.
- Entrains sur Nohain, revue Gallia, année 1979, vol 37-2, p. 452.
- Catalogue d'exposition 30 ans d'archéologie dans la Nièvre, Coulanges-les-Nevers, Conservation départementale des musées de la Nièvre, , 233 p. (ISBN 2-9510069-0-X).
- La Maison des fouilles se prépare à ouvrir Article de http://www.lejdc.fr, 3 août 2011.
- Notice no PA58000004, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Très chères familles aux enchères », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Le mystère du puits d’Entrains-sur-Nohain », Le Monde, (lire en ligne).
- « Bienheureux Martyrs de 1792 », sur martyrsde1792.com (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site sur la ville d'Entrains-sur-Nohain
- Entrains-sur-Nohain sur le site de l'Institut géographique national
- « Le mystère du puits d'Entrains-sur-Nohain », 6'42 [vidéo], sur images-archeologie.fr, Inrap (consulté en ).
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