Famille Vandive
La famille Vandive (ou Van Dievoet dit Vandive) est une famille parisienne originaire de Bruxelles. Elle descend de l'orfèvre Philippe Van Dievoet, baptisé en la collégiale de Sainte-Gudule le , frère du célèbre sculpteur bruxellois Pierre Van Dievoet.
Famille Vandive | |
Armes | |
Blasonnement | Parti d'argent et de sable, à la tour ouverte du champ, crénelée de quatre pièces de l'un en l'autre, chargée en cœur d'un écusson parti d’or et de gueules, à la plante d'un pied dextre humain, aussi de l'un en l'autre, la tour étant accompagnée en chef de deux étoiles à six rais, à dextre de gueules, à sénestre d'or et en pointe d'un croissant de l'un en l'autre |
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Lignées | Famille Van Dievoet |
Période | XVIIe siècle - XIXe siècle |
Pays ou province d’origine | Duché de Brabant |
Allégeance | Royaume de France |
Charges | officier de la Garde-Robe du roi, consul de Paris, greffier de l'Audience au Grand Conseil, conseiller-notaire-secrétaire du roi Maison et Couronne de France, avocat. |
Preuves de noblesse | |
Autres | 1680: noblesse personnelle avec le titre d'écuyer pour Philippe van Dievoet[1]. 1743 et 1771: noblesse héréditaire pour Nicolas Félix Vandive [2],[3]. |
Selon une ancienne tradition de famille reprise dans une généalogie manuscrite[4], le nom de Philippe Van Dievoet a été changé en Vandive[5] par le Dauphin[6] dont il avait été le joaillier[7].
Cette branche ainée de la famille Van Dievoet s'est éteinte en 1802 en la personne de François Gilles Vandive, rentier, demeurant rue des Lavandières n°82 à Paris[8].
Descendance de Philippe Van Dievoet dit Vandive
I. Gilles van Dievoet[9], bourgeois de Bruxelles, épousa en premières noces Catherine Slachmeulder, et en secondes noces Gertrude Zeevaert. Il eut de sa première épouse Catherine Slachmeulder, notamment Philippe Van Dievoet, auteur de la branche aînée parisienne dite Vandive :
II. Sire[10] Philippe van Dievoet, né à Bruxelles, baptisé à Sainte-Gudule le (ss. Philippe Slachmeulder et Catherine Verhasselt) et mort à Paris le [11] où ses funérailles eurent lieu le lendemain dimanche à six heures du soir, en l’église Royale de Saint Barthélemy dans laquelle il fut inhumé[12], bourgeois de Paris, marchand orfèvre[13] et joaillier, Conseiller du Roi Louis XIV[14], Officier de la Garde-Robe du roi, syndic général des rentes de l’Hôtel de Ville de Paris, consul de Paris, grand garde du Corps des Orfèvres de Paris, administrateur[15] de 1733 à 1738 au Grand Bureau des Pauvres de l’Hôpital dit des Petites Maisons. Il épousa en premières noces Anne Martinot, baptisée le 22 décembre 1663 en l'église Saint-Germain l'Auxerrois[16] et décédée en 1707, fille du fameux horloger Balthazar Martinot (1636-1716), écuyer, valet de chambre-horloger ordinaire de la reine Anne d’Autriche puis horloger ordinaire du roi, et d’Anne Belon. Philippe van Dievoet fait baptiser onze enfants à Saint-Barthélemy. Parmi les parrains, les horlogers Martinot, Jean-Baptiste Jouvenet, peintre ordinaire du roi, et son frère le sculpteur Pierre Vandivout (sic). Lors de la mort d’Anne Martinot, il avait cinq enfants tous mineurs. Il donna à chacun de ses enfants en les mariant la somme de vingt mille livres.
Il épousa en secondes noces, en 1717, après dix ans de viduité, Marie-Catherine Lopinot, veuve en premières noces du Sieur François Garnier, décédée quai des Orfèvres le , et sœur de Gabriel Lopinot fermier général du duché deThouars[17].
Philippe Van Dievoet habita à Paris successivement rue de Harlay à l’enseigne des Balances (cité de 1680 à 1693), puis quai des Orfèvres « aux Balances d’Or » (cité en 1697 et en 1702). À sa mort, le , il habitait toujours quai des Orfèvres « aux Balances », paroisse Saint-Barthélemy. Le , selon un faire-part, M. Vandives, ancien consul, fut enterré à Saint-Barthélemy. Il a fondé à Paris une messe journalière. Le nom de Philippe Van Dievoet fut changé en VANDIVE[5] par le Dauphin[6].
Philippe van Dievoet eut de sa première épouse Anne Martinot décédée en 1707 onze enfants, tous baptisés en l'église Royale de Saint Barthélemy, dont cinq étaient encore en vie et tous mineurs, lors du décès de leur mère, qui suivent :
- 1) Catherine Vandivout dit Vandive, née vers 1677 et morte en septembre 1685, paroisse Saint-Barthélemy[18].
- 2) Guillaume Vandivout dit Vandive, fils aîné, né le 22 novembre 1680 à Paris[19] et décédé en 1706 après onze mois de mariage, imprimeur libraire de Monseigneur le Dauphin, reçu maître en par ordre du Dauphin, après avoir été en apprentissage d’ à chez Jean Ier Boudot. Il épousa à Paris en 1705, Éléonore Le Prieur. Il était installé rue Saint-Jacques à l’enseigne «Au Dauphin couronné ». Guillaume Vandive et Eléonore Le Prieur eurent :
- 3) Balthazar Philippe Vandivout dit Vandive, orfèvre, né le 10 août 1683, suit sous III.
- 4) Henry Vandivout dit Vandive, né le 6 septembre 1684 à Paris[22].
- 5) Marie Catherine Vandivout dit Vandive, née le 23 novembre 1685 à Paris[23] décédée en sa maison rue Saint-Jacques en 1719, funérailles [24] le lundi en l’église Saint-Sévérin[25], épousa par contrat[26] du , Jacques Henry Pralard[27], imprimeur libraire[28] décédé le , troisième fils et successeur du libraire André Pralard. Reçu maître le 7 nov. 1713. Il vend son fonds à Jean-Joseph Barbou en janvier 1743. Encore en activité en 1748, il se serait retiré peu avant sa mort () (Devise : Inimicos Virtute superabis).
- 7) François Vandivout dit Vandive, né le 7 mai 1688 à Paris[31].
- 8) Jean-Baptiste Vandivout dit Vandive, né le 6 avril 1689 à Paris[32].
- 9) Marie-Anne Vandivout dit Vandive, née le 18 septembre 1691 à Paris[33] épouse par contrat[34] du , Jean-François André, marchand drapier, bourgeois de Paris, consul de Paris en 1732, juge en 1740, demeurant, rue des Bourdonnais devant la rue des Mauvaises-Paroles, paroisse Saint-Germain l'Auxerrois. Ils eurent huit enfants, Jean-Philippe André, Marie-Anne-Catherine André, épouse de Sr. Gilbert Bourguignon[35],[36], marchand épicier en gros, demeurant rue de la Monnoye, Jeanne-Claire André, Marie-Madeleine André, épouse de Sire Pierre Millot[37], marchand épicier, consul de Paris, Marie-Jeanne André, épouse de Sr. Jean-Baptiste Tarte, marchand drapier à Paris, Edmée-Josèphe André, Jean-François-Guillaume André et Élisabeth André[38].
- 10) Nicolas Félix Vandivout[39] dit Vandive[40], né le 3 janvier 1693 à Paris[41], marchand orfèvre joaillier, bourgeois de Paris, il fut garde (doyen) du Corps des Orfèvres, en 1727, 1728, 1729, en 1756 il remet son poinçon, meurt[42] en 1764. Il avait épousé en premières noces par contrat[43] du , Dlle. Aymée Jeanne Peyrard, décédée[44] en 1723. Il épousa en secondes noces à Paris (contrat[45] du ) Françoise Marguerite Lepape[46] qui testa le , et mourut en 1781, rue Saint-Jean de Beauvais, et fut enterrée[47] le 1er juillet 1781, fille de Jean-Baptiste Le Pape[48], marchand joaillier, bourgeois de Paris, et de Catherine Gonnet[49],[50], demeurants rue de la Vieille Joyallerie, fille de feu Charles Gonnet, marchand bourgeois de Paris, et de Claude Flament. Nicolas Félix Vandive, marchand orfèvre joaillier à Paris, demeurait en 1750, rue du Marché Pallu, paroisse Saint-Germain-le-Vieil[51]. Il eut de sa première épouse :
- a) Jean-Baptiste Van Dive, décédé le à Marly-le-Roi, y inhumé le 30 dans le cimetière de l'église Saint-Vigor, âgé d'un mois et huit jours[52].
- b) Aymée Magdeleine Vandive
- 11) Madeleine Vandivout dit Vandive, décédée en décembre 1719[53], épouse par contrat[54] du Christophe II David, né en 1682 et mort le 25 novembre 1741, imprimeur-libraire[55] rue Saint-Jacques, puis rue de la Harpe à l’enseigne « Au Nom de Jésus ». Reçu libraire en 1713 et imprimeur en , fils de Michel David (vers 1656-1719), imprimeur-libraire quai des Augustins, à l’enseigne « À la Providence » ; petit-fils de Denis David. La famille David, était une importante famille d'imprimeurs parisiens du Grand Siècle, dont le nom reste attaché à la publication de l'Encyclopédie de Diderot et de D'Alembert.
III. Sire[56] Balthazar Philippe Vandive, grand garde du Corps des Orfèvres en 1736, 1737, consul de Paris en 1739, né le 10 août 1683 à Paris[57], décédé rue des Lavandières, enterré le , funérailles à Saint-Germain-l'Auxerrois[58], épousa à Paris le , Françoise-Edmée de La Haye, née en 1682 et décédée en , fille de Pierre de la Haye, marchand orfèvre joaillier et graveur de sa majesté et de Marie Madeleine Masse, petite fille de François de La Haye, orfèvre et de Catherine Desécouttes, arrière-petite-fille de Louis de La Haye, orfèvre de la Maison du roi et de Marguerite Boucher, ce dernier étant fils de Jean de La Haye, seigneur d'Icy.
Balthazar Philippe Vandive habita de 1705 à 1748, au n°50 actuel du quai des Orfèvres, à la « Garde Royale », avant de s'installer à la fin de sa vie, en 1748, rue des Lavandières auprès de son fils Nicolas Félix Vandive, Greffier de l'audience du Conseil du Roi, où il mourut en et fut enterré le . Les Affiches de Paris, nous apprennent que le , eut lieu l’enterrement de Balthazar-Philippe Vandives, ancien consul, décédé rue des Lavandières. Le les gardes le déclarent décédé. Dont :
- 1) Nicolas Félix Vandive, écuyer, conseiller-secrétaire du roi Maison et Couronne de France, qui suit sous IV.
- 2) François-Gilles Vandive, bourgeois de Paris, négociant, marchand-joaillier, marchand mercier, quai des Morfondus[59] décédé, rentier, rue des Lavandières n°82, le 1er Thermidor an X () [60], il avait épousé le 13 février 1746 à Paris[61], Marie-Anne Bougier[62],[63], fille de Claude Bougier, né en 1683 et décédé le , bourgeois de Paris, marchand mercier, contrôleur du Grenier à sel, et de Marie Anne Gamard.
IV. Nicolas Félix Vandive, écuyer, greffier au Grand Conseil, greffier de l'audience du Conseil du Roi[66], avocat au Parlement de Paris (cité en 1761), conseiller-secrétaire du roi Maison et Couronne de France[67].
Ce fut ledit Nicolas Félix Vandive qui lors de la dernière maladie du roi Louis XV fut envoyé le dimanche par le Parlement de Paris pour aller s'enquérir de la santé du roi[68].
Nicolas-félix Vandive fut nommé dès le , greffier de l'Audience au Grand Conseil, ce qui lui conféra la noblesse dès 1743 et la noblesse héréditaire en 1763 après une ancienneté de vingt ans[69].
Nicolas Félix Vandive exerça également une autre charge anoblissante[70] de conseiller notaire secrétaire Maison et Couronne de France près la Cour de Parlement[71].
Il avait acquis cette charge de conseiller notaire secrétaire Maison et Couronne de France en 1774 d’Étienne Timoléon Isabeau de Montval qui sera guillotiné [72] à Paris l'an II.
Anoblissements
Deux de ses membres bénéficièrent d'anoblissements personnels ou héréditaires, par fonction ou par charge.
- 1680 : noblesse personnelle avec le titre d'écuyer pour l'orfèvre Philippe van Dievoet, conseiller du roi[73],[74], en tant qu'officier de la Garde-Robe du Roi[75] de 1680 jusqu'en 1711.
- 1743 : noblesse héréditaire pour Nicolas Félix van Dievoet dit Vandive, greffier de l'Audience au Grand Conseil, entré en charge le , ce qui lui conféra la noblesse héréditaire dès 1763 après une ancienneté de vingt ans (principe de noblesse en 1743)[76]: "Le Roi a accordé la Noblesse pour toujours à l'ancien de ces deux Greffiers mourant dans sa charge, ou qui l'aura exercée durant vingt ans"[77].
- 1771 : Ce même Nicolas Félix van Dievoet dit Vandive exerça également la charge anoblissante de conseiller-notaire-secrétaire du roi Maison et Couronne de France près la Cour de Parlement. (Lettres de Commission du mois d’ et lettres de provision du ). Les conseillers-notaires-secrétaires du Parlement de Paris exerçaient une charge anoblissante au premier degré, et ce depuis leur création ; en vertu d'un ancien usage confirmé par édit de juillet 1644. Ce privilège leur fut retiré en juillet 1669 et ils furent remis à la noblesse graduelle. Mais la noblesse au premier degré leur fut rendue en novembre 1690).
Notes
- En tant qu'officier de la Garde-Robe du Roi de 1680 jusqu'en 1711.
- Greffier de l'Audience au Grand Conseil, entré en charge le 26 avril 1743, ce qui lui conféra la noblesse héréditaire dès 1763 après une ancienneté de vingt ans (principe de noblesse en 1743): "Le Roi a accordé la Noblesse pour toujours à l'ancien de ces deux Greffiers mourant dans sa charge, ou qui l'aura exercée durant vingt ans".
- Nicolas Félix Vandive exerça également la charge anoblissante de conseiller-notaire-secrétaire du roi Maison et Couronne de France près la Cour de Parlement. (Lettres de Commission du mois d’avril 1771 et lettres de provision du 9 mars 1774).
- Ces données ont été reprises par Édouard Van Dievoet dans sa question : « Van Dive, joaillier du Dauphin », dans : L’Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, Paris, mars 1953, col. 100.
- Sa descendance deviendra une famille notoire de Paris : Alfred Détrez, « Aristocrates et joailliers sous l'ancien régime », dans La Revue (ancienne Revue des Revues), volume 78, Paris, 1908, p. 471: « aux grandes fortunes des Delahoquette, des Vandive, des Granchez ».
- Concernant Philippe van Dievoet dit Vandive, voir les actes du notaire Pilloy, A.G.R.-N.G.B. n° 1242, 2, du 20 août 1714 (n° 132), n° 1247 (113) acte du 14 juin 1719, n° 1247 (202), du 10 novembre 1719, n° 1249/2, (269) du 31 décembre 1721, n° 1255/2, (114) du 10 décembre 1727. Concernant le sculpteur Pierre van Dievoet, époux de Dorothée de Witte: A.G.R.-N.G.B., notaire Pilloy, n° 1240/2, 21 avril 1712, ibidem (acte 42), n° 1242, du 3 mars 1714 «remboursement du principal de la rente qui lui appartient constituée à son profit sur les aÿdes et gabelles» (à Paris), et acte du 21 novembre 1722, actes n° 208 et n° 124 du 16 juillet 1722 et du 13 mai 1723. Philippe Van Dievoet (Philippe Van Divout) fut naturalisé français par lettres de naturalité signées Louis et Colbert et scellées (Archives Nationales, Paris Zif 608, f. 46.47 verso-recto). Voir aussi Henry Nocq, Le poinçon de Paris, passim, et par Alain van Dievoet, « Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles », dans Cahiers bruxellois, tome XXXVII, 1999-2003, Bruxelles, 2004, p.19 et 66.
- Le nom aurait été changé par Louis XIV selon F. By dans son article : « Famille van Dievoet : Artistes, de père en fils », dans Le Vif/L'Express numéro spécial Bruxelles : la saga des grandes familles, 26° année n°47 (Le Vif) et n°2993 (L'Express), 21-27 novembre 2008, p. 121.
- François Gilles Vandive, rentier, rue des Lavandières n°82, décédera le 1er Thermidor an X (20 juillet 1802). A. N. Administration Fiscale, registre 29, 1er et 2e arrondissement. Voir aussi : Archives Nationales, notaire Claude Nicolas BALLET (étude LXV), MC/RE/LXV/10 : Inventaire après décès de François-Gilles Vandive, à la requête de Jean-François-Claude Beau, acte du 29 fructidor an X (16 septembre 1802).
- Archives Générales du Royaume,Notariat général du Brabant, notaire Michel Parys, acte du 15 décembre 1731, n° I5, protocole n° 476. « -15 Procure pour rendre une rente cap. I5 Xbre 1731 Ce jourdhuy 15me de décembre 1731 comparurent pardevant moy Michel Parys, comme notaire, et tabellion publicq admis par le Souverain Conseil de Sa Maté, Imp. et Cath. ordonné en Brabant, resident dans la ville de Bruxelles, et en presence des tesmoins embas ci denommés, personellement les Srs. Nicolas, et Jean Baptiste van Dievoet freres, habitans bourgeois et marchands en cette ditte ville, seuls et uniques heritiers du Sr. Pierre van Dievoet aussy leur frere en son vivant marchand &a + tous trois enfans du second lit de feu Sr Gille van Dievoet et de Damoiselle Gertrude Zeevaert lesquels ont fait, et constitué leur procureur general et special ---------------------------------------------auquel ils donnent pouvoir de pour eux et en leurs noms donner acquit et decharge a Monsieur Philippe van Dievoet marchand orfevre joaillier a Paris pareillement leur frere du premier lit de tous les arrerages qu'il peut avoir receu de tout le passé iusques a ce jour, de cinquante six livres de rente qui appartenoient sur l’hostel de ville a Paris audit Sr.Pierre van Dievoet, comme aussy de luy donner pleine, et entiere decharge de la remise de la grosse dudit contract de constitution et de tous autres effets que ledit Sr. PHILIPPE VAN DIEVOET pouroit avoir, appartenant audit Sr. Pierre van Dievoet, et de vendre, ceder quitter, et transporter avec toutte garantie a telle personne moyennant tel prix, charges, clauses, et conditions que ledit procureur advisera bon estre lesditts cinquante livres de rente, et du receu dudit prix en donner touttes quittances, et decharges vallables, remettre la grosse dudit contract de constitution et generalement y faire comme si les comparants y seroient presents pourroient faire et agir, promettant, obligeants et renonceants en forme, ainsy fait et passé dans la ville de Brux. le jour, mois, et an predit, en presence des Pierre Ceustermans, et Michel Hannoset comme tesmoins a ce appelez. Petrus Ceustermans N:van Dievoet 1731 Michel Hannosset JBta:vandievoet quod attestor M:Parys ».
- Guillaume Denière, La juridiction consulaire de Paris, 1563-1792 : sa création, ses luttes, son administration intérieure, ses usages et ses mœurs, Paris : H. Plon, 1872, p. 448 : « 1721. Quatrième consul. Sire Philippe Vandive, marchand du corps de l'orfèvrerie-joaillerie ».
- Archives Nationales, RE/XCVII/3. Notaire : de LAN Jean-Louis. Inventaire après décès de Philippe Vandive, 10 février 1738.
- Faire part du décès de Philippe Van Dievoet dit Vandive :
Vous estes priez d’assister au Convoy & Enterrement de Monsieur VANDIVE ; le Pere, Ancien Consul,
Ancien Grand Garde de l’Orfévrerie-Joyalerie, Doyen des Marguilliers, Ancien Commissaire des
Pauvres : Administrateur de l’Hospital des Petites-Maisons, & Bourgeois de Paris, decede en sa
maison Quay des Orfevres : Qui se fera Dimanche deuxiéme . à six heures du soir, en
l’Eglise Royale de Saint Barthelemy, sa Paroisse, où il sera inhumé.
Et aux Messes qui se diront le lendemain Lundy troisiéme dudit mois, depuis sept heures jusqu’à
midy, en ladite Eglise. Messieurs & Dames s’y trouveront, s’il leur plaist.
Requiescat in pace.
De la part de Messieurs ses Fils ; de Monsieur André, son gendre ; & de Messieurs Beau, le jeune,
Bourguignon & Millot, ses Petits-Gendres. Archives Nationales, cotes : MC/PL//37, 5516 : placard de décès de Philippe Vandive. - Dangeau en son journal le qualifie de « fameux orfèvre » : Journal du marquis de Dangeau, publié par Soulié, Dussieux, Chennevières, Mantz, Montaiglon, Paris, Firmin-Didot, 1854-1860, vol. VII, 1699-1700, jeudi 12 mars 1699, p. 44.
- « Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles », dans : Cahiers bruxellois, tome XXXVII, 1999-2003, Bruxelles, 2004, p. 41 : « Archives générales du Royaume, Notariat général de Brabant, notaire Jean Pilloy, protocole n° 1242, acte du 20 août 1714 (n° 132) : « Ce jourdhuy vingtième d'août 1714 par devant moy Jean Pilloy notaire royal resident a Bruxelles, et les témoins sousnommez, fut present Sr. Philippe Vandive Conseiller du Roy sindic general des Rentes de l'hotel de ville de Paris demeurant ordinairement en ladite ville de Paris estant de present en cette ville de Bruxelles ».
- Almanach Royal, 1736, p. 72 : « Vandive, père, Marchand Orfévre, Q. des Orfèvres, aux Balances ».
- Fonds Laborde-116 : « Du 22 décembre 1663, fut baptisée Anne Marie, fille de Baltazar Martinot, maître horloger, et de Anne Belon. Tenue et levée par Gilles Martinot, horloger et valet de chambre du Roi, oncle paternel et par Anne du Brehas, femme de Philipppe Hardy, marchand à Paris, tous deux de la paroisse St. Germain l’Auxerrois. » (L'expression "tenue et levée (sur les fonts baptismaux, désigne les parrain et marraines (susceptores)
- AN/Y11665, Scellé après le décès de Madame Vandive, née Lopinot, 6 décembre 1735.
- Fonds Laborde-159 : « Le 26 septembre 1685, a été inhumée Catherine Vandive, âgée de 8 ans, fille de Philippe Vandive [signé : Vandivout], marchand orfèvre, et de Catherine (sic pour Anne) Martinot, décédée le 25 rue du harlay. Ont assisté au convoi : son père, et Balthazar Martinot, horloger ordinaire du conseil du roi, demeurant rue de la Calandre, paroisse St. Germain le vieil (St. Barthélemy, n° 24)».
- Fonds Laborde-159 (classé erronément sous la graphie Van Dinont) : « Le 24 novembre 1680 a été baptisé Guillaume, né le 22, fils de Philippe Van Dinont (sic), orfèvre, et de Anne Martinot, demeurant rue du Harlay aux Balances. Le parrain : Guillaume Lucas, marchand orfèvre, demeurant porte de Paris, paroisse St. Jacques de la Boucherie ; la marraine : Jeanne Flamant, femme de Jean Dupressoir, juré crieur de corps et de vin, demeurant cul de sac du prieuré de cette église, paroisse St. Pierre des arcis ».
- H. Beauchet-Filleau et feu Ch. de Chergé, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, seconde édition entièrement refondue, considérablement augmentée et publiée par H. Beauchet-Filleau et Paul Beauchet-Filleau, Poitiers, Imprimerie Oudin et Cie, juillet 1891, tome premier, p. 352 :
« Beau (Charles), sr des Granges, avocat en Parlement, juge sénéchal de la Baronnie de Loge-Fougereuse et du Breuil-Barret, de la sgrie de St-Paul en Gâtine, puis de la Châteigneraye, épousa, le 13 sept. 1689, Gabrielle Garnier, fille de noble homme André, avocat du Roi en l’élection de Thouars, et de Catherine Chabert. Il est mort le 19 janv. 1723, laissant :
- 1° Charles-Gabriel Beau, né à Thouars le 29 juin 1690, prêtre, curé des Moutiers, testait le 20 janv. 1742, et mourut le 6 sept. 1769 ;
- 2° Marie-Catherine Beau, née le 13 juin 1691, testa le 10 mars 1742 ; meurt célibataire le 25 avril 1756 ;
- 3° Rose-Jeanne Beau, née le 3 sept. 1692, décédée le 25 oct. 1705 ;
- 4° Françoise-Marie Beau, née le 1er juill. 1694, morte le 16 oct. 1739 ;
- 5° Jean-François-Claude Beau, sr de la Passutière, né le 8 août 1695, procureur au Parlement de Paris, 22 mars 1723 ; marié, le 14 nov. 1718, à Léonore-Charlotte Vaudive (sic : pour Vandive), mourut le 8 mars 1743, laissant :
- a. Nicole-Denise Beau, mariée jeune ;
- b. Jean-François–Claude Beau,
- c. Léonore-Charlotte Beau, morts sans hoirs. ».
- A. N., Paris, Registres de tutelle, AN Y4705B, 13 MARS 1743 : « PROCURATION:Par devant les Conseillers du Roy Notaires au Chatelet de Paris le joursusdit furent presents les parents et amis de Charlotte Leonore Beau, âgée de dix ans, Nicolle Denise Beau, âgée de huit ans et demy, et de Charles-Gabriel Beau âgé d’un an ,le tout ou environ, enfants mineurs de defunt Mr Jean-François Claude Beau le J. procureur au Parlement, et de dlle. Charlotte Leonore Vandive sa femme sçavoir laditte Dlle Veuve Beau leur mere, demeurant rüe des Lavandières paroisse St. Estienne du Mont, Sr. Balthazard Philippes Vandive md. orfevre à Paris, ancien consul, grand-oncle maternel des mineurs, domicilié quai des Orfèvres paroisse St. Barthélemy, Sr Nicolas Felix Vandive md., marchand orfèvre jouailler aussi grand-oncle maternel, demeurant susdit quai et paroisse, Me. Nicolas Felix Vandive, avocat en parlement, Sr François Vandive, negociant, demeurant susdit quai et paroisse, petits cousins maternels, Sr Jean-François André bourgeois de Paris, ancien Juge Consul, grand-oncle maternel, demeurant ruë des Bourdonnois paroisse St. Germain l’Auxerois, Jean-Philippes André, marchand drapier, petit cousin maternel, demeurant ruë St. Antoine paroisse St. Gervais, Sr. Gilbert Bourguignon, marchand êpicier en gros, petit cousin, demeurant ruë de la Monnoie paroisse Saint Germain l’Auxerrois et Me. Pierre Antoine Blactot, avocat en Parlement, cousin paternel, demeurant ruë des Lavandieres paroisse Saint Estienne du Mont ».
- Fonds Laborde-159 (classé erronément sous la graphie Vandinout) : « Le 8 septembre 1684, a été baptisé Henry, né le 6, fils de Philippe Vandinout (sic), marchand orfèvre, et de Anne Martinot, demeurant rue du Harlay, à la balance. Le parrain : Henry Martinot, horloger du Roi, demeurant aux galeries du Louvre ; la marraine : Madeleine Martinot, fille de Balthazar Martinot, horloger de feu la Reine mère, demeurant rue de la Calandre. St. Barthélemy, n° 14 ».
- Fonds Laborde-159 : « Le 23 novembre 1685, a été baptisé Marie Catherine, née le dit jour, fille de Philippe Vandivout, marchand orfèvre, et de Anne Martinot, demeurant rue du harlay aux balances. Le parrain : Jean-Baptiste Jouvenet, peintre ordinaire du Roi, professeur en son académie royale de peinture et sculpture, demeurant au Collège des quatre nations, quai Malaquais, paroisse St. Sulpice. La marraine : Marie Dubosquet, veuve de François de Bray, marchand orfèvre, domiciliée rue du harlay. (St. Barthélemy n° 14°) ».
- Faire part, MC/PL//12, 1785 Catherine Vandive, épouse Pralard.
- Faire part de décès de Catherine Vandive :
Vous estes priez d’assister au Convoy & Enterrement de
Damoiselle Catherine Vandive, Epouse de Monsieur
Jacques-Henry Pralard Libraire, decedée en sa maison, ruë
S. Jacques : Qui se fera ce jourd’huy Lundy
1719. à sept heures du soir, en l’Eglise de Saint Severin sa
Paroisse, où elle sera inhumée. La Compagnie s’y trouvera, s’il luy plaist.
Un De Profundis - RE/XCVII/2 ROUSSEL Jacques II 1717-11-21, RE/XCVII/2 : Mariage PRALARD Jacques Henry VANDIVE Catherine.
- Jacques Henry Pralard est donc le beau frère et non pas le gendre de l'imprimeur libraire Guillaume Vandive, comme indiqué dans la notice de la Bibliothèque Nationale : Jacques-Henri Pralard (16..-1749).
- Archives Nationales, Paris, Placards de décès (collection du Minutier central des notaires de Paris) (MC/PL//1-MC/PL//55). Article n° 12 (pièces n° 1650 à 1799).
- Fonds Laborde-159 : « Le 13 août 1687, a été baptisé …. Né le 11, fils de Mr. Philippe Vandivout, marchand orfèvre, demeurant rue du Harlay aux balances, et de Anne Martinot. Le parrain Me. Pierrre Poirier, officier de Mr., demeurant rue St. Honoré ; la marraine : Marguerite Martinot, femme de Jean Baptiste Lucas, marchand joaillier, demeurant sur le quai de la megisserie (St. Barthélemy, n° 14) ». Le prénom manque dans la retranscription du fichier Laborde, toutefois le prénom du parrain étant Pierre, on peut supposer qu'il s'agit de Pierre Vandivout.
- RE/XCVII/2 ROUSSEL Jacques II 1732-02-11 Extrait mortuaire VANDIVE Pierre +.
- Fonds Laborde-159 : « Le 7 mai 1688, a été baptisé François, né aujourd’hui, fils de Pierre (sic pour Philippe) Vandivout, marchand orfèvre, demeurant rue du Harlay, aux Balances, et de Anne Martinot. Le parrain : François Berquand, apprentif bonnetier ; la marraine : Marie Doublet, femme de Louis Martiny, pâtissier, demeurant sur le pont au change. (St.-Barthélemy n° 14) ».
- Fonds Laborde-159 : « Le 6 avril 1689, a été baptisé Jean Baptiste, né cejourd’hui, fils de Philippe Vandivout, marchand orfèvre de Monseigneur, demeurant rue du harlay, aux balances, et de Anne Martinot. Le parrain : Pierre Vandivout, sculpteur, demeurant susdite maison ; la marraine : Elisabeth Lejeune, femme de Gilles Martinot, demeurant susdite rue (St. Barthélemy, n° 14) ». il ne porte pas selon l'usage le prénom Pierre de son parrain et oncle le sculpteur Pierre Van Dievoet, mais celui du frère de celui-ci Jean-Baptiste Van Dievoet, car il avait déjà un frère nommé Pierre.
- Fonds Laborde-159 : « le 19 septembre 1691, a été baptisée Marie, née le jour précédent, fille de Philippe Vandivout, marchand orfèvre, et de Anne Martinot. Le parrain : Pierre Lambelin, mr. Graveur, demeurant rue Gervais Laurent. La marraine : Marie Chapelier, veuve de Paul Bizot, vivant horloger, demeurant rue du Harlay (St. Barthélemy, n° 14) »
- A. N. ROUSSEL Jacques II Mariage ANDRE Jean François VANDIVE Marie Anne 1709-11-18, RE/XCVII/2
- Dame Marie Anne Catherine André et Sr. Gilbert Bourguignon, négociant à Paris, eurent Marie Marguerite Bourguignon, épouse de Claude Paul Camusat de Bernières, écuyer, seigneur de Saussay, conseiller du roi, auditeur ordinaire en la Chambre des Comptes. Archives Nationales à Paris. Registre de cloture d'inventaires après décès, 24 septembre 1761 Lire en ligne.
- Concernant Gilbert Bourguignon : Mathieu Marraud, De la Ville à l'État. La bourgeoisie parisienne XVIIe – XVIIIe siècle, Paris : Albin Michel, 2009, p. 208.
- archives Nationales à Paris. Registre de tutelle, p. 217, 30/09/1739. ANY4568. Acte du 30/09/1739 Lire en ligne.
- Ils étaient tous mineurs lors du décès de leur mère en 1726, ayant comme subrogé tuteur leur oncle Balthazar-Philippe Vandive. A. N. Y5283, Registre de clôtures d'inventaires après décès fait au châtelet de Paris de 1725 à 1736, .
- Voir : Archives Nationales, notaire Guillaume Charles BIOCHE, 1713 (étude XCVII), MC/ET/XCVII/438, fol. 61, constitution de tontine, émission 1759, 15 janvier 1761, M. Nicolas Felix Vandivout dit Vandive, ancien marchand orfèvre, Paris, domicilié paroisse Saint-Germain-L'auxerrois, ainsi que MC/ET/XCVII/439, constitution de tontine, émission 1759, 3 mars 1761.
- Concernant l'orfèvre Nicolas Félix Vandive, lire : Mireille Rambaud, 'Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), tome I [études XXXVI, LXVIII, LXX, XCI, XCII, CXIII, CXV, CXVIII, soit 1543 actes], Paris, Archives nationales, 1964, p. 574 : notaire François Jean ROGER, MC/ET/XCII/474, acte du 20 juin 1733 : « Inventaire après décès d'Antoine-François de La Trémoille, duc de Noirmoutiers, dressé en son hôtel rue de Grenelle, à la requête de sa veuve, de la duchesse d'Havré et de Croÿ et du duc de Santogenini, héritiers et légataires universels du défunt, leur oncle. Les tableaux sont estimés par André Tramblin, peintre, ancien professeur à l'Académie de peinture et de sculpture de Paris (Saint-Luc), demeurant quai de Gesvres. Estimation de l'argenterie par Félix Vandive, marchand orfèvre, rue des Orfèvres ».
- Fonds Laborde-159 : « Le 7 janvier 1693, a été baptisé Nicolas Félix, né le 3, fils de Philippe Vandivout, orfèvre de Monseigneur, et de Anne Martinot. Le parrain : Nicolas Chatellain, officier de Monseigneur, demeurant à Versailles ; la marraine : Anne Marie Cartarin, femme de Jacques Racquelot, marchand de cette paroisse (St Barthélemy, n° 15)».
- RE/XCVII/5, notaire BIOCHE Guillaume Charles 1764-02-28. Inventaire Nicolas Felix VANDIVOUT dit VANDIVE + LEPAPE Marguerite Françoise.
- RE/XCVII/2 ROUSSEL Jacques II 1718-09-28 Mariage VANDIVE Nicolas Felix et PEYRARD Edmee Jeanne.
- AN, registre de clôture d’inventaire après décès : AN Y5282, 8 mars 1723 : « Est comparut Sr Nicolas Felix Vandive marchand orphèvre joaillier bourgeois de Paris….defunte Dlle Aymée Jeanne Peyrard, sa femme….Aymée Magdeleine Vandive fille mineure de luy et de ladite deffunte…..notaire le Roussel 3 mars 1723 ».
- Archives Nationales, Paris (Paris, France) | 01/07/1730 - 30/09/1730 | AN ET-LXXXV-43, et Notaire Augustin Loyson, acte du 9 septembre 1730, mariage de Nicola Félix Vandive et Françoise Marguerite Lepape (RE/LXXXV/7).
- Archives Nationales, Notaire Jean-Claude Etienne, MC/RE/XLIX/19 : « Marguerite Françoise Lepape, veuve de Nicolas Félix Vandive, testament, 6 novembre 1780 ».
- Journal de Paris, dimanche 1er juillet 1781, numéro 182 : enterrement de Marguerite-Françoise le Pape, veuve de M. Nicolas-Felix Vaudive (sic), ancien marchand, bourgeois de Paris, rue St-Jean de Beauvais.
- Michèle Bimbenet-Privat, Les orfèvres et l'orfèvrerie de Paris au XVIIe siècle, Paris, 2002, tome I, p. 406 : « Jean-Baptiste Lepape, l'un des marchands merciers joailliers fournissant l'argenterie du roi cité en juillet 1681 ».
- Fille de feu Charles Gonnet, marchand bourgeois de Paris et de Claude Flament. Cités dans l'acte Archives Nationales, Paris (Paris, France) | 01/07/1730 - 30/09/1730 | AN ET-LXXXV-43. Contrat de mariage du 9/17 septembre 1730.
- Archives Nationales, Paris (Paris, France) | 01/09/1742 - 30/09/1742 | AN Y4603. Registres de tutelles : « Du 1er septembre 1742…sont comparu ....de rappeler à la substitution dont est grevée Sr. François Anne Lepape fils deffunct Sr Jean Baptiste Lepape md. jouaillier à Paris et deffunte Dlle Catherine Gonnet son épouse….esté insinué par thier ...scavoir sieur Justin Lepape escuyer conseiller du Roy, lieutenant de la marechaussée de la généralité de Paris a la résidence de Melun oncle paternel, sieur Nicolas Felix Van Dive md. orfèvre jouaillier à Paris oncle paternel a cause de dlle Marguerite Françoise Lepape son epouse, sieur Jean-François Duchatellier bourgeois de Paris cousin ayant le germain paternel, sieur François Julien Barrcer marchand orfevre a Paris, cousin ayant le germain maternel a cause de Marie Agnès Legaré sa femme, sieur Julien Bethemont md. bourgeois de Paris cousin paternel, sieur Anne François Gasse bourgeois de Paris, et Sr. Daniel Choppin ».
- Paris (Paris, France) | 01/11/1751 - 30/11/1731 | AN Y4713, acte du 20 novembre 1750.
- Marly-le-Roy, sépultures Lire en ligne, p. 39 : « L'an mil sept cent dix neuf le trente d'aoust a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse le corps de jean baptiste van dive decedé de la veïlle agé d'un mois et huit jours fils de Nicola felix Vandive orfèvre de la paroisse de St Barthelemy à Paris et de Emé jeanne Perat son épouse la dite inhumation faite en présence de Antoinette Hentier femme de jean baptiste Godin menuisier de cette Paroisse laquelle a signé et des sousignés ».
- A. N., Registre de Clôture d’Inventaire après décès du Châtelet de Paris, le 15 décembre 1719, succession de Madeleine Vandive, dont un enfant Christophe Philippe David, le subrogé tuteur est Balthazar Philippe Vandive, orfèvre-joaillier.
- A. N. RE/XCVII/2 ROUSSEL Jacques II Mariage DAVID Christophe VANDIVE Madelaine.
- Jean-Dominique MELLOT et Élisabeth QUEVAL, Répertoire d’imprimeurs/libraires (vers 1500-vers 1810), Paris, Bibliothèque nationale de France, 2004, p.170, n° 1464 et n° 1471, et Augustin-Martin LOTTIN, Catalogue chronologique des libraires et des libraires-imprimeurs de Paris depuis l’an 1470… jusqu’à présent, Paris, 1789, 2 vol.)
- Les Affiches de Paris, Paris, 23 juin 1749, n°48, "Billets d'enterrements", 19 juin 1749. De Sire Baltazar-Philippes Vandive.
- Fonds Laborde-159 (nom écrit erronément Vandinout) : « Le 10 août 1683, a été baptisé Balthazar Philippe, né lejourdhui , fils de Philippe Vandinout (sic), marchand orfèvre, et de Catherine (sic, erroné pour Anne) Martinot,, demeurant rue du Harlay. Le parrain : Balthazar Martinot, horloger de feu la reine mère, demeurant rue de la Calandre, paroisse Saint Germain le Vieil ; la marraine : Anne Lemercier, femme de Pierre Pirou, fourbisseur du roi, demeurant rue St. Louis. St Barthélemy, n° 13 ».
- Les Affiches de Paris, Paris, 23 juin 1749, no 48 : « Billets d'enterrements. 19 juin 1749. De Sire Baltazar-Philippes Vandive, ancien consul, décédé rue des Lavendieres, à S. Germain l'Auxerrois ».
- Archives Nationales, Notaire Louis Chomel, MC/ET/XV/669, acte du 1er octobre 1748 : François Vandive, marchand joaillier, quai des Morfondus.
- A. N. Administration Fiscale, registre 29, 1er et 2ème arrondissement. Voir aussi : Archives Nationales, notaire Claude Nicolas BALLET (étude LXV), MC/RE/LXV/10 : Inventaire après décès de François-Gilles Vandive, à la requête de Jean-François-Claude Beau, acte du 29 fructidor an X (16 septembre 1802).
- Archives Nationales, Paris, Notaire Claude Aleaume, 1744, MC/ET/XCI/807 : Vandives (Balthazar Philippe), marchand orfèvre, ancien consul, quai des Orfèvres. Mariage de son fils marchand mercier, 13 février 1746 (M. Rambaud et C. Grodecki, Artisans XVIIIe siècle, 1956-1977).
- Mathieu Marraud, De la Ville à l'État. La bourgeoisie parisienne XVIIe – XVIIIe siècle, Paris, Albin Michel, 2009, p. 142 :
- Marie-Anne Gamard = Claude Bougier, marchand mercier
- Claude Bougier, marchand mercier = Marie-Anne Dejean
- Pierre-Alexandre Bougier, marchand mercier = Geneviève-Josèphe Judde (petite fille de Marc Nau-
- Marie-Anne Bougier = François-Gilles Vandive, marchand joaillier. - Archives Nationales, Paris (Paris, France) | 05/05/1784 - 30/06/1784 | AN ET-XXVII-439 : « 26 mai 1784. Renonciation à la succession de M. Aleaume de Criel : Devant les notaires Royaux... fut presente Dame Marie Anne Bougier epouse separée quant aux biens de Sr. François Gille Vandives ancien marchand bourgeois de Paris et autorisée speciallement aux effets ci après par sentence rendue par M. le lieutenant civil au Chatellet de Paris, le cinq mai present mois ladite Dame demeurant en cette ville.... ladite Dame Vandives habile a se dire et portée héritière pour un douzieme quant aux meubles et acquets et propres matériels de feu Mre. François Aleaume de Criel son cousin germain chevalier ancien maitre dela garde robbe de la feue Reine, Plus appellée a recueillir pour un douzieme la substitution dont le feu Sr. Aleaume de Criel a été grevé par feue madame de Marolles sa soeur ».
- Source: Traité entre le roi : et le Prince-Évêque, l'église et l'état de Liége, concernant les limites, le commerce mutuel, et la liberté des communications de leurs états respectifs. Conclu à Versailles le 24 mai 1772.
- L'État de la France, tome IV, Paris, 1749, p. 383.
- Almanach Royal de 1750, page 169: « Vandive, Greffier de l'Audience (au Grand Conseil), rue des Lavandières Ste-Opportune. »
- Nous donnons ci-dessous une copie des lettres de provisions publiées dans les Cahiers bruxellois, revue d'histoire urbaine, tome XXXVII, 1999-2003, "Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles", pp. 64-66 : « Notaire secrétaire maison couronne de France lundes deux servants près la Cour du Parlement à Paris. LOUIS PAR LA GRACE DE DIEU ROI de France et de Navarre, à tous ceux qui ces presentes verront SALUT par la demission volontaire du Sr Estienne Timoleon ISABEAU de MONTVAL ci devant Notre Cons(eiller). Notaire et Secretaire maison Couronne de France fesant l’un des deux servants près notre Cour de Parlem(ent) à Paris, Nous aurions agree pour remplir led(it) office la personne de #notre cher et bien aimé # le Sr Nicolas Felix VANDIVE par nos Lettres de Commission du mois d’avril 1771 pour faire exercer et remplir par Provision les fonctions dud(it) office en notre Cour de Parlement pendant trois ans seulement à compter du jour de l’enreg(istrement) de ces Lettres de Commission et comme lesd(ites) trois années sont pretes d’expirer Nous avons resolu d’accorder aud(it) Sr. NICOLAS FELIX VANDIVE avocat au Parlem(ent) nos lettres de Provision bien persuadé qu’il continuera a nous donner des preuves de son zèle et de son attachement a notre service POUR CES Causes et autres Nous lui avons donné et octroié, donnons et octroions par ces presentes l’office de Notre Con(seiller) Notaire et secretaire maison Couronne de France fesant l’un des deux servans près notre Cour de Parlement à Paris que tenait et exerçait etc Led(it) Sr Estienne Thimoleon ISABEAU de MONTVAL d(ernier) possesseur a paié le centieme denier et qu’il s’est demis dud(it) office par acte du onze fevrier d(ernier) en faveur dud(it) Sr. VANDIVE qui en conseq(uence) a paié en nos revenus casuels le droit de mutation avons du suiv(ant) la quitt(ence) du Sr BERTIN doné ampliation est avec led(it) acte et autres pièces attachés sous le contrescel de notre chancelerie pour led(it) office avoir tenu et dorenavant exercer en jouir et user par le Sr VANDIVE aux honneurs pouvoirs, libertés, fonctions, autorités, privileges, prerogatives, préeminences, gages revenus emoluments tel et tout ainsy qu’en a joui ou du jouir led(it) Sr ISABEAU DE MONTVAL, que lui même en jouit en vertu de nos Lettres de Commissions et qu’en jouissent ou doivent jouir les autres pourvus de pareils offices SI DONNONS EN MANDEMENT a nos amis et feaux conse(eillers) les gens tenant notre Cour de Parlement a Paris que leur étant apparu de bonnes vie et mœurs âgé susd(it) des vingt cinq ans accomply conversation et religion catholique apostolique et romaine dud(it) S. VANDIVE et de lui pris et reçu le serment requis et accoutumé, ils le reçoivent mettent et instituent de par nous ? ? en possession dud(it) office et lui fassent jouir et user plenement et paisiblem(ent), et lui fassent obeir et entendre de tous ceux et ainsy qu’ (il) appartiendra des choses concernant led(it) office mandons en outre a nos amis et féaux cons(eillers) les presid(ents) et tresoriers de France et generaux de nos finances a Paris, que par les tresoriers et receveurs payeurs et autres comptables quil app(artiendra) et des fonds a ce destinés ils fassent paier et delivrer comptant aud(it) Sr VANDIVE, dorenavant par chacun ou aux termes et en sa mannière et accoutumé les gages et droits y app(artenant) a commencer du jour et datte de sa reception de laquelle rapportant coppie collationé ainsy que des presentes pour une fois seulement avec quitt(ances) de lui sur et suffisantes, nous voulons lesd(its) gages en droit être passées et alloués en la depense des comptes de ceux qui en auroient fait le paiement par nos amis et feaux cons(eillers) les Gens de nos Comptes a Paris aux quels mandons ainsy le faire sans difficulté CAR TEL EST NOTRE PLAISIR en temoins de quoy nous avons fait mettre notre scel auxdittes presentes DONNÉ a Paris le neuvième jour de Mars l’an de grâce mil sept cent soixante quatorze et de notre Regne le cinquante neuvieme. Signé sur les replis par le Roy THURY et scellé du grand sceau de cire jaune. Enregistré au controlle Pour minutte ainsy que Le neuvieme jour de Mars l’expedition en parchemin 1774 rempli par notre commis THURY »(Archives nationales de France : "Provisions d’Offices" (1730-1790), V/1/ 472 pièce 274, datée du 09/03/1774).
- Siméon-Prosper Hardy, Journal, « La nouvelle cour du Parlement n'avoit pas manqué, suivant l'usage ordinaire, de députer le nommé Vandive, l'un des premiers principaux commis au greffe de la Grand Chambre et de ses notaires secrétaires, pour aller à Versailles savoir des nouvelles de la santé du Roi. Mais ce secrétaire ne pouvoit rendre compte de sa mission à l'inamovible compagnie que le mardi suivant, attendue la vacance accoutumée du lundi 2 mai. ».
- L'Etat de la France, tome IV, Paris, chez Ganeau, rue Saint Severin, près l'Eglise, aux Armes de Dombes et à Saint-Louis, avec privilège du roi, 1749, p.383: « Greffiers au Grand Conseil. 26 Avril 1743. Nicolas-Felix Vandive, Greffier de l'Audience. 23 Juillet 1720. Jean-Joseph Nau, Greffier de la Chambre. Nota. Le Roi a accordé la Noblesse pour toujours à l'ancien de ces deux Greffiers mourant dans sa charge, ou qui l'aura exercée durant vingt ans ». Dans l'Édit donné à Versailles le 22 mai 1775, qui fixe la finance des officiers du grand Conseil, nous pouvons lire: « Nous avons pareillement fixé les finances des offices de premier et principal commis du greffe de l'audience de notre Grand Conseil dont le sieur Vandive étoit pourvu, à la somme de vingt-cinq mille livres. ».
- Comme le fait remarquer François Bluche : « les greffiers en chef du Grand Conseil sont obligatoirement revêtus, à côté de leur charge, d'un office de secrétaire du roi ». Voir : François Bluche, Les magistrats du Grand Conseil au XVIIIe siècle, Paris, 1966, p. 31. Voir aussi: Journal Politique, Bouillon, 1771: « et conserve les deux autres offices, remplis par les Srs Dufranc et de Vandive ».
- Les notaires secrétaires du Parlement de Paris exerçaient une charge anoblissante au premier degré, et ce depuis leur création; en vertu d'un ancien usage confirmé par édit de juillet 1644. Ce privilège leur fut retiré en juillet 1669 et ils furent remis à la noblesse graduelle. Mais la noblesse au premier degré leur fut rendue en novembre 1690. Lire : Concernant ces deux charges de « conseiller notaire secrétaire Maison et Couronne de France auprès du Parlement », Louis d'Izarni-Gargas, Jean-Jacques Lartigue, Jean de Vaulchier, Nouveau Nobiliaire de France, Versailles, 1997, tome I, p. 33.
- « Isabeau, Étienne Timoléon (dit Montval), greffier au ci-devant parlement de Paris, y demeurant, département de la Seine, condamné à mort, le 19 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire séant à Paris, comme contre-révolutionnaire ». Il fut guillotiné à Paris l’an II. (Voir: http://les.guillotines.free.fr/ Liste des guillotinés. Et: http://les.guillotines.free.fr/guillo-i.htm Étienne Timoléon Isabeau de Montval.
- Alain van Dievoet, « Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles », dans : Cahiers bruxellois, tome XXXVII, 1999-2003, Bruxelles, 2004, p. 41 : « Archives générales du Royaume, Notariat général de Brabant, notaire Jean Pilloy, protocole no 1242, acte du 20 août 1714 (no 132) : "Ce jourdhuy vingtième d'août 1714 par devant moy Jean Pilloy notaire royal resident a Bruxelles, et les témoins sousnommez, fut present Sr. Philippe Vandive Conseiller du Roy sindic general des Rentes de l'hôtel de ville de Paris demeurant ordinairement en ladite ville de Paris estant de present en cette ville de Bruxelles ».
- « Artistes, de père en fils », sur Site-LeVif-FR, (consulté le )
- Michèle Bimbenet-Privat, Les orfèvres et l'orfèvrerie de Paris au XVIIe siècle, Paris, 2002, tome I, p. 121 : "Le département de la Garde-Robe compte aussi parmi ses officiers un orfèvre recruté pour le service du dauphin : Philippe Vandives ou Vandivout émarge à ce titre de 1680 à la mort de Monseigneur. C'est un Bruxellois, doté de lettres de naturalité en mars 1685, qui doit son intégration au groupe des orfèvres royaux à la protection de son beau-père, l'horloger Martinot, lui-même logé aux galeries du Louvre".
- L'Almanach Royal de 1789, le mentionne toujours comme "Greffier au Grand Conseil" avec entrée en charge en 1743,c'est-à-dire avec déjà 46 ans d'ancienneté (Almanach royal de 1789, Grand Conseil).
- L'État de la France, tome IV, Paris, chez Ganeau, rue Saint Severin, près l'Église, aux Armes de Dombes et à Saint-Louis, avec privilège du roi, 1749, p. 383: "Greffiers au Grand Conseil. 26 avril 1743. Nicolas-Felix Vandive, Greffier de l'Audience. 23 juillet 1720. Jean-Joseph Nau, Greffier de la Chambre. Nota. Le Roi a accordé la Noblesse pour toujours à l'ancien de ces deux Greffiers mourant dans sa charge, ou qui l'aura exercée durant vingt ans."
Voir aussi
Bibliographie
- 1908 : Alfred Détrez, « Aristocrates et joailliers sous l'ancien régime », dans : La Revue(ancienne Revue des Revues), volume 78, Paris, 1908, p. 471: « aux grandes fortunes des Delahoquette, des Vandive, des Granchez ».
- 1953 : Édouard Van Dievoet, « Van Dive, joaillier du Dauphin », dans : L’Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, Paris, , col. 100.
- 1972 : Alfred Marie, Jeanne Marie, "Mansart à Versailles", dans Versailles son histoire, t. II, 1972, p. 635 (sous la graphie Vandivout).
- 1974 : Yvonne Brunel, Marie-Adélaïde de Savoie, duchesse de Bourgogne, 1685-1712, préface de Pierre Breillat, conservateur en chef à la Bibliothèque de la Ville de Versailles, Paris, Beauchesne, 1974, p. 59 et 253.
- 1980 : Alain Van Dievoet, « Un disciple belge de Grinling Gibbons, le sculpteur Pierre van Dievoet (1661-1729) et son œuvre à Londres et Bruxelles », dans Le Folklore Brabançon, mars 1980, n° 225, pp. 65–91.
- 1982 : André Monteyne, Les Bruxellois, un passé peu ordinaire, Bruxelles, Vander éditeur, 1982, p. 109.
- 1990 : Alain Van Dievoet, « Van Dive, joaillier du Dauphin », dans : L'intermédiaire des chercheurs et curieux : mensuel de questions et réponses sur tous sujets et toutes curiosités, Paris, n° 470, 1990, colonnes 645-650.
- 2002 : Michèle Bimbenet-Privat, Les orfèvres et l’orfèvrerie de Paris au XVIIe siècle, Paris, 2002, 2 vol., passim.
- 2003 : Alain Van Dievoet, « Une famille d'orfèvres d'origine bruxelloise à Paris : les VAN DIEVOET dits VANDIVE », dans : Généalogie en Yvelines, n°66, .
- 2003 : Pierre Le Roy et Paul Micio, Statuts et privilèges du corps des marchands orfevres-joyailliers de la ville de Paris: an 18th-century compendium of the laws governing silversmithing in Paris, publié par J. Paul Getty Museum, en association avec le New York Public Library, 2003.
- 2004 : Mathieu da Vinha, Les Valets de chambre de Louis XIV, Paris, 2004, concernant la charge d'Officier de la Garde Robe du roi et les Martinot.
- 2004 : Alain Van Dievoet, « Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles », dans : Cahiers bruxellois, Bruxelles, 2004, pp. 19–66. Cet article contient une abondante bibliographie et de nombreuses références et retranscriptions de documents d'archives. Lire en ligne.
- 2006 : Nicolas Lylon-Caen, "Labrüe au paradis, Chapeau aux enfers. Les notables de Saint-Germain-l'Auxerrois face à leurs curés au XVIIIe siècle", Revue d'Histoire de l'Église de France, Éditeur Brepols, volume 92, numéro 1 / 2006, p. 117-146. (telles que les Masse et les Vandive. Le bloc des notables ne presente en fait guère de fissure. Son homogénéite explique cette domination sans partage).
- 2007 : Hélène Cavalié née d'Escayrac-Lauture, Pierre Germain dit le Romain (1703-1783). Vie d'un orfèvre et de son entourage, Paris, 2007, thèse de l'École des Chartes, tome I, pp. 209, 210, 345, 350, 429, 447.
- 2008 : F. By, « Famille van Dievoet : Artistes, de père en fils », dans Le Vif/L'Express numéro spécial Bruxelles : la saga des grandes familles, 26° année n°47 (Le Vif) et n°2993 (L'Express), 21-27 novembre 2008, p. 121.
- 2009 : Stéphane Castelluccio (éd.), Le commerce du luxe à Paris aux XVIIe et XVIIIe siècles, échanges nationaux et internationaux, Paris, Peter Lang, 2009, p. 241.
- 2014 : Paul Micio, Les Collections de Monsieur frère de Louis XIV, Paris : Somogy éditions d'art, 2014, p. 47, note 169 et p. 321.
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Liens externes
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