Sud Radio (France)
Sud Radio est une station de radio généraliste d'information générale, sociale, politique, économique, sportive et de débat, à dominante parlée et à vocation nationale. Station commerciale privée française de Catégorie E, elle est principalement diffusée dans le sud de la France et en région parisienne.
Pour les articles homonymes, voir Sud Radio.
Ne doit pas être confondu avec Radio Sud.
Pays | France |
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Siège social |
41 rue du Capitaine-Guynemer 92400 Courbevoie |
Propriétaire | Fiducial Médias (Fiducial) |
Slogan | Parlons vrai (2018) |
Langue | Français |
Statut | Radio privée de Catégorie E |
Site web | www.sudradio.fr |
Différents noms |
Andorradio (1958-1961) Radio des Vallées d'Andorre (1961-1966) Sud Radio (depuis 1966) |
Création | |
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Dates clés |
1981 : la radio quitte Andorre et devient entièrement française 1986 : autorisation d'émettre sur la bande FM 1994 : la radio diffuse dans 22 départements du sud 2011 : passage en catégorie E 2013 : vente de la radio au groupe Fiducial 2017 : fermeture des locaux à Toulouse, la radio devient 100 % parisienne |
AM | Non |
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FM | Oui |
RDS | Oui |
DAB+ | Oui |
Satellite | Oui |
Câble | Oui |
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ADSL | Oui |
Streaming | Oui |
Podcasting | Oui |
Originellement basée en Andorre afin de contourner la législation française interdisant les stations commerciales et privées, elle exploite la modulation d'amplitude avant d'être autorisée à émettre sur le sol français à partir des années 1980. Sa stratégie de développement l'a amenée à posséder des studios en trois endroits différents en Andorre (Andorre-la-Vieille), en France à Labège (en banlieue de Toulouse) et à Paris depuis 2017.
Sud Radio est une filiale de Fiducial Medias et est membre des Indés Radios et du Syndicat des radios indépendantes (SIRTI).
À partir des années 2010, Sud Radio est critiquée pour l'espace qu'elle accorde aux théories complotistes ou aux idées d'extrême droite.
Historique
1951-1966 : naissance d'une station périphérique
En 1951, un habitant des Vallées d'Andorre, Stanislas Puiggros, impliqué dans la création de Radio Andorre, mais en délicatesse avec ses associés, propose au gouvernement français de lui vendre la licence d'exploitation radiophonique qu'il a trouvée dans sa corbeille de mariage et datant de 1935. À la demande de Vincent Auriol, des négociations chaotiques commencent avec les autorités andorrannes pour la construction d'un émetteur. La mise en service se fait finalement le [1] et la station prend le nom d'Andorradio.
Le un accord est signé avec le Conseil des Vallées d'Andorre, d'après lequel deux stations sont dorénavant autorisées à émettre depuis l'Andorre pour une durée de vingt ans. D'un côté Radio Andorre plus tournée vers l'Espagne et l'international et de l'autre côté une radio orientée vers la France, qui pour éviter toutes confusions avec sa rivale changera de nom. Andorradio devient la Radio des Vallées d'Andorre.
En 1966, Radio des Vallées d'Andorre devient Sud Radio. L'émetteur, située en principauté d'Andorre au Pic Blanc non loin du Pas de la Case, est modernisé et obtient une puissance d'émission plus importante (900 kW). Grâce à ce puissant émetteur, Sud Radio va devenir une station périphérique très écoutée dans le Sud-Ouest de la France (régions Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon et Aquitaine).
1966-1981 : radio périphérique depuis l'Andorre
À cette époque, Sud Radio possède trois studios, le premier est situé 7 avenue Meritxell à Andorre-la-Vieille, le second est située rue d'Alsace Lorraine à Toulouse et le troisième dans les locaux de la Sofirad, rue du Colisée à Paris.
En 1981, la concession de Sud Radio arrive à échéance et les autorités andorranes décident de fermer l'émetteur du Pic Blanc.
Cette même année 1981, le monopole d'État accordé, depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale à Radio France pour la radiodiffusion depuis la France, est supprimé par le gouvernement dirigé par Pierre Mauroy sous la volonté du président François Mitterrand. Sud Radio obtient en l'autorisation d'émettre depuis Gauré (non loin de Toulouse) sur la même fréquence : c'est-à-dire 367 mètres ondes moyennes soit 819 kHz.
1981-1994 : station régionale française
En , Sud Radio reçoit l'autorisation d'émettre sur la bande FM française.
L'année suivante, les laboratoires pharmaceutiques Fabre prennent le contrôle de Sud Radio avec à leurs côtés, des investisseurs régionaux. En 1989, Sud Radio prend le contrôle, à hauteur de 75 %, de Wit FM alors détenue en totalité par le club professionnel de football des Girondins de Bordeaux.
En 1994, Sud Radio développe sa zone de diffusion, couvrant désormais 22 départements du sud de la France. Le chiffre d'affaires du groupe passe la barre des 100 millions de francs français en 1995. En 1997, le programme de Sud Radio est diffusé dans le bouquet radio de Canal Satellite. En 1998 les activités médias des laboratoires Fabre sont regroupées sous l'entité Sud Communication.
1994-2010 : émergence d'une radio à vocation nationale
Dès l'année 2000, toutes les émissions sont diffusées en numérique. En 2001, le CSA attribue quatre nouvelles fréquences à Sud Radio en Auvergne-Limousin (Brive, Ussel, Mauriac et le Puy en Velay). En , Sud Communication vend Sud Radio et Wit FM à Sudporters, holding codétenue par le groupe Start, les stations Alouette et Scoop, et par le fonds FEDERI[2]. Après RMC en 2000, pour la seconde fois en France une radio périphérique historique se fait reprendre par un ensemble de radios créées après la libéralisation des ondes de 1981[3]. Une nouvelle grille est lancée l'année suivante avec le nouveau format « Show et Info ».
En 2008, Sud Radio déménage ses studios à Labège près de Toulouse et installe un correspondant permanent à Marseille. Un émetteur permet la couverture de l'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence soit un bassin d'audience potentielle supplémentaire de plus de 1,3 million de personnes.
En 2009 un plan de sauvegarde est prononcé par le tribunal de commerce pour Sud Radio.
2010-2011 : passage de la radio en catégorie E
En , le CSA sélectionne Sud Radio en catégorie E à Clermont-Ferrand et à Limoges.
En , le CSA sélectionne Sud Radio en catégorie E à Paris sur la fréquence 99.9 FM. Elle a commencé à émettre en Île-de-France le sous le nom de Sud Radio Plus
En , sur le modèle de sa concurrente RMC, Sud Radio se lance dans une nouvelle grille de programmes en privilégiant la parole donnée aux auditeurs et souhaite exploiter la fin du « politiquement correct ». Un nouveau slogan apparaît alors : « Ouvrez-la ! »[4]. La radio enregistre dès lors les arrivées de Robert Ménard, Guillaume Tatu (ex Beur FM), Pascal Bataille (ex Nostalgie), Karim Hacène (ex Europe 1) et le retour de Gilles Tessier qui avait officié en 2010 aux commandes du jeu « Duel Gagnant »[5].
2011 : polémique survenue à la rentrée
Le , la radio organise un débat auprès de ses auditeurs afin que ces derniers donnent leur avis sur les circonstances de la libération de Dominique Strauss-Kahn, incarcéré pour viol sur une femme de chambre à New-York. Au cours de deux émissions consacrées à ce sujet, Cardoze-Mazet, liberté de parole et Ménard en liberté, plusieurs auditeurs font part à l'antenne de leur théorie concernant le « lobby juif » ou « l'argent des juifs », avec parfois des réactions timides voire complaisantes des journalistes animant l'émission. Si Michel Cardoze s'indigne des propos antisémites, son co-animateur Éric Mazet insiste sur le sujet[6].
Quant à l'émission Ménard en liberté présentée par le journaliste et homme politique Robert Ménard, elle connait aussi des dérapages d'auditeurs, notamment l'un qui qualifie Nafissatou Diallo, la femme de chambre violée par DSK, de « négresse » attirée par l'argent « comme toutes les femmes ». L'auditeur ajoute à cela un proverbe sur les violences conjugales qu'il attribue à tort aux Algériens. Robert Ménard s'indigne des propos tenus par cet auditeur qui les assume totalement[7].
Le , le Conseil supérieur de l'audiovisuel décide de mettre en demeure Sud Radio pour « propos discriminatoires »[8]. Sud Radio met aussitôt à pied Éric Mazet[9] qui est remplacé dès le par Laurence Peraud, aux côtés de Michel Cardoze pour la tranche 16 h - 18 h. Un article de fond sur l'affaire informe que « Au fil des années, la radio est passée d’une cinquantaine à une grosse dizaine de journalistes »[10].
Ces polémiques conduisent les Chevaliers du Fiel, duo d'humoristes stars, à quitter la radio. « Le différend porte sur l'état d'esprit de la nouvelle ligne éditoriale de la radio, à savoir une libre antenne avec les dérapages que cela induit. On est contre le fait qu'il se dise n'importe quoi à l'antenne. Artistiquement, cette ligne n'est pas tenable et nous ne voulons pas assumer » explique Eric Carrière au journal La Dépêche du Midi[11].
2011-2013 : processus de vente de la radio
Au printemps 2012, après avoir constaté et admis son échec dans le domaine de la radio généraliste, Jean-Éric Valli décide de vendre Sud Radio. Au mois de novembre des négociations exclusives avec Marc Laufer (ancien directeur général de NextRadioTV) sont en cours pour le rachat de la station[12].
Le , Sud Radio Groupe annonce avoir cessé les négociations avec Marc Laufer[13], ce dernier ayant modifié « substantiellement et unilatéralement l'offre qui lui avait permis d'entrer en négociations exclusives ». Marc Laufer est toujours « intéressé par le dossier » alors qu'en parallèle et selon le Figaro, Bernard Tapie avec La Dépêche du Midi pourrait participer à l'appel à candidature[14].
Le , le CSA valide finalement la cession de la radio au groupe Fiducial[15].
Le , le rachat de Sud Radio pour un montant de 7 millions d'euros au groupe Sud radio groupe par Fiducial medias est validé par le CSA[2]. Fiducial Médias s’est engagé à « renforcer et préciser les stipulations conventionnelles relatives à la part maximale du temps d’antenne consacrée à la musique au regard des autres programmes, notamment d’information et de divertissement, ainsi qu’à la place accordée au rugby dans les programmes, et pour la convention de catégorie B du service Sud Radio, aux horaires de diffusion des informations et rubriques du programme régional »[2].
2013-2016 : nouvelle approche éditoriale
Une attention particulière est portée au rugby afin que ce sport, historiquement lié à Sud Radio, soit valorisé et soutenu à l'antenne[16],[17].
En , Bruno Dubois rejoint Sud Radio en qualité de directeur de l'antenne de Sud Radio[18]. Le , Patrick Roger devient le directeur général de Sud Radio. La nouvelle grille, lancée le , est marquée par l'arrivée de Brigitte Lahaie de 14 h à 16 h, après son départ de RMC. Valérie Expert, André Bercoff, Jacques Pessis, Jean-Luc Petitrenaud, Philippe Verdier, Alain Marty, Nathalie Shraen-Guirma... Les émissions sont produites depuis les studios parisiens et réalisées depuis les studios toulousains durant toute la saison 2016-2017. Seuls les flashs et journaux sont produites à Toulouse.
Positionnements et controverses
À partir de 2011, puis 2019, la radio est accusée de pencher vers l'extrême droite et de soutenir des théories complotistes, ce qui lui vaut des controverses de la part de différents observateurs et médias, comme Acrimed, Conspiracy Watch, L'Obs, France-Soir[21],[22]. Selon la journaliste et humoriste belge Charline Vanhoenacker, les médias français sont complaisants avec l'extrême droite et banalisent les idées de Marine Le Pen, « surtout ceux comme Sud Radio dont les théories d’Alain Soral sont le fonds de commerce »[23],[24]. D'après le mensuel CQFD, la radio diffuse des « discours identitaires féroces » et banalise les idées d'extrême droite : André Bercoff, noyau dur de la radio et « collaborateur des sites fachosphériques », « distille à longueur d’ondes les thèses favorites de l’extrême droite »[25],[26].
Le , Rokhaya Diallo porte plainte contre une auditrice de la station qui avait proféré des injures racistes à son encontre, lors de l'émission Les Vraies voix, sans que Philippe Bilger, Céline Pina, le psychologue Jean Doridot, présents lors de l'émission, et le présentateur Philippe Rossi n'interviennent pour réagir en sa faveur et condamner les propos tenus. Au contraire, Philippe Bilger déclare : « Attention, Danièle Obono va vous tomber dessus ». Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) indique s'être saisi de l'affaire[27].
Sud Radio est controversée pour sa couverture de la pandémie de Covid-19. Selon Capital, elle « donne largement la parole aux « rassuristes » qui minimisent l’épidémie et ses conséquences ». La plateforme de vidéos YouTube retire une vidéo de décembre 2020 pour diffusion d'informations médicales inexactes, fausses ou trompeuses, lors d'une interview de Christian Perronne[28], invité régulier de la station, et menace de supprimer le compte de la radio[29].
Selon une vidéo de France Info, Sud Radio relaie pendant la pandémie de Covid-19 un monde « parallèle » de désinformation composé de « complotistes » et de médecins et scientifiques « rassuristes », tels Christian Perronne et Louis Fouché, ainsi que la généticienne Alexandra Henrion-Caude, désavouée par l'Inserm[30].
En 2021, dans le cadre de la pandémie de Covid-19, Sud Radio fait l'objet de critiques dans la mesure où elle relaie de nombreuses théories complotistes. Dans ces circonstances, en avril 2021, YouTube menace de supprimer la chaine de Sud Radio du fait de la diffusion de fausses informations[29],[31],[30],[32],[33],[34].
En 2022, après son éviction de BFM Radio et de RMC pour des accusations d'agression sexuelle, Sud Radio embauche Jean-Jacques Bourdin[35].
Identité de la station
Logos
- Logo d'Andorradio utilisé de 1958 à 1961
- Logo de Sud Radio en 1967
- Logo de Sud Radio utilisé de 1991 à 2014
- Logo alternatif de Sud Radio utilisé de 2006 à 2014.
- Logo de Sud Radio depuis le .
Slogans
- « Apprendre et comprendre » (2014)
- « Prenez la parole » (2017)
- « Parlons vrai » (2018)
Informations financières
La société Sud Radio, filiale de Fiducial Medias, a son siège à Courbevoie avec le SIREN 312148554. Au , son chiffre d'affaires est de 1 936 400 € et le résultat net de 46 500 €. Elle emploie 62 personnes[36].
Groupements
Sud Radio est membre des Indés Radios et du Syndicat des radios indépendantes (SIRTI)[37].
Programmation
De janvier à , Claude Hemmer dirige les programmes de Sud Radio. Sous la direction de Didier Maïsto, Christophe Bordet, rédacteur en chef, pilote la grille et les orientations éditoriales[38],[39].
Le programme comporte quotidiennement au moins douze heures d'informations et d'émissions à contenu éditorial à dominante parlée (rubriques, interviews, retransmissions et commentaires sportifs, débats et autres rendez-vous éditoriaux) en semaine, et au moins huit heures le samedi et le dimanche[40].
Sud Radio consacre une part importante de son antenne au sport[41]. L'actualité sportive est présente tous les jours, le week-end étant consacré au traitement des matches et tournois. Sud Radio a noué des partenariats de longue date avec des clubs de rugby, comme le Stade toulousain mais aussi de football avec le Toulouse FC ou de basket-ball avec l'Élan Béarnais.
À partir de l'hiver 2019-2020, Sud Radio devient le nouveau partenaire radio du e-Trophée Andros, 31e édition de la course automobile qui passe du même coup au tout électrique[42].
Diffusion
La zone de diffusion de Sud Radio en FM couvre 31 départements, issus des six régions suivantes : Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie, Île-de-France , Provence-Alpes-Côte d'Azur, Corse et Monaco.[réf. nécessaire]. Sud Radio est également diffusée en DAB+ dans les principales grandes villes.
Notes et références
- « Histoire de Sud Radio : 1958 », sur 100ansderadio.free.fr
- « Cession des stations Sud Radio et Wit FM à la société Sudporters », sur Conseil supérieur de l'audiovisuel,
- Sud Radio dans l'orbite des indépendants, sur Stratégies.fr
- Le Nouvel Observateur, Robert Ménard polémiquera bientôt sur Sud Radio, 22 juillet 2011
- Radio Actu, Sud Radio - La station met en place sa grille de rentrée et recrute Pascal Bataille, 17 août 2011
- Emmanuel Berretta, « « DSK et les juifs », le CSA examine le cas de Sud Radio », Le Point, .
- Emmanuel Berretta, « Affaire DSK : quand les auditeurs de Sud Radio dérapent », Le Point, .
- « « Lobby juif » : le CSA met en demeure Sud Radio », Le Monde, .
- Emmanuel Berretta, « DSK et les juifs » : Le CSA sanctionne Sud Radio pour « propos discriminatoires », Le Point, .
- « Sud radio: le dangereux business de l'auditeur en colère », Les Inrockuptibles, .
- « Toulouse. Les Chevaliers du Fiel claquent la porte de Sud Radio », La Dépêche du Midi, .
- « Sud Radio sur le point d'avoir trouvé un repreneur », Le Monde, .
- BFM TV, Marc Laufer ne rachètera pas Sud Radio, 14 février 2013
- Enguérand Renault, « Sud Radio convoitée par Tapie et La Dépêche », Le Figaro, .
- L'Opinion.fr - L'invisible Christian Latouche rachète Sud Radio et fait grossir son groupe de presse 8 septembre 2013
- « “Je ne veux pas de journalisme militant à l'antenne”, Didier Maïsto, président de Fiducial Médias (Sud Radio) », sur Télérama, (consulté le )
- Frédéric Brulhatour, « Le grand retour du rugby sur Sud Radio », sur La Lettre Pro de la radio, .
- Brulhatour, « Sud Radio : Bruno Dubois nommé directeur d'antenne », La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio, (lire en ligne, consulté le )
- « Sud Radio ferme définitivement ses locaux à Toulouse », sur technic2radio.fr, (consulté le ).
- Fabrice Valéry, « Pendant l’été, Sud Radio a quitté Toulouse : une dizaine de licenciements », Médias d'ici, (lire en ligne, consulté le )
- « Sud Radio : Robert Ménard offre une tribune à Meyssan », sur Conspiracy Watch, (consulté le ).
- « Le complotiste Étienne Chouard animera une émission sur Sud Radio » (version du 31 mars 2019 sur l'Internet Archive), France-Soir, .
- « Les Terriens », ONPC, Radio France : Charline Vanhoenacker se lâche dans une interview au « Parisien », Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- Benoît Daragon, « Charline Vanhoenacker : « Être premier, c’est le début des emmerdes » », Le Parisien, (consulté le ).
- « Sur Sud Radio, André Bercoff relance la théorie complotiste sur Mamoudou Gassama », L'Obs, (consulté le ).
- Jean-Sébastien Mora, « Depuis le nord, Sud Radio émet vers l'extrême droite », sur Acrimed, (consulté le )
- « Le CSA saisi après des injures racistes contre Rokhaya Diallo sur Sud Radio », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Réanimation, tests PCR, hydroxychloroquine : plusieurs déclarations du Pr Perronne sont fausses ou trompeuses », sur AFP Factuel, (consulté le ).
- Jamal Henni, « Sud Radio dans le collimateur de YouTube », Capital, (consulté le ).
- « Vrai ou Fake : voyage dans la galaxie des complotistes en temps de Covid », sur France Info, (consulté le ).
- « Covid-19. La chaîne YouTube de Sud Radio menacée de suppression ? », Ouest-France, .
- « Chronique des médias - Hold-up sur l’infodémie », sur Radio France internationale, (consulté le ).
- « Covid-19 : une surmortalité « relativement faible » même chez les plus de 65 ans, vraiment ? », sur LCI, (consulté le ).
- Jamal Henni, « Renaud Camus, Étienne Chouard… ces polémistes qui remplissent les caisses de Sud Radio », Capital, (consulté le )
- Sacha Nelken, « Evincé de BFM et RMC après des accusations d’agression sexuelle, Jean-Jacques Bourdin rebondit à Sud Radio », sur Libération (consulté le )
- « Sud Radio : Chiffre d'affaires, résultat, bilans », sur societe.com (consulté le )
- « Les Indés Radios au 1er décembre 2019 », sur les indesradios.fr (consulté le ).
- « Sud Radio est de retour », La Lettre Pro de La Radio, no 60,
- Jean-Charles Verhaeghe, « Sud Radio est de retour », sur lalettre.pro.
- « Programmes », sur sudradio.fr (consulté le ).
- « Sud Radio - « Rugby et Compagnie » revient sur la station », Radioactu, (lire en ligne).
- Brulhatour, « Sud Radio nouveau partenaire du trophée Andros », sur lalettre.pro, (consulté le ).
Annexes
Articles connexes
Liens externes
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