Famille de Gibot

La famille de Gibot est une ancienne famille noble originaire du Maine, établie ensuite en Anjou, aujourd'hui éteinte.

Famille de Gibot

Armes

Blasonnement D'argent au léopard de sable.
Période du XIVe au XIXe siècle
Pays ou province d’origine Maine
Fiefs tenus La Carrelière, Moulin-Vieux, La Perrinière, La Barboire, La Gohelière, La Haye-le-Rosé, Le Sap, Le Landreau, La Mauvoisinière.
Demeures château de la MauvoisinièreBouzillé)
Preuves de noblesse
Autres Maintenue de noblesse en 1667.

Origines

Originaire du Maine, cette famille est connue depuis Pierre Gibot allié à Agnès de La Parinière vivants en 1390[1]. Sa filiation prouvée remonte quant à elle au XVe siècle.

Quelques membres

  • Alain Gibot, écuyer marié à Guillemette de Guého, dont le fils Nicolas épousa en 1527 Renée Urvoi
  • François Gibot. écuyer, seigneur de La Carrelière et de Moulin-Vieux. marié en 1558 à Marie de La Boesselière,
  • Michel de Gibot né en 1587, seigneur de La Périnière et de Moulins-Vieux, marié le avec Louise de Maridor [2]
  • René de Gibot, chevalier, seigneur du Moulinvieux (Asnières-sur-Vègre), maintenu dans sa noblesse en 1667[1], épousa en 1648 Florence Dorin, dont il eut :
  • Pierre de Gibot, commandeur dans l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[1], d'abord reçu chevalier en 1668[3]
  • Pierre René Gibot, page de la Grande Ecurie, marié en 1711 à Anne Louise d'Aubigné et dont la descendance paraît s'être éteinte avec sa petite fille Perrine-Renée.
  • René-Louis de Gibot, comte de Chavannes, fils du précédent, chevalier, seigneur de la Perrinière, la Barboire, la Gohelière, la Haye-le-Rosé, le Sap, le Landreau et la Mauvoisinière.
  • Luc-René Gibot, né en 1748, allié en 1772 à sa cousine Perrine Renée Gibot ; il comparut dans les assemblées de l'ordre de la noblesse tenues en Anjou lors de États généraux
  • Luc-Jean, comte de Gibot, né en 1787[1], marié en 1813 à Sophie Berault de Boissgirault
  • Luc-Anatole, marquis de Gibot (1824-1873). Il posséda une partie des statues du cardinal de Richelieu dans le parc de son château de la MauvoisinièreBouzillé)

Armoiries

D'argent au léopard de sable[1].

Notes et références

  1. Jougla de Morenas, Grand armorial de France, volume 4, page 150
  2. Bulletin de la Société de la Sarthe, 1889, volume 23
  3. René Aubert de Vertot, Histoire de Malte, Volume 7

Sources

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