Olivier Dussopt
Olivier Dussopt, né le à Annonay (Ardèche), est un homme politique français.
Olivier Dussopt | |
Olivier Dussopt en 2017. | |
Fonctions | |
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Ministre du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion | |
En fonction depuis le (3 mois et 15 jours) |
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Président | Emmanuel Macron |
Premier ministre | Élisabeth Borne |
Gouvernement | Borne |
Prédécesseur | Élisabeth Borne |
Député français | |
– (1 mois) |
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Élection | 19 juin 2022 |
Circonscription | 2e de l'Ardèche |
Législature | XVIe (Cinquième République) |
Groupe politique | RE |
Prédécesseur | Michèle Victory |
Successeur | Laurence Heydel Grillere |
– (10 ans, 6 mois et 4 jours) |
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Élection | |
Réélection | 18 juin 2017 |
Circonscription | 2e de l'Ardèche |
Législature | XIIIe, XIVe et XVe (Cinquième République) |
Groupe politique | SRC, SER puis NG |
Prédécesseur | Gérard Weber |
Successeur | Michèle Victory |
Président de Territoires de progrès | |
En fonction depuis le (10 mois et 26 jours) |
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Élection | |
Secrétaire général | Félix Meysen |
Délégué général | Xavier Iacovelli |
Prédécesseur | Gilles Savary (délégué général) |
Ministre délégué chargé des Comptes publics | |
– (1 an, 10 mois et 14 jours) |
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Président | Emmanuel Macron |
Premier ministre | Jean Castex |
Ministre | Bruno Le Maire |
Gouvernement | Castex |
Prédécesseur | Gérald Darmanin |
Successeur | Gabriel Attal |
Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Action et des Comptes publics | |
– (2 ans, 7 mois et 12 jours) |
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Président | Emmanuel Macron |
Premier ministre | Édouard Philippe |
Ministre | Gérald Darmanin |
Gouvernement | Philippe II |
Prédécesseur | Fonction créée |
Successeur | Fonction supprimée |
Maire d'Annonay | |
– (9 ans, 3 mois et 24 jours) |
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Prédécesseur | Gérard Weber |
Successeur | Antoinette Scherer |
Conseiller régional de Rhône-Alpes | |
– (1 an, 8 mois et 7 jours) |
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Élection | |
Circonscription | Ardèche |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Annonay (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | PS (2000-2017) SE (2017-2020) TDP (depuis 2020) |
Diplômé de | IEP de Grenoble |
Profession | Attaché parlementaire |
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Ministres français du Travail | |
Membre du Parti socialiste jusqu'en 2017, député de la deuxième circonscription de l'Ardèche, élu le , il est le benjamin de l'Assemblée nationale pendant la XIIIe législature. Réélu en , il est membre de la Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République.
Alors qu'il s'inscrivait jusqu'alors dans l'opposition au second gouvernement Édouard Philippe, il est nommé secrétaire d'État en novembre 2017 dans ce même gouvernement. Il devient trois ans plus tard ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement Jean Castex. Avec d'autres anciens socialistes, il fonde en 2020 le parti Territoires de progrès qui vise à rassembler l'aile gauche de la majorité, et prend sa présidence en 2021.
Depuis le 20 mai 2022, il est ministre du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion dans le gouvernement Élisabeth Borne. Il est réélu député de la deuxième circonscription de l’Ardèche le 19 juin 2022 sous l’étiquette Ensemble avec 58,86 % des voix.
Biographie
Origines et formation
Issu d’une famille ouvrière d’Annonay en Ardèche où il réside, il fait ses études à l'Institut d'études politiques de Grenoble et obtient un diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) de développement local et management de territoires[1].
Débuts en politique
Après avoir occupé différents postes de chargé de mission, Olivier Dussopt est, de novembre 2002 à septembre 2006, collaborateur parlementaire de Michel Teston, sénateur et président du conseil général de l'Ardèche[1].
Adhérent du Parti socialiste (PS) à partir de 2000, il est secrétaire de la section d’Annonay de mai 2001 à janvier 2008. De 2001 à 2003, il est animateur fédéral du Mouvement des jeunes socialistes en Ardèche. Premier secrétaire fédéral délégué de 2003 à 2007, il est chargé de la coordination, de la communication, des études et des élections.
Proche de la Nouvelle Gauche avec Benoît Hamon[2], il est membre du Conseil national du Parti socialiste.
Mandats d'élu
Candidat aux élections régionales de 2004[3], il rejoint le conseil régional de Rhône-Alpes en en remplacement d'Hélène Mira, démissionnaire. Il siège au sein du groupe socialiste.
Le , il est élu député de la deuxième circonscription de l'Ardèche, devenant le benjamin de l'Assemblée nationale[2].
Le , il annonce officiellement sa candidature aux élections municipales de mars 2008 dans la ville d'Annonay. Le , la liste d'union de la gauche « Annonay avenir » avec Olivier Dussopt à sa tête l'emporte dès le premier tour avec 68,9 % des voix[4]. Le , il est élu maire par le nouveau Conseil municipal et démissionne peu après du Conseil régional pour cause de cumul des mandats. En , il devient président du Syndicat mixte de l'Ardèche verte jusqu'en 2014.
En , dans la foulée du congrès de Reims où il a été signataire de la motion C de Benoît Hamon, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon et Marie-Noëlle Lienemann, il intègre la direction nationale du PS, auprès de Marylise Lebranchu, secrétaire nationale aux territoires. En , il devient vice-président de l'Association des petites villes de France (APVF) et en il devient vice-président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains auprès de Marylise Lebranchu de 2010 à 2012 puis Pierre Cohen comme 1er vice-président, puis comme vice-président aux questions d'organisation et de réforme territoriale auprès de Francois Rebsamen en . Le , il devient porte-parole de Martine Aubry, candidate à l'élection présidentielle française de 2012. Après les primaires, il rejoint le conseil des élus de la campagne de François Hollande.
Il est réélu député de l'Ardèche le en obtenant 53,35 % des voix[1]. Il est aussi désigné vice-président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, où il travaille plus particulièrement sur les questions relatives aux collectivités territoriales.
Le , il est nommé secrétaire national du PS auprès de la 1re secrétaire, Martine Aubry, chargé de la présidence du forum des territoires, en remplacement de Marylise Lebranchu, jusqu'au congrès de Toulouse.
Il est alors très proche de Martine Aubry[5].
Le , il est désigné rapporteur de la commission des lois pour le projet de loi de modernisation de l'action publique et d'affirmation des métropoles.
Candidat à sa propre succession aux élections municipales d'Annonay, il est réélu dès le premier tour le avec 51,71% des voix pour sa liste "Annonay Avance"[4] face à trois listes (UMP, extrême droite, et Front de Gauche). Les 12 et , lors des assises de l'APVF à Annonay, il en est élu président, succédant à Martin Malvy, président fondateur[6].
En , il est aussi désigné rapporteur de la commission des lois pour le projet de loi portant nouvelle organisation du territoire de la République et clarification des compétences des collectivités locales. Ce texte est promulgué le . Olivier Dussopt est nommé membre de la commission nationale consultative des gens du voyage, au sein de laquelle il représente l'Assemblée nationale (JO.13.10.2015). Il siège aussi, à partir de 2012, au conseil national d'aménagement et de développement du territoire[réf. nécessaire].
Il est près d'entrer au gouvernement à deux reprises sous la présidence de François Hollande, soutenu à chaque fois par Manuel Valls, mais se voit recalé au dernier moment[5],[7].
En 2016, il soutient Manuel Valls et devient l'un de ses huit porte-parole de campagne pour la primaire citoyenne de 2017[8].
Le , il est réélu député de la deuxième circonscription de l'Ardèche avec 56,30 % des suffrages exprimés face à la candidate de La République en marche ![9]. Il est l’un des rares députés PS à être réélus face à un candidat LREM[5]. À Annonay, ville dont il est maire, il réalise un score de 70,45%.
Le , en application de la loi interdisant le cumul d'un mandat parlementaire et d'une fonction exécutive locale, il quitte ses fonctions de maire d'Annonay et Antoinette Scherer, sa première adjointe depuis 2009, lui succède[10]. Le , lors des 20es assises des petites villes de France, à Hendaye, il est reconduit comme président de l'APVF à l'unanimité des membres de l'assemblée générale[11].
En , dans le cadre du projet de loi organique rétablissant la confiance dans l'action publique, Olivier Dussopt soutient un amendement, soutenu de longue date par la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) et finalement adopté, qui enrichit le code pénal d'une peine d'inéligibilité applicable aux personnes reconnues coupables de racisme, d'antisémitisme, de négationnisme, d'homophobie, d'incitation au terrorisme, d'apologie de crime contre l'humanité et de toute forme de discrimination[12].
En , il intègre une mission d’expertise portant sur la réforme du financement des collectivités locales et de la fiscalité locale, sous la présidence d’Alain Richard, sénateur, ancien ministre, et à la demande du Premier ministre[13]. Il est aussi membre d’un groupe de travail « statut des collaborateurs » dans le cadre de la réforme de l’Assemblée nationale et il siège au conseil d’administration de l’association des députés employeurs.
Secrétaire d'État dans le gouvernement d'Édouard Philippe
Le , il est nommé secrétaire d'État auprès du ministre de l'Action et des Comptes publics, au sein du second gouvernement Édouard Philippe[14],[15]. Si le décret de nomination ne précise pas son portefeuille exact, il est présenté par la presse comme de facto chargé de la Fonction publique[16],[17],[18]. Selon Contexte, « il lui arrive aussi de reprendre des dossiers auxquels Gérald Darmanin s’intéresse moins, comme la déontologie des fonctionnaires, les chantiers outre-mer »[18].
Le jour même de sa nomination, le Parti socialiste annonce qu'il n'en est plus membre[19]. Trois jours auparavant, il avait voté contre le budget présenté par le gouvernement[20] et, les mois précédents, s'était abstenu lors du vote de confiance au gouvernement, avait voté contre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale ainsi que contre la loi Travail[21],[5]. Il s'était également fait remarquer en 2014 pour avoir critiqué le ministre de l'Économie de l'époque, Emmanuel Macron, au sujet de sa déclaration jugée condescendante à l'égard des ouvrières de Gad, qualifiées « d'illettrées »[22]. Alors que le gouvernement mène une réforme des retraites qui prévoit notamment l'instauration d'un « âge pivot » de départ à 64 ans, Marianne rappelle qu'il faisait partie des 120 parlementaires socialistes contestant la conformité à la Constitution des mesures d'âge figurant dans la réforme de 2010, et qu'il avait interpellé Éric Woerth, ministre du Travail, en mettant en cause l'aspect « doublement injuste » de la « volonté de reculer l'âge de la retraite »[23].
Selon L'Opinion, il est particulièrement apprécié d'Édouard Philippe, avec qui il « a tissé des liens solides »[24]. En , il est pressenti pour succéder à Jean-Paul Delevoye, qui démissionne de son poste de haut-commissaire aux retraites, mais Laurent Pietraszewski lui est préféré[25].
Présenté par Paris Match comme un « symbole du socialisme municipal », il travaille à rallier des élus de gauche à LREM en vue des élections municipales de 2020[26]. Avec Jean-Yves Le Drian et Didier Guillaume, sur sollicitation d'Emmanuel Macron, il travaille à la structuration de l'aile gauche de la majorité, qui tarde à aboutir et suscite des craintes de division au sein de LREM[27],[28],[24]. La démarche aboutit en , avec le lancement du parti Territoires de progrès, indépendant de LREM, qui « aspire à peser sur les orientations du gouvernement et à faire contrepoids à ses alliés du centre droit » selon son texte fondateur[29].
Ministre délégué dans le gouvernement de Jean Castex
Le , Olivier Dussopt est nommé ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement Jean Castex, sous la première présidence d'Emmanuel Macron[30].
Le , il est élu président de Territoires de progrès, parti considéré comme « l'aile gauche » de la majorité présidentielle. Cette élection a eu lieu lors d'un congrès du parti à Bordeaux, réunissant 200 adhérents[31].
Ministre dans le gouvernement d'Élisabeth Borne
Le , il est nommé ministre du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion dans le gouvernement Élisabeth Borne.
Il a en particulier pour responsabilité la mise en œuvre du recul à 65 ans de l’âge légal de départ à la retraite, l'une des mesures les plus importantes du programme électoral d'Emmanuel Macron[32].
Prises de position
En , dans le cadre du débat parlementaire sur la révision de la loi de bioéthique, Olivier Dussopt a déclaré : « Quand j'entends que, malheureusement, 96 % des grossesses pour lesquelles la trisomie 21 est déclarée débouchent sur un avortement, la vraie question que je me pose est : pourquoi il en reste 4 % ? ». Il a alors été accusé d'eugénisme et cette remarque a suscité en réaction une campagne publicitaire le citant nommément. À droite de la photo d'une fillette trisomique, cette assertion : « 96 % d'entre nous sont éliminés à l'issue du dépistage massif de la trisomie 21. (...) Au parlement, certains s'étonnent que nous soyons encore 4 % à survivre ». Pour sa part, Olivier Dussopt estime que ses propos ont été détournés et sortis de leur contexte[33].
Éthique et affaires judiciaires
Cadeau reçu de la SAUR lors de l'attribution d'un marché public
Le , le site d'informations Mediapart révèle qu'en , Olivier Dussopt s'est fait offrir des lithographies numérotées du peintre Gérard Garouste par un dirigeant local de la Saur, quelques jours après avoir annoncé, en tant que maire, un partenariat industriel avec la même Saur pour l'installation d'une micro-turbine hydroélectrique sur la commune d'Annonay — le contrat, négocié à partir de 2016, est signé en juin 2017[34],[35]. Ces œuvres sont estimées à un peu plus de 2 000 euros[34]. Olivier Dusspot ne les a pas déclarées alors que c'est obligatoire pour « les dons, avantages [...] d'une valeur qu'ils estiment supérieure à 150 euros dont ils ont bénéficié à raison de leur mandat », selon le code de déontologie de l'Assemblée nationale[36],[35],[34]. Après avoir déclaré que c'était un cadeau d'« un ami », ce qui est par la suite démenti par l'intéressé, Olivier Dussopt reconnaît finalement que c'était bien un « cadeau de l'entreprise » et déclare qu’il va le restituer[35]. Il indique également qu'il saisit la déontologue de l'Assemblée nationale afin qu'elle « vérifie la conformité de [son] choix initial »[35]. Il réfute que ces cadeaux aient constitué des remerciements aux marchés (trafic d'influence) confiés à la Saur, affirmant que celle-ci a « remporté ces marchés » parce qu'elle « était la mieux-disante »[35]. Il est depuis visé par une enquête du parquet national financier confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (Oclciff), ouverte pour « corruption » et « prise illégale d'intérêts »[37], et perquisitionné par la police le [38].
Prix et récompenses
- Prix Tolerantia 2011[39]
Notes et références
- Geoffrey Bonnefoy, Olivier Dussopt (PS) : "Derrière la situation familiale, il y a une situation sociale", Le Lab Europe 1, 30 juillet 2012
- Chloé Durand-Parenti, Olivier Dussopt, benjamin de l'Assemblée, Le Point, 21 juin 2007
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections régionales 2004 », sur http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Regionales/elecresult__regionales_2004 (consulté le ).
- Les résultats des élections municipales d'Annonay, Le Figaro.
- Ellen Salvi et Mathieu Magnaudeix, « Remaniement: Macron recrute un autre socialiste », sur Mediapart, (consulté le ).
- « Olivier Dussopt, élu président de l'association des petites villes de France », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
- François-Xavier Bourmaud, Tristan Quinault-Maupoil, Charles Sapin et Mathilde Siraud, « Promotion de Griveaux, nominations de Gény-Stephann et Dussopt », Le Figaro, samedi 25 / dimanche 26 novembre 2017, page 6.
- « Primaire à gauche : Valls présente son QG et son état-major de campagne », lesechos.fr, 14 décembre 2016.
- Ministère de l'Intérieur, « Élections législatives 2017 », sur elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
- « Annonay : Antoinette Scherer élue maire », France Bleu, (lire en ligne, consulté le )
- « Au terme de leurs Assises, les maires de petites villes pleinement résolus », sur www.caissedesdepotsdesterritoires.fr (consulté le )
- Catherine Lagrange, « Les auteurs de propos racistes bientôt inéligibles ? », sur lepoint.fr, (consulté le ).
- AMF Association des Maires de France / Dexia, « Pacte financier État-collectivités : la mission préparatoire est lancée », sur www.maire-info.com (consulté le )
- « Décret du 24 novembre 2017 relatif à la composition du Gouvernement »
- Décret n° 2017-1658 du 6 décembre 2017 relatif aux attributions du secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'action et des comptes publics.
- Pierre-Alain Furbury, « Remaniement : Olivier Dussopt, un technicien des collectivités locales à la Fonction publique », lesechos.fr, 24 novembre 2017.
- Justine Faure, « Le socialiste Olivier Dussopt nommé Secrétaire d'État chargé de la fonction publique », lci.fr, 24 novembre 2017.
- Samuel Le Goff, Simon Prigent, Diane de Fortanier et Hortense Goulard, « Les attributions informelles des secrétaires d’État « sans attribution », sur contexte.com, (consulté le ).
- Nicolas Chapuis, « Remaniement : un promu et deux nouveaux au gouvernement », sur lemonde.fr, (consulté le )
- « Remaniement : Olivier Dussopt entre à Bercy… 3 jours après avoir rejeté le budget ! », marianne.net, 24 novembre 2017.
- « Remaniement : ces votes contre le gouvernement qu’Olivier Dussopt va regretter maintenant qu’il est secrétaire d'État », lelab.europe1.fr, 24 novembre 2017.
- Geoffroy Clavel, « Quand Olivier Dussopt, nouveau ministre de Macron, le traitait de "connard" », huffingtonpost.fr, 24 novembre 2017.
- Louis Nadau, « "Dégâts irréparables", "injuste" : quand les ministres Castaner, Schiappa et consorts démolissaient les réformes des retraites de la droite », sur marianne.net, (consulté le ).
- Ludovic Vigogne, « Marc Fesneau et Olivier Dussopt: les deux chouchous d’Edouard Philippe », sur lopinion.fr, (consulté le ).
- « A Paris, Jacob préfère Hidalgo à Griveaux; Dussopt a la cote: les exclusifs politiques », sur lexpress.fr, (consulté le ).
- Éric Hacquemand, « Travert et Dussopt, les rabatteurs de Matignon », sur parismatch.com, (consulté le ).
- Nathalie Segaunes, « Le «club Le Drian» inquiète LREM », sur lopinion.fr, (consulté le ).
- Olivier Faye, « L’aile gauche de la Macronie tarde à se structurer », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- Alexandre Lemarié, « L’aile gauche de la majorité s’organise pour « faire contrepoids » à la droite », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- Décret du 6 juillet 2020 relatif à la composition du Gouvernement.
- Le Figaro avec AFP, « Olivier Dussopt élu à la tête de l'aile gauche de la macronie », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- Bertrand Bissuel, « Olivier Dussopt, le bûcheur austère aux commandes de la réforme des retraites », Le Monde.fr, (lire en ligne)
- Chloé Durand-Parenti, « Bioéthique, quand le débat dérape », lepoint.fr, 10 février 2011.
- Sarah Ugolini, « Les encombrantes lithographies du secrétaire d’État Olivier Dussopt », sur Capital.fr, (consulté le )
- Fabrice Arfi, Antton Rouget et Marine Turchi, « L’art des affaires du ministre Dussopt », sur mediapart.fr,
- « Code de déontologie des députés - Textes de référence - Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr (consulté le )
- « Olivier Dussopt visé par une enquête du PNF après avoir reçu deux lithographies en cadeau », sur lemonde.fr,
- Fabrice Arfi, Antton Rouget et Marine Turchi, « Le ministre du budget perquisitionné », sur mediapart.fr (consulté le )
- Judith Silberfeld, « Les députés Franck Riester et Olivier Dussopt, lauréats du prix Tolerantia 2011 » yagg.com, 8 décembre 2011
Voir aussi
Article connexe
Liens externes
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