Famille Lanjuinais
La famille Lanjuinais est une famille d'origine bretonne, titrée sous l'Empire, qui s'est notamment illustrée, depuis la Révolution française et tout au long du XIXe siècle, dans la vie politique bretonne et française.
Lanjuinais de Lanjuinais | ||
Armes de la famille. | ||
Blasonnement | Écartelé : au 1, du quartier des Comtes Sénateurs de l'Empire ; au 2, d'argent à la croix potencée de sinople ; au 3, d'argent à trois mains dextres appaumées de carnation 2, 1, les doigts tournés à dextre; au 4, d'azur au lion d'or tenant de la patte sénestre une balance d'argent et de la dextre un frein du même. L'écu environné d'une bordure de sable[1]. | |
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Devise | « Dieu et les lois[2] » | |
Période | XVIIIe-XXe siècle | |
Pays ou province d’origine | Province de Bretagne | |
Allégeance | Royaume de France Empire français Royaume de France Royaume de France République française France |
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Fiefs tenus | Les Planches | |
Demeures | Château de Kerguéhennec | |
Généralités
D'après M. Bacon-Tacon et quelques étymologistes, ce nom, évidemment celtique, serait formé des trois mois : « tan » ou « land », terre, pays ; « juin », jeune, et « ait, aide », appui. Il signifierait donc : « jeune appui du pays ».
Originaire de la paroisse de Pleumeleuc (province de Bretagne), la famille Lanjuinais appartenait à la petite bourgeoisie[3].
« Le nom de Lanjuinais, très anciennement connu en Bretagne, a été illustré de nos jours par un des hommes les plus éminents de la Révolution et de l'Empire, M. le comte Jean Denis de Lanjuinais, et n'est pas moins dignement porté aujourd'hui par ses deux fils, M. le comte Paul-Eugène de Lanjuinais, pair de France, et M. le vicomte Victor de Lanjuinais. membre de la Chambre des députés. L'Empereur Napoléon, en conférant à M. Lanjuinais père le titre héréditaire de comte, au mois de , voulut honorer en sa personne un des plus grands caractères, une des plus hautes intelligences contemporaines. »
— Ludovic de Magny, Livre d'or de la noblesse, , Lanjuinais
Les Lanjuinais sont inhumés au cimetière du Père-Lachaise, division 30 (« avenue des Peupliers »).
Généalogie
La famille Lanjuinais est issue de Michel Lanjuinais « des Planches », sénéchal du prieuré de Saint-Pierre-de-Bédée, procureur de Pleumeleuc.
- Le magistrat avait épousé Fiacrine Oresve. Ensemble, ils eurent:
- « Noble maître[3] » Joseph Anne Michel (1720-1785), sieur des Planches, avocat au parlement de Bretagne,
∞ en 1750 avec Hélène-Marguerite (1729-1800), fille de Pierre-Denys de Capdeville, écuyer, écrivain principal des vaisseaux du roi à Port-Louis. Ensemble, ils eurent quatorze enfants[3], dont :- Jean-Denis, 1er comte Lanjuinais (1753-1827), deuxième enfant, avocat, député aux États généraux de 1789 et à la Convention nationale, sénateur du Premier Empire et membre de la Chambre des pairs,
∞ le à Rennes, avec Julie Pauline Sainte (1769-1841), fille de Jean François Yves Deschamps de La Porte, maître particulier des eaux et forêts de Fougères, lieutenant au siège royal et maître des Eaux et forêts de Rennes et conseiller du roi, dont :- Paul Eugène, 2e comte Lanjuinais (1799-1872), homme politique français, membre de la Chambre des pairs à titre héréditaire
∞ (1°) le avec Hilaire Dorneau († 1829) ;
∞ (2°) avec Marie Louise Eugénie (1810-1861), fille d'Henri, comte de Janzé. De ses deux unions, il eut :- (1°) Marie Pauline Hilarine (1829-1887), mariée, le avec Alexandre Louis Joseph Law, 3e marquis de Lauriston (1821-1905), capitaine d'artillerie, dont postérité ;
- (2°) Jenny-Hermine (1832 † 1883), mariée avec Pierre Lefebvre de Vatimesnil (1827-1887), dont postérité ;
- (2°) Paul-Henri, 3e comte Lanjuinais (1834-1916), député du Morbihan (1881-1914) ;
∞ (1°) en 1864, Louise Pillet-Will (vers 1840-1870), fille du comte Michel Frédéric Pillet-Will (1781-1860) ;
∞ (2°) le avec Marie-Alexandrine (1849-1906), fille de Bruno (1828-1895), 4e marquis de Boisgelin (1866). De ses deux unions, il eut :- (1°) un fils,
- (1°) Marie Julie Louise (1865-1948), mariée, le à Paris Ier, avec Louis d'Harcourt-Olonde (1856-1946), chef d'escadron, dont postérité ;
- (2°) Marie Louise Isabelle Marguerite (1875-1918), mariée avec Arthur Emmanuel Espivent de La Villesboisnet (1872-1939), député du Morbihan, dont :
- (2°) Aimée Anne Marie Louise (1877-1963), mariée, vers 1900, avec Edouard M Charles Patrice Robert de Goulaine (né en 1873), dont postérité ;
- (2°) Marie Marguerite Elisabeth Alexandrine (1879-1971), mariée, le , avec Marc-Pierre de Voyer de Paulmy, comte d'Argenson (1877-1915), député de la Vienne, dont :
- Victor, dit le « vicomte » Lanjuinais (1802-1869), avocat, député de la Loire-Inférieure (1848), ministre de la IIe République ;
- Julie Pauline (1805-1884),
∞ le avec le général Auguste-Marie, 1er baron de Berthois (1787-1870), dont :
- Paul Eugène, 2e comte Lanjuinais (1799-1872), homme politique français, membre de la Chambre des pairs à titre héréditaire
- Joseph-Elisabeth (1755-1835), vicaire constitutionnel ;
- Jean-Denis, 1er comte Lanjuinais (1753-1827), deuxième enfant, avocat, député aux États généraux de 1789 et à la Convention nationale, sénateur du Premier Empire et membre de la Chambre des pairs,
- Joseph (1730-1808), bénédictin qui se retire en Suisse et adopte la religion réformée.
- « Noble maître[3] » Joseph Anne Michel (1720-1785), sieur des Planches, avocat au parlement de Bretagne,
16. Michel Lanjuinais | ||||||||||||||||
8. Joseph Anne Michel Lanjuinais, sieur des Planches (1720-1785) | ||||||||||||||||
17. Fiacrine Oresve | ||||||||||||||||
4. Jean-Denis, comte Lanjuinais (1753-1827) | ||||||||||||||||
18. Pierre-Denys de Capdeville | ||||||||||||||||
9. Hélène-Marguerite de Capdeville (1729-1800) | ||||||||||||||||
2. Paul-Eugène, comte Lanjuinais (1799-1872) | ||||||||||||||||
10. Jean François Yves Deschamps de La Porte | ||||||||||||||||
5. Julie Pauline Sainte des Champs de La Porte (1769-1841) | ||||||||||||||||
11. Sainte Jeanne Gardin | ||||||||||||||||
1. Paul-Henri, 3e comte Lanjuinais (1834-1916) | ||||||||||||||||
24. Julien Robert Janzé | ||||||||||||||||
12. Louis Henri, comte de Janzé (1752-1840) | ||||||||||||||||
25. Marie Thérèse Coutillon | ||||||||||||||||
6. Henri, comte de Janzé (1784-1869) | ||||||||||||||||
13. Marie François Agathe Chaniès († 1854) | ||||||||||||||||
3. Eugénie de Janzé (1810-1861) | ||||||||||||||||
28. Jean François Michel Bigot († 1772), seigneur de Préameneu | ||||||||||||||||
14. Félix Bigot, comte de Préameneu (1747-1825) | ||||||||||||||||
29. Jeanne Julienne Rondel († 1772) | ||||||||||||||||
7. Eugénie Bigot de Préameneu (1787-1817) | ||||||||||||||||
30. Aimé François Barbier (1708-1778) | ||||||||||||||||
15. Eulalie Marie Renée Barbier († 1836) | ||||||||||||||||
31. Jeanne Dufour | ||||||||||||||||
Familles alliées
Les Lanjuinais se sont unies à d'illustres familles de la province de Bretagne et du royaume de France :
- Les familles de Janzé, de Goulaine, Espivent de la Villesboisnet, de Boisgelin, Berthois de La Rousselière, Pillet-Will , Voyer de Paulmy d'Argenson, Law de Lauriston, d'Harcourt-Olonde, etc.
Titres
«
Napoléon, par la grace de dieu,
Empereur des Français, roi d'Italie,
Protecteur de la Confédération du Rhin,
À tous présents et à venir, salut !
Par l'article quatre de notre premier statut du premier mars mil-huit-cent-huit, Nous avons déterminé que Nos Ministres, les Sénateurs, Nos Conseillers d'État à vie, les Présidents du Corps Législatif, les Archevêques, porteraient le titre de Comte, et qu'il leur serait à cet effet délivré des Lettres-patentes scellées de Notre grand Sceau.
Notre cher et amé le Sieur Lanjuinais, désirant jouir de cet honneur, s'est retiré par devant Notre Cousin le Prince Archi-Chancelier de l'Empire, afin d'obtenir de notre Grâce les susdites Lettres-patentes qui lui sont nécessaires pour jouir de son Titre ; et attendu que notre cher et amé le Sieur Jean-Denis Lanjuinais, l'un des commandants de la Légion d'Honneur, né à Rennes, département d'Ille-et-Vilaine, est au cas mentionné dans l'article quatre de Notre Statut ci-dessus, Nous lui avons, par ces présentes signées de Notre main, conféré et conférons le titre de Comte de Notre Empire.
Le dit titre de Comte de Notre Empire sera transmissible à la descendance directe, légitime, naturelle ou adoptive, de mâle en mâle par ordre de primogéniture, de Notre cher et amé le dit Sieur Lanjuinais, après qu'il se sera conformé aux dispositions contenues en l'article six de notre premier Statut du premier mars mil-huit-cent-huit.
Permettons à notre cher et amé le dit Sieur Lanjuinais de se dire et qualifier Comte de Notre Empire dans tous Actes et Contrats, tant en Jugement que dehors ; Voulons qu'il soit reconnu partout en la dite qualité, qu'il jouisse des honneurs attachés à ce Titre, après qu'il aura prêté le Serment prescrit par l'article trente-sept du second Statut du premier mars mil-huit-cent-huit, devant celui ou ceux qui seront par nous délégués à cet effet ; qu'il puisse porter en tout lieu les Armoiries telles qu'elles sont figurées aux présentes : Écartelé au premier, de Comte sénateur ; au deuxième, d'argent, à la croix de sinople polencée ; au troisième, d'argent, aux trois mains dextres appaumées de carnation ; au quatrième, d'azur, au lion d'or rampant, tenant par la griffe sénestre une balance d'argent, et dans la dextre un frein d'argent ; bordure de sable. Et pour livrée : Jaune, blanc, bleu, noir et verd, dans les galons seulement.
Chargeons Notre Cousin le Prince Archi-Chancelier de l'Empire de donner communication des présentes au Sénat, et de les faire transcrire sur ses registres ; Enjoignons à Notre Grand-Juge Ministre de la Justice d'en surveiller l'insertion aux Bulletins des Lois ; Mandons à nos Procureurs-Généraux près Nos Cours d'Appel, et à nos Procureurs-Impériaux, de faire publier et enregistrer les présentes à la Cour d'Appel et au Tribunal du domicile de Notre cher et amé le Sieur Lanjuinais, et partout où besoin sera.
Car tel est Notre bon plaisir ; et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, Notre Cousin le Prince Archi-Chancelier de l'Empire y a fait apposer par Nos ordres Notre grand Sceau en présence du Conseil du Sceau des Titres. »
— Donné à Bayonne, le ... du mois de mai de l'An de Grâce mil-huit-cent-huit.
et de Notre règne, le ...
Signé : NAPOLÉON.
Scellé le vingt-trois mai mil-huit-cent-huit.
L'Archi-Chancelier de l'Empire:
Cambacérès.
- Au dos est écrit
- Transcrit sur les Registres du Sénat, le vingt-quatre mai mil-huit-cent-huit.
Le Chancelier du Sénat,
Laplace.
- Pair de France[4] :
- Pair « à vie » () ;
- Comte-pair héréditaire (, lettres patentes du , sans majorat).
«
Louis, par la grace de dieu,
Roi de France et de Navarre,
À tous présents et à venir, salut !
Par l'article de la Charte constitutionnelle, Nous nous sommes réservé la nomination des Pairs de France, et nous avons élevé, par Notre ordonnance du quatre juin mil-huit cent-quatorze, à la dignité de Pair de France, Notre très-cher amé et féal Jean-Denis, comte Lanjuinais, Commandeur de Notre Ordre Royal de la Légion-d'Honneur, Membre de l'Académie Royale des Inscriptions et des Belles-Lettres, né à Rennes, département d'Ille—et—Vilaine, le douze mars mil sept cent cinquante-trois ; En conséquence, et en vertu de cette Ordonnance, Notre dit très-cher amé et féal le comte Lanjuinais s'étant retiré par-devant Notre Garde des Sceaux, Ministre Secrétaire d'Etat au Département de la Justice, afin d'obtenir de Notre grâce les Lettres-patentes qui lui sont nécessaires pour jouir de l'institution de son titre de Pairie, Nous avons, par ces présentes, signées de Notre main, déclaré que la Pairie de Notre très-cher amé et féal le comte Lanjuinais est et demeure instituée sous le titre héréditaire de Comte, que Nous lui avons conféré et conférons, pour en jouir par lui et ses descendants directs, naturels et légitimes, de mâle en mâle, par ordre de primogéniture, ou par la ligne collatérale qu'il Nous plaira y appeler; Ordonnons que Notre dit très-cher amé et féal le comte Lanjuinais prendra rang à la Chambre des Pairs parmi les Comtes ; lui permettons de se dire et qualifier Comte et Pair dans tous actes et contrats, tant en jugement que dehors ; Voulons qu'il soit reconnu partout en la dite qualité, qu'il jouisse des honneurs attachés à ce Titre, et que tous les Officiers publics le qualifient, en outre, en tous actes et contrats le concernant, et dans lesquels il interviendra, de Très-Noble et Très-Illustre Pair de France. Concédons à lui et à ses successeurs le droit de placer ses armoiries telles qu'elles se comportent, savoir : Écartelé : au premier, d'azur plein ; au deuxième, d'argent à la croix alaisée de sinople; au troisième, d'argent aux trois mains dextres de carnation, posées deux et une, les doigts à dextre ; au quatrième, d'azur, au lion d'or, tenant de la séneslre une balance d'argent et de la dextre un frein du même. Sur un manteau d'azur, doublé d'hermines, et de les timbrer d'une couronne de Pair ou bonnet d'azur cerclé d'hermines, et surmonté d'une houpe d'or.
Chargeons Notre Garde des Sceaux, Ministre Secrétaire d'Etat au Département de la Justice, ou pour lui, Notre Commissaire au Sceau de France, de donner communication des présentes à la Chambre des Pairs, et d'en surveiller l'insertion au Bulletin des Lois.
Mandons à Nos Procureurs-Généraux près Nos Cours Royales, et à tous autres Nos Procureurs près les Tribunaux de première instance sur les lieux, de faire enregister et
publier les présentes en l'audience de la Cour Royale et du Tribunal du domicile de Notre dit très-cher amé et féal le Comte Lanjuinais, et partout où besoin sera. Car tel est notre bon plaisir. Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, Notre Garde des Sceaux y a fait apposer Notre Sceau, en présence de Notre Commission du Sceau, et Nous y avons apposé Notre Seing royal. »
— Donné à Paris, le treizième jour de mars de l'An de Grâce mil huit cent dix-neuf, et de Notre règne le vingt-quatrième.
Signé : Louis.
Par le Roi :
Le Garde des Sceaux,
Ministre Secrétaire d'Etat au Département de la Justice :
De Serre.
Vu au Sceau :
Le Garde des Sceaux,
Ministre Secrétaire d'Etat au Département de la Justice:
De Serre.
Visa :
Le Président du Conseil des Ministres, Ministre Secrétaire d'Etat au Département des Affaires Étrangères :
Le Marquis Dessolle.
- Au dos est écrit
- Enregistré à la Commission du Sceau, Registre P 2, fol. 160.
Le Secrétaire-Général du Sceau,
Cuvillier .
Armoiries
Figure | Blasonnement |
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Armes du comte Lanjuinais et de l'Empire
Écartelé ; au premier de comte-sénateur ; au deuxième d'argent à la croix de sinople potencée ; au troisième d'argent aux trois mains dextres appaumées de carnation ; au quatrième d'azur au lion d'or rampant tenant par la griffe sénestre une balance d'argent et dans la dextre un frein d'argent bordure de sable.[5] |
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Armes de Jean-Denis, comte Lanjuinais, pair de France
Écartelé : au 1er d'azur plein, au 2e d'argent à la croix alaisée de sinople; au 3e d'argent à trois mains dextres de carnation, 2, 1, les doigts à dextre; au 4e d'azur au lion d'or tenant de la patte senestre une balance d'argent, et de la dextre un frein du même.[4] |
Armes de la famille Lanjuinais
Écartelé : au 1, du quartier des Comtes Sénateurs de l'Empire ; au 2, d'argent à la croix potencée de sinople ; au 3, d'argent à trois mains dextres appaumées de carnation 2, 1, les doigts tournés à dextre; au 4, d'azur au lion d'or tenant de la patte sénestre une balance d'argent et de la dextre un frein du même. L'écu environné d'une bordure de sable.[1] |
Personnalités
Les ecclésiastiques
- Joseph Lanjuinais (1730-1808), bénédictin qui se retire en Suisse et adopte la religion réformée ; principal du collège de Moudon (1765) ; auteur de : Le Monarque accompli, un éloge de Joseph II (Lausanne, 1774, 3 vols).
- Joseph-Elisabeth Lanjuinais (1755-1835), vicaire constitutionnel
Les politiques
- Jean-Denis Lanjuinais (1753-1827), juriste et homme politique français, qui fut successivement député aux États généraux de 1789 et à la Convention nationale, sénateur du Premier Empire et membre de la Chambre des pairs . Une rue porte son nom à Rennes (http://www.wiki-rennes.fr/Rue_Jean-Denis_Lanjuinais) ;
- Victor Lanjuinais (1802-1869), fils cadet du précédent, avocat, député de la Loire-Inférieure (1848), ministre de la IIe République ;
- Paul Eugène Lanjuinais (1799-1872), frère aîné du précédent, homme politique français, membre de la Chambre des pairs à titre héréditaire ;
- Paul-Henri de Lanjuinais (1834-1916), fils du précédent, homme politique français, député de la 1re circonscription du Morbihan (Pontivy) à la Chambre des députés (Troisième République).
Galerie de portraits
- Jean-Denis, 1er comte Lanjuinais (1753-1827)
- Victor-Ambroise, « vicomte » Lanjuinais (1802-1869)
- Paul-Henri, 3e comte Lanjuinais (1834-1916)
Châteaux, seigneuries, terres
Notes et références
- Le Marquis de Magny, Livre d'or de la noblesse, (lire en ligne), Lanjuinais
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887
- « Lanjuinais (Jean-Denis, comte) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore]
- François Velde, « Armory of the French Hereditary Peerage (1814-30) », Lay Peers, sur www.heraldica.org, (consulté le )
- « BB/29/974 page 98. », Titre de comte accordé à Jean, Denys Lanjuinais. Bayonne ()., sur chan.archivesnationales.culture.gouv.fr, Centre historique des Archives nationales (France) (consulté le )
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- « Lanjuinais », sur roglo.eu (consulté le ) ;
- « Lanjuinais », sur gw4.geneanet.org (consulté le ) ;
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Le Marquis de Magny, Livre d'or de la noblesse, (lire en ligne), Lanjuinais
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