Genvry

Genvry est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Genvry

La nouvelle mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Claude Peleman
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60270
Démographie
Population
municipale
338 hab. (2019 )
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 41″ nord, 2° 59′ 26″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 97 m
Superficie 5,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Genvry
Géolocalisation sur la carte : France
Genvry
Géolocalisation sur la carte : Oise
Genvry
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Genvry

    Géographie

    Description

    Entrée du village.

    Genvry est un village rural du Soissonnais, dans l'Oise, situé à km au nord de Noyon, 16 km à l'ouest de Chauny, 34 km au sud-ouest de Saint-Quentin et une soixantaine de kilomèytres au sud-est d'Amiens. Le territoire communal est tangenté au sud-est par l'ancienne route nationale 32 (actuelle RD 932 reliant Compiègne à La Fère).

    Elle est traversée par la Via Turonensis ou sentier de grande randonnée no 655.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est limitée à l'ouest par la verse, un affluent de l'Oise en rive droite et donc un sous-affluent de la Seine. ainsi que ses marais et zones humides.

    Pluisieurs ruisseaux s'y jettent.

    Genvry est proche du canal du Nord (France).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 706 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Genvry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,5 %), forêts (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,9 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 136, alors qu'il était de 129 en 2013 et de 124 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 94,3 % étaient des résidences principales, 4,3 % des résidences secondaires et 1,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,5 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Genvry en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,3 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,1 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Genvry en 2018.
    Typologie Genvry[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 94,3 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,3 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 1,4 7,1 8,2


    Projets

    Afin de permettre la croissance de la population, un lotissement de 17 terrains a été aménagé pour la municipalité au début des années 2020[21].

    Histoire

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Michel Desseaux    
    mars 2008 2014 Brigitte Lesage    
    mars 2014 mai 2020 David Bajeux[22] DVG Directeur de la citoyenneté et de la légalité à la préfecture de l’Aisne
    Vice-président de la CC du Pays Noyonnais (2014 → 2020)
    mai 2020[23] En cours
    (au 24 janvier 2021)
    Claude Peleman    

    Équipements et services publics

    Les enfants de la commune sont scolarisés depuis les années 1970 au sein d'un syndicat intercommunal de regroupement scolaire (SIRS) qui rassemble Genvry, Bussy et Beaurains-les-Noyon qui, en 2021 accueille 70 élèves. Son extension à Catigny, Sermaize et Campagne est alors décidé pour la rentrée 2021-2022, permettant la sauvegarde des 5 écoles et la création ultérieure d'un service de cantine et d’accueil périscolaire[24]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2019, la commune comptait 338 habitants[Note 8], en augmentation de 5,3 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    213312273246474260253240217
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    214221217209190181183166167
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    147143162113117114100109146
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    176239277306308454708699941
    2014 2019 - - - - - - -
    317338-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les très importantes et brutales fluctuations démographiques des années 2000 et 2010 sont dues à la présence puis à la fermeture de la caserne de Noyon[29],[30].

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 149 hommes pour 181 femmes, soit un taux de 54,85 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    2,2 
    8,5 
    75-89 ans
    7,6 
    15,7 
    60-74 ans
    15,1 
    30,7 
    45-59 ans
    24,8 
    13,1 
    30-44 ans
    15,1 
    19,0 
    15-29 ans
    21,7 
    13,1 
    0-14 ans
    13,5 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Genvry », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Genvry et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Genvry et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Cécile Wachez, « Les terrains vendus en direct par les communes, un bon filon dans le Noyonnais : Dix des 15 parcelles proposées par la Ville de Noyon ont trouvé preneurs, sous le Mont Saint-Siméon. La mairie de Porquéricourt a elle aussi réussi son opération », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    22. Stéphane Le Barber, « Noyon : « Il faut vite remettre des compétences en mairie » selon David Bajeux, colistier de Patrick Deguise : David Bajeux, l’ancien maire de Genvry, a rejoint la liste de Patrick Deguise à la municipale partielle pour « redémarrer très rapidement » les rouages des services municipaux en cas de victoire. Ce cadre des services de l’État juge « ternie » l’image de la ville », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « maire de Genvry (de 2014 à 2020) et ancien vice-président du Pays noyonnais (en charge, entre autres, du développement du campus Inovia) ».
    23. « Genvry 60400 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    24. Stephane Lebarber, « Dans le Noyonnais, le pari d’un mariage entre villages pour éviter les fermetures de classes : Six villages ont proposé la fusion de leurs regroupements scolaires pour que la présence des enfants profite à tous. La classe unique de l’école élémentaire de Catigny et la maternelle de Sermaize comptent respectivement 11 et 13 élèves », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    29. « Le record de croissance de Genvry », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    30. « Noyon porte le poids de la réforme », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Genvry (60270) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
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