Gattières

Gattières est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Le village tire son nom de gatieras car il se trouve au niveau d'un gué utilisé au moins depuis l'époque romaine.

Gattières

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Pascale Guit-Nicol
2020-2026
Code postal 06510
Code commune 06064
Démographie
Gentilé Gattiérois
Population
municipale
4 173 hab. (2019 )
Densité 416 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 37″ nord, 7° 10′ 36″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 950 m
Superficie 10,03 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nice-3
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gattières
Géolocalisation sur la carte : France
Gattières
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Gattières
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Gattières
Liens
Site web http://www.gattieres.fr

    Ses habitants sont appelés les Gattiérois.

    Géographie

    Localisation

    Gattières est situé entre Carros et Saint-Laurent-du-Var et surplombe la vallée du Var.

    Géologie et relief

    Village perché dominant la vallée du Var, sous la chaîne des Baous, avec en reliefs la montagne du Chiers et le sommet du Perséguier.

    C'est une des 45 communes[1] du Parc naturel régional des Préalpes d'Azur[2].

    Catastrophes naturelles - Sismicité

    Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[3]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Gattières, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020"[4].

    Commune située dans une zone de sismicité moyenne[5].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

    • vallon du ruth,
    • fleuve le Var.

    Gattières dispose de la station d'épuration de Saint-Martin du Var d'une capacité de 80 000 équivalent-habitants[7].

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[8].

    Voies routières

    Située sur le tracé de la voie romaine avec son gué sur le Var, l'accès se fait aujourd'hui principalement depuis le Pont de Saint-Isidore route M 2210 et à partir de la Route nationale 202.,

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur Commune desservie par le réseau Lignes d'Azur[9].

    Intercommunalité

    Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.

    Urbanisme

    Typologie

    Gattières est une commune urbaine[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[13] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (26,3 %), zones urbanisées (24,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5 %), eaux continentales[Note 3] (3,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Différentes hypothèses sont à l'origine du nom de la localité :

    • la première explication provient d'une formation végétale dite « herbe à chat ». On peut aussi penser au latin « cattus », « chat » avec le suffixe -aria ;
    • la deuxième hypothèse s'explique par la situation stratégique du bourg, lieu de passage du Var inclinant à penser au latin « vadum », gué, « gat » en nissart ;
    • la troisième signification repose sur le constat que la terre serait mauvaise, peu fertile « terre gaste ».

    Histoire

    Les territoires au moment de la dédition en 1388

    Éperon dominant le Var, le rocher de Gastes aux escarpements naturels offrait un emplacement idéal et stratégique aux aborigènes ligures.

    Située sur le tracé de la voie romaine avec son gué sur le Var, Gattières détenait une position stratégique importante qui lui valut un passé tourmenté. En temps de guerre, elles furent hélas nombreuses, les prises et les pertes alternatives du village étaient fréquentes.

    En 1388, le Var devint la frontière orientale du comté de Provence, à la suite de la dédition de Nice à la Savoie. Le territoire de Gattières, jusqu'alors dépendant du baillie de Villeneuve resta cependant une enclave savoyarde sur la rive droite du Var et ce jusqu'en 1760, année où un traité entre les royaumes de Sardaigne et de France l'intégra au territoire national français.

    Profitant des troubles qui règnent en Provence, le comte Amédée VII de Savoie s'assure la trahison du gouverneur de Nice et le , coup de théâtre : Nice et son arrière-pays se détachent de la Provence et se donnent à la Savoie.

    Allégret de Mauléon, capitaine gascon souvent qualifié d'« aventurier », mais comptant de hautes attaches en Savoie, s'était emparé de la place de Gattières au cours d'un coup de main auquel Amédée VII n'était peut-être pas étranger. Le , De Mauléon vendait Gattières à Amédée VII pour le prix de 2 000 florins.

    La Savoie possédait ainsi une tête de départ en rive droite du Var. L'importance de cet évènement se vérifia lors des guerres entre les deux rives du Var. Le blason de Gattières rappelle ce fait historique : « De gueules au lion d'or tenant en sa patte dextre une tour d'argent chargée d'une croix du premier ».

    C'est ainsi que pendant près de 400 ans (1388-1760) Gattières suivra les destinées du comté de Nice, d'abord savoyarde, puis sarde et servit de nombreuses fois de tête de pont à des incursions Savoyardes et Impériales en France. Le traité de Turin () rectifiera la frontière entre le royaume de France et celui de la Sardaigne. Depuis son embouchure jusqu'au confluent de l'Estéron, le Var divisera les deux états. Gattières est ainsi séparé du comté de Nice et rattaché à la France.

    La commune est marquée par l'arrestation de nombreux villageois par les Allemands en 1944, dont Ange Grassi et Séraphin Torrin, torturés par la Gestapo niçoise puis pendus avenue de la Victoire à Nice[21].

    En 1971, la commune fera également la une de l'actualité judiciaire, avec le meurtre de la petite Danièle Marra âgée de 7 ans et la tentative d'assassinat sur sa mère Cortena, alors enceinte de huit mois. Le coupable Ali Ben Yanes, surnommé bientôt « l'égorgeur de Gattières » sera condamné à mort et exécuté à la prison des Baumettes à Marseille en 1973. Son cousin Hocine qui était son complice sera incarcéré pendant plus de trente ans.

    Six habitants du village ont péri lors de l'attentat du commis à Nice sur la promenade des Anglais[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de 1790 à 1904
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790André Nirascou
    1791Louis Vogade
    An IIAmédée Pastour
    An IVJean-André Giraud
    An VPhilippe Revel
    An VIJean-André Revel
    An VIIAmédée Pastour
    An IXAntoine Bérenger
    1807Charles-Antoine Bourelly
    1811François Audibert
    1812Charles-Antoine Bourelly
    1815Jean-Louis Féraud
    1865Gaspard Féraud
    1871Charles Raynaud
    1876Joseph Martin
    1886Charles Caravel
    1895Alexandre Josserand
    Liste des maires successifs à partir de 1904
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1904Léon Mouraille
    1944Virginius Audibert
    mars 1959Marius Papon
    mars 1977mars 2008Marius PapiPCFConseiller général du canton de Carros (1988-2008)
    mars 2008Jean-Pierre TestiPCF
    mars 2014en coursPascale Guit-Nicol[23]DVDCadre, conseillère départementale depuis 2021

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :

    • total des produits de fonctionnement : 4 991 000 , soit 1 197  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 392 000 , soit 941  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 2 141 000 , soit 513  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 1 711 000 , soit 410  par habitant ;
    • endettement : 2 740 000 , soit 657  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 15,65 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 21,75 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,91 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 150 [25].

    Économie

    Entreprises et commerces

    Agriculture

    • Autrefois la culture principale était les olives et les fleurs d’oranger. Les Plans de Gattières, situés le long du Var comptent un grand nombre d’agriculteurs, qui cultivent légumes, fruits, fleurs et plantes aromatiques.
    • Les jardins partagés[26].

    Tourisme

    • Hôtel.
    • Gîtes et chambres d'hôtes.
    • restaurants[27].

    Commerces

    • Commerces de proximité[28].
    • Sur la Plaine du Var, se regroupent les 3 clubs d’entreprises : Carros / Le Broc, Saint-Jeannet / Gattières / La Gaude et Saint-Laurent-du-Var. Ils assurent depuis de nombreuses années la promotion et le développement du premier pôle industriel des Alpes-Maritimes[29].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2019, la commune comptait 4 173 habitants[Note 4], en augmentation de 1,76 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +1,25 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    612554518701711773767755798
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    777657619578549537564680573
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    529564566553535586598616631
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8511 0051 3802 0512 9973 5834 0184 0364 115
    2019 - - - - - - - -
    4 173--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[34] :

    • Écoles maternelles et primaires[35],
    • Collèges à Carros, Saint-Jeannet,
    • Lycées à Vence.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[36] :

    • Médecins à Gattières, Colomars, Saint-Jeannet,
    • Pharmacies à Gattières, Colomars, Saint-Jeannet,
    • Hôpitaux à Saint-Jeannet.

    Cultes

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Nicolas, édifice romano-gothique de type provençal des XIVe et XVe siècles (et même au XIIIe siècle selon certains historiens)[38], puis remanié au XVIIe siècle[39],[40].
    • Chapelle Notre-Dame-du-Var, ancien prieuré rural qui faisait partie d’une ferme-chapelle abritant des religieux[41], XVe siècle[42].
    • Vestige de son ancien château fort, reste d’une tour fortifiée XIIe et XIIe siècles, vestige du château Grimaldi, datant du XIIIe siècle. Il existe une autre tour vers le nord[43].
    • Chapelle du château de la Bastide[44].
    • Monolithe[45] inscrit provenant du tombeau de Quintus Vibius Secundianus[46].
    • Monuments commémoratifs :
      • Monument aux morts[47] avec croix de guerre[48].
      • Le Monument à la Mémoire des résistants Torrin et Grassi, inauguré le , sur la place des déportés[49].
      • Plaque commémorative Torrin et Grassi[50].
    • Fontaine et lavoir.

    Héraldique

    Les armoiries de Gattières se blasonnent ainsi :

    De gueules au lion d’or tenant dans sa patte dextre une tour d’argent chargée d’une croisette du champ[51].


    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Galerie

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Les45 communes du PNR
    2. Parc naturel régional des préalpes du sud
    3. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
    4. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
    5. Didacticiel de la règlementation parasismique
    6. L'eau dans la commune
    7. Description de la station SANT-LAURENT DU VAR
    8. Table climatique
    9. Les transports en commun
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. PLU approuvé le 16 mai 2013 et modifié le 19 février 2016
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Gattières dans la Métropole Nixe Côte d'Azur
    22. Béatrice Jérôme, Mattea Battaglia et Camille Stromboni, « Qui sont les victimes de l’attentat de Nice ? », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
    23. Le 30 mars 2014, Pascale Guit-Nicol l'emporte au deuxième tour avec 50,51 % des voix exprimées.
    24. Les comptes de la commune
    25. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    26. Les jardins partagés
    27. Hébergement, restauration
    28. Commerces de proximité
    29. Annuaire économique de la plaine du Var
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. Établissements d'enseignements
    35. École maternelle et élémentaire
    36. Professionnels et établissements de santé
    37. Paroisse Saint-Véran Saint-Lambert
    38. Église Saint-Nicolas
    39. Église Saint-Nicolas
    40. Patrimoine religieux, sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux
    41. Historique site de Gattières
    42. Chapelle Notre Dame du Var
    43. Itinéraires de randonnées
    44. Monuments chrétiens de Gattières
    45. Pierre tombale romaine IIe et IIIe siècles
    46. Monolithe inscrit provenant du tombeau de Quintus Vibius Secundianus
    47. Monument aux morts, Conflits commémorés : 1914-1918
    48. Épée, casque, laurier, croix de guerre au sommet
    49. Le Monument à la Mémoire des Résistants Torrin et Grassi
    50. Plaque commémorative Torrin et Grassi
    51. Côteaux d'Azur : Gattières, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    52. généalogie famille Vian sur généanet base pierfit
    53. acte 1660 AD06 p. 3/94
    54. « Amis du sculpteur Lipa », sur archive.wikiwix.com, mairie de Gattières (consulté le )
    • Portail des communes de France
    • Portail des Alpes-Maritimes
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.