Famille Catoire
La famille Catoire est une famille de la noblesse française, originaire de Picardie, dont la filiation suivie remonte à Jean Catoire, né vers 1650 à Péronne (Somme) et implanté vers la fin du XVIIe siècle en Lorraine à Verdun dans la (Meuse). Au XVIIIe siècle, des membres de cette famille occupèrent des offices anoblissants au bureau des finances de Metz. Jean Baptiste Marie Auguste Catoire de Bioncourt (1789-1831) émigra en Russie vers 1817 et fut à l’origine d'une branche russe subsistante[1] dont un rameau est revenu en France à Paris au début du XXe siècle après la Révolution russe avec Lvovitch (Léon) Catoire (1864-1922).
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Armoiries | |
Blasonnement | D'argent à un mont de six coupeaux de sinople accosté de deux lions de gueules; au chef d'azur chargé d'un soleil d'or accosté de deux étoiles d'argent |
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Branches | Moulainville et Moncel Bioncourt |
Période | XVIIe – XXIe siècle |
Pays ou province d’origine | Picardie |
Charges | Trésorier de France, avocat, maire, député, procureur du roi, receveur, entrepreneur du roi, ambassadeur de France, banquier du roi, secrétaire du roi |
Fonctions militaires | Colonel |
Origines
La famille Catoire est originaire de Picardie d'où elle vint vers la fin du XVIIe siècle se fixer à Verdun, en Lorraine[2].
Jean Catoire (vers 1650 - 19 mars 1718), né à Péronne, est le premier membre de la filiation suivie de cette famille[3],[2],[4]. Il vint se fixer à Verdun et fut directeur de l'hôpital royal de cette ville. Il épousa : 1° Marguerite Lambert ; 2° Anne-Marie Foucault[3].
Son fils, Jean Baptiste César Catoire (1696-1760), receveur particulier des finances à Verdun, puis trésorier de France au bureau des finances de Metz le 21 juin 1746, mort en charge le 15 juin 1760[5], laissa trois fils dont les deux ainés, César et Nicolas, furent les auteurs de deux branches, et dont le plus jeune, François, banquier du roi à Verdun, eut plusieurs enfants qui moururent sans postérité[2].
Il épousa : 1° le 15 octobre 1719, Anne-Marie Ballon ; 2° le 22 aout 1729, Marguerite Rouyer ; 3° le 13 septembre 1734, Marie Thérèse Morin.
Branche ainée de Moulainville et Moncel
Jean Baptiste Henri César Catoire (1720-1796), seigneur de Moulainville (fils du précédent et d'Anne-Marie Ballon), fut pourvu en 1765 de l'office anoblissant de trésorier de France au bureau des finances de Metz, puis en 1773 de l'office anoblissant de secrétaire du roi près le parlement de Metz[2],[6]. Il épousa : 1° le 13 avril 1750, Jeanne Marie Reine Mangin, qui suit ; 2° Anne de Saint-Beaussant dont il n'eut pas d'enfants.
De Reine Mangin vinrent :
- François Marie César Catoire, colonel du génie, épousa Julie La Jeunesse de Varennes, mort à Saint Dominique en 1802 sans postérité.
- Dominique Catoire, né le à Verdun, reçu avocat au parlement de Metz le , procureur du roi au bailliage de Verdun, par provision du , épousa Louise Françoise Antoinette de Morland ; il fut membre du corps législatif, maire de Verdun[7] et député de la Meuse de 1804 à 1805 et mourut à Verdun le [8], dont un fils mort en 1853 sans postérité[2].
- François Clément Catoire (23 novembre 1763 à Verdun - 1843), frère du précédent, maire de Verdun, receveur des finances au bureau de Verdun[9],[2],[10]
Cette branche s'éteignit à la fin du XIXe siècle avec les petits-fils du précédent :
Branche cadette de Bioncourt
Jean Baptiste Nicolas Catoire (1730-1781), fils ainé de Jean Baptiste César Catoire, entrepreneur du roi, et de Marguerite Rouyer[11], seigneur de Delme, Puzieux, Alincourt et de la baronnie de Bioncourt, qu'il acheta en 1752 et revendit en 1780[2]. Avocat au parlement puis avocat du roi au bureau des finances de Metz le 14 juillet 1767, procureur au siège royal des eaux et forêts de Metz[12],[13]. Il avait conçu le projet de rendre la Seille navigable et flottable en 1774 et 1775[14],[15],[16],[17]. Mort en charge en 1781.
Marié : 1) le 8 juillet 1756 à Françoise Marguerite Mangin († 1769) ; 2) en 1774 à Anne Catherine Millety.
Jean-Baptiste-Louis-César Catoire de Bioncourt (1757-1825), fils du précédent et de Françoise Marguerite Mangin. Avocat au parlement de Metz, avocat au bureau des finances de Metz le 22 septembre 1786, avocat général au bureau des finances des évêchés de Metz et d'Alsace, il fut directeur de la saline de Moyenvic[18], administrateur général des salines de l'Est, et sous l'Empire, ambassadeur de France en République helvétique[12]. Il était associé dans la Maison Catoire, Duquesnoy et compagnie[19], fermiers des salines de la République Française[20]. Il dirigeait la maison Catoire qui loua et exploita les salines de Salins-les-Bains (Jura) de 1797 à 1806[21] Il exerçait en 1789 l'office anoblissant de trésorier de France au bureau des finances de Metz[2].
Par arrêt du Grand Conseil du 19 août 1786, il fut dispensé du paiement du marc d'or de noblesse comme noble[22],[23]. Il était fils de Jean-Baptiste Nicolas Catoire, avocat du roi au bureau des finances de Metz en 1767, mort en charge en 1781, et petit-fils de Jean-Baptiste-Henri-César Catoire, trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Metz en 1746, mort en charge en 1760. Ces charges conféraient la noblesse personnelle dès la réception et la noblesse graduelle héréditaire lorsque le père et le fils avaient été investis de la même charge[24] ou de charges de même nature[25] et l'avaient chacun exercée vingt ans ou jusqu'à leur mort, sans qu'il fut nécessaire que le petit-fils fut pourvu de la même charge[26]. Cette famille n'a eu qu'une seule génération d'exercice[2] ou deux mais de nature différente[22]. Marié en 1780 à Germaine Vincent, sœur du général baron Nicolas-Charles de Vincent, au service de l’Autriche, ministre plénipotentiaire de François II d’Autriche et possédant encore ses propriétés à Bioncourt où il se retira avant de finir sa vie à Nancy après l’époque napoléonienne[27]. Ils eurent pour fille Marie-Stéphanie-Alphonsine Catoire de Bioncourt, mariée le 10 septembre 1814 à Nicolas-Joseph du Rieu de Pouilly, juge de paix du canton de Verny[28].
Jean-Baptiste-Marie-Auguste Catoire de Bioncourt (1789-1832), fils du précédent et de Germaine Vincent, est né à Moyenvic, canton de Vic, département de la Meurthe, le 14 octobre 1789. Vers l'année 1817, il a émigré en Russie et s'est fait naturaliser Russe en 1825. Marié en 1821 à Anne-Julie Levé, il fut l'auteur de la branche russe de la famille Catoire. En 1868, la maison « Veuve Catoire et fils » à Moscou était une succursale de Tresca et cie de Lyon et s'occupait de soies, soieries, thés, indigos et cotons[29]. Il est mort à Moscou au cimetière des Allemands, le 30 mai 1832, et il y est enterré ; sa pierre tombale porte le nom de : Catoire de Bioncourt[2]. À la révolution russe, son petit-fils, Léon ou Lev Lvovitch Catoire (1864-1922), émigra en France, à Paris, où sa descendance est subsistante.
Arbre généalogique de la branche russe
- Jean-Baptiste-Marie-Auguste Catoire de Bioncourt (1789—1831) — émigré de France en 1821, citoyen russe en 1825, corps des marchands de la 1re guilde
marié avec Anna Ivanovna Levé (1789—1873) — 1re femme de Russie marchande de la 1re guilde, dont :- Charles Ivanovitch (1822—?) — président de 1870 à 1876 de la députation de Moscou créée par la Douma municipale en 1862, chargée de l'inspection générale du commerce et de l'industrie.
- Constantin Ivanovitch (1823—1879) — membre des comités de comptabilité et de prêt du bureau de Moscou de la Banque d'État (1873—1876)
- André ou Andreï Ivanovitch (1829—1887) — propriétaire foncier
- Alexandre Andreïvitch (1863—1913) — collectionneur
- Léon ou Lev Ivanovitch (1827—1899) — conseiller du commerce, membre de la Douma municipale (1877—1885)
- André ou Andreï Lvovitch (1865—1929) — président du tribunal de commerce de Moscou (1901—1908, 1912—1917)
- Ekaterina Andreïevna (1895/1896—1978) — peintre
OO Andreï Petrovitch Struve (1899—1976)- Nikita Struve (ru) (1931—2016) — éditeur et traducteur dont L'Archipel du Goulag d'Alexandre Soljenitsyne publié en 1973 à Paris.
- Ekaterina Andreïevna (1895/1896—1978) — peintre
- Georges ou Georgi Lvovitch Catoire (1861—1926) — compositeur, professeur au Conservatoire de Moscou
- Léon ou Lev Lvovitch (1864-1922) — membre de la Douma municipale (1901-1918), élu maire de Moscou (1917) mais non validé en raison de son origine française et de sa religion catholique, émigré en France en 1918
- Boris Lvovitch (1907—1978) — architecte
OO Marie Alexandrovna Rehbinder (1907—1999), arrière-arrière--arrière-petite-fille de Mikhaïl Koutouzov- Boris Borissevitch (1936—2011) — ingénieur des ponts et chaussées et diplomate
- Michel Borissevitch (1941) — directeur de banque
OO Monique Catherine COMI (1941)- Alexandre (1968) — chef d'entreprise
OO Sophie Jurgita IVASKEVICIUTE (1980) - Pierre (1969)
- Alexandre (1968) — chef d'entreprise
- Boris Lvovitch (1907—1978) — architecte
- André ou Andreï Lvovitch (1865—1929) — président du tribunal de commerce de Moscou (1901—1908, 1912—1917)
Personnalités
- Jean-Baptiste-Nicolas Catoire (1730-1781), seigneur de Bioncourt[30],[31],[32],[33],[34]
- Jean-Baptiste-Louis-César Catoire de Bioncourt (1757-1825), directeur de la saline de Moyenvic, administrateur général des salines de l'Est, sous l'Empire, ambassadeur de France en République helvétique[35],[36],[37],[38],[39],[40],[41],[42],[43]
- Jean-Baptiste Catoire-Moulainville (1762-1805), maire de Verdun, député de la Meuse[44]
- Georgui Catoire (1862-1926), compositeur[45],[46],[47],[48]
- Alexandre Catoire de Bioncourt (1863-1913), collectionneur d'armes, marié en 1888 avec Gilonne Henriette d'Harcourt[49],[50],[51],[52]
- Léon Catoire (Lev Lvovitch Catoire - Лев Львович Катуар) (1864-1922), membre du parlement russe (1901-1918), élu au poste de maire de Moscou (1913) non confirmé par le Conseil des ministres car catholique et d'origine française[53],[54],[55],[56],[57].
- Jean Catoire (1923-2005), compositeur[58]
- Boris Catoire (1907-1978), architecte[59]
- Boris Catoire (1936-2011), conseiller commercial, ingénieur en chef des ponts et chaussées[60]
- Alexandre Catoire de Bioncourt (1863-1913)
Alliances
Les principales alliances de la famille Catoire sont : Lambert, Foucault, Ballon (1719), Rouyer (1729), Morin (1734), Henry, de Bellavène, Mangin (1750, 1756), de Saint-Beaussant, La Jeunesse de Varennes, Morland, Gautrey, Joly de Sailly, Jacquet, Robert, Millety (1774), Vincent (1780), de Fuye (1788), Gilbert (1803), du Rieu de Pouilly (1814), Levé (1821, 1855), de Chartogne (1822), Depret (1843), Urbain (1852), Demoncy (1862), Violard (1867), Legris (1874), d'Harcourt (1888)[2].
Armes
- D'argent à un mont de six coupeaux de sinople accosté de deux lions de gueules ; au chef d'azur chargé d'un soleil d'or accosté de deux étoiles d'argent
- Supports : deux lévriers[2].
Références
- Revue illustrée : F.-G. Dumas, directeur, Ludovic Baschet, (lire en ligne)
- Chaix, p. 43.
- Magny, p. 4.
- Société philomathique (Verdun, Meuse), Mémoires de la Société philomathique de Verdun : Meuse, René Marchal, (lire en ligne), p. 231-232
- Robert de Roton, Les arrêts du grand conseil portant dispense du marc de noblesse, Patrice du Puy, (lire en ligne), p. 428-429
- Philomathique.
- Alain Maureau, Germaine Peyron-Montagnon, André Palluel-Guillard et Guy Chaussinand-Nogaret, Grands notables du Premier Empire : notices de biographie sociale, CNRS Éditions, (ISBN 978-2-222-03414-8, lire en ligne), p. 138.
- Adolphe Robert, Dictionnaire des parlementaires français (1789-1889), Edgar Bourloton, 1889-1891, 5 vol. (lire en ligne), p. 609.
- Régine Petitjean, Archives départementales de la Meuse : Répertoire numérique détaillé de la série N, Bar-le-Duc, , 97 p. (lire en ligne), p. 17.
- Maureau et al., p. 106 [lire en ligne (page consultée le 17 décembre 2017)].
- État-civil en ligne de la Meuse : Verdun, paroisse Saint-Sauveur, baptême le 25 juillet 1730
- Magny, p. 7.
- Abbé Poirier, Metz documents généalogiques, armée, noblesse, magistrature, haute bourgeoisie d'après les registres des paroisses, Lamulle et Poisson, libraires-éditeurs, (lire en ligne), p. 124
- L'esprit des journaux, francais et etrangers, Weissenbruch, (lire en ligne).
- Nicolas Luton Durival, Description de la Lorraine et du Barrois, Veuve Leclerc, (lire en ligne).
- Henri Lepage, Communes de la Meurthe, journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, A. Lepage, (lire en ligne).
- Francois Michel Le Creulx, Mémoire sur les avantages de la navigation des canaux et rivières qui traversent les départements de la Meurthe, des Vosges, de la Meuse et de la Moselle ... Par le citoyen Le Creulx, chez P. Barbier, rue Lepelletier, ci-devant Saint-Jean, n. 407, an III de la République française, (lire en ligne)
- Recueil complet des lois et ordonnances du royaume à partir du 1er avril 1814. Année 1819 : ... par M. Isambert,... 1814 (-1828), Delcros etc., 1820-1828 (lire en ligne).
- Louis Bergeron, Banquiers, négociants et manufacturiers parisiens du Directoire à l’Empire, Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales, , 436 p. (ISBN 978-2-7132-1285-7, lire en ligne).
- Bulletin des lois et décrets du Corps législatif de la République helvétique, 1798, page 351.
- Alphonse Rousset, Frédéric Moreau, Dictionnaire géographique, historique, et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent, classés par département : département du Jura, vol. 6, 1858, p. 580.
- Robert de Roton, Les arrêts du Grand Conseil portant dispense du marc d'or de noblesse, 1951, page 429.
- Emmanuel Michel, Biographie du Parlement de Metz, Nouvian, (lire en ligne).
- François Bluche et Pierre Durye, L'anoblissement par charges avant 1789, ICC, 1998, page 82.
- Fulcran de Roquefeuil, Anoblissement et révocation de la noblesse, page 55 et suivantes.
- Classification des charges conférant la noblesse (extrait du "Nouveau Nobiliaire de France" de L. d'Izarny, J.J. Lartigue, J. de Vaulchier) : 47° Les officiers des bureaux des finances et des Chambres de domaines nonmentionnés dans les paragraphes II et III : Usage confirmé par édit de 1771.
- « Le Saulnois sous le Premier Empire », sur lelivrelhistoireetlobusier.fr.
- Annuaire de la pairie et de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, La Revue historique de la noblesse, (lire en ligne).
- Jean Bouvier, Le crédit Lyonnais de 1863 à 1882, S.E.V.P.E.N., 1961, page 735.
- Société d'archéologie lorraine et Musée lorrain (Nancy), Le Pays lorrain : revue régionale bimensuelle illustrée : dir. Charles Sadoul, Berger-Levrault, (lire en ligne), p. 57.
- Lepage 1853, p. 415 [lire en ligne (page consultée le 4 novembre 2017)].
- Le Congrès national de géographie de 1880 à Nancy (Meurthe et Moselle), Impr. Berger-Levrault, (lire en ligne).
- Gazette du commerce, Knapen et Delaguette, (lire en ligne).
- Gazette de France, Imprimerie royale, (lire en ligne).
- Biographie historique et généalogique des hommes marquants de l'ancienne province de Lorraine ... : Par Michel, ..., Bontoux, (lire en ligne).
- Magny, p. 2.
- Auguste Vitu (1823-1891), La maison mortuaire de Molière : d'après des documents inédits, avec plans et dessins, A. Lemerre, (lire en ligne).
- France - Chambre des pairs, Procès-verbal des séances de la Chambre des pairs, Imprimerie de Crapelet, (lire en ligne).
- Société d'archéologie lorraine et Musée lorrain (Nancy), Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, Société d'archéologie lorraine, (lire en ligne), p. 233.
- François Barthélemy (1747-1830), Papiers de Barthélemy, ambassadeur de France en Suisse, 1792-1797. III : publiés sous les auspices de la Commission des archives diplomatiques, par M. Jean Kaulek, F. Alcan, 1886-1910 (lire en ligne), p. 412.
- Christian Pfister (1857-1933), Les élections à Nancy et dans le département de la Meurthe sous le Consulat et le Premier empire : 1799-1815, A. Crépin-Leblond, (lire en ligne), p. 72.
- Albert Troux (1895 - ? ), La Vie politique dans le département de la Meurthe d'août 1792 à octobre 1795, thèse pour le doctorat, présentée à la faculté des lettres de l'université de Paris : la Fin de la Législative et la Convention girondine, impr. de G. Thomas, (lire en ligne), p. 169.
- Troux, p. 151 [lire en ligne].
- Assemblée nationale, « Jean-Baptiste, Dominique Catoire-Moulainville - Base de données des députés français depuis 1789 », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- « Georgij Katuar (1861-1926) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le )
- Jean-Marie Thiébaud, Les français et les suisses francophones en Russie et en URSS du Moyen Âge à nos jours : dictionnaire historique, biographique, généalogique et héraldique, GeneaGuide, , 462 p. (ISBN 978-2-84489-095-5, lire en ligne).
- (en) Ellon DeGrief Carpenter, The Theory of Music in Russia and the Soviet Union, Ca. 1650-1950, University of Pennsylvania, (lire en ligne).
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- Groupe parlementaire français de l'arbitrage international, Notre visite au Parlement russe, C. Delagrave, (lire en ligne).
- Catoire, « Famille Catoire de Bioncourt - Boulonnais, Ponthieu, Lorraine et Russie », sur catoiredebioncourt.free.fr (consulté le ).
- « La Sonate à Kreutzer - Léon Nikolaievitch Tolstoï », sur mediathequebron.fr (consulté le ).
- (ru) « Катуары - «Энциклопедия» », sur knowledge.su, Большая российская энциклопедия (consulté le ).
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- Revue des architectes français : organe corporatif paraissant les premier et quinze de chaque mois, s.n., (lire en ligne), p. 202.
- « Biographie de Boris Catoire, conseiller commercial, ingénieur en chef des ponts et chaussées », sur whoswho.fr (consulté le ).
Bibliographie
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. IX : Cas-Cha, (lire en ligne), p. 42-43.
Articles connexes
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