Gabriel Attal

Gabriel Attal, né le à Clamart (Hauts-de-Seine), est un homme politique français.

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Gabriel Attal

Gabriel Attal en 2020.
Fonctions
Ministre délégué chargé des Comptes publics
En fonction depuis le
(3 mois et 15 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Ministre Bruno Le Maire
Gouvernement Borne
Prédécesseur Olivier Dussopt
Député français

(1 mois)
Élection 19 juin 2022
Circonscription 10e des Hauts-de-Seine
Législature XVIe (Cinquième République)
Groupe politique LREM
Prédécesseur Florence Provendier
Successeur Claire Guichard

(1 an, 4 mois et 26 jours)
Élection 18 juin 2017
Circonscription 10e des Hauts-de-Seine
Législature XVe (Cinquième République)
Groupe politique LREM
Prédécesseur André Santini
Successeur Florence Provendier
Conseiller municipal de Vanves
En fonction depuis le
(8 ans, 5 mois et 5 jours)
Élection 30 mars 2014
Réélection 28 juin 2020
Maire Bernard Gauducheau
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre
Porte-parole du gouvernement

(1 an, 10 mois et 14 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Jean Castex
Gouvernement Castex
Prédécesseur Sibeth Ndiaye
Successeur Olivia Grégoire
Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse

(1 an, 8 mois et 20 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Ministre Jean-Michel Blanquer
Gouvernement Philippe II
Prédécesseur Fonction créée
Successeur Sarah El Haïry
Porte-parole de La République en marche

(9 mois et 12 jours)
Prédécesseur Sibeth Ndiaye
Successeur Laetitia Avia
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Clamart (France)
Nationalité Français
Parti politique PS (2006-2016)
LREM (depuis 2016)
Père Yves Attal
Conjoint Stéphane Séjourné
Diplômé de IEP de Paris
Université Paris II Panthéon-Assas

Ministre chargé du Budget

Militant au Parti socialiste de 2006 à 2016, il est membre du cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine de 2012 à 2017 et conseiller municipal de Vanves depuis 2014.

Après avoir rejoint En marche, devenu La République en marche, en 2016, il est élu député lors des élections législatives de 2017 dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine. À l'Assemblée nationale, il est membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation, où il officie comme coordinateur (« whip ») du groupe LREM. Il est également rapporteur du projet de loi relative à l'orientation et la réussite des étudiants (loi ORE).

Il est par ailleurs porte-parole de LREM de janvier à , et membre de son bureau exécutif depuis .

Le , il est nommé secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse dans le second gouvernement Édouard Philippe, devenant ainsi le plus jeune membre d'un gouvernement sous la Ve République. Il est notamment chargé de mettre en place le service national universel (SNU), engagement de campagne d'Emmanuel Macron. Il est ensuite nommé porte-parole du gouvernement Jean Castex, occupant cette fonction du au .

Le , il est nommé ministre délégué chargé des Comptes publics au sein du gouvernement Élisabeth Borne, sous la seconde présidence d'Emmanuel Macron. En , il est réélu député dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine.

Situation personnelle

Naissance et famille

Gabriel Nissim Attal naît le [1] à Clamart. Son père, Yves Attal, est avocat puis producteur de cinéma[2],[3],[4] et sa mère, Marie de Couriss[5], salariée d’une société de production[6]. Il grandit dans les 13e et 14e arrondissements de Paris auprès de ses trois sœurs. Il ajoute, à titre d'usage, le nom de sa mère à son patronyme et se fait appeler : Gabriel Attal de Couriss[7].

Études et formation

Selon une de ses proches, sa vocation politique naît lorsque ses parents l'emmènent à une manifestation contre la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle de 2002[6].

Il étudie à l'École alsacienne[2] où une certaine inimitié l'oppose à l'avocat et activiste politique Juan Branco[8] et où il côtoie la chanteuse Joyce Jonathan[9]. Il indique avoir participé en 2006 au mouvement contre le contrat première embauche[2]. Il rejoint le Parti socialiste (PS) en 2006 pour soutenir la candidature de Ségolène Royal à l'élection présidentielle de 2007[10]. Le Monde le situe, dès son adhésion, « dans le sillage de cette « deuxième gauche » pour qui l’entreprise et le libéralisme ne sont pas des gros mots, tout en ayant des convictions humanistes assumées »[11]. Il indique quant à lui avoir « adhéré au PS en étant dans la mouvance de Dominique Strauss-Kahn »[11].

Vie privée

Pendant deux ans, il est en couple avec Joyce Jonathan[9] dont il dit à Closer qu'elle a été l'un de ses « premiers amours » lorsqu'il était adolescent[12].

Lié par un pacte civil de solidarité (Pacs) au député européen Stéphane Séjourné, il révèle son homosexualité après que des allusions à sa vie privée et à son couple circulent dans les travées de l’Assemblée[13],[14],[15].

Parcours politique

Militantisme au PS

De 2007 à 2013, il est étudiant à Sciences Po Paris. À son arrivée, il rejoint le comité de soutien à Íngrid Betancourt et coordonne des actions en soutien à l’otage franco-colombienne détenue par les FARC[16],[17]. Il postule en vain au poste de secrétaire de section du Parti socialiste[18],[19], avant de créer une liste pour le bureau des étudiants (BDE) essentiellement chargée de l'organisation de soirées étudiantes[20]. La liste perdra également. Il y obtient le diplôme du collège universitaire et un master en affaires publiques, et suit également une licence de droit à l'université Panthéon-Assas[21]. En 2009-2010, il effectue une mission auprès d'Éric de Chassey, directeur de la Villa Médicis[22].

Après un stage à l'Assemblée nationale française auprès de Marisol Touraine pendant la campagne présidentielle, Gabriel Attal entre en 2012 dans le cabinet de la ministre de la Santé[23], avec l'aide de Benjamin Griveaux[24], lui aussi membre du cabinet, dont il est l'adjoint[11],[2]. Il devient ainsi le plus jeune conseiller ministériel du quinquennat[2]. Jusqu'en 2017, il travaille au cabinet comme préposé aux discours, puis comme conseiller politique après le départ de Benjamin Griveaux[25],[26].

Cinquième sur la liste PS aux élections municipales de 2014, Gabriel Attal devient l'un des quatre conseillers municipaux PS de Vanves et prend la tête de l'opposition, après la démission de la tête de liste socialiste[27],[28].

Militant chez En Marche

Il adhère à En marche, devenu ensuite La République en marche (LREM), selon les sources dès la création du mouvement en avril 2016[28] ou fin 2016[15], et quitte le PS, selon les sources lorsque Emmanuel Macron déclare sa candidature à l'élection présidentielle de 2017[29] ou après avoir obtenu l'investiture LREM pour les élections législatives de 2017[2]. Il déclare avoir été déçu par l'opposition de certains élus PS à la loi Macron, notamment à propos du travail du dimanche[28],[11]. Selon Libération, il est « heurté par le raidissement de Manuel Valls sur les questions d’identité et d’immigration »[26].

Élection

Il est élu député en dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine (60,94 % des voix et un taux d'abstention de 51,82 %)[30] face au successeur désigné d'André Santini, Jérémy Coste, au général Bertrand Soubelet et à l'humoriste Gérald Dahan[25].

Porte-parole de la majorité

Le Monde indique en qu'il fait partie d'une petite dizaine de députés qui forment « la garde avancée d'Emmanuel Macron, au palais Bourbon comme dans les médias. Des janissaires dévoués corps et âme au chef de l'État, qui ne dépendent que de lui, ne rendent de comptes qu’à lui »[31]. Il est également proche de Christophe Castaner[32] et de Stéphane Séjourné[33].

Toujours selon Le Monde, les partisans d'Emmanuel Macron le considèrent vite comme le député de la majorité le plus talentueux, avec Amélie de Montchalin : Le Monde indique qu'il y est parvenu « grâce à son sens politique et à son aisance à l’oral. Et surtout, en profitant du vide. Alors que beaucoup de ses collègues du groupe LREM, composé à majorité de novices, n’osaient pas prendre la parole en public au début de la législature, lui a très vite crevé l’écran en défendant l’action d’Emmanuel Macron avec un aplomb et une facilité déconcertants pour son jeune âge »[11]. Libération relève qu'il « est invité partout, des matinales de radio à l’émission On n'est pas couché, reléguant les autres porte-parole de LREM au rang de figurants », et « l’un des seuls à monter au feu cet été [en 2018] pour défendre Emmanuel Macron et l’Élysée en pleine affaire Benalla, gagnant du même coup de nouveaux galons »[26]. Il bénéficie d’un accès privilégié au palais de l'Élysée, qui lui fournit les éléments de langage en vue de ses passages dans les médias[11].

Il est porte-parole de LREM de janvier à octobre 2018[34],[35]. Sa maison de famille fait par ailleurs office de « petit carrefour de la majorité »[26].

En avril 2018, à la veille du mouvement social contre la réforme de la SNCF, sa dénonciation de « la gréviculture » suscite la polémique[2],[11]. En mai 2018, il prend cependant ses distances avec les propos polémiques du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, selon lesquels les migrants font du « benchmarking » en comparant les pays européens[11].

En septembre 2018, après l'élection de Richard Ferrand à la présidence de l'Assemblée nationale, il se porte candidat pour lui succéder à la présidence du groupe LREM[36], mais annonce le retrait de sa candidature la veille du scrutin alors qu'il était considéré comme l'un des trois favoris pour l'emporter[37].

Travaux législatifs

À l'Assemblée nationale, il est membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation, au sein de laquelle il officie comme coordinateur (« whip ») du groupe La République en marche[38].

Après six mois de législature, il est le 31e député le plus actif selon le classement établi par Capital, classement qualifié de « prime aux bavards » par le président du groupe La République en marche[39],[40] et dénoncé par Gabriel Attal lui-même qui affirme qu'il est favorisé car il a signé des amendements alors que ses collègues de LREM ont travaillé autant que lui à leur préparation[41]. Au même moment, Ouest-France relève que « selon le site Nosdéputés.fr qui scrute l’activité des députés, Gabriel Attal est l’un des élus les plus actifs (127 interventions en commission ce qui le classe parmi les vingt premiers) »[28].

En décembre 2017, il est nommé rapporteur du projet de loi relative à l'orientation et à la réussite des étudiants (Loi ORE)[42],[43]. Le Monde indique que l'examen du texte « lui a permis de se distinguer par sa capacité à ferrailler avec l’opposition dans l’Hémicycle, en particulier avec La France insoumise (LFI), qu’il cible prioritairement dans ses prises de position »[11]. Il suscite la polémique en qualifiant les étudiants opposés à la réforme de « bobos égoïstes »[2]. En , il travaille à la réforme de l'audiovisuel public au sein d'un groupe de travail constitué à l'Assemblée[44].

Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse

Gabriel Attal au Festival d'Angoulême 2019.

Le , il est nommé secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, Jean-Michel Blanquer. À 29 ans, il est le plus jeune membre d'un gouvernement sous la Ve République, battant de quelques mois le record établi par François Baroin en 1995[45]. Il est notamment chargé d'intervenir sur les dossiers de la jeunesse et la mise en place du service national universel (SNU)[11], jusque-là sous la responsabilité de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d'État auprès de la ministre des Armées[46].

Le 29 novembre 2018, il annonce des mesures concernant le monde associatif. En matière de philanthropie, il déclare souhaiter que « les grandes fortunes » puissent léguer leur patrimoine net d'impôt de succession à des fondations dont leurs enfants sont administrateurs, plutôt qu'à leurs enfants, ce qui est imposé à 45 %. En effet, de nombreuses fortunes françaises, comme c'est le cas, par exemple, de Johnny Hallyday, s'établissent à l'étranger afin de procéder à ce montage dans la légalité[47]. La réforme projetée finit par échouer.

Selon Libération, « il est un des rares secrétaires d’État à exister »[15].

Lors des élections municipales de 2020, il est deuxième sur la liste LREM à Vanves, qui arrive en troisième position au second tour (19,9 %), derrière celle du maire sortant (UDI) Bernard Gauducheau (53,3 %) et celle d'EÉLV (26,8 %). Il reste conseiller municipal d'opposition[48].

Secrétaire d'État auprès du Premier ministre, porte-parole du gouvernement

Gabriel Attal est nommé secrétaire d'État auprès du Premier ministre, porte-parole du gouvernement le [49],[50].

Il est candidat en dernière position sur la liste LREM dans les Hauts-de-Seine pour les élections régionales de 2021 en Île-de-France[51]. Dans la foulée, en , il intègre le bureau exécutif de LREM, élu sur la liste conduite par Richard Ferrand[52].

Alors que Gabriel Attal est en couple avec Stéphane Séjourné, conseiller politique d'Emmanuel Macron jusqu'en 2021, Le Monde souligne que tous deux « se sont hissés au sommet de l'État dans une position totalement inédite sous la Ve République : l'un souffle à l'oreille du président, l'autre parle au nom du Premier ministre »[13].

Ministre délégué chargé des Comptes publics

Le , il est nommé ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement Élisabeth Borne.

Élections législatives de 2022

Lors des élections législatives de 2022, Gabriel Attal est candidat pour la majorité présidentielle dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine. L'Élysée annonce que tous les membres du gouvernement candidats qui sont battus dans leur circonscription devront quitter le gouvernement[53]. Au premier tour, il arrive en tête avec 48,06 % des voix devant la candidate de la NUPES, Cécile Soubelet (30,75 %)[54]. Au second tour, il obtient 59,85 % des suffrages, ce qui lui permet de se maintenir au gouvernement[55].

Notes et références

  1. « INFOGRAPHIES. Législatives : l'Assemblée prend un coup de jeune historique avec l'arrivée de 28 députés vingtenaires », sur France Info, (consulté le ).
  2. Laurent Telo, « Du Parti socialiste à La République en marche, la mue fulgurante de Gabriel Attal », M, le magazine du Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  3. Mariana Grépinet, « Gabriel Attal, l’homme pressé », sur parismatch.com, (consulté le )
  4. « Gabriel Attal : un vingtenaire débarque dans le gouvernement », sur start.lesechos.fr, (consulté le )
  5. https://www.cc-veron.fr/qui-sont-les-parents-de-gabriel-attal/
  6. Delphine Bancaud, « Qui est Gabriel Attal, le plus jeune membre d'un gouvernement de la Ve République? », sur www.20minutes.fr,
  7. Juan Branco, Crépuscule, Vauvert/Paris, Au Diable vauvert-Massot Editions, , 312 p. (ISBN 979-10-307-0260-6), p. 99
  8. Jérôme Dupuis, Benoist Fechner et Ludwig Gallet, « Les réponses de L'Express à Juan Branco », sur lexpress.fr,
  9. « Gabriel Attal, du gouvernement Macron, a été en couple avec Joyce Jonathan », sur femina.fr,
  10. « De nouveaux visages dans le paysage politique de Vanves : Gabriel Attal (PS) conseiller parlementaire », (consulté le ).
  11. Alexandre Lemarié, « Gabriel Attal, secrétaire d’État auprès de Blanquer », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  12. « Le saviez-vous ? Gabriel Attal a été en couple avec l’ex du fils de François Hollande », Gala, (lire en ligne)
  13. Grégoire Biseau, « Stéphane Séjourné et Gabriel Attal, un couple au cœur du pouvoir », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  14. « Affaire Griveaux : ce qu'il faut savoir sur Juan Branco », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  15. Quentin Girard, « Gabriel Attal, de ses propres zèles », Libération, (lire en ligne).
  16. Jean-Pierre Largillet, « Le fils d'Ingrid Betancourt à la rencontre des Niçois samedi », sur WebTimeMedias, (consulté le ).
  17. Bruno Jeudy, « Gabriel Attal : "Le jour où je rencontre Ingrid Betancourt à l'aéroport de Villacoublay" », Paris Match, semaine du 16 au 22 août 2018, p. 107 (lire en ligne, consulté le )
  18. Section socialiste de Sciences-Po, « Profession de foi de Gabriel, candidat à l'élection de secrétaire de section », sur Blog des socialistes de Sciences Po (consulté le ).
  19. Section socialiste de Sciences-Po (A laquelle il échoue), « Élections du secrétaire de section - Résultats », sur Blog des socialistes de Sciences Po (consulté le ).
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  24. Nathalie Raulin, « Six relais du macronisme à l'Assemblée », sur liberation.fr, (consulté le ).
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  28. Pierrick Baudais, « Qui est Gabriel Attal, le futur porte-parole de la République en marche ? », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
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  30. « Résultats des élections législatives 2017 Hauts-de-Seine - 10ème circonscription », sur lexpress.fr (consulté le )
  31. Cédric Pietralunga et Alexandre Lemarié, « Les snipers de la Macronie », sur Le Monde, (consulté le ).
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  33. « Gabriel Attal, jeune loup de la macronie et benjamin du gouvernement », sur lepoint.fr, (consulté le ).
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  39. « Les députés d'En marche, cancres de l'Assemblée… Notre classement », sur Capital, (consulté le ).
  40. « Les députés macronistes s'indignent des classements de parlementaires », sur Le Monde (consulté le ).
  41. Gabriel Gabriel, « Mauvais critères= mauvais classement. Il favorise les députés d'opposition qui font de l'obstruction et les députés majoritaires qui ont pu être rapporteur d'un texte (c'est mon cas). Les amendements qu'on a signés ont été préparés avec nos collègues du groupe La République en marche qui bossent autant que nous », sur Twitter, (consulté le ).
  42. « Gabriel Attal : « Il faudra être très vigilant sur la rentrée 2018 à l'université » », sur Le Monde (consulté le ).
  43. Bruno Jeudy, « Gabriel Attal, la voix des « Marcheurs » », Paris Match, , p. 23 (lire en ligne).
  44. « Audiovisuel public : un groupe de travail à l'Assemblée nationale début janvier », sur CB News (consulté le ).
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  46. Alain Barluet, « Les militaires soulagés par une participation a minima », Le Figaro, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
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  52. « France: retour des poids lourds de LaREM au bureau exécutif du parti », sur rfi.fr, (consulté le ).
  53. « Élections législatives : les ministres battus devront démissionner », Le Figaro, (consulté le )
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  55. « Elections législatives 2022 », sur www.resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le )

Liens externes

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