Frossay

Frossay est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Frossay

Le marais de Frossay.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Estuaire
Maire
Mandat
Sylvain Scherer
2020-2026
Code postal 44320
Code commune 44061
Démographie
Gentilé Frossetains
Population
municipale
3 216 hab. (2019 )
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 14′ 42″ nord, 1° 55′ 59″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 47 m
Superficie 57,22 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Brevin-les-Pins
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Frossay
Géolocalisation sur la carte : France
Frossay
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Frossay
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Frossay
Liens
Site web http://www.frossay.fr/

    La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.

    Frossay comptait 3216 habitants au recensement de 2019.

    Géographie

    Situation de la commune de Frossay dans le département de la Loire-Atlantique.

    Frossay est située à 20 kilomètres à l'est de Saint-Brevin-les-Pins et de Pornic, les deux plus grandes stations balnéaires du pays de Retz.


    Frossay fait partie de la communauté de communes Sud Estuaire avec Saint-Viaud, Saint-Père-en-Retz, Paimbœuf, Corsept et Saint-Brevin-les-Pins.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 813 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957[7] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,3 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Frossay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

    La commune, bordée par l'estuaire de la Loire, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (30,6 %), prairies (28 %), terres arables (13,1 %), zones humides intérieures (10,7 %), eaux maritimes (9,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %), zones urbanisées (2 %), zones humides côtières (1,7 %), forêts (0,6 %), eaux continentales[Note 6] (0,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Fruszai en 1047, Fruciaco en 1062, Froczaium en 1287[22].

    Frossay vient de l'anthroponyme latin Fructicius et du suffixe -acum[réf. nécessaire]

    Frossay possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Froczaè (écriture ELG)[23].

    Le nom est traduit, au vingt et unième siècle, Frozieg en breton[22].

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Vineux[24].

    Histoire

    Frossay est une des plus vieilles paroisses du pays de Retz[25].

    En 1050, Draolius, seigneur du Migron, fils de Frédur, se rendit, accompagné de sa femme Oredienne et de ses deux enfants en pèlerinage à l'abbaye Saint-Sauveur de Redon et donna le prieuré de Sainte-Marie, aujourd'hui entièrement détruit ainsi que sa chapelle, aux moines de cette abbaye[26].

    En 1764, Frossay est érigé en marquisat en faveur de la famille d'Espinose.

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, à cause de l'existence de la Poche de Saint-Nazaire, l'occupation allemande se prolongea à Frossay comme sur l'ensemble des localités voisines de l'estuaire durant 9 mois de plus (d'août 1944 au ), la reddition effective de la poche intervenant 3 jours après la capitulation de l'Allemagne.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1964 Julien Hachet   agriculteur
    1964 1977 Louis Merlet   commerçant en grain
    1977 1983 Léon Rochais   agriculteur
    1983 2001 Robert Martin DVD  
    2001 2008 Jean L'Hotelier    
    2008 2014 Monique Legrand[27]   retraitée
    2014 En cours Sylvain Scherer DVD gérant de société touristique

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Frossay est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi de Saint-Nazaire et du bassin de vie de Saint-Père-en-Retz. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[28]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 85 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 15 % dans des zones « très peu denses »[29].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2019, la commune comptait 3 216 habitants[Note 7], en augmentation de 3,14 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 6622 0882 2612 3812 6362 8212 7232 7082 712
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7872 8012 7262 8042 9002 9512 9493 3903 870
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9112 8172 6792 3052 2322 0622 0752 0172 040
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 1712 0181 9131 9112 0992 1102 3982 5752 901
    2014 2019 - - - - - - -
    3 1583 216-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,6 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 591 hommes pour 1 627 femmes, soit un taux de 50,56 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    2,2 
    6,0 
    75-89 ans
    9,2 
    14,1 
    60-74 ans
    13,0 
    19,2 
    45-59 ans
    18,9 
    21,9 
    30-44 ans
    20,8 
    11,8 
    15-29 ans
    12,9 
    26,3 
    0-14 ans
    22,9 
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,7 
    5,8 
    75-89 ans
    8,6 
    14,7 
    60-74 ans
    16 
    19,6 
    45-59 ans
    18,9 
    20,1 
    30-44 ans
    19,2 
    19,2 
    15-29 ans
    17,5 
    20 
    0-14 ans
    18 

    Patrimoine et culture locale

    Lieux et monuments

    • Menhir des Pins.
    • Le canal maritime de la Basse-Loire s'étend sur son territoire et offre de multiples facettes.
    • Les réserves de chasse et de faune sauvage du Massereau et du Migron, qui assurent la protection de 700 hectares de prairies humides, roselières, saulaies favorables à l'hivernage, à la reproduction ou à l'arrêt en halte migratoire de très nombreuses espèces d'oiseaux.
    • Legendia Parc, parc animalier et d'attractions, créé en 1992 sous le nom de « Sentier des Daims »[35].
    • Le site des Champs-Neufs, ouvrage d'art en fer édifié en 1892 [16], offre un patrimoine bâti remarquable ainsi que le site du Carnet avec son écluse.
    • Village du Migron : demeures anciennes et ruelles typiques.
    • Les promenades sur les sentiers de randonnées.
    • Le lavoir de la Bibonnière, qui fut rénové durant l'année 2008.
    • Le château de la Rousselière.
    • Le château de Ker Aulen.

    Frossay possède de nombreux calvaires. Près du bourg, celui de la Fuie est l'un des plus beaux.

    Dans le bourg, place du calvaire, est érigée la stèle de l'aviateur Alexis Maneyrol qui fut champion du monde de vol à voile.

    • Le Bois-Péan : remanié au XIXe siècle, c'est un grand bâtiment d'angle avec chapelle, dont la porte est ornée d'un fronton avec écusson armorié. Des prêtres réfractaires s'y sont réfugiés pendant la Révolution. La chapelle de Bois-Péan date du XVIIe siècle, le manoir du XVIe siècle.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or à la croix de sable cantonnée : au premier, d'une corbeille de sable relevé d'or ; au deuxième, d'une nef de sable contournée, équipée de gueules ; au troisième, d'une grappe de raisins de gueules relevée d'or, tigée de sable ; au quatrième, de deux clés de sable passées en sautoir.
    Commentaires : Ce blason évoque le blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Frossay au pays de Retz ; la corbeille évoque le pain bénit ; la nef est un drakkar viking de Normands remontant vers Nantes ; les clés sont celles de Saint Pierre, patron de la paroisse. Blason conçu par M. Ferrand en 1946, enregistré le .

    Personnalités liées à la commune

    • Alexis Maneyrol (1891-1923), aviateur, né à Frossay.
    • Joseph Fouché (1759-1820), ministre de Napoléon, né au Pellerin, et dont deux de ses grands-parents étaient originaires de Frossay[réf. nécessaire].
    • Geoffrey « Sean Paul » Bergamini (1912-1986), champion de France 1958 de Palet breton avec 54 points d’écart[36].

    Activités

    • Pêche à la ligne
    • Aviron
    • Canoë-kayak
    • ULM
    • Parcs d'attractions défi-nature (accro branches, paint-ball...)
    • Parc animalier et de spectacles Legendia Parc (ours, loup, lynx, animaux de nos forêts...)
    • Quai vert (spectacle, concert, exposition, location de pédalo, etc.)
    • Depuis 2017, chaque dernier week-end d'août, Frossay accueille le festival couvre-feu qui se tenait auparavant à Corsept. Au programme, concerts (notamment NTM, CYPRESS HILL, KENY ARKANA, etc.), activités ludiques et culturelles diverses (théâtre d'improvisation, etc.) pour se divertir pendant 4 jours.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Saint-Nazaire-Montoir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Frossay et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    18. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    23. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. « Histoire », sur frossay.fr, mairie de Frossay (consulté le ).
    26. Pitre-Chevalier, La Bretagne ancienne et moderne, Paris, W. Coquebert, , pages 264-265.
    27. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Loire-Atlantique), no 535, , p. 10 (ISSN 1285-7688).
    28. « Commune de Frossay (44061) », Insee (consulté le ).
    29. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Frossay (44061) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    35. « L’histoire du parc & engagements - Legendia Parc », Legendia Parc, (lire en ligne, consulté le ).
    36. Ouest France du 18 mars 1958.
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