Europe 1
Europe 1, anciennement Europe no 1, est une station de radio généraliste de catégorie E créée le par Charles Michelson et Louis Merlin. Depuis 1974, la radio appartient au groupe Lagardère dont Vivendi (détenu par Vincent Bolloré) est devenu le premier actionnaire en juillet 2020.
Ne doit pas être confondu avec Europa 1.
Pays | France |
---|---|
Siège social | Paris |
Propriétaire | Lagardère News |
Financement | Lagardère News contrôlé à 100 % par Lagardère SCA |
Slogan | « Le Pouvoir de l'écoute » |
Langue | Français |
Statut | Généraliste nationale privée (catégorie E) |
Site web | europe1.fr |
Différents noms |
Europe no 1 (1955-1983) Europe 1 (depuis 1983) |
Création | |
---|---|
Sanction | (Voir la section dédiée) |
AM | Non |
---|---|
FM | Oui |
RDS | Oui |
DAB+ | Oui |
Satellite | Oui |
Câble | Oui |
---|---|
ADSL | Oui |
Streaming | Oui |
Podcasting | Oui |
Historiquement située rue François-Ier, dans le 8e arrondissement de Paris, la station diffuse ses programmes depuis à partir de la rue des Cévennes, dans le 15e arrondissement de Paris.
Depuis 2010, Europe 1 fait face à de mauvais résultats d'audience chroniques. Elle renouvelle fréquemment ses équipes et réorganise souvent sa grille de programmes. En 2021, le rapprochement avec le groupe Vivendi a créé une situation conflictuelle au sein de la rédaction et de son personnel. On assiste notamment à un mouvement de grève de six jours, inédit jusque là pour la station.
Historique
1939 - 1952 : les origines, un investisseur
L'origine de la station remonte à l'immédiat après-guerre en 1945, lorsque le financier Charles Michelson veut poursuivre ses investissements dans le secteur de la communication. Bénéficiaire en 1939 d'une concession pour exploiter une radio à Tanger, alors zone internationale, Michelson rachète la petite Radio Tanger pour en faire Radio Impérial, voix de la France pour son empire colonial. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Michelson doit céder cette radio au gouvernement de Vichy[1].
En 1945, le gouvernement français instaure un monopole d'État de la radiodiffusion et de la télévision à travers la Radiodiffusion française. L'auditeur peut cependant écouter trois stations de radio privées à l'étranger, Radio Andorre, RMC et Radio-Luxembourg. Michelson, en dédommagement de Radio Tanger, veut obtenir Radio Andorre mais l'opération, qui déchaîne les passions du monde journalistique et politique, n'aboutit pas. Il obtient alors en compensation 98 millions de francs, ainsi que, pour une durée de cinq ans, la fréquence en ondes courtes de Radio Monte-Carlo, majoritairement détenue par la Sofirad et de fait par l'État français. Mais ces ondes courtes ne bénéficient d'aucune écoute de masse. Aussi Michelson réussit à transformer, le , cette concession en une option pour l'exploitation financière de la chaîne de télévision Télé Monte-Carlo, dans la principauté, grâce à une décision du ministre concerné sur le départ, François Mitterrand[2]. Il crée à cette fin la société de droit monégasque Image et Son[3], avec l'appui de la Société monégasque de banques et de métaux précieux[4].
Poursuivant ses investissements, Michelson prépare en secret le lancement de Télé-Sarre et de la radio périphérique Europe No 1[5]. En 1952, le monopole de la télévision et de la radiodiffusion dans le protectorat français de la Sarre, indépendant de la République fédérale d'Allemagne (RFA), est attribué à M. Michelson et à sa société. En contrepartie de la création d'une chaîne de télévision germanophone régionale baptisée Télé-Saar, il obtient des autorités sarroises la concession d'un émetteur de forte puissance pour une « périphérique », échappant au monopole français de la radiodiffusion. Il regroupe ses radios et télévisions dans la holding Image et Son. Pour la diffusion, un émetteur est construit en Sarre, près de Sarrelouis, sur le plateau du Felsberg qui, d'après des études des techniciens du IIIe Reich faites à la demande d'Hitler, serait le meilleur endroit pour couvrir toute la France[6].
1952 - 1955 : origine du nom, premières équipes, premières émissions
Pour concevoir les programmes de la nouvelle station périphérique, Michelson recrute Louis Merlin, artisan du succès de Radio Luxembourg.
Il embauche également Pierre Sabbagh, le créateur du journal télévisé français, pour diriger la rédaction et Pierre Delanoë pour diriger les programmes de la station qui privilégient alors la musique pop. Europe no 1 s'installe au 26 bis rue François Ier à Paris, dans les anciens studios de Voice of America.
La station prend le nom d'Europe no 1 sur une idée de Louis Merlin, ainsi que celui-ci l'indique dans ses Mémoires : "On m'a souvent demandé comment et pourquoi j'avais choisi ce nom. Les causes en sont multiples et simples. Lorsqu'à la fin de 1953 je rêvai à un avenir nouveau et à la possibilité de créer une station nouvelle (que je croyais alors devoir être de télévision), je pensais qu'il fallait adopter un nom différent des autres, qui tournaient tous autour de Radio ou Télé-quelque-chose. De plus, cette station idéale devait être dans mon esprit le premier poste "européen". Enfin, cela ne me déplaisait pas d'annoncer qu'il serait "No 1". Les expressions "le premier", "le meilleur", "le plus grand", etc., portent toujours sur le public[7]."
Pour attirer de nouveaux annonceurs publicitaires, Louis Merlin pense que la station doit séduire une « foule indécise et indéfinie qui souhaite autre chose que la facilité populaire de Radio Luxembourg (RTL) et la pompe de la RTF » et décide que la station doit prendre le contre-pied de Radio Luxembourg sur les aspects suivants[8] :
- attitudes des speakers ;
- impression sonore de la publicité ;
- place de l'information ;
- attitude des journalistes dans les bulletins d'information ;
- importance donnée à la thématique sociale ;
- le direct dans les journaux d'information ;
- style des passages musicaux.
La première émission, expérimentale, a lieu le à 6 h 30[9] et commence par "Bonjour l'Europe !" dit par Micheline Francey, on y diffuse une chanson de Gilbert Bécaud[10], mais elle doit s'interrompre 30 minutes plus tard car elle perturbe d'autres émetteurs, notamment le radiophare de l'aéroport de Genève[11]. Durant les jours suivants, Europe no 1 change plusieurs fois de fréquence, brouillant l'émission d'autres stations européennes qui protestent. Ainsi, le , Radio Luxembourg est parasitée et bien qu'elle-même ne bénéficie alors d'aucune autorisation officielle, entend protester vigoureusement. Ces difficultés font connaître la station auprès du grand public grâce aux journaux qui y consacrent de nombreux articles[12]. Quasi inaudible et sans ressources, la station fait appel au soutien financier de ses auditeurs qui en huit jours, la sauvent de la disparition en lui faisant parvenir 19 millions de Francs par la poste[11].
Il faut attendre le pour que la station Europe no 1, reprenne l'ancienne fréquence de Radio Paris, proche de celle (185 kHz) du Deutschlandsender de la R.D.A. orientée vers l'est[13], en se fixant sur 1 647 m grandes ondes (182 kHz) depuis un émetteur de 400 kW situé sur le plateau du Felsberg, près de Sarrelouis (Saarlouis) en Sarre alors sous protectorat, ce qui lui donne la liberté de disposer à son gré de l'attribution de fréquences de radio-télévision[14].
Les premiers animateurs de la station sont Roger Duquesne, Robert Marcy, Guy Vial, Jean-François Mansart, Maurice Gardett et Anne-Marie, Eric Lipmann, Roméo Carles et Maurice Biraud[15].
Les informations sont confiées à Maurice Siégel, ancien rédacteur en chef de Paris-Presse l'Intransigeant (patron Pierre Lazareff) assisté de Jean Gorini. De futures stars comme Jacques Paoli, André Arnaud, Albert Ducrocq ou Michel Anfrol y feront leurs débuts.
Pierre Laforêt, journaliste et producteur, dirige un "Think Tank" où travaillent des créatifs comme Jacques Chancel, Pierre Bouteiller, Michel Anfrol, Pierre Bellemare, Jacques Antoine ou Eric Lipmann.
Parmi les programmes qui contribuent à la notoriété d'Europe no 1 dès 1955, figure l'émission « La question » consacrée à la torture en Algérie, un sujet refusé par les stations et chaînes publiques. La situation de l'émetteur en Sarre lui garantissant une certaine indépendance pour parler de cette actualité taboue, à l'instar de sa concurrente directe Radio Luxembourg[16].
Dès 1956, Pierre Bellemare et Jacques Antoine amorcent une idée qui va devenir l'émission légendaire "Vous êtes formidables!". La première émission sera consacrée au sauvetage de l'association "Jeunesses Musicales de France" qui retrouvera un équilibre financier grâce aux dons des auditeurs. Juste après, l'opération "Cœurs d'Enfants" permettra de récolter, en 24 heures, avec ses amis Raymond Savignac, Eugène Schueller, Claude Chapeau et Robert Charles Sainson, un fonds suffisant pour créer un hôpital spécialisé dans les maladies cardiaques infantiles.
1955 - 1959 : reprise en main par l'État
En , Sylvain Floirat est appelé par le gouvernement français pour reprendre la société Europe no 1, dont le sort incertain consécutif aux premières difficultés de la station, déclenche la polémique à l'Assemblée nationale. Michelson cède l'entreprise qu'il a créée à la future Sofirad, pour une somme estimée comme considérable pour l'époque, soit 245 millions de francs. L'État en devint propriétaire au mois de . La régie publicitaire Régie no 1 est créée en 1960. Toutefois en 1962, après le succès remporté par la station, Michelson tente de renégocier cet accord auprès des tribunaux, en vain. La polémique qui s'ensuit atteint le sommet des États français et monégasque. La presse relate alors ces péripéties dont un article des quotidiens Le Monde daté du et Le Figaro, le jour suivant.
En 1959, les difficultés financières de la station entraînent un retrait d'actionnaires. L'État en profite pour prendre le contrôle d'une partie du capital (35, 76 %) de la société par l'intermédiaire de la SOFIRAD[17].
1959 - 1974 : nouveautés journalistiques, modernité
La naissance de la station coïncide avec l'apparition de trois inventions qui engendrent une influence significative sur son style : le nagra (magnétophone portable procurant une plus grande souplesse d'intervention et d'autonomie aux reporters), le transistor qui favorise l'écoute individuelle de la radio en déplacement notamment, celle des jeunes ainsi que le disque microsillon lequel permet de substantielles économies pour la rediffusion d'œuvres musicales en grande qualité.
Maurice Siegel modifie sensiblement le style des journaux parlés, permettant à Europe no 1 d'acquérir une certaine réputation dans le domaine de l'information. Il crée les premiers flash infos, met fin aux speakers, les journalistes venant eux-mêmes présenter leurs papiers. Il fait également évoluer les journaux parlés de l'information pure vers les magazines et développe la pratique du radio-reportage[18].
Parmi les premières émissions à succès d'Europe no 1, on compte « Pour ceux qui aiment le jazz » et le « café de l'Europe » (1955), « Signé Furax » et « Vous êtes formidables » (1956), ou encore « Salut les copains » et « La Coupe des reporters » (1959).
Lors des événements de Mai 68, le journaliste Julien Besançon assure pour la station la couverture en direct des affrontements parisiens entre étudiants et forces de l’ordre et des premières nuits de barricades au Quartier latin. D'autres reporters de la station sont également sur le terrain : Fernand Choisel, Gilles Schneider, François Jouffa. Europe no 1, alors surnommée par certains « Radio Barricades », est accusée par les autorités de donner une version trop favorable aux manifestants des événements de mai 68. Le ministre de l'Intérieur, estimant que les reportages en direct des radios périphériques (dont Europe no 1) créent un danger pour l'ordre public, interdit l'usage des voitures émettrices durant plusieurs jours. Sur ordre de Matignon, le ministre de l'Intérieur fait également couper les fréquences des stations périphériques pour contrer la diffusion en direct des manifestations. Plusieurs journalistes jugés trop engagés sont licenciés l'année suivante, à l'instar des antennes radio et télévision du service public.[réf. souhaitée]
En 1974, le nouveau président de la République Valéry Giscard d'Estaing et son Premier ministre Jacques Chirac, accusant la radio de « persifler », poussent le directeur Maurice Siegel et plusieurs autres dirigeants à la démission[17].
1974 - 1986 : ère de l'information, concurrence de la FM, privatisation
En 1974, Jean-Luc Lagardère reprend donc en main la société[19], assisté d'Étienne Mougeotte, directeur d'antenne. À partir de 1976, la radio parvient en tête des audiences, devant RTL puis France Inter. Durant ces années 1970, Europe No 1 est alors la grande station de l'information, avec ses flashes et ses journaux présentés par André Arnaud (Europe Midi et Europe Soir), ses signatures journalistiques (Jean-Claude Dassier, Guillaume Durand, Olivier de Rincquesen, Jean-François Kahn, Jean-Pierre Joulin…), et ses correspondants ou envoyés spéciaux (François Ponchelet, Alexandre Fronty, Patrick Meney) présents sur tous les points chauds du monde.
Après l'élection de François Mitterrand en 1981, Étienne Mougeotte est amené à démissionner. La gauche met en place la nouvelle direction et s'immisce dans les choix éditoriaux de la radio, à l'instar du pouvoir précédent. Les radios privées désormais autorisées sur la bande FM ponctionnent une partie de l'audience d'Europe 1 qui amorce alors son déclin. Philippe Gildas prend la tête de la direction de l'antenne. Sont créés le Top 50 et de nouvelles émissions insolentes, comme « Radio Libre à… » animée par François Jouffa et Viviane Blassel, parmi lesquelles le rendez-vous animé par Coluche. Toutefois, l'ensemble des radios généralistes voient fondre leur audience face aux radios FM et face aux émissions télévisées de plus en plus efficaces.
Le , Europe no 1 change officiellement de nom et devient Europe 1 (même si le nom Europe 1 est utilisé à l'antenne depuis la fin des années 1960)[20]
Le , la SOFIRAD vend à Jean-Luc Lagardère et à sa société Hachette sa participation de 34,9 % dans Europe 1. La radio est ainsi complètement privatisée[17].
1987 - 1996 : chute de l'audience
La station connaît un fort déclin lors de la saison 1994-1995. D'après les mesures de Médiamétrie, Europe 1 passe sous la barre des 10 % d'audience entre avril et , passant derrière France-Info[21]. La station parvient à remonter à 10,1 % entre novembre et , mais recule à 9,5 % au premier trimestre 1996[22].
1996 - 2010 : recentrage sur l'information
Sous fond de crise, Jérôme Bellay, le créateur de France Info, devient directeur général de l'antenne en [23]. Sous sa houlette, la station met en place un format « News et Talk » et réduit considérablement les émissions musicales (notamment Vinyl Fraise par François Jouffa, le Top de Marc Toesca et Les classiques d'Europe 1 par Philip de la Croix) de divertissement et de jeux (Gérard Holtz, Jean Roucas, Pascal Brunner, François Jouffa et Arthur sont remerciés). La nouvelle programmation alterne tranches d'information et interactivité avec les auditeurs[24]. Par ailleurs, le célèbre carillon marquant les heures de la station est changé et la diffusion se fait désormais en voie monaurale.
En , la station, au meilleur de sa forme, est écoutée par 5,5 millions de personnes[25].
En , Europe 1 compte 192 fréquences à travers la France.
Le , Arnaud Lagardère, président-directeur général de Lagardère Active, pôle audiovisuel de Lagardère SCA, nomme Jean-Pierre Elkabbach directeur général de l'antenne d'Europe 1, en remplacement de Jérôme Bellay, et administrateur de Lagardère Active Broadcast. La rentrée 2005-2006 est marquée par un nouveau logo, un nouveau slogan (« Parlons-nous! ») et un nouvel habillage sonore, qui s'accompagne d'une légère modification du fameux carillon, emblème de la station.
Le , Alexandre Bompard, directeur des sports de Canal+ depuis 2005, devient président de la station, et de sa filiale Sport, à la place de Jean Pierre Elkabbach. Ce dernier, qui conserve son interview quotidienne ainsi que son interview dominicale sur Europe 1, prend la tête de Lagardère News, le nouveau pôle de coordination des médias de Lagardère SCA[26],[27]. Alexandre Bompard modifie considérablement l'équipe et la grille des programmes[28]. Il renforce le sport à l'antenne avec notamment des émissions sportives de 15 h à 23 h chaque week-end[29]. Pour diriger les sports, il compte sur Thierry Clopeau[30], assisté de Laurent Jaoui[31], tous deux venus de France Télévisions.
La station gagne des auditeurs et dépasse dès le cap des 5 millions d'auditeurs chaque jour selon Médiamétrie.
2009 - 2016 : des mutations en permanence
La rentrée 2009 marque un changement de position pour la radio, qui renoue avec une grille plus généraliste. Pour accompagner cette évolution, un nouveau slogan est adopté : « Bien entendu ». En , Alexandre Delpérier est mis à pied pour avoir présenté une conférence de presse de Raymond Domenech et de Thierry Henry comme un entretien exclusif[32], et démissionne quelques jours plus tard[33].
La rentrée 2010 se caractérise par un recentrage sur l'information[34].
En , après le départ d'Alexandre Bompard fin 2010 et l'annonce d'audiences décevantes avec une perte de 500 000 auditeurs en un an, Nicolas Demorand et Marc-Olivier Fogiel annoncent tour à tour qu'ils quittent la station[35]. Denis Olivennes est alors le directeur général d'Europe 1. À la rentrée de , l'animateur de la matinale est remplacé, cette matinale est restructurée, les soirées sont remaniées.
Pour la rentrée 2013, avec la première grille sous la direction de Fabien Namias, la station tente une communication originale avec une campagne de publicité s'inspirant des affiches électorales en prévision des élections municipales de 2014[36]. Le slogan s'adapte en conséquence et devient « Europe 1 réveille les Français ».
À la suite du départ de Laurent Ruquier pour RTL en 2014, Europe 1 connaît à nouveau de grands mouvements sur sa programmation pour la saison 2014-2015.
Le , Europe 1 fête son anniversaire et ses 60 ans d'existence en faisant venir à l'antenne toutes les grandes voix qui ont fait les riches heures de la station[37].
2016 - 2020 : état d'urgence face à la concurrence
Mis en cause simultanément dans deux affaires de mœurs, Jean-Marc Morandini est mis en retrait par la direction d'Europe 1[38]. Cyril Hanouna, dont l'émission Les Pieds dans le plat n'est pas parvenu à surmonter les mauvaises audiences après le départ de Laurent Ruquier, quitte également la station[39]. Alessandra Sublet lui succède.
Le , Fabien Namias est remplacé par Richard Lenormand à la direction générale d'Europe 1[40]. En même temps, Jean-Pierre Elkabbach quitte Europe 1[41]. En juin 2017, c'est l'ex directeur adjoint du Parisien, Donat Vidal Revel, qui est nommé à la direction de l'information.
Le sondage Médiamétrie pour la période indique qu'Europe 1 est dépassée par Franceinfo et égalée par RMC en terme d'audience cumulée. Une motion de défiance contre la direction, rebaptisée « motion d'état d'urgence », est votée à l'unanimité par le personnel d'Europe 1[42] Le , Arnaud Lagardère prend la présidence d'Europe 1 à la place de Denis Olivennes[43], recrutant Frédéric Schlesinger le [44]. Le , Frédéric Schlesinger devient vice-président du pôle FM de Lagardère, regroupant les stations Europe 1, Virgin Radio et RFM. Le , la presse révèle la nouvelle organisation interne autour d'Europe 1, voulue par Frédéric Schlesinger[45] : Emmanuel Perreau est installé comme directeur délégué d'Europe 1, aux programmes et à l'antenne, Nathalie André disparaissant du nouvel organigramme, Jean Béghin, autre débauché de Radio France, est nommé adjoint du pôle radio de Lagardère Active, Donat Vidal est nommé directeur délégué à l'information, et Bérengère Bonte est nommée directrice adjointe de la rédaction d'Europe 1.
Lors de la saison suivante, Europe 1 signe la plus mauvaise rentrée de toute son histoire, soit depuis sa création en 1955, et se retrouve derrière RTL, France Inter, France Info et RMC[46]. Début 2018, la chute de l'audience se poursuit avec une perte de 810 000 auditeurs en un an, le point noir étant selon Le Figaro la matinale de Patrick Cohen qui fait fuir les auditeurs les plus conservateurs et n'aurait pas attiré ceux de France Inter[47]. Un peu plus d'un an après l'arrivée de Frédéric Schlesinger et la mise en place de son organisation autour de lui, il est remplacé, le , par le nouveau vice-président Laurent Guimier, Guy Birenbaum devenant son conseiller[48].
La chute d'audience se poursuit pendant la saison 2018 - 2019. En , la station enregistre sa treizième baisse consécutive enregistrée par la station malgré l'optimisme de Laurent Guimier[49]. D'autre part, le , le tribunal des prud'hommes reconnaît le licenciement sans cause réelle et sérieuse de l'ex-directeur de l'information d'Europe 1, Fabien Namias, et condamne Europe 1 à lui verser 411 500 euros[50]. Le , les chiffres publiés par Médiamétrie sont accablants pour Europe 1[51]. En parallèle, une contestation de plus en plus importante émane de la part des employés de la radio qui préparent une motion de défiance à l'encontre d'Arnaud Lagardère[52],[53]. Le , cette motion de défiance contre Arnaud Lagardère, PDG d'Europe 1, est adoptée lors d'une assemblée générale des salariés[54]. Le , Arnaud Lagardère tient à rassurer les salariés d'Europe 1. « On ne vendra pas Europe 1 », assure-t-il avant d'indiquer qu'il compte rencontrer les salariés afin de les rassurer sur ses intentions de relancer la radio[55],[56]. Le , les salariés adressent une nouvelle lettre ouverte à Arnaud Lagardère pour dénoncer « l'absence criante de stratégie » dans un contexte de dégringolade des audiences[57],[58].
Début , le départ de Laurent Guimier est annoncé[59],[60]. Il est remplacé par Constance Benqué[61],[62]. Sur la vague , Europe 1 n'est plus écoutée que par 2,7 millions de Français, ayant encore perdu en un an près d'un million d'auditeurs. Le , Arnaud Lagardère est présent lors de la conférence de rentrée d'Europe 1. Pour la première fois depuis son arrivée en 2003, le propriétaire de la radio participe à cette conférence où il a réaffirmé son intention de ne pas vendre Europe 1 mais au contraire de poursuivre sa tentative de redressement[63],[64].
Le , la station coupe son émetteur historique ondes longues après 64 ans d'émission[65], pour des raisons économiques.
Depuis 2020 : poursuite du déclin d'audience et rapprochement avec le groupe Vivendi
Le , Europe 1 signe à nouveau sa plus faible performance historique à 2,43 millions d'auditeurs, se retrouvant battue par France Inter, RTL, NRJ, France Info, RMC, Skyrock, France Bleu et Nostalgie[66]. Or, depuis ce mois de , le groupe Vivendi, détenu par Vincent Bolloré est devenu le premier actionnaire du groupe Lagardère, propriétaire d'Europe 1[67]. Il pousse alors en faveur d'une orientation éditoriale plus à droite de la station[68].
La possible nomination de Louis de Raguenel[69], jusque là directeur de la rubrique Défense et International du journal Valeurs actuelles et ancien cadre de l'UMP, à la tête du service politique de la station suscite de fortes réactions parmi le personnel[70]. En , après de vives protestations de la part des journalistes de la radio, Louis de Raguenel n'est finalement pas nommé à la tête du service politique mais à un poste d'adjoint du service politique, et il participera aux conférences de rédaction[71],[72].
Europe 1 ajuste de nombreuses fois sa grille de programmes durant les premiers mois de la saison[73].
Au mois d', la direction d'Europe 1 annonce l'ouverture prochaine d'une rupture conventionnelle collective portant sur une quarantaine de postes, notamment à la direction de la rédaction et à la direction des technologies[74],[75].
En juin, « sur fond de rapprochement avec la chaîne d’informations CNews » de Vincent Bolloré[76],[77], 70 % de la rédaction se déclare en grève à la suite des difficultés rencontrées par Victor Dhollande, un journaliste qui a été mis à pied après un accrochage avec une directrice des relations humaines qui a enregistré une réunion[78]. Les salariés dénoncent le management très agressif de la radio et les menaces de Vincent Bolloré. Pendant ce temps, plusieurs animateurs et journalistes ont annoncé leur départ, parmi eux: Patrick Cohen, Julie Leclerc, Laurent Cabrol, Nicolas Canteloup, Julien Pearce, Bertrand Chameroy, Eva Roque, Jimmy Mohammed, Émilie Mazoyer, Wendy Bouchard et Julian Bugier (à cause de son arrivée au 13 h de France 2). Enfin, Emmanuel Duteil, le chef du service économie-social quitte la station le 1er février 2022[79].
Le quotidien Libération relève que le directeur de l'information d'Europe 1, Vidal Revel, n'a pas tellement de tolérance pour les idées de gauche et a donné pour consigne de diffuser le moins possible de paroles de syndicalistes lors des mouvements sociaux[80].
Les données d'audience continuent de s'effondrer : la station comptabilise 2,3 millions d’auditeurs en 2021, en baisse de 448 000 en un an, contre 6,9 millions, en augmentation, pour France Inter[81].
La grille 2021-2022 est caractérisée par l'arrivée de nouvelles voix à l'antenne : l'ancien journaliste de Radio Classique et chroniqueur de CNews, Dimitri Pavlenko, est nommé aux commandes de la matinale. Dans le même temps, d'anciens visages de la station tels que Romain Desarbres et Laurence Ferrari, journalistes de la chaîne CNews, présentent les tranches d'info de la mi-journée et du soir.
Identité de la station
Siège
Le siège social historique d'Europe 1 était situé au 26 bis, rue François-Ier dans le 8e arrondissement de Paris jusqu'en 2018[82].
Le , le siège social est transféré près du quai André-Citroën (1 rue des Cévennes), dans le 15e arrondissement, dans l'ancien siège de Canal+. Se sont installés au même endroit Paris Match, Le Journal du Dimanche, RFM et Virgin Radio[83],[84].
Le siège actuel de la radio est situé au 2 rue des Cévennes dans le 15e arrondissement de Paris[85].
Capital
Historiquement, à la suite du désengagement du groupe Lagardère de ses activités médias, la branche Lagardère Active est scindée en cinq pôles en 2020, le pôle news regroupant les radios Europe 1, Virgin Radio (France), RFM et les deux titres de presse Le Journal du dimanche et Paris Match[86]. Cette nouvelle entité Lagardère News reste contrôlée à 100 % par Lagardère SCA.
La société Europe 1 Télécompagnie[note 1] édite et diffuse les programmes d'Europe 1 en étant détenue à 100 % par Lagardère News.[réf. souhaitée]
Studios
Europe 1 dispose de cinq studios dit « antenne », désignés par le nom de personnalités ayant marqué la station. Il y a précisément deux studios principaux : le studio « Jean-Luc Lagardère » et le studio « Coluche », et deux studios publics : le studio « Louis Merlin » et le studio « Pierre Bellemare »[87].
En effet, depuis le décès de Pierre Bellemare, grande figure de la station, la direction a décidé de baptiser son grand studio public (jusqu'à présent appelé "Espace") du nom de cette grande voix. L'inauguration de ce studio s'est déroulée le pendant la matinale de Nikos Aliagas en présence de son fils, Pierre Dhostel et de Franck Riester, alors ministre de la Culture. Ce studio comprend un auditorium d'une centaine de places destiné à accueillir des émissions en public[88].
Il existe enfin un studio de secours, servant aussi aux enregistrements des podcasts inédits : le studio « Maurice Siegel ».
Identité visuelle (logo)
- De 1955 à 1965.
- De 1965 à 1975 (1re version du 2e logo).
- De 1975 à 1990 (2e version du 2e logo).
- De 1990 à 2001 (3e version du 2e logo).
- De 2001 à 2005.
- De 2005 au .
- Depuis le .
- Version alternative, utilisée sur le site internet de la radio, depuis 2016.
Slogans
- 1965 à 1975 : « Je choisis, Europe 1 ! »
- 1975 à 1981 : « Europe 1, c'est naturel. »[89]
- 1981 à 1983 : « Europe 1, la radio libre de choc. »[90]
- 1983 à 1986 : « De grands moments, à chaque instant. »
- 1986 à 1995 : « Europe 1 c'est la pêche[91]. »
- 1996 à 2000 : « A quoi sert l'info si on ne s'en parle pas ? »
- 2000 à 2001 : « Europe 1, c'est bien. »
- 2001 à 2005 : « Europe 1, ça me parle. »[92]
- 2005 à 2009 : « Parlons-nous. »[93]
- 2009 à 2013 : « Europe 1, bien entendu. »
- 2013 à 2014 : « Europe 1 réveille les Français. »
- 2014 à 2016 : « Europe 1 Un temps d'avance[94]. »
- 2016 à 2018 : « Europe 1, Mieux capter son époque[95] »
- 2019 : « Europe 1, bien dans son époque »
- 2019 à 2021 : « Écoutez le monde changer[96] »
- Depuis 2021 : « Le pouvoir de l'écoute »[97]
Voix antenne
Voix off actuelles :
- voix masculine : Hervé Lacroix (2008-2016, depuis 2021) ;
- voix féminine : Barbara Gateau[98] (2013-2018 / depuis 2019 ).
Anciennes voix off :
- Sandrine Vendel (2006-2013) ;
- Catherine Nullans (2018-2019) ;
- Patrick Mancini (2016-2021) ;
Carillon
"Le Carillon" dit d'Europe 1, est mis en service en 1955. Il exploite un appareil physique relié à une pendule, qui se déclenche automatiquement chaque heure, sauf cas exceptionnel lors des allocutions du chef de l'État[99].
En 1996, lors de l'arrivée de Jérôme Bellay à la direction de la station, le Carillon est déclenché uniquement sur commande du technicien pour gagner en souplesse à l'antenne[99].
Le Carillon est réorchestré et numérisé en 1998[100].
Il est réorchestré plusieurs fois depuis 1998 et fait l'objet de versions spéciales selon les événements de la station (fait historique, match de foot, Noel etc)[101].
Les notes historiques du Carillon en do majeur (sol sol mi / sol mi do) correspondent à l'indicatif d'ouverture d'Europe 1, composé par Raymond Lefebvre[102].
Personnel de la station
Équipes dirigeantes
- 1955 - 1974 : Jean Frydman, cofondateur de la station, dirigeant[précision nécessaire][103]
- 1974 - 1981 : Etienne Mougeotte, directeur général de l'antenne
- 1974 - 1996 : Jean-Luc Lagardère (président)
- 1981 - 1986 : Philippe Gildas, directeur général de l'antenne
- - : Denis Jeambar, directeur général de l'antenne
- - : Jérôme Bellay, directeur général de l'antenne[104] [source insuffisante]
- - : Jean-Pierre Elkabbach, directeur général de l'antenne [réf. souhaitée]
- - : Alexandre Bompard, président de la station
- - : Denis Olivennes, directeur général[105]
- - : Fabien Namias (directeur général de l'antenne)[40]
- - : Nathalie André (directrice des programmes)[106]
- - : Richard Lenormand (directeur général de l'antenne)[40]
- - : Arnaud Lagardère (président[107])
- - : Frédéric Schlesinger (vice-président[108])
- - : Laurent Guimier (vice-président[109])
- Depuis le : Constance Benqué (vice-présidente puis présidente) (en intérim puis titulaire)[110]
- Depuis le : Stéphane Bosc (directeur de l'antenne et des programmes)[111]
Équipes à l'antenne
La station Europe 1 emploie sur son antenne plusieurs types de professionnels, parmi eux des animateurs, des journalistes, des chroniqueurs, des consultants, des correspondants à l'étranger, des grands reporters, des humoristes.
Animateurs, journalistes, chroniqueurs et consultants actuels
- Elisabeth Assayag (2002-)
- Didier Barbelivien (2016, 2021-)
- Nicolas Barré
- Louise Bernard
- Stéphane Bern (1992-1997, 2020-)
- Nicolas Beytout (2017-2022)
- Matthieu Bock
- Bérénice Bourgueil (2021-)
- Nicolas Bouzou (2020-)
- Nicolas Carreau (2007-)
- Gérard Carreyrou (1976-1992, 2010-)
- David Castello-Lopes (2020-)
- Laurie Cholewa (2021-)
- Michèle Cotta
- Valérie Darmon (2010-)
- Laure Dautriche (2008-)
- Olivier Delacroix (2018-)
- Louis de Raguenel (2020-)
- Romain Desarbres (1999-2004, 2021-)
- Pierre de Vilno (2003-)
- Émilie Dez
- Bruno Donnet (2012-2015, 2017-2018, 2021-)
- Marlène Duret (2016-)
- Laurence Ferrari (1986-1997, 2021-)
- Mélanie Gomez (2014-)
- Lionel Gougelot (1995-)
- Sébastien Guyot (2010-2011, 2014-)
- Anissa Haddadi (2013-)
- Didier Hameau
- Vincent Hervouët (2017-)
- Romane Hocquet (2017-)
- Christophe Hondelatte (2016-)
- Christophe Lamarre (1997-)
- Martin Lange (jusqu'en 2022)
- Marc-Antoine Le Bret (2012-2016, 2021-2022)
- Thierry Léger
- Philippe Legrand (2018-)
- Alexandre Le Mer (2021-)
- Albane Leprince (2021-)
- William Leymergie (2006-2008, 2021-)
- Stéphanie Loire (2021-)
- Sonia Mabrouk (2013-)
- Laurent Mariotte (2018-)
- Lisa-Marie Marques (2021-2022)
- Fanny Marsot (2018-)
- Axel May
- Anicet Mbida (2015-)
- Lénaïg Monier (2019-)
- Isabelle Morizet (2001-2008, 2012-)
- Catherine Nay (1975-)
- Dimitri Pavlenko (2021-)
- Roland Perez (1996-)
- Virginie Phulpin (2019-)
- Olivier Poels (2012-)
- Clémentine Portier-Kaltenbach (2020-)
- Ombline Roche (2014-)
- Lionel Rosso (1996-2005, 2014-)
- Marion Sauveur (2008-)
- Frédéric Taddéï (2005-2011, 2013-)
- Sophie Tusseau (2017-)
- Philippe Vandel (2017-)
- Julia Vignali (2016-2017, 2021-)
- Charles Villeneuve
- Hélène Zélany (2000-)
- Vanessa Zha (2000-)
Anciens animateurs
- Mouloud Achour (2021-2022)
- Aline Afanoukoé (2009-2011)
- Nikos Aliagas (2011-2019)
- Christophe Nicolas (2021)
- Jean-Philippe Allain (1970-1978)[réf. souhaitée]
- Yann Arribard
- Arthur (1992-1996)
- Laurent Baffie (2007-2011)
- Pierre-Louis Basse (jusqu'en 2004 puis 2005-2011)
- Christian Barbier (1967-1998)
- Pierre Bellemare (1955-1986)
- Francis Blanche
- Maurice Biraud
- Laurence Boccolini (1987-1992, 1996-1997, 2009-2011, 2018)
- Faustine Bollaert (2004-2012)
- Denis Brogniart (1991-2006)
- Daphné Bürki (2017-2018)
- Pascale Clark (1988-1995, 2020-2021)
- Laurent Cabrol (1976-1990, 1992-2021)
- Benjamin Castaldi (2000-2004)
- Nicolas Charbonneau (jusqu'à l'été 2007)
- Michel Cogoni (1959-1968)
- Coluche (1978-1979, 1985-1986)
- Céline Da Costa (2013-2015, 2018-2020)
- Jean-Luc Delarue (1987-1995)
- Alexandre Delpérier (2008-2010)
- Michel Denisot (2020-2021)
- François Diwo (1973-1987)
- Michel Drucker (1983-1987, 2008-2013)
- Caroline Dublanche (1999-2018)
- Raphaël Enthoven (2015-2018)
- Franck Ferrand (2003-2018)
- Daniel Filipacchi (1955-1968)
- Marc-Olivier Fogiel (2008-2011)
- Jacky Gallois (1983-2016)
- Cyril Hanouna (2013-2016)
- Yann Hegann (1973-1987)
- Christian Jeanpierre (2006-2008)
- François Jouffa (1968 puis 1982 puis 1990-1996)
- Harold Kay (1969-1986)
- Jean-Loup Lafont (1970-1977)
- Michel Lancelot (1968-1972)
- Alexia Laroche-Joubert (2007)
- Thierry Lecamp (1998-2015)
- Julie Leclerc (1972-1975, 1976-2021)
- Jean-François Lemoine (2011-2015)
- Laurent Luyat (2001-2008)
- Sabine Marin (2018-2022)
- Julia Martin (2006-2017)
- Ariane Massenet (2002-2005, 2011-2012)
- Émilie Mazoyer (2016-2021)
- Jimmy Mohamed (2019-2021)
- Christian Morin (1972-1987)
- Helena Morna (2008-2019)
- Véronique Mounier (2009)
- Nagui (2009-2011)
- Matthieu Noël (2008-2022)
- Sophie Péters (2008-2019)
- Jean-Luc Petitrenaud (1996-2014)
- Jacques Pradel (1997-2010)
- Pascal Pouret (1988-1991)
- Isabelle Quenin (2008-2018)
- Jean Roucas (1986-1994)
- Jean-Paul Rouland
- Jacques Rouland (1978-1984)
- Didier Roustan (2008-2009)
- Willy Rovelli (2009-2017)
- Anne Roumanoff (2009-2014, 2016-2021)
- Alexandre Ruiz (2008-2011)
- Marion Ruggieri (2011-2016)
- Laurent Ruquier (1999-2014)
- Eugène Saccomano (1996-2001)
- Dominique Souchier (1988-2012)
- Alessandra Sublet (2014-2015, 2016-2017)
- Frédéric Taddeï (2005-2011)
- Frank Ténot (1955-1968)
- Thomas Thouroude (2016-2018)
- Marc Toesca (1984-1996)
- Patrick Topaloff (1967-ca1970)
- Hubert Wayaffe (1963-1968)
- Robert Willar (1969-1986)
- Jean Yanne
- Karl Zéro (1986, 1999-2000, 2019)
Anciens journalistes-présentateurs
- David Abiker (2010-2019)
- Antonin André (2008-2011, 2012-2017)
- Jean-Michel Aphatie (2015-2016, 2018-2019)
- André Arnaud
- Jean-Philippe Balasse (1994-2020)
- Jean-Charles Banoun (1998-2013)
- Laurent Bazin (2004-2005, 2018)
- Jean-Rémi Baudot (2018-2021)
- Matthieu Belliard (2018-2021)
- Pascal Berthelot (1998-2014)
- Julien Besançon (1955-1970)
- Guy Birenbaum (2007-2014)
- Christian Boner (1996-2008)
- Émilie Bonnaud (2008-2019)
- Bérengère Bonte (1994-2019)
- Rémi Bostsarron (2009-2021)
- Wendy Bouchard (2006-2021)
- Julian Bugier (2013-2014, 2020-2021)
- Guillaume Cahour (2001-2004, 2010-2012)
- Marion Calais (2010-2021)
- Yves Calvi (1996-2005)
- Aymeric Caron (2009-2011)
- Arlette Chabot (2011-2016)
- Jérôme Chapuis (2000-2011)
- Mathieu Charrier (2009-2021)
- Nathalie Chevance (1996-2021)
- François Clauss (1985-2021)
- Patrick Cohen (2008-2010, 2017-2021)
- Gérard Carreyrou (1976-1992)
- Antoine Cormery (1991)
- Audrey Crespo-Mara (2018-2019)
- Pierre-Marie Christin (2006-2012)
- Thierry Dagiral (2016-2022)
- Michaël Darmon (2011-2016, 2018-2021)
- Jean-Claude Dassier (1968-1985)
- Bernard de la Villardière (1996-1998)
- Christophe Delay (1993-2007)
- Nicolas Demorand (2010-2011)
- Élise Denjean (2019-2022)
- Valentine Desjeunes (2017-2019)
- Jean-Michel Dhuez (1999-2013)
- Jérôme Dorville (1999-2008)
- David Doukhan (2013-2019)
- Marie Drucker (2008-2010)
- Raphaëlle Duchemin (2017-2020)
- Olivier Duhamel (2007-2021)
- André Dumas (1963-2003)
- Valérie Durier (1991-2008)
- Albert Ducrocq
- Benoît Duquesne (1982-1988, 2007-2008)
- Guillaume Durand (1978-1987, 1999-2004, 2007-2008)
- Emmanuel Duteil (2014-2022)
- Jean-Pierre Elkabbach (1983-2016, 2021-2022)
- Myriam Encaoua (2016-2017)
- Nicolas Escoulan (2017)
- Samuel Etienne (2013-2017)
- Luc Evrard (2000-2013)
- Sophie Eychenne (2019-2021)
- Emmanuel Faux (1987-2017)
- Carole Ferry (2010-2022)
- Michel Field (1995-2015)
- Didier François (2007-2021)
- Thierry Fréret (1987-2010)
- William Galibert (2011-2018)
- François Geffrier (2014-2021)
- Jean Gorini
- Michel Grossiord (1983-2016)
- Laurent Guimier (1994-2005, 2011-2014)
- Pierre Guyot (1995-1998)
- Aurélie Herbemont (2008-2021)
- Pascal Humeau (2006-2011)
- Hélène Jouan (2017-2019)
- Thomas Joubert (2008-2017)
- Céline Kallmann (2009-2019)
- Sébastien Krebs (2008-2021)
- Jérôme Lacroix (2008-2021)
- Sophie Larmoyer (1993-2021)
- Marguerite Lefebvre (2013-2021)
- Anne Le Gall (1998-2021)
- Fabienne Le Moal (1997-2021)
- Thomas Lequertier (2021)
- Ivan Levaï (1972-1987)
- Nathalie Lévy (2019-2020)
- Théo Maneval (2015-2021)
- Marie Marquet (2002-2009)
- Elizabeth Martichoux (1991-1999)
- Grégoire Martinez (2015-2019)
- Emmanuel Maubert (2006-2013, 2014-2015)
- Isabelle Millet (2009-2021)
- Jean-Marc Morandini (2003-2016)
- Isabelle Moreau (2021-2022)
- Étienne Mougeotte (1968 puis 1974 - 1981)
- Géraldine Muhlmann (2017-2018)
- Fabien Namias (2004-2010 et 2012-2017)
- Robert Namias (1969-1984)
- Jacques Paoli
- Vincent Parizot (1986-2007)
- Julien Pearce (2011-2022)
- Shanel Petit (2016-2019)
- Benjamin Petrover (2008-2014)
- Nicolas Poincaré (2011-2018)
- Bernard Poirette (2018-2020)
- Natacha Polony (2012-2017)
- Patrick Roger (2011-2016)
- Caroline Roux (2012-2016)
- Simon Ruben (2012-2021)
- Eugène Saccomano (1970-2001)
- Nathalie Saint-Cricq (2006-2009)
- Manuel Saint-Paul (1997-2003)
- Virginie Salmen (2000-2021)
- Diane Schenouda (1996-2021)
- Maurice Siegel
- Albert Simon (Météo)
- Anne Sinclair (2014-2016)
- Thomas Sotto (2013-2017)
- Stéphane Soumier (1987-2005)
- Maxime Switek (2005-2018)
- Pierre Thivolet (1996-2007, 2011-2012)
- Bruce Toussaint (2011-2013)
- Aude Vernuccio (2014-2019)
- Donat Vidal Revel (1996-2006)
- Benjamin Vincent (2003-2009)
- Géraldine Woessner (2012-2019)
- Martial You (2003-2014)
- Xavier Yvon (2011-2021)
- Edmond Zucchelli (1985-1998)
Meneuses de jeux (jusqu'en 2021)
Voici la liste[112] :
- Céline Da Costa (du à , du au )
- Julie Leclerc (1972-1975, 1976-2021)
- Anissa Haddadi (2013-2020)
- Ombline Roche (2014-2020)
- Justine Hollman (du au )
- Marlène Duret (du au )
Programmation
Généralités
Enfin, une couverture sportive, principalement centrée sur le championnat de football, est proposée les soirs de vendredi au dimanche et est incarnée par Lionel Rosso[113].
Évolutions depuis 2008
L'équipe et la grille des programmes sont profondément modifiés[28]. Sont évincés les présentateurs Laurent Baffie, Frédéric Taddéi, Franck Ferrand, Marc Menant, Michel Cymes, Mazarine Pingeot, Constance Chaillet et Nathalie Saint-Cricq[114], ainsi que la direction de la rédaction (Benoit Duquesne, directeur de la rédaction, et Jérôme Dorville son adjoint). Sont recrutés plusieurs personnalités de la télévision ou des voix de stations concurrentes, Marc-Olivier Fogiel (venu en provenance de M6 et RTL pour la matinale), Michel Drucker (toujours sur France Télévisions pour une quotidienne en matinée), Marie Drucker (toujours sur France Télévisions) et Patrick Cohen (venu en provenance de Radio France, pour la tranche du soir). Nicolas Canteloup (le matin), Jean-Marc Morandini (le midi), Laurent Ruquier (en fin d'après-midi) restent à l'antenne, tout comme Jacques Pradel et Faustine Bollaert avec une nouvelle émission chacun en début d'après-midi.
Le sport à l'antenne est renforcé, avec notamment des émissions sportives de 15 h à 23 h chaque week-end[29]. Alexandre Delpérier : Europe 1 Foot et le Club Sports Europe 1 et Alexandre Ruiz : Les Grands Directs du Sport) deviennent les animateurs sportifs de la station à la place de Christian Jeanpierre et Laurent Luyat[29].
Les émissions phares de l'antenne sont alors Europe 1 Matin, présentée par Marc-Olivier Fogiel (7 h-9 h 30), On va s'gêner (16 h-18 h) animée par Laurent Ruquier, Europe 1 Foot (20 h-22 h 30) animée par Alexandre Delpérier et Le Grand Direct (11 h-14 h) de Jean-Marc Morandini.
Sur la grille, Nagui arrive en matinée pour animer un jeu quand Michel Drucker collabore avec Wendy Bouchard sur un talk-show culturel en début de soirée. L'émission de Laurent Ruquier est rallongée d'une demi-heure pour finir à 18 h 30 et Jean-Marc Morandini rénove profondément sa tranche du Grand direct de 11 h à 13 h 30. Guy Carlier rejoint la matinale qui commence désormais à 6 h 30, tout comme Anne Roumanoff, également à la tête d'une émission hebdomadaire le samedi de 11 h à 12 h. Le Top 50 fait son retour le samedi de 15 à 16 h, présenté par Aline Afanoukoé. Les Grands Directs du Sport animé par Alexandre Ruiz chaque samedi et dimanche est supprimée seuls Le Multiplex Europe 1-Ligue 2, Le Multiplex Europe 1-Ligue 1 et Le Grand Match du dimanche sont conservés.
À partir de , la matinale débute en direct dès 4 h 30 contre 5 heures auparavant[115], présentée par Pascal Humeau puis par Benjamin Petrover à partir de [116].
En , Alexandre Delpérier démissionne et est remplacé par Alexandre Ruiz jusqu'à la fin de la saison, Martial Fernandez d'Europe 1 Sport devenant le commentateur des Grands Prix de Formule 1.
La rentrée 2010 se caractérise par un recentrage sur l'information avec le rétablissement d'Europe 1 soir de 18 h à 20 h, incarné par Nicolas Demorand, transfuge de France Inter, et recentré sur les débats d'actualités entre des polémistes récurrents[34]. Les soirées sportives de la semaine sont remplacés[117] par une émission de société et de débats[34] incarnés par Pierre-Louis Basse. Wendy Bouchard poursuit avec une nouvelle tranche d'information, qui inclut le journal de Jean-Michel Dhuez, avant la Libre antenne de Caroline Dublanche[118]. Guillaume Cahour anime Europe 1 week-end le samedi et le dimanche de 6 h à 9 h et devient le nouveau joker de Marc-Olivier Fogiel[119]. Aymeric Caron quant à lui présente un nouveau talk-show d'information, Vous allez en entendre parler, le dimanche de 19 h à 20 h[120]. D'autre part :
- Le jeu du matin Le Carré magique prend la place de Décrochez le soleil, Nagui étant rejoint par Laurence Boccolini et Pierre Lescure[121] ;
- Le Grand direct de Jean-Marc Morandini est restructuré : si le Grand direct des médias conserve le créneau 11 h - 12 h, le Grand direct de l'info de 12 h à 13 h 30 est renforcé (journal avancé à 12 h, débat à 12 h 20, auditeurs à 12 h 40, conseils pratiques des experts repoussés à 13 heures) ;
- À la mi-journée, le Café découvertes de Michel Field remplace le Café crimes de Jacques Pradel (parti pour RTL)[34] ;
- Les émissions Et si c'était ça le bonheur ? de Faustine Bollaert et On va s'gêner de Laurent Ruquier sont avancées de trente minutes[34].
À la suite des départs de Nicolas Demorand et Marc-Olivier Fogiel, Guillaume Cahour reprend la matinale en semaine (Aymeric Caron celles du week-end)[122] tandis que Nicolas Poincaré, venu de France Info succède à Nicolas Demorand à la tête du 18 h-20 h[123]. Parallèlement, Jean-Marc Morandini ne présente plus que Le Grand Direct des Médias entre 11 h et 12 h (ainsi qu'une nouvelle chronique dans la matinale[124]), tandis que Patrick Roger reprend la présentation de la tranche de 12 h à 13 h 30, en baisse d'audiences de 8 % sur un an[125]. Enfin, de 13 h 30 à 14 h 30, Franck Ferrand reprend la case du Café découvertes de Michel Field avec une émission sur l'histoire[123].
Fin , l'émission C'est quoi ce bordel ? de Laurent Baffie s'arrête, officiellement pour des raisons financières[126].
À la rentrée de , Bruce Toussaint prend la tête de la matinale de la station (Europe 1 Matin)[127], tandis que Guillaume Cahour reprend la tranche de la mi-journée[128]. Dans cette matinale, Nikos Aliagas réalise, de manière quotidienne, une interview d'une personnalité faisant l'actualité[129]. Guy Carlier arrête sa chronique La douche froide en raison de la tournée de son spectacle et assure une chronique dominicale[130] dans Europe 1 week-end repris par Benjamin Petrover devenu nouveau Joker de Bruce Toussaint[131]. Carlier est remplacé dans la matinale par Laurent Ruquier pour une chronique humoristique Presse papier[132]. Alexandre Adler, lui, propose un "regard sur le monde" à 8 heures 15. L'émission de Jean-Marc Morandini consacrée aux médias sur Europe 1 voit son horaire avancer pour être diffusée de 9 h 30 à 10 h 30[128]. Elle est suivie par l'émission Faites entrer l'invité de Michel Drucker jusqu'à midi[128]. Concernant la tranche de l'après 20 h, Pierre Louis Basse arrête son émission Bienvenue chez Basse, remplacée de 20 h à 21 h, par l'émission Des clics et des claques présentée par Laurent Guimier. Puis de 21 h à 22 h 30 Michel Field anime une émission culturelle Rendez-vous à l'hôtel[133].
Pour la rentrée 2013, Thomas Sotto succède à Bruce Toussaint dans une matinale profondément remaniée jusqu'aux horaires, dorénavant de 6 h à 9 h, à l'image des stations musicales. Cyril Hanouna hérite de la case des fins de matinée, anciennement à Michel Drucker, et lance Les pieds dans le plat de 10 h 30 à 12 h 30. Wendy Bouchard reprend en main la tranche du midi, avec une place importante accordée au public. Le soir, Guy Birenbaum et David Abiker succèdent à Bérangère Bonte pour Des clics et des claques. L'émission en profite pour revenir à ses fondamentaux et son horaire. Elle est suivie par le retour de Frédéric Taddeï dans une émission culturelle, Europe 1 Social Club
À la suite du départ de Laurent Ruquier pour RTL en 2014, Cyril Hanouna hérite de la case vacante de l'après-midi. Il y installe son émission Les Pieds dans le Plat et s'y adjoint les services de nouveaux sociétaires comme Jean-Pierre Foucault ou Jean-Marie Bigard autour de la bande déjà présente la saison passée. Par un jeu de chaise musicale, Jean-Marc Morandini récupère l'espace vacant du matin pour une version étendue du Grand Direct, désormais en 3 parties (Médias, Actu, Santé) entre 9 h et 12 h. L'émission de services d'Hélèna Morna se voit remplacée par le déménagement en quotidienne de Il n'en y a pas deux comme Elle de Marion Ruggieri. Le samedi, Anne Roumanoff est remplacée par une nouvelle émission d'entrevues culturelles animée par Nikos Aliagas, Sortez du cadre. Le dimanche, Alessandra Sublet s'installe pour une émission consacrée aux actualités insolites et aux initiatives remarquées, Petit dimanche entre amis. La grille s'accompagne d'ajustements à la marge (rallonge d'Europe Midi et de la libre-antenne, refonte des soirées, avancée d'Europe Nuit, suppression ou déménagements de chroniques dont celle de Jean-Luc Petitrenaud...).
Pour la saison 2015-2016, peu de changements notables si ce n'est le changement d'incarnation d'Europe Midi, désormais orchestré par Jean-Michel Aphatie et Maxime Switek. Ce dernier échange sa place avec Wendy Bouchard pour les matinales du week-end. On notera l'arrivée du philosophe Raphaël Enthoven pour une chronique matinale, La Morale de l'Info, et une émission hebdomadaire le samedi, Qui vive, ainsi qu'une nouvelle incarnation pour l'émission musicale en la personne de Julia Martin pour La Playlist du dimanche après-midi.
La rentrée 2016-2017 est marquée par le départ de Cyril Hanouna et la mise en retrait temporaire de Jean-Marc Morandini. Ainsi, de la tranche Grand Direct, seule l'émission historique consacrée aux médias subsiste avec Thomas Joubert à sa tête jusqu'à 10 h 30. Christophe Hondelatte arrive sur la station pour une émission de récits de faits divers, Hondelatte Raconte, entre 10 h 30 et 11 h 30. La dernière demi-heure du matin laisse place à une émission santé incarnée par Isabelle Quentin et le docteur Gérald Kierzek. La tranche du midi est aussi profondément remaniée avec le retour de Anne Roumanoff dans une émission humoristique, Ça pique mais c'est bon, entre 12 h et 12 h 30, une tranche info raccourcie à un long journal et un débat toujours assurée par Maxime Switek et le retour d'une émission de services assurée par Helena Morna.
L'après-midi, Nikos Aliagas hérite de la case laissée vacante par le départ de Marion Ruggieri et y installe une émission consacrée à la confidence musicale, De quoi j'ai l'air ?. Alessandra Sublet remplace Cyril Hanouna pour le divertissement de fin d'après-midi avec La Cour des Grands. Le week-end subit aussi de profonds changements avec une réorganisation des émissions du dimanche après-midi dorénavant consacré au cinéma et aux relations amicales, le déménagement des interviews d'Isabelle Morizet à 11 h et le remplacement des best-of du divertissement de fin d'après-midi par un rendez-vous musical, Europe 1 Music Club, au duo Émilie Mazoyer - Jean-Philippe Balasse. Peu de changements sur le reste de la grille si ce n'est des réajustements horaires (matinale à 6 h 30 au lieu de 6 h) et le changement d'incarnation de la pré-matinale par Samuel Étienne.
Jean-Pierre Elkabbach ayant quitté Europe 1, il est remplacé par Fabien Namias à la tête de l'interview politique quotidienne de 8 h 20 en semaine[40],[41]. Le , Helena Morna et Sonia Mabrouk prennent de l'importance à l'antenne, qui entend ainsi enrayer la baisse de ses audiences[134].
Le , Thomas Thouroude arrive sur Europe 1 pour animer une émission de libre antenne à la place d'Helena Morna[135].
Le , Thomas Sotto apprend qu'il est remplacé par Patrick Cohen à la matinale de la station[136]. Le , Natacha Polony reçoit une lettre mettant un terme à tous ses contrats avec son employeur Europe 1[137].
Le , il est annoncé que Daphné Bürki rejoint les rangs de la station à la rentrée prochaine[138].
Le , on apprend que Matthieu Noël remplace Anne Roumanoff à la rentrée sur Europe 1, cette dernière perdant la case qu'elle occupe depuis septembre[139]. Quelques jours plus tard, on apprend que l'humoriste reste sur la station, retrouvant par ailleurs sa case "historique" du samedi matin. Le , Philippe Vandel est choisi pour parler des médias quotidiennement durant une demi-heure, dans la grille de rentrée de la station[140].
Matthieu Noël présente désormais la pré-matinale, de 5 h à 7 h intitulée Debout les copains !. À 7 h, la matinale est pilotée par Nikos Aliagas. Le titre Europe Matin est abandonné au profit de Deux heures d’infos avec Nikos Aliagas. Wendy Bouchard, reprend la tranche 9 h-11 h, laissant la matinale week-end à Bernard Poirette, transfuge de RTL, pour présenter une émission sur les questions de société : Le tour de la question. Elle est accompagnée de Julie.
Anne Roumanoff se voit confier une émission quotidienne, Anne Roumanoff, ça fait du bien de 11 h à 12 h 30. Son émission du samedi est remplacé par une émission culinaire présentée par Laurent Mariotte. Raphaëlle Duchemin, qui a présenté la pré-matinale lors de la saison 2017-2018, reprend la tranche 12 h 30-14 h laissée vacante par Maxime Switek. Après avoir changé d’horaires à 3 reprise en deux ans, Christophe Hondelatte reprend la case de Franck Ferrand, parti sur Radio Classique, avec Hondelatte raconte. Il est suivi par Olivier Delacroix, avec une émission de témoignage : Partageons nos expériences de vie.
Laurence Boccolini arrive de 16 h à 18 h avec, en début de saison, une émission d’aide aux auditeurs, Le Plan B, devenu une semaine après le lancement de la saison une émission de jeu, Êtes-vous prêts à jouer le jeu ?. La programmation a été rabotée d’une heure, se terminant à 17 h. À la suite des très mauvais résultats de cette tranche, Laurence Boccolini annonce son départ de la station pour le . Désormais Karl Zéro (qui a fait les grandes heures de Canal+) prend les commande du 16 h-17 h autour d'un "vrai faux quizz" décalé. Mathieu Belliard, transfuge de RMC, présente le 17 h-20 h de la station. Suivi d’Emilie Mazoyer avec une émission musicale, Musique ! de 20 h à 22 h. À noter également le départ de Caroline Dublanche pour RTL, la libre antenne est désormais assurée par Sophie Péters.
La semaine, la station propose les modifications suivants :
- changement de nom pour les tranches d'information (qui s'appellent Europe Matin, Midi et Soir) ;
- changement à la tête de la pré-matinale Europe Matin: Le 5/7, Sébastien Krebs remplace Julien Pearce qui anime le journal de la nuit ;
- raccourcissement de la tranche d'infos de la mi-journée qui est programmée entre 12 h 30 et 13 h et présentée par Patrick Cohen. La tranche est composée d'un grand journal et d'une interview ;
- départ de l'ancienne journaliste de RMC Raphaëlle Duchemin qui a animé La France Bouge et qui est remplacée par Elisabeth Assayag et Emmanuel Duteil ;
- installation du docteur Jimmy Mohamed pour coanimer Sans Rendez-Vous, alors qu'il est alors déjà chroniqueur dans l'émission ;
- Isabelle Millet quitte le journal de la nuit (avec un succès en termes d'audience) pour présenter les journaux dans Europe Soir, elle est remplacée par Julien Pearce.
Le week-end, les modifications sont les suivantes :
- Bernard Poirette quitte la grille d'Europe 1 à cause de l'état désastreux des finances du groupe Lagardère. Il est remplacé par Pierre de Vilno, ancien animateur du journal de la mi-journée ;
- Patrick Cohen quitte C'est arrivé cette semaine/demain pour Europe Midi. Il est remplacé par Frédéric Taddeï ;
- Frédéric Taddeï laisse la présentation de l'émission En balade avec... à Pascale Clark ;
- arrivée de Michel Denisot pour animer Icônes tous les samedis entre 8 h 45 et 9 h et en version longue sur Europe 1.fr.
Le , Europe 1 révèle officiellement les changements opérés sur sa grille des programmes, et notamment[141] :
- Dimitri Pavlenko anime la matinale à partir de 6 h 30 avec l'interview de Sonia Mabrouk à 8 h 15 ;
- Romain Desarbes reprend les rênes d'Europe Midi de 12 h 30 à 13 h ;
- Christophe Hondelatte anime Hondelatte raconte… une année ! de 15 h à 16 h ;
- Laurence Ferrari anime Punchline de 18 h à 20 h, l'émission étant diffusée de 18 h à 19 h simultanément sur CNews.
Europe 1 annonce également les changements opérés sur sa grille du week-end, et notamment[141],[142] :
- Bérénice Bourgueil arrive pour présenter la matinale week-end, accompagnée de Jean-Pierre Elkabach qui anime l'entretien politique de 8 h 15 ;
- le samedi de 10 h à 11 h, Pierre de Vilno reprend l'émission Le Débat des grandes voix ;
- le dimanche, Sonia Mabrouk anime Le Grand Rendez-vous Europe 1-CNews-Les Échos aux côtés de Nicolas Barré des Échos et de Mathieu Bock-Côté ;
- de 12 h 30 à 13 h, Thomas Lequertier anime Europe Midi Week-end ;
- de 15 h à 16 h, le samedi, William Leymergie prend la tête d'une nouvelle émission nommée Samedi en France et qui raconte le terroir ;
- le dimanche, Didier Barbelivien anime Dis moi ce que tu chantes!, une nouvelle émission musicale.
Plusieurs animateurs et journalistes ont annoncé leur départ comme Pascale Clark[143], Julian Bugier[note 2],[144] ou Christine Berrou, après qu'on lui ait demandé de retirer une allusion à Éric Zemmour dans une de ses chroniques[145]. Durant l'été 2021, Michaël Darmon annonce qu'il quitte également la station, il a perdu son poste de chef du service politique au profit de Louis de Raguenel[146]. Laurent Cabrol[147], Julie[148], Nicolas Canteloup[149] et Wendy Bouchard[150] annoncent aussi pendant l'été qu'ils quittent la station.
Europe 1 ajuste de nombreuses fois sa grille de programmes durant les premiers mois de la saison, la grille du week-end étant celle qui subit le plus d'ajustements. Ces ajustements sont engendrés par la stratégie voulue par Europe 1 de rapprochement des programmes avec ceux de CNews et la concurrence avec la nouvelle émission d'Eric Brunet sur LCI[151]. Ces ajustements concernent principalement Bérénice Bourgueil et Thomas Lequertier[152],[153].
Événementiel
Lorsque l'actualité le nécessite, Europe 1 a recours à une programmation événementielle, laquelle n'est plus soumise aux grilles de programmes. Ces événements, qu'ils soient politiques, économiques, sociétaux, culturels ou sportifs, se retrouvent dans les pages retraçant les chronologies annuelles du média radio.
Par exemple, entre 2017 et 2019, Europe 1 a pris part aux événements suivants :
- du 18 au , à l'occasion des vingt ans du Festival de cinéma de l'Alpe d'Huez, Europe 1 y délocalise plusieurs émissions avec un grand nombre d'invités[154] ;
- le , Europe 1 s'est mobilisée pour mettre en avant la langue française[155] ;
- des Vieilles Charrues[156] ;
- le , Wendy Bouchard anime une émission spéciale en direct du Parc zoologique de Paris afin de célébrer les cinq ans de la réouverture du Zoo de Vincennes[157] ;
- le , Europe 1 offre à ses auditeurs une journée spéciale au Bataclan avec des débats animés par des figures emblématiques de la station[158] ;
- le , la station célèbre les quarante ans de Crache ton venin, album studio du groupe Téléphone[159] ;
- le , la station célèbre les quarante ans du groupe Indochine dans une édition spéciale de l'émission Musique!.
Europe 1 est également la radio officielle du festival des Vieilles Charues. Traditionnellement, l’animatrice Émilie Mazoyer est à la tête de ce rendez-vous estival[160].
Durant la saison 2021-2022, à l'occasion de l'actualité politique et des prochaines élections, Europe 1 organise de grands débats, tel que celui consacré à la primaire de la droite[161].
Activités connexes
Récompenses décernées
- Depuis 1961, la Bourse Lauga-Delmas est un concours organisé par Europe 1 pour distinguer les meilleurs étudiants en dernière année d'école de journalisme.
- Le , la station lance « Les Trophées Europe 1 de l’Avenir » afin de récompenser celles et ceux qui participent activement à la construction d’une société durable et harmonieuse[162].
Partenariats
- Les 12 et , Europe 1 est partenaire de l'Eurovision 2017 et a diffusé plusieurs émissions en direct de Kiev[163].
- Du 28 au , Europe 1 est partenaire de la 7e édition du Marrakech du rire, animant ses émissions depuis le festival[164].
- Du 22 au , Europe 1 s'est associée à l'événement Solidays, le plus grand festival francilien[165].
Autres activités
- Depuis 2014, la station participe à la Semaine de la Presse et des Médias organisée par le Centre de liaison de l'enseignement et des médias d'information[166].
- À partir du , en cette année électorale, Europe 1 part à la rencontre des Français en affrétant un bus[167].
- Le , Europe 1 vend aux enchères à l'hôtel Drouot 3 500 vinyles issus de sa discothèque comprenant 70 000 disques[168].
Diffusion
Pour transmettre ses programmes, Europe 1 utilise la FM, le satellite, le DAB+, l'internet, etc.
Grandes ondes (GO) (inactif)
Entre 1955 et 2019, Europe 1 est diffusée en grandes ondes (GO) sur 183 kHz par l'émetteur de Felsberg situé près de Sarrelouis en Sarre, de 4 heures du matin à 1 h 5 avec une puissance de 1 500 kW[169]. Elle peut alors être captée dans les 3/4 de la France, en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Angleterre, en Suisse, dans une grande partie de l'Allemagne, en Autriche et au Maghreb.
Le à 23 h 28, l'émetteur ondes longues historique est coupé après 64 ans d'émission[65].
Modulation de fréquence (FM)
Europe 1 dispose d'une couverture FM quasiment nationale en France et, par débordement, dans quelques régions frontalières de pays limitrophes comme la Belgique, le Luxembourg, la Suisse.
Depuis le mois de juin 2015 les émetteurs d’Europe 1 en bande FM diffusent désormais en stéréo, dans la région parisienne et qui s'est généralisé quelques mois plus tard dans tout le territoire national. Pour rappel, en 1996, Europe 1, qui voit alors son audience baisser, s’oriente vers un contenu plus axé info, débats et interactivité avec les auditeurs, en supprimant les émissions musicales et de divertissement, sur décision du nouveau dirigeant de la station de l’époque, Jérôme Bellay. La stéréo, de fait, disparaît au profit de la mono[source détournée][170].
Reprises
Europe 1 est reprise partiellement en France d'outre-mer et en Belgique par les radios suivantes :
- À la Guadeloupe et la Martinique par Radio Caraïbes International jusqu'en juin 2022 (remplacée par RTL depuis le 1er juillet 2022)[171],[172].
- À La Réunion par Radio Freedom[173]
- À Tahiti sur Radio 1[174]
- En Nouvelle-Calédonie sur Radio Rythme Bleu[175]
- En Belgique sur feu Twizz[176]
Satellite
- En clair sur le bouquet radio de Canalsat, Numéricable (Europe et Afrique du Nord) (fréquence 12 363 GHz[177]) ;
- En clair sur le satellite Eutelsat 5 West A (ex-Atlantic Bird 3 sur le bouquet Fransat) ;
- Sur le bouquet payant Worldspace sur le faisceau ouest, distribué par le bouquet Afristar. Ce satellite couvre une zone ovale s'étendant au nord de l'Allemagne du Nord à la Roumanie, et au sud du Gabon à l’Égypte.
Radio Numérique Terrestre (DAB+)
Europe 1 est diffusé en DAB+ sur l'axe Paris-Marseille (A6 et A7) depuis le 12 octobre 2021 sur le multiplex métropolitain no 2[178].
Télévision
Certaines des émissions de la station ont bénéficié d'une adaptation à la télévision, des événements sont aussi diffusés en simultané :
- C'est quoi ce bordel ? à partir d' est diffusée, tous les jeudis soir sur Virgin 17[179].
- On va s'gêner de Laurent Ruquier, dès début 2010 est diffusée mensuellement sur France 4, mais en l'émission est supprimée par la direction de France Télévisions, qui ne souhaite pas qu'un animateur soit présent sur plusieurs chaines du groupe[180].
- Taratata animé par Nagui sur France 2 en simultané sur Europe 1 jusqu'au , tous les vendredis soir.
- Depuis le , l’émission de télévision Punchline qui est diffusée depuis 2017 sur CNEWS (précédemment sur D8) et est animée par Laurence Ferrari; est diffusée à la radio sur Europe 1. L’émission est exclusive à CNEWS de 17 h à 18 h, simultanée sur les deux antennes de 18 h à 19 h et exclusive à Europe 1 de 19 h à 20 h[181].
- En novembre 2021, Cnews est partenaire d'Europe 1 pour assurer le débat consacré à la primaire de la droite (Les Républicains) en vue de l'élection présidentielle de 2022[182].
- Le 25 février 2022, Europe 1, s'associe à Canal+ pour retransmettre la 47e cérémonie des César[183].
Podcasts
Les podcasts de la station sont parmi les plus écoutés de France : ils totalisent près de 17 millions d'écoutes tous les mois. Trois de ces podcasts sont présents dans le Top 30 de Médiamétrie : il s'agit d'« Hondelatte raconte », premier podcast de récit en France avec plus de 10 millions d'écoutes mensuelles, d'« Historiquement vôtre » et d'« Au cœur de l'histoire », seul podcast original (non-diffusé à l'antenne) présent dans ce Top 30[184].
Europe 1 Studio est le label de podcasts natifs d'Europe 1.
Créations originales
- Le , la station lance la série originale En route avec en partenariat avec Peugeot[185], ce podcast est présenté par Pierre de Vilno
- Le , Europe 1 lance L’Envol, le podcast sur le changement de vie[186].
- Le , à l'occasion de la Coupe du monde féminine de football, la station lance Les attaquantes, podcast ayant pour thème les femmes qui font carrière dans le football[187].
Collaboration avec des marques
Europe 1 développe des podcast pour d'autres médias, notamment Paris Match Stories, Le Profil de l'Emploi avec LinkedIn ou encore "les petits podkasts" avec Kinder.
Internet
Le site internet et l'application Europe1 permettent d'écouter en streaming (en direct) et proposent de nombreux podcasts gratuits. Le site Europe1.fr est le premier site de radio privé en France et rassemble chaque mois près de 17 millions de visites.[188]
Europe 1 se lance également sur de nouvelles plateformes:
- Sur Youtube, la station propose une très grande partie de ses replays. Sa chaîne Youtube est la plus influente de tous les médias et totalise des dizaines de millions de vues. [189] ;
- Sur TikTok, Europe 1 s'est lancée le plus tardivement (le ), et propose un dispositif spécial à l'occasion des élections présidentielles de 2022: le chef du service politique, Louis de Raguenel, et Océane Thréard, lauréate de la Bourse Lauga-Delmas, répondent aux questions posées en commentaires. Ces vidéos totalisent des millions de vues.[190].
- Sur Snapchat, la radio propose un rendez-vous hebdomadaire concernant la santé, nommé Va voir le docteur, un médecin souvent entendu à l'antenne répond à une question de santé[191].
- Sur Instagram, la chaîne propose le replay de certaines de ces chroniques, telles que La plaidoirie de Matthieu Noël, ou encore Les Origines de David Castello-Lopez. La radio utilise également le réseau social pour communiquer: ainsi, elle propose aux abonnés de découvrir en avant-première qui sera invité de ses émissions ou encore d'en savoir plus sur les audiences de la radio ou des grands rendez-vous à venir[192].
Audiences
Bilan
Janvier - Février - Mars | Avril - Mai - Juin | Juillet - Août | Septembre - Octobre | Novembre - Décembre | Moyenne annuelle cumulée/ PDA | |
---|---|---|---|---|---|---|
2010 | 5260[194] | 4500[195] | 4300[196] | 5100[197] | 4600[198] | 4752 |
2011 | 4765 / 7,6 %[199] | 4555 / 7,3 %[200] | 3665 / 6,6 %[201] | 4660 / 7,8 %[202] | 4922 / 7,6 %[203] | 4513 / 7,3 % |
2012 | 4720 / 9 %[204] | 4580 / 7,4 %[205] | 3790[206] | 4685[207] | 4793 / 7,6 %[208] | 4514 / 7,7 % |
2013 | 4492 / 7,1 %[209] | 4756 / 7,3 %[210] | 4390 / 7,7 %[211] | 4862 / 7,8 %[212] | 4967 / 8,6 %[213] | 4693 / 7,7 % |
2014 | 4936 / 8,1 %[214] | 4617 / 8,2 %[215] | 4300 / 7,4 %[216] | 4800 / 7,5 %[217] | 4555 / 7,2 %[218] | 4642 / 7,7 % |
2015 | 4900 / 7,5 %[219] | 4700 / 7,6 %[220] | 4000 / 7,8 % [221] | 4585 / 7,2 %[222] | 4852 / 7,4 %[223] | 4607 / 7,5 % |
2016 | 4454 / 6,8 %[224] | 4084 / 7 %[225] | 3600 / 6,5 %[226] | 4346 / 6,6 %[227] | 4373 / 6,6 %[228] | 4171 / 6,7 % |
2017 | 4161 / 6,2 % [229] | 3836 / 6,1 %[230] | 3900 / 6 %[231] | 3891 / 5,6 %[232] | 3567 / 5,1 %[233] | 3871 / 5,8 % |
2018 | 3682 / 5,3 %[234] | 3503 / 5,3 %[235] | 2980 / 4,2 %[236] | 3 381 / 4,8 %[237] | 3236 / 4,7 % | 3356 / 4,9 % |
2019 | 3204 / 4,5 % | 2734 / 3,9 % | 2513 / 4,1 % | 2813 / 4,1 % | 3241 / 4,5 % | 2901 / 4,2 % |
2020 | 2953 / 4,5 %[238] | 2429 / 4,0 %[239] | 2 320 / 3,4 %[240] | 2 655 / 4,1 %[241] | 2 727 / 3,9 %[242] | 2617 / 4 % |
2021 | 2 800 / 4,5 %[243] | 2 370 / 4,7 %[244] | 2 401 / 4,3 %[245] | 2 420 / 3,7 %[246] | 2 280 / 3,4 %[247] | 2 424 / 4,1 % |
2022 | 2 172 / 3,9 % |
Commentaires
La station gagne des auditeurs et dépasse dès le cap des cinq millions d'auditeurs chaque jour selon Médiamétrie.
Le sondage Médiamétrie du pour la période indique qu'Europe 1 est, pour la première fois de son histoire, dépassée par Franceinfo et égalée par RMC en terme d'audience cumulée, la radio étant désormais derrière RTL, France Inter, NRJ, France Info et RMC.
En 2017, la station est écoutée par plus de 4,2 millions d'auditeurs en audiences cumulées chaque jour[248].
Sur la période , avec 5,9 % d'audience cumulée et 3,2 millions d'auditeurs quotidiens, Europe 1 est au niveau de Nostalgie et Skyrock[249].
Le , Europe 1 signe sa plus faible performance historique, et se retrouve derrière France Inter, RTL, NRJ, France Info, RMC, Skyrock, France Bleu et Nostalgie[25]. Europe 1 écoutée par 2,7 millions de Français, a perdu près d'un million d'auditeurs en une année, alors qu'en , à son niveau le plus haut, la station est écoutée par 5,5 millions de personnes[25].
Paroles du CSA et de la CNIL, polémiques diverses
En 2011, le CSA met en demeure Europe 1 pour défaut d'information sur le coût de son numéro surtaxé[250].
En 2015, le CSA met en demeure Europe 1 et 12 autres médias pour « manquements graves » relatifs à leur couverture médiatique des attentats du mois de janvier[251]
Le , Europe 1 est mise en demeure par le CSA pour des propos tenus dans l'émission Village Médias de Philippe Vandel, propos qualifiés de « stéréotypes stigmatisants », après la diffusion des propos d'Éric Zemmour au sujet d'Omar Sy : « Ici même, Omar Sy a demandé à ce qu'on ne m'invite plus nulle part et il m'a traité de criminel. Je voudrais seulement lui signaler, qu'un criminel, c'est quelqu'un qui commet un crime » a-t-il d'abord lancé avant de poursuivre : «Je sais bien qu'entre Trappes et Hollywood il n'a pas eu le temps d'apprendre la langue française, je tiens à le dire »[252].
En , la CNIL a adressé un avertissement à Europe 1 pour un « fichage » d'auditeurs[note 3]. Dans un tweet, le vice-président d'Europe 1 Laurent Guimier estime que « ce sont des pratiques honteuses de fichage des auditeurs d’Europe 1... C'est dans le respect de nos auditeurs que nous dessinons chaque jour l'avenir d'Europe 1[256] ».
Le journal en ligne Mediapart souligne, dans une enquête publiée en , les contradictions de la politique salariale d’Europe 1 : d’un côté, des réductions budgétaires pour les salariés et pigistes ; et de l’autre, des contrats aux montants très élevés pour ses animateurs (avec des salaires moyens de 15 513 euros en 2015)[257].
Annexe
Notes
- La fiche d'identité de la société Europe 1 Télécompagnie figure dans la section des liens externes de cet article.
- Julian Bugier quitte l'animation d'Europe Soir afin de pouvoir se consacrer entièrement au 13 h de France 2 et à la prochaine campagne présidentielle.
- La radio a enregistré des fiches contenant des informations sur plus d'un demi-million d'auditeurs via un logiciel qui les stocke depuis 2002[253], « parfois dans des termes insultants »[254],[255].
Références
- Frank Ténot, Radios privées, radios pirates, Denoël, , p. 180.
- Christian Brochand, Histoire générale de la radio et de la télévision en France : 1944-1974, Documentation française, , p. 310.
- Jean-Jacques Cheval, Les radios en France. Histoire, état et enjeux, Apogée, , p. 59.
- Jacques Mousseau et C. Brochand, Le petit Retz du Paysage Audiovisuel Français : Les techniques, les organismes, les hommes, Retz, , 160 p. (ISBN 978-2-7256-6002-8, lire en ligne).
- « Europe 1 : Histoire de la station de radio », sur www.gralon.net, (consulté le ).
- C'était formidable, Mémoires de Louis Merlin, éditions René Julliard, 1966, p. 293 : « L'emplacement fixé pour construire cet émetteur était le plateau du Felsberg, près de Sarrelouis. Il était d'après les études des techniciens du IIIe Reich effectuées sur l'ordre de Hitler, le point le plus favorable pour « arroser » toute la France. Cette station fut Europe No 1 ».
- "C'était formidable", Mémoires de Louis Merlin, éditions René Julliard, 1966, page 294.
- C'était formidable, Mémoires de Louis Merlin, éditions René Julliard, 1966, page 301.
- à 7 heures du matin, selon Louis Merlin dans ses Mémoires : "C'était formidable", éditions René Julliard, 1966, page 308.
- "C'était formidable", Mémoires de Louis Merlin, éditions René Julliard, 1966, pages 308 et 309.
- Magazine Constellation de avril 1956, "Europe No 1 bouleverse les ondes" par Merry Bromberger.
- "C'était formidable", Mémoires de Louis Merlin, éditions René Julliard, 1966, page 314.
- World Radio Television Handbook, édition 1956, pages 51 et 65).
- Site www.saar-nostalgie.de (en allemand).
- "C'était formidable", Mémoires de Louis Merlin, éditions René Julliard, 1966, page 315.
- « La torture en Algérie à la télévision française », sur Académie de Créteil, .
- Christophe Deleu, Les anonymes à la radio, De Boeck Supérieur, , p. 28.
- Maurice Siegel, 20 ans, ça suffit, Plon, , p. 119.
- Olivier Ubertalli, « Europe 1 : Arnaud Lagardère pense à Duroux ou Schlesinger », Le Point, (lire en ligne, consulté le ).
- http://radios.peuleux.eu/radios/e/europe1.html
- « Europe 1 passe derrière France-Info », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
- « Europe 1 repasse sous la barre des 10 % d'audience », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
- « Jérôme Bellay est chargé de transformer Europe 1 », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
- « Grand chambardement à Europe 1 », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
- Kévin Boucher, « Audiences radio : France Inter reste leader devant RTL, nouveau plus bas historique pour Europe 1 », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « Elkabbach annonce son départ à la rédaction d'Europe 1 », sur JeanMarcMorandini.com, .
- « Première interview du nouveau patron d'Europe 1 - AUDIO », sur JeanMarcMorandini.com, .
- Anne-Marie Gustave, « Fuite radio à Europe 1 », Télérama, (lire en ligne).
- Alexandre Dinin, « Europe 1 mise sur deux pros du sport », sur Le Journal du dimanche, .
- « Thierry Clopeau quitte France 2 pour rejoindre Europe 1 », sur JeanMarcMorandini.com, .
- « Laurent Jaoui (France 2) rejoint Europe 1 », sur Ozap.com, .
- Julien Mielcarek, « Europe 1 : Alexandre Delpérier suspendu d'antenne », sur Ozap.com, .
- Julien Mielcarek, « Alexandre Delpérier ne reviendra pas sur Europe 1 », sur Ozap.com, .
- Julien Mielcarek, « Europe 1 modifie ses après-midis et ses soirées dès lundi », sur Ozap.com, .
- J. Bellver et J. Lalande, « De Europe 1 à France 2 », sur ozap.com, .
- Benoit Daragon, « Pour sa publicité de rentrée, Europe 1 s'inspire des campagnes électorales », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- AFP, « Europe 1 carillonne ses 60 ans à la recherche d'un nouveau souffle », Le Point, (consulté le ).
- « Après l’affaire des castings dénudés, Morandini est mis « provisoirement en retrait » d’Europe 1 », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Cyril Hanouna quitte Europe 1 après un échec d’audience », sur tvmag.lefigaro.fr, (consulté le )
- « Europe 1 : Jean-Pierre Elkabbach remplacé par Fabien Namias », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « Jean-Pierre Elkabbach rejoint iTELE », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- Jean-Baptiste Duval, « La motion votée par les journalistes d'Europe 1 contre leur direction », sur huffingtonpost.fr, .
- « Arnaud Lagardère prend la présidence d'Europe 1 », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Frédéric Schlesinger rejoint Europe 1 », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Emmanuel Perreau, Bérengère Bonte... : Europe 1 officialise sa nouvelle organisation interne », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- Le Point.fr, « Audiences radio : la relance ratée d'Europe 1 », sur Le Point, (consulté le )
- Audience radio : Europe 1 au plus bas, lefigaro.fr, .
- « Guy Birenbaum rejoint Europe 1 », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « RTL garde la tête des audiences, Europe 1 toujours en recul », sur www.20minutes.fr (consulté le ).
- Brulhatour, « Europe 1 condamnée à verser 411 500 euros à Fabien Namias », sur lalettre.pro, .
- « Audiences radio : France Inter détrône RTL, Europe 1 s'enfonce », sur Libération.fr, (consulté le ).
- « France Inter devient la première radio de France », sur www.lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Une motion de défiance contre Arnaud Lagardère en préparation à Europe 1 », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- Audrey Kucinskas, « "On a été docile, ça doit cesser" : colère à Europe 1, une motion de défiance votée », sur lexpress.fr, .
- « "On ne vendra pas Europe 1", assure Lagardère aux actionnaires », sur France 24, (consulté le ).
- « Rémunération, Europe1, stratégie...Arnaud Lagardère se défend face aux multiples attaques », sur Challenges (consulté le ).
- « «On ne vendra pas Europe 1», assure Lagardère aux actionnaires », sur FIGARO, (consulté le ).
- « A Europe 1, Arnaud Lagardère de nouveau interpellé par les salariés », sur www.20minutes.fr (consulté le ).
- « Europe 1 : Laurent Guimier écarté, Matthieu Belliard à la matinale », sur Télérama.fr (consulté le ).
- « Laurent Guimier quitte Europe 1, Nikos Aliagas remplacé par Matthieu Belliard », sur LExpress.fr, (consulté le ).
- « Laurent Guimier quitte la direction d’Europe 1 », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Radio Laurent Guimier quitte Europe 1 », sur Libération.fr, (consulté le ).
- « Arnaud Lagardère réaffirme sa foi dans le redressement d'Europe 1 », sur Stratégies, (consulté le ).
- Francois Quairel, « Europe 1 : les confidences d'Arnaud Lagardère », sur La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio (consulté le ).
- Brulhatour, « Europe 1 coupe son émetteur Grandes Ondes », sur La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio (consulté le ).
- https://www.ozap.com/actu/audiences-radio-france-inter-leader-en-sensible-baisse-rtl-reduit-l-ecart-les-musicales-en-grande-difficulte/595336
- « Vivendi devient le premier actionnaire du groupe Lagardère », sur Les Echos, (consulté le ).
- Sandrine Cassini, « Europe 1 : Bolloré prend le pouvoir, les journalistes veulent exercer leur « clause de conscience » », Le Monde.fr, (lire en ligne).
- Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts, « Europe 1 : le sens des « Valeurs » », sur Les Jours, (consulté le ).
- AFP, « "Gros malaise" à Europe 1 avec l’arrivée d’un rédacteur en chef de Valeurs Actuelles », HuffPost, (consulté le ).
- Sandrine Cassini, « La direction d’Europe 1 nomme finalement Louis de Raguenel adjoint au service politique », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Louis de Raguenel, l'ex-journaliste controversé de "Valeurs actuelles", finalement nommé adjoint du service politique d'Europe 1 », sur Franceinfo, (consulté le ).
- Titou, « Grille Europe 1 à la rentrée 2021 : les départs et les nouveaux venus ! », sur Nouveautés-Télé.com : Le rdv de l'actualité TV et Médias chaque jour, (consulté le )
- Aude Dassonville, « Europe 1 lance une rupture conventionnelle collective », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Elise Racque, « À Europe 1, un projet de rupture conventionnelle collective annoncé », sur Télérama (consulté le ).
- Rapprochement avec Cnews, mise à pied d’un journaliste : la rédaction d’Europe 1 se met en grève, ouest-france, 18 juin 2021
- Le propriétaire d'Europe1 annonce une émission commune avec CNews en pleine grève, huffingtonpost, 22 juin 2021
- « Les journalistes d'Europe 1 se mettent en grève, contre la mise à pied de l'un des leurs », sur Challenges (consulté le ).
- « Emmanuel Duteil quitte Europe 1 », sur La lettre de l'audiovisuel (consulté le )
- Adrien Franque, « A Europe 1, le management de Donat Vidal Revel «est fait de hurlements, de gens broyés» », sur Libération, .
- « À Europe 1, la sauce CNews n’arrange pas les audiences », sur Télérama (consulté le )
- « Lagardère change d’ère, la famille Europe 1 se rassemble », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
- Europe 1 va s'installer dans l'ancien siège de Canal+, Le Figaro, .
- « Europe 1 : « Il n’y a pas encore de rebond visible » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « Europe 1 Télécompagnie (Paris 15) », sur www.societe.com (consulté le ).
- A.M avec AFP, « Le groupe Lagardère se sépare de ses radios européennes », sur www.bfmbusiness.bfmtv.com, (consulté le ).
- « Vidéo - Découvrez notre visite guidée des nouveaux studios d'Europe 1 ! », sur Europe 1 (consulté le )
- François Quairel, « Pierre Dhostel sur son père Pierre Bellemare : "Europe 1, c'était sa maison" », sur lalettre.pro, .
- « EN IMAGES - Europe 1 : 60 ans de logos », sur Europe 1 (consulté le )
- « Europe 1, la radio libre de choc (publicité) », Paris Match (consulté le ).
- Ce slogan est illustré dans le logo de la « pêche bleue » surmontée d'une feuille verte, souvent confondue avec une pomme. L'usage de ce « vocabulaire jeune » correspond à une stratégie marketing de renouvellement. Cf. Blanche-Noëlle Grunig, Les mots de la publicité : l'architecture du slogan, Presses du CNRS, , p. 214.
- « Liste des marques commençant par la lettre E », sur www.slogandepub.fr (consulté le )
- « "Europe 1 s'imposera si elle est fidèle à ses valeurs de liberté, de rigueur et d'innovation" », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Brulhatour, « Europe 1 veut prendre de l'avance », sur La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio (consulté le )
- Brulhatour, « Europe 1 : nouvelle campagne et nouveau claim », sur La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio (consulté le )
- « "Ecoutez le monde changer" : Un nouveau slogan et une campagne sans animateurs pour Europe 1 », sur ozap.com (consulté le ).
- « Le pouvoir de l'écoute : découvrez la nouvelle campagne d'affichage d'Europe 1 », sur Europe 1 (consulté le )
- Philippe Chapot, « "Les Voix" de la radio au Salon de la Radio », sur La Lettre Pro de la Radio & des Médias, (consulté le ).
- Témoignage de Jean-Marie Pantalacci, ancien réalisateur, qui présente les origines du carillon d'Europe. « Le Carillon d'Europe 1 », sur https://www.youtube.com/watch?v=aZd-XoUUY9k.
- « Le Carillon d'Europe 1 - 1/2 » (consulté le )
- « Le Carillon d'Europe 1 2/2 », sur https://www.youtube.com/watch?v=hYx8dYzulVY.
- « La loi des jingles », sur Télérama.fr, (consulté le )
- nécessaire]. [précision
- Sylvie BRIET, « Jérôme Bellay, créateur du concept France Info et LCI, arrive à Europe 1. Avec ses hommes et ses méthodes brutales. L'absolutiste de l'info. », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
- « Denis Olivennes à la direction d'Europe 1 », Le Monde, (lire en ligne).
- « Licenciée d'Europe 1, Nathalie André obtient 226.000 euros aux Prud'hommes », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Arnaud Lagardère a démissionné de ses mandats au sein de Lagardère Media News », sur Investir (consulté le ).
- Le Parisien, « Europe 1 embauche Frédéric Schlesinger, le numéro 2 de Radio France », sur Leparisien.fr, (consulté le ).
- Elise Racque, « Laurent Guimier à la tête d’Europe 1 : c’est officiel ! », Télérama, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre Dezeraud, « Europe 1 : Constance Benqué remplace provisoirement Laurent Guimier à la direction », sur Ozap.com, Puremédias, (consulté le ).
- https://www.lalettre.pro/Europe-1-Stephane-Bosc-nomme-directeur-des-programmes_a25035.html
- Forestier Gerard, « Les meneuses de jeu disparaissent d'Europe 1 », sur technic2radio, (consulté le )
- Olivier Ubertalli, « Dans le rouge, la radio Europe 1 taille dans ses effectifs », sur Le Point, (consulté le )
- Emmanuel Berretta, « Europe 1 : la grande purge de Bompard », sur Le Point, .
- Julien Mielcarek, « Europe 1 va faire commencer sa matinale plus tôt », sur Ozap.com, .
- Thibault Leroi, « Europe 1 - La station modifie sa tranche de la mi-journée », sur radioactu.com, .
- Bertrand-Régis Louvet (Le Parisien), « Europe 1 arrête les talk shows consacrés au sport du lundi au jeudi soir », sur brl-tv.blog.leparisien.fr, .
- Guillaume Cérin, « Europe 1 - La rentrée ambitieuse d'Alexandre Bompard », sur radioactu.com, .
- Julien Mielcarek, « Guillaume Cahour rejoint Europe 1 », sur Ozap.com, .
- « Mais aussi… », sur ozap.com, .
- « Europe 1 : Nagui recrute Laurence Boccolini et Pierre Lescure », sur JeanMarcMorandini.com, .
- Julien Bellver, « Marc-Olivier Fogiel quitte Europe 1 dès vendredi », sur ozap.com, .
- Florence Le Méhauté, « Europe 1 se cherche de nouvelles voix », sur ouest-france.fr, .
- Julien Bellver, « Jean-Marc Morandini perd sa tranche du midi sur Europe 1 », sur Ozap.com, .
- Julien Bellver, « Jean-Marc Morandini remplacé à la mi-journée sur Europe 1 », sur Ozap.com, .
- « Laurent Baffie annonce qu'il est "viré de Europe 1" », sur jeanmarcmorandini.com, .
- « Bruce Toussaint de Canal+ à Europe 1 », sur nouvelobs.com, .
- M. M., « Europe 1 : Canteloup rempile, Cahour confirmé », sur programme-tv.net, .
- « OFFICIEL: Nikos Aliagas arrive dans la matinale d'Europe 1 », sur jeanmarcmorandini.com, .
- Julien Bellver, « Guy Carlier le dimanche sur Europe 1 », sur PureMédias, .
- « Benjamin Petrover, l'ermite de la matinale », sur Leparisien.fr, .
- « Europe 1 : Ruquier remplace Carlier dans la Matinale », sur jeanmarcmorandini.com, .
- « Europe 1 : Michel Field remplace Pierre-Louis Basse », sur eldoradio.fr, .
- « Europe 1 : nouvelles signatures et nouveaux rendez-vous », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Thomas Thouroude arrive sur Europe 1 », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Thomas Sotto : "J'ai appris par la presse que j'allais être remplacé à la matinale" », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « Natacha Polony écartée d'Europe 1 », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « Europe 1 officialise l'arrivée de Daphné Bürki », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « Matthieu Noël remplace Anne Roumanoff sur Europe 1 », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « Europe 1 : les médias de 9 h 30 à 10 h avec Philippe Vandel », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « Rentrée radio : LE guide des grilles 2021/2022 d'Europe 1, RTL, RMC et France Inter », sur ozap.com (consulté le ).
- « Découvrez la grille d'Europe 1 2021-2022 », sur Europe 1 (consulté le ).
- Christophe Gazzano, « Europe 1 : Pascale Clark qualifie l'arrivée de Vincent Bolloré de "péril", Pascal Praud prend sa défense », sur ozap.com (consulté le ).
- Christophe Gazzano, « Julian Bugier va quitter Europe 1 », sur ozap.com (consulté le ).
- Kevin Boucher, C. D. et G. P., « Rapprochement avec CNews, management autoritaire... pourquoi Europe 1 se met en grève », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- AFP, « Michaël Darmon quitte aussi Europe 1 », Sud Ouest, (consulté le ).
- « Laurent Cabrol remercié par Europe 1 : "Je n’arrêterai pas la météo !" », sur www.ladepeche.fr (consulté le )
- « Julie Leclerc, célèbre voix d'Europe 1 depuis près de cinquante ans, quitte la station », sur Franceinfo, (consulté le )
- « Nouveau départ chez Europe 1: l'humoriste vedette Canteloup », sur France 24, (consulté le )
- « Emue, Wendy Bouchard fait ses adieux à Europe 1 après 15 ans », sur ozap.com (consulté le )
- Par Kevin Boucher et Michaël Zoltobroda Le 14 septembre 2021 à 12h07, « Europe 1 codiffusera la matinale de CNews le week-end », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- Par Michaël Zoltobroda Le 29 septembre 2021 à 19h20, « CNews : Thomas Lequertier passe le soir, Isabelle Moreau arrive le week-end », sur leparisien.fr, (consulté le )
- « À peine arrivée, déjà plus de matinale pour Bérénice sur Europe 1 ! », sur Télépro, (consulté le )
- « Europe 1 au Festival de l'Alpe d'Huez », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Virgin radio, RFM et Europe 1 se mobilisent pour la langue française », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Europe 1 et Virgin Radio en direct des Vieilles Charrues », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- Brulhatour, « Europe 1 : Wendy Bouchard en direct du Zoo de Vincennes », sur lalettre.pro, .
- Brulhatour, « Europe 1 : une journée spéciale au Bataclan », sur lalettre.pro, .
- Brulhatour, « Europe 1 célèbre les 40 ans de l’album "Crache ton venin" », sur lalettre.pro, .
- Ioan Niculai, « Europe 1 : Emilie Mazoyer au Festival des Vieilles Charrues du 8 au 18 juillet 2021 », sur média+, (consulté le ).
- « Congrès LR : (ré)écoutez l'intégralité du débat Europe 1 - CNEWS », sur Europe 1 (consulté le )
- Brulhatour, « Europe 1 récompense les talents qui innovent en France », sur lalettre.pro, .
- « Europe 1 partenaire de l'Eurovision », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Europe 1 s'installe à Marrakech du 28 au 30 juin », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- « Europe 1 et Virgin Radio pour la première fois partenaires de Solidays », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
- Brulhatour, « Europe 1 et Gulli font découvrir les métiers des médias aux plus jeunes », sur lalettre.pro, .
- « Un bus Europe 1 sur la route de la présidentielle », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- Pierre Dezereaud, « Europe 1 vend ses vinyles aux enchères », sur ozap.com, .
- « Europe 1 », sur tvignaud.pagesperso-orange.fr (consulté le )
- Europe 1 repasse en stéréo, La Lettre.Pro RADIO le Site, .
- « SchooP | La mémoire de la FM > Les fiches radio > Radio Caraïbes International (RCI) (971) - www.schoop.fr », sur www.schoop.fr (consulté le )
- La radio RTL, nouveau partenaire de RCI, rci.fm, 30 juin 2022
- « Les touristes de retour sur l'Ile de la Réunion », sur Europe 1 (consulté le )
- « Nos Partenaires | Outremers360 », sur outremers360.com (consulté le )
- « SchooP | La mémoire de la FM > Les fiches radio > Radio Riposte Bis - RRB - Radio Rythme Bleu (988) - www.schoop.fr », sur www.schoop.fr (consulté le )
- DH Les Sports+, « Les premiers pas d'Europe 1 sur Twizz Radio! (Vidéo) », sur DH Les Sports +, (consulté le )
- Fréquence satellitaire sur Astra 19,2°Est.
- « La radio numérique terrestre en DAB+ continue son déploiement en France métropolitaine », sur DAB+ en France, (consulté le )
- leblogtvnews.com, « Baffie ! C'est quoi ce bordel ? Dès ce jeudi sur Virgin 17. », sur Leblogtvnews (consulté le )
- Julien Thomas, « On va s'gêner fête ses 10 ans sur France 4 (VIDEO) », sur www.programme-tv.net, (consulté le )
- « On a écouté la nouvelle Europe 1 et ça ne rigole plus », sur Télérama (consulté le )
- « Congrès LR : comment va se dérouler le débat sur Europe 1 et CNews ? », sur Europe 1 (consulté le )
- « ÉVENEMENT - César : Europe 1 s'associe à Canal + pour faire vivre la cérémonie », sur Europe 1 (consulté le )
- Extreme Sensio, « La mesure des Podcasts en janvier 2022 », sur www.mediametrie.fr (consulté le )
- Brulhatour, « Europe 1 lance la série originale "En route avec" », sur lalettre.pro, .
- Brulhatour, « Europe 1 a lancé "L’Envol", le podcast sur le changement de vie », sur lalettre.pro, .
- Brulhatour, « "Les Attaquantes" : la nouvelle série originale d'Europe 1 Studio », sur La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio (consulté le ).
- eZ Community Bundle Nova eZ SEO Bundle, « Classement des Sites », sur www.acpm.fr (consulté le )
- « Présidentielle et vidéo sociale : Zemmour le plus influent sur Youtube, BFMTV règne sur Twitter », sur ozap.com (consulté le ).
- « Europe 1 enrichit son dispositif présidentiel en investissant TikTok », sur Europe 1 (consulté le ).
- « Europe 1 met des contenus sur Snapchat | Offremedia », sur www.offremedia.com (consulté le )
- « Europe 1 lance Brunch ! sa story quotidienne d'actualité », sur Europe 1 (consulté le )
- « Mesure d'audience de Médiamétrie », sur le site de Médiamétrie.
- « Audiences radio : RTL leader en hausse, Europe devant NRJ », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL leader, Inter deuxième, NRJ dépasse Europe 1 », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio été : RTL leader, RMC et Europe 1 en forme, France Info dégringole », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences : RTL leader en hausse, NRJ repasse devant France Inter, records pour Fun Radio et RMC », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences : RTL leader en forte hausse, NRJ devance Inter et Europe 1 », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « PHOTOS - tableau », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « PHOTOS - palmares2 », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- Newstele, « Audiences Radios : Moins d'auditeurs cet été, RTL leader devant NRJ - Newstele », Newstele, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audience radio septembre-octobre : rentrées réussies pour Radio France, NRJ, RMC et les Indés Radios. Europe 1 se redresse. RTL leader chahuté | Offremedia », sur www.offremedia.com (consulté le ).
- « RMC et France Inter confirment leurs performances en novembre-décembre 2011 | Offremedia », sur www.offremedia.com (consulté le ).
- E.C., « Audiences radio : le trio de tête reste inchangé », Le JDD, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ redevient leader, France Inter reste à un haut niveau », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio juillet-août 2012 : NRJ reste devant RTL, RMC talonne Europe 1 », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL redevient leader, Inter et NRJ en forme, Fun Radio en baisse », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- Le Zapping du PAF, « [Audiences radio novembre - decembre 2012] La matinale de Bruce Toussaint en hausse sur Europe 1 - Le Zapping du PAF », Le Zapping du PAF, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ talonne RTL, France Inter en forte chute, record pour France Bleu », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ reprend le leadership à RTL, nouveau record pour RMC, chute confirmée pour France Inter », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio été 2013 : NRJ et RTL ex æquo, Europe 1 talonne France Inter », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ reprend le leadership à RTL, bonne rentrée pour Europe 1 et RMC, chute confirmée pour France Inter », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ leader devant RTL, bonne rentrée confirmée pour Europe 1, record pour RMC », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ toujours leader devant RTL et France Inter, forte progression pour Europe 1 », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ au plus haut, RTL et Inter en chute libre, Europe 1 résiste », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio été 2014 : NRJ prend le large, les généralistes en baisse », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL et NRJ co-leaders en baisse, France Inter progresse, Europe 1 limite la casse », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio novembre-décembre 2014 en part d’audience : RTL confirme, succès des musicales | Offremedia », sur www.offremedia.com (consulté le ).
- « Audiences radio : RTL reprend la tête à NRJ, Inter progresse, Europe 1 devant France Info et RMC », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL leader en hausse devant NRJ, France Inter plombée par la grève, Europe 1 et RMC progressent », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio été 2015 : RTL reprend la tête à NRJ, France Inter brille, Virgin Radio de retour », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ en hausse devance RTL, France Inter progresse, Europe 1, RMC et France Info en baisse », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL repasse devant NRJ, France Inter troisième, l'actualité booste Europe 1, France Info et RMC », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : NRJ repasse devant RTL, Europe 1 à son plus bas historique, RMC en baisse, Fun Radio au plus haut », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audience radio avril-juin 2016 en part d’audience : RTL et France Inter terminent la saison en tête et en hausse. Toutes les musicales en baisse sauf Virgin Radio | Offremedia », sur www.offremedia.com (consulté le ).
- « Audiences radio été 2016 : RTL en tête, France Info brille, les stations Lagardère souffrent, Chérie FM chute », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL leader au plus haut depuis 2012, France Inter double NRJ et décroche un record », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL leader au plus haut depuis 2010, record historique pour RMC, franceinfo et Virgin puissants », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- Audiences radio : RTL domine, record pour France Inter, RMC double une Europe 1 au plus bas, ozap.com.
- Audiences radio : RTL devant Inter, Franceinfo au plus haut depuis 10 ans, Europe 1 au plus bas, les musicales souffrent, ozap.com.
- « Audiences radio été 2017 : RTL leader, Inter en baisse, Info et Europe 1 en hausse, Skyrock et Chérie bondissent », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL leader en hausse devant France Inter, Europe 1 signe sa pire rentrée historique », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL leader, France Inter remonte, Europe 1 à son plus bas historique, Fun Radio et RTL2 chutent », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL stable devant Inter en baisse, NRJ en lourde chute, Europe 1 talonnée par Skyrock », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL leader devant France Inter, Skyrock passe devant Europe 1 au plus bas », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio été 2018 : RTL leader rattrapé par Inter, RMC au top, catastrophe pour Europe 1, Chérie dévisse », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Audiences radio : RTL leader en baisse devant Inter en grande forme, catastrophe pour Europe 1 battue par Nostalgie », ozap.com, (lire en ligne, consulté le ).
- Extreme Sensio, « L'Audience de la Radio en France en janvier-mars 2020 - Médiamétrie », sur www.mediametrie.fr (consulté le ).
- Kevin Boucher, « Audiences radio : France Inter leader en sensible baisse, RTL réduit l'écart, les musicales en grande difficulté », sur www.mediametrie.fr (consulté le )
- Benjamin Meffre, « Audiences radio été 2020 : Inter leader en baisse, RTL plonge, France Info en forme, Europe 1 au plus bas », sur ozap.com, (consulté le )
- Benjamin Meffre, « Audiences radio : Inter au top devant RTL, Info en forme, pire rentrée pour Europe 1, Fun au plus bas, Virgin plonge », sur ozap.com, (consulté le )
- Benjamin Meffre, « Audiences radio : Inter leader, Info au top, NRJ dévisse, E1 encore en baisse, Fun et Virgin au plus bas historique », sur ozap.com, (consulté le )
- « Audiences radio : Inter leader en baisse, RTL plonge, Info bondit, RMC et Europe 1 en baisse », sur ozap.com (consulté le )
- « Audiences radio : Inter domine, RTL plonge encore, NRJ remonte sur le podium, Fun et Virgin en baisse », sur ozap.com (consulté le )
- « Forte croissance des audiences d’Europe 1 cet été ! », sur Europe 1 (consulté le )
- « Audiences radio : Inter leader en baisse, NRJ doublée par Info en forme, RTL 2 plus forte qu'Europe 1 au plus bas », sur ozap.com (consulté le )
- « Audiences radio : les auditeurs se pressent sur France Inter et fuient Europe 1 », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Julien Bellver, « Audiences radio : Europe 1 plonge à toutes les heures », sur Ozap.com, Puremédias, (consulté le ).
- « Audiences radio : France Inter détrône RTL, Europe 1 dégringole », sur www.20minutes.fr, (consulté le ).
- « Appels surtaxés : le CSA met en demeure RTL, Europe 1 et RMC », sur ozap.com, .
- « Attentats en France : le CSA met en demeure plusieurs médias », sur rtl.fr, .
- https://www.programme-tv.net/news/tv/206089-propos-deric-zemmour-sur-omar-sy-europe-1-mise-en-demeure-par-le-csa-pour-insuffisante-maitrise-de-lantenne/.
- Europe 1 épinglée par la Cnil pour un «fichage» d'auditeurs, lefigaro.fr, .
- Alexandre Berteau, « Comment Europe 1 a fiché ses auditeurs jusqu’en 2016 », Le Monde, (lire en ligne). .
- «Homo», «accent du Maghreb»... La Cnil épingle Europe 1 pour le fichage de ses auditeurs, 20minutes.fr, .
- François Quairel, « Auditeurs fichés chez Europe 1 : Laurent Guimier répond », sur lalettre.pro, .
- Frédéric Lemaire, « Que gagnent les journalistes ? Entre précarisation et salaires faramineux », sur Acrimed, .
Bibliographie
- Luc Bernard, Europe 1 : La grande histoire dans une grande radio, Paris, Éditions du Centurion, , 755 p. (ISBN 978-2-227-06101-9)
- Maurice Siegel, Vingt ans, ça suffit ! : Dans les coulisses d’Europe N° 1, Paris, éditions Plon, , 314 p.
- Pierre Laforêt, La prodigieuse aventure d’Europe N° 1, Paris, Pierre Horay, , 179 p.
- Louis Merlin, C'était formidable !, Paris, éditions Julliard, , 481 p.
Article connexe
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative à la musique :
- (de) Karl Presser et Rainer Freyer, « Der Langwellensender Europe No 1 » [« Europe 1 : émetteur grandes ondes »], sur Saar-Nostalgie, (consulté le ).
- Fiche d'identité de la société Europe 1 Télécompagnie
- Portail de la radio
- Portail de la France