Francis Cabrel

Francis Cabrel, né le à Agen (Lot-et-Garonne), est un auteur-compositeur-interprète français.

Francis Cabrel
Francis Cabrel en concert le à Forest National (Bruxelles).
Informations générales
Nom de naissance Francis Christian Cabrel
Naissance
Agen, France
Activité principale Auteur-compositeur-interprète
Genre musical Chanson française, folk, pop, blues
Instruments Guitare, piano
Années actives Depuis 1974
Labels CBS, Columbia
Site officiel Site officiel

Il a sorti plusieurs albums relevant principalement du domaine du folk, avec des incursions dans le blues ou la country[1]. Reconnu pour ses ballades et chansons sentimentales, ses ventes de disques sont estimées à plus de 25 millions d'exemplaires à travers le monde[2].

Biographie

Enfance, formation et débuts

Francis Cabrel naît à Agen[3],[4] dans une famille modeste originaire du Frioul en Italie[5], d'un père ouvrier dans une biscuiterie et d'une mère caissière dans une cafétéria. Il a une sœur, Martine[6], et un frère, Philippe[7]. Il passe son enfance à Astaffort, dans le Lot-et-Garonne.

À treize ans, il entend pour la première fois Like a Rolling Stone de Bob Dylan à la radio, une découverte qui aura une influence majeure dans sa carrière[8]. À Noël, son oncle Freddy lui offre une guitare ; il se met ainsi à composer ses premiers morceaux afin de lutter contre sa timidité. Il reprend les chansons de Neil Young, Leonard Cohen et évidemment Bob Dylan, apprenant l'anglais en traduisant les paroles. Il racontera plus tard qu'il pensait que sa guitare lui permettait de se rendre plus intéressant aux yeux des autres. À 17 ans, il commence à monter plusieurs groupes de folk rock et chante dans les orchestres de bals[9], mais ses groupes ne tiennent pas longtemps.

Alors qu'il est en classe de première, il est renvoyé du lycée Bernard-Palissy d'Agen en raison de ses absences trop fréquentes[10]. Il travaille alors, à 19 ans, comme magasinier dans un magasin de chaussures tout en jouant dans des bals locaux avec un groupe « Ray Frank et les Jazzmen ». Le groupe se renomme par la suite « les Gaulois » à cause des moustaches de chacun des membres[11]. À cette époque, Cabrel arbore un style hippie : cheveux longs et moustache.

En , à Toulouse, il participe à un concours de chanson de Sud Radio durant lequel se succèdent 400 candidats devant un jury composé notamment de Daniel et Richard Seff. La chanson Petite Marie, dédiée à sa femme Mariette Darjo[12], lui permet de remporter le concours et le prix de 2 000 francs. De plus, les frères Seff lui ouvrent les portes de la firme CBS.

Managé en début de carrière par le producteur Jacques Marouani[13], c'est ensuite, à partir de 1979, à Maurice Tejedor  producteur de spectacles dans le grand Sud-Ouest, avec qui il lie des liens amicaux au cours d'une mini-tournée  qu'il confie l'organisation de ses spectacles et tournées[14].

Vie privée

Francis Cabrel s'est marié à Vianne en 1974 avec Mariette Darjo, décoratrice d'intérieur née le . Ils se sont rencontrés en 1970, alors qu’ils n’avaient que 17 ans. Ils ont trois filles[15],[16] : Aurélie, née le [17],[18], Manon, née en 1990 et Thiu, née au Viêt Nam et adoptée en 2004 à trois mois.

Après un début de carrière de chanteuse en demi-teinte, Aurélie a ouvert le un hôtel restaurant, Le Square, à Astaffort (Lot-et-Garonne).

Francis Cabrel est catholique non pratiquant[19].

Carrière musicale

En 1977, à l'occasion de la campagne de la « nouvelle chanson française » de la maison de disques, Francis Cabrel sort son premier single, Ma ville, mais il éprouve vite le sentiment que CBS ne le laisse pas exprimer sa vraie personnalité (en témoigne la version particulière de Petite Marie du disque, qui tente de gommer l'accent méridional du chanteur, version reniée par Cabrel par la suite[20]). Pourtant, il se produit à l'Olympia, en première partie de Dave, durant un mois et gagne le Prix du public au Festival de Spa en Belgique en 1978[21].

Peinant jusqu’alors à se faire connaître, Cabrel obtient finalement le succès en 1979 avec Je l'aime à mourir, titre phare de son deuxième album, Les Chemins de traverse. Ce succès est confirmé l’année suivante avec l’album Fragile, avec notamment La Dame de Haute-SavoieL’Encre de tes yeux, qui s’écoule à environ un million d’exemplaires, est certifié disque de diamant et permet à Francis de passer en vedette à l’Olympia les 24 et 25 novembre 1980[22]. Toutefois, il continue à vivre dans le Lot-et-Garonne avec sa famille.

En 1981, il publie l’album Carte Postale. Il est de nouveau sur la scène de l’Olympia en février 1982[23]. En 1983, il publie l’album Quelqu’un de l’intérieur. En février 1984, Cabrel enregistre à l'Olympia son premier album live nommé Cabrel Public, qui est publié la même année.

Pour son sixième album Photos de voyages qui sort en 1985, il décide de changer tous ses musiciens qui formaient un groupe depuis le début : « j'avais envie d'un truc un peu plus nerveux » déclare t-il lors d'une émission télévisée[précision nécessaire]; « Cet album m’a permis s’ouvrir mes horizons musicaux, d’aller sur un chemin plus électrique. Cela m’a pris dix ans pour en arriver là. »[24] Le bassiste Georges Augier de Moussac témoigne par la suite qu'il a été remplacé par un pianiste « sans sentiment », mais qu'il l'a très bien compris[réf. nécessaire]. Cabrel est une nouvelle fois sur la scène de l’Olympia à l’hiver 1986.

En juillet 1986, il assiste à la naissance d'Aurélie, sa première fille, qui lui inspire la chanson Il faudra leur dire. Il la publie la même année et le titre, qui est un succès, reste quinze semaines dans le top 10 du classement des ventes[25].

À partir de la deuxième moitié des années 80, les albums de Cabrel s'espacent, mais grâce à ses succès, il peut réaliser comme il le souhaite l'album Sarbacane, imposant par exemple le réalisateur de clips Maxime Ruiz que la maison de disques avait renvoyé l'année précédente. L'album sort en 1989 après presque trois ans de silence, c'est un énorme succès, notamment grâce aux titres Sarbacane et C'est écrit.

À partir de la fin des années 1980, il se consacre d’avantage à sa famille et son village. Il crée en 1988 les Rencontres d'Astaffort, festival musical et culturel qui réunit chaque année des milliers de passionnés de guitare (luthiers ou musiciens). Il produit aussi de jeunes talents sur son label Cargo. En 1989, il devient conseiller municipal d’Astaffort, et il assiste en 1990 à la naissance de sa deuxième fille.

Le 6 avril 1994 sort l'album Samedi soir sur la Terre. Certifié disque de diamant et vendu à plus de 3 millions d'exemplaires[26], cet album est le plus grand succès de l'artiste et l’un des plus vendus en France, grâce à des titres comme La Corrida, La Cabane du pêcheur, Je t’aimais, je t’aime, je t’aimerai ou Octobre.

En 1997, Claude Gassian sort un ouvrage consacré au chanteur, intitulé Hors-saison. Au printemps 1999,Francis Cabrel sort l’album du même nom qui, porté par le succès de plusieurs singles (Presque rien, Le Reste du temps, Hors-saison, Le Monde est sourd), prend la tête du Top Albums France dès sa sortie, pour onze semaines consécutives. Il devient ainsi l’album le plus vendu de cette année en France et obtient un disque de diamant, avec près de deux millions d’exemplaires vendus.[27]

Fin 2000, parait le triple album live Double Tour proposant les récitals des tournées Hors-saison (1999) et Samedi soir sur la Terre (1996).

Un nouvel album studio nommé Les Beaux Dégâts sort en mai 2004. Cette même année, sa famille s'agrandit avec Thiu, adoptée au Viêt Nam[28].

En 2006, il produit et collabore à l'illustration musicale de Le Soldat rose, une œuvre écrite par Louis Chedid et Pierre-Dominique Burgaud qui réunit plusieurs célébrités.

Francis Cabrel lors d'un concert à Bruxelles en 2008.

Le , sort Des roses et des orties. Cette année, il est en tête des ventes de disques et de chiffre d'affaires en France, réalisant le double de son suivant Bénabar[29].

Son disque Vise le ciel (2012) est son 12e album studio. Il est uniquement composé de reprises de chansons de Bob Dylan.

Le , après sept ans d'absence sur scène, il sort son 13e album, In extremis[30]. Cet album sera suivi d'une tournée en France, en Suisse et en Belgique à l'automne 2015, puis au Canada à partir du printemps 2016.

En 2017 il reprend sa chanson La Corrida en duo avec le chanteur Algérien Idir dans l'album Ici et ailleurs de ce dernier[31] où il chante quelques passages en Kabyle.

En 2020, il sort son 14e album studio À l'aube revenant, qui contient la chanson Te ressembler en hommage à son père.

Également en 2020, Francis Cabrel et le guitariste Denys Lable ont exhumé des enregistrements audio et vidéo réalisés pendant la tournée Rock’n’roll show de 1990, qui avait duré environ deux mois, traversé de nombreuses villes, et rempli durant une semaine la salle Bataclan[32], où elle se termina le . Cette tournée avait associé de manière originale Francis Cabrel à Dick Rivers, accompagnés de musiciens de premier plan regroupés sous le nom Les Parses (Denys Lable, Bernard Paganotti, Denis Benarrosh, Claude Engel, Patrick Verbeke, Guy Delacroix, Slim Batteux…)[33]. Aztec Musique en a tiré 19 titres, publiés sous différents formats (CD, double vinyle) ainsi qu'un DVD du concert du Bataclan[34],[35].

Particularités

Francis Cabrel connaît très bien le répertoire de Bob Dylan dont il est un fan fidèle[36]. Il n'a cependant jamais enregistré de chansons en anglais, préférant proposer des adaptations françaises de ses titres préférés.

Par ailleurs, il enregistre régulièrement des adaptations en espagnol de ses titres, notamment dans les albums La quiero a morir (1980), Todo aquello que escribí (1981), Algo más de amor (1990) et Algo más de amor (1998).

Il a aussi enregistré en italien Je l'aime à mourir (Io l'amo cosi[37][source insuffisante]) et Je rêve (Quando il giorno verrà).

Sans se considérer comme collectionneur, Francis Cabrel vit entouré de guitares, dont il « joue au gré de [s]es humeurs »[38].

La langue occitane

Francis Cabrel chante dans la langue occitane qu'il a entendue fréquemment dans sa jeunesse, bien que disant lui-même ne pas parler occitan[39].

Il a ainsi chanté une chanson pour l'Estivada[40], plus grand festival musical de chansons occitanes, et a chanté avec d'autres chanteurs de toute l'aire linguistique de l'occitan comme Nadau ou encore Peiraguda[41],[42]. En reprenant la mélodie du Se Canta occitan dans son album In Extremis, il va d'ailleurs inspirer Kendji Girac qui parle cette langue[43].

Il continue de chanter en occitan, y compris dans ses derniers albums, dont celui de 2020 À l'aube revenant[44], inspiré de l'œuvre des troubadours, qui comprend une chanson en occitan[45]. Les textes qu'il chante en occitan sont écrits par son ami Jean Bonnefon[46]. Le chanteur signale à l'occasion d'interviews à propos de cet album son attachement à la langue occitane et à ses défenseurs : « les gens se battent pour la langue occitane, et je suis à leurs côtés »[47].

Engagements

Association Voix du Sud

Le , Francis Cabrel fonde « Voix du Sud » à Astaffort[48]. Cette association loi de 1901 est un organisme de formation qui réalise, depuis , les « Rencontres d'Astaffort », des stages de formation professionnelle s'adressant aux jeunes auteurs, compositeurs et interprètes de chansons, qui se tiennent tous les six mois. L'association est présidée par Jean Bonnefon depuis 2007.

Ces rencontres rassemblent une vingtaine de jeunes artistes comme Antoine Villoutreix qui, pendant quinze jours, vont écrire une quarantaine de chansons. Quinze d'entre elles seront sélectionnées et mises en musique, pour être ensuite jouées au public du Music-halls, une salle de spectacle à Astaffort. Chaque année, un artiste reconnu vient parrainer ces rencontres, qui soutient et conseille les jeunes qui participent aux rencontres. Parmi eux, on peut citer Renan Luce, Zaho, Maxime Le Forestier, Thomas Dutronc, Emily Loizeau ou encore Alain Souchon.

Stéphan Rizon est le premier lauréat de l'édition 2007. En 2011, Francis Cabrel met en scène L'Enfant-Porte, une comédie musicale pour enfants écrite en collaboration avec les jeunes ayant participé aux Rencontres d'Astaffort.

Divers

  • Francis Cabrel est proche de la vie politique de la commune d'Astaffort. Il a en effet été conseiller municipal de mars 1989 à 2004.
  • Dès 1985, il s'investit dans de nombreuses œuvres caritatives, avec sa chanson Il faudra leur dire, qui sert de support à un petit film sur la leucémie, puis avec Sol En Si, Les Enfoirés, Noël ensemble, Urgence : 27 artistes pour la recherche contre le sida. Francis Cabrel a également donné un concert de soutien aux sinistrés de la Nouvelle Orléans en 2006.
  • Il manifeste son engagement contre la tauromachie dans la chanson La Corrida, qui donne la parole à un taureau et dénonce ce spectacle.
  • En 2006, il doit annuler deux concerts en Nouvelle-Calédonie, prévus les et , à la suite de graves menaces anonymes lui reprochant des propos tenus lors de la prise d'otages d'Ouvéa. Il avait notamment déclaré : « J'ai beaucoup de sympathie pour le mouvement kanak et je sais qu'un jour les Blancs se retrouveront dans des bateaux ou des avions : et ce sera bien fait pour leur gueule. Les Français peuvent s'en aller tranquilles : ils sont bourrés de blé. Ils ont saigné le pays. Les Kanaks n'ont pas un rond et même pas l'instruction nécessaire pour combattre… Les Français n'ont rien à faire en Nouvelle-Calédonie, pour moi c'est clair ! Ils ont des bateaux, des planches à voile, des magasins partout sur l'île, des maisons à Perpignan… Je le sais, j'ai parlé avec eux[49]. »
  • Cette même année, Francis Cabrel, comme 52 autres artistes, signe un manifeste en faveur du projet de loi dit Hadopi[50].

Discographie

Albums studio

Albums en public

Compilations

En tant qu'interprète

En tant qu'auteur-compositeur

Singles

Francis Cabrel en concert à l'Opera House d'Hanoi en 2009.
Singles de Francis Cabrel
Année Titre Album
1977 L'Instant d'amour Les Murs de poussière
Petite Marie/Ami
1978 Pas trop de peine / Au matin des mauvais jours
Les Murs de poussière/Ami
1979 Je l'aime à mourir/Les chemins de traverse Les Chemins de traverse
Je rêve
1980 L'Encre de tes yeux Fragile
Je pense encore à toi
1981 La Dame de Haute-Savoie
Carte postale Carte postale
1982 Répondez-moi
1983 La Fille qui m'accompagne Quelqu'un de l'intérieur
1984 Saïd et Mohammed
Question d'équilibre
1985 Encore et encore Photos de voyages
Tourner les hélicos
1986 Je te suivrai
Il faudra leur dire (Cabrel et les enfants) Cabrel 77-87
1989 Sarbacane Sarbacane
C'est écrit
Animal
1990 Tout le monde y pense
Petite Marie (live) D'une ombre à l'autre
1994 Je t'aimais, je t'aime, je t'aimerai Samedi soir sur la Terre
La Cabane du pêcheur
La Corrida
1995 Octobre
Samedi soir sur la Terre
1997 Vengo a ofrecer mi corazón (en duo avec Mercedes Sosa) Algo más de amor
1999 Presque rien Hors-saison
Le Reste du temps
Hors-saison
2000 Le monde est sourd
Ma place dans le trafic (live) Double Tour
2004 Bonne Nouvelle Les Beaux Dégâts
Qu'est-ce que t'en dis ?
Tu me corresponds
2005 Les Gens absents
Je pense encore à toi (live) La Tournée des bodegas
2006 Gardien de nuit Le Soldat Rose
2007 Le Gorille L'Essentiel 1977-2007
2008 La Robe et l'Échelle Des roses et des orties
Le Chêne liège
2009 Des hommes pareils
Né dans le bayou
Les Cardinaux en costume (live) La tournée des roses & des orties (DVD)
2012 Comme une femme (Just Like a Woman) Vise le ciel
Je te veux (I Want You)
2015 Partis pour rester In extremis
Dur comme fer
À chaque amour que nous ferons
2016 Le pays d’à côté
2017 Le Fils unique L'Essentiel 1977-2017
2020 Te ressembler À l'Aube revenant
2021 Peuple des fontaines
À l'aube revenant
Rockstars du moyen âge

Distinctions

Prix

Décorations

Hommages

Autre activité économique

Francis Cabrel est propriétaire foncier et possède le statut d'exploitant agricole à Astaffort. Il a donné en gestion sa propriété viticole à son frère Philippe, vigneron[58].

Notes et références

  1. « Francis Cabrel, le succès sans faire riche », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  2. « Francis Cabrel a franchi un cap ! », Pure People.com, 4 décembre 2010 (consulté le 20 mai 2016).
  3. Biographie de Francis Cabrel sur universalmusic.fr (page consultée le 5 mars 2014).
  4. « Francis Cabrel », sur musique.rfi.fr,
  5. Sandro Cassati, Francis Cabrel, un homme vrai, City, 224 p. (lire en ligne), p. 9
  6. « [VIDEO] Agen. Martine Cabrel, la soeur de Francis, sort son premier album », sur ladepeche.fr (consulté le )
  7. « Dans le vignoble de Francis et Philippe Cabrel à Astaffort en Lot-et-Garonne », sur SudOuest.fr (consulté le )
  8. Biographie officielle, Franciscabrel.com, (page consultée le 4 mars 2010).
  9. Interview de Francis Cabrel donnée au magazine Djin no 33 du  : « Je me suis fait engager dans un orchestre de bal. Je chantais les chansons des Beatles, des Stones, de Cream, enfin tous les airs anglais à la mode que j'écoutais sur disque et que j'apprenais par cœur, avec des intonations du chanteur et les arrangements du disque ».
  10. Interview de Francis Cabrel donnée au magazine Djin no 33 du  : « J'ai été jusqu'en première, mais je manquais vraiment trop souvent les cours, alors j'ai été viré ! »
  11. « Dix choses que vous ne savez peut-être pas sur Francis Cabrel », sur SudOuest.fr (consulté le )
  12. « Francis Cabrel et sa femme : découvrez le pacte qui a scellé leur couple », Closer magazine.fr.
  13. « L'art d'écrire une chanson : Les secrets d'un tube », page 156 - Claude Lemesle, 2011 - 170 p., sur Google Books.
  14. Maurice Téjédor, Francis Cabrel: Retour sur images, Téjédor, 82 p..
  15. Paris Match, « Cabrel, le nabab d’Astaffort. », sur parismatch.com (consulté le ).
  16. Telestar.fr, « Francis Cabrel, qui sont ses trois filles Aurélie, Manon et Th... - Télé Star », sur www.telestar.fr, (consulté le ).
  17. Sandro Cassati, Francis Cabrel, un homme vrai, City, 2015.
  18. Alain Wodrascka, Cabrel, les chemins de traverse, Éditions de l'Archipel, 2015.
  19. Francis Cabrel, interviewé par Benjamin Locoge et Sacha Reins, « La lumière noire de Francis Cabrel », Paris Match, semaine du 23 au 29 avril 2015, pages 7-9.
  20. « Francis Cabrel : l’histoire de la chanson « Petite Marie » » (consulté le )
  21. « Francis Cabrel », sur Cosmopolitan.fr (consulté le )
  22. Thomas Chaline, Cabrel, une vie en chansons, Hugo Poche, p. 76
  23. « Francis Cabrel à l'Olympia LES RENGAINES COUSUES MAIN », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  24. Pascale Spizzo, Cabrel par Cabrel, Le Cherche Midi,
  25. Thomas Chaline, Cabrel, une vie en chansons, Hugo Poche, p. 126 à 129
  26. Le monde
  27. Thomas Chaline, Cabrel, une vie en chansons, Hugo Poche, p. 225-226
  28. « Francis Cabrel et sa femme Mariette, malgré les infidélités, "ils ne divorceront jamais" », sur Terra femina.com (consulté le ).
  29. « Un palmarès qui couronne les valeurs sûres », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  30. « Page officielle de Francis Cabrel » (consulté le )
  31. « Idir en duo avec Francis Cabrel, “La corrida” – No Corrida » (consulté le ).
  32. Raoul Bellaïche, « Dick Rivers, entretien avec un éternel débutant », sur jechantemagazine, (consulté le )
  33. « Dick Rivers, Francis Cabrel & Les Parses « Rock’n’Roll Show » (8/07/2020) », sur rockmadeinfrance (consulté le ). Denys Lable et Bernard Paganotti ont été des musiciens réguliers de Francis Cabrel.
  34. « Francis Cabrel ressuscite Dick Rivers en live avec Rock'n'roll show (11/03/2020) », sur lefigaro (consulté le )
  35. « Francis Cabrel, Dick Rivers & Les Parses – Show Rock'n'roll / Aztec Musique – CM2657 », sur discog (consulté le )
  36. Paris Match, « Francis Cabrel frappe à la porte de Dylan », sur parismatch.com (consulté le ).
  37. « Francis Cabrel revisite Petite Marie avec Umberto Tozzi : écoutez ! », sur chartsinfrance.net (consulté le ).
  38. « Toulouse. Francis Cabrel : « Je vis entouré de guitares » », sur ladepeche.fr (consulté le )
  39. C à vous la suite, émission du 15 octobre 2020. Anne-Elisabeth Lemoine : « … en occitan, c'est ça… et vous le parlez, l'occitan ? » Francis Cabrel : « Non, mais je l'ai entendu lorsque j'étais enfant dans les rues de mon village, tous les anciens parlaient ce qu'on appelait le patois de façon… je vais dire vulgaire, mais qui était de l'occitan ni plus ni moins, donc… et j'y suis revenu progressivement vers l'occitan grâce à des amis qui se battent pour sauvegarder cette langue… »
  40. « Francis Cabrel : « J'ai fait une chanson pour l'Estivada » », Centre Presse (Aveyron), Rodez, Groupe Sud Ouest, (lire en ligne).
  41. « Cabrel, Nadau, Los Pagalhos… chantent ensemble pour Peiraguda », La République des Pyrénées, Pau, Groupe Sud-Ouest, (ISSN 0247-7807, lire en ligne).
  42. « Francis Cabrel et Jan de Nadau fêtent les 40 ans de Peiraguda », sur https://www.francebleu.fr/ ; site officiel de la radio France Bleu, .
  43. « Kendji et l'occitan », sur francebleu.fr, Toulouse,  : « Francis Cabrel utilise alors la mélodie du Se Canta dans le titre In Extremis (le Se Canta qui est considéré comme l'hymne occitan, et même dans les paroles il prend clairement la défense de la langue occitane. »
  44. « Langue occitane et hommage à Dutronc : Francis Cabrel se confie sur son 14ème album », sur https://www.europe1.fr/ ; site officiel de la radio Europe1, .
  45. François Delétraz, « Francis Cabrel prend la route des tournées aux accents médiévaux », Le Figaro, Paris, (ISSN 1241-1248, e-ISSN 0182-5852, OCLC 473539292, lire en ligne) :
    « Après cinq ans d'absence, Cabrel sort un nouveau disque avec pour la première fois une chanson en occitan. »
    .
  46. (fr + oc) Denis Salles, « Cont(r)adas Francis Cabrel » [émission Cont(r)adas], sur France 3 Nouvelle-Aquitaine, Bordeaux, .
  47. « L’hommage de Francis Cabrel à la langue occitane », La Dépêche du Midi, (ISSN 0181-7981, lire en ligne).
  48. Association voix du sud.
  49. « Menaces anonymes contre Francis Cabrel », LCI.fr, 9 octobre 2006.
  50. « Appel de 52 artistes en faveur du projet de loi », sur L'Obs (consulté le )
  51. (en) « Discographie - Francis Cabrel », sur Francis Cabrel (consulté le ).
  52. Francis Cabrel décoré par l'Académie française
  53. Décret du 10 novembre 1997 portant promotion et nomination dans l'ordre national du Mérite
  54. Francis Cabrel distingué par les belges, Sud Ouest, 22 avril 2014
  55. « Francis Cabrel : "Je n'ose plus regarder les Guignols" », Pierre Vavasseur, Le Parisien.fr, 4 juin 2000.
  56. « "C'était mieux avant" : 46 % des Français se sentent déclassés », Amélie Quentel, Libération.fr, 11 juillet 2016.
  57. « Histoire d’un titre : "Je l’aime à mourir" de Francis Cabrel », sur Nostalgie.fr (consulté le )
  58. Pascal Mateo, « Un vigneron nommé Cabrel », sur lepoint.fr, (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

  • Thomas Chaline, Cabrel, une vie en chansons, Hugo Doc, 2020.
  • Sandro Cassati, Francis Cabrel, un homme vrai, City, 2015.
  • Alain Wodrascka, Les chemins de traverse, L'Archipel, 2015.
  • Pascale Spizzo, Cabrel par Cabrel, Editions Le Cherche Midi, 2012.
  • Hugues Royer, Cabrel, Éditions Flammarion, 2010.
  • Pascale Spizzo, Francis Cabrel : 30 ans de chansons, Éditions Favre, 2007.
  • Méziane Hammadi, Francis Cabrel, le vagabond des étoiles, Éditions du Bord de l'eau, 2006.
  • Alain Wodrascka, Francis Cabrel, une star à sa façon, Éditions Didier Carpentier, 2005.
  • Carine Bernardi, Francis Cabrel, Édition Librio, 2004.
  • Maurice Téjédor, Francis Cabrel, retour sur images, Éditions Maurice Tejedor, 1999.
  • Pascale Spizzo-Clary, Du poète engagé au chanteur troubadour Francis Cabrel, Éditions Favre, 1997.
  • Claude Gassian, Hors saison, Francis Cabrel, Éditions Chandelle, 1997.
  • Hugues Royer, Francis Cabrel, Éditions du Rocher, 1994.
  • Marc Robine, Francis Cabrel, Éditions Seghers, le club des stars, 1987.

Liens externes

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