Gintrac

Gintrac est une commune française, située dans le nord du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Gintrac

Les ruines du château de Taillefer surplombant la Dordogne.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Christophe Proenca
2020-2026
Code postal 46130
Code commune 46122
Démographie
Population
municipale
104 hab. (2019 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 46″ nord, 1° 45′ 48″ est
Altitude 95 m
Min. 119 m
Max. 368 m
Superficie 6,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Biars-sur-Cère - Saint-Céré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cère et Ségala
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gintrac
Géolocalisation sur la carte : France
Gintrac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Gintrac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Gintrac

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne et par un autre cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de la Dordogne quercynoise »), deux espaces protégés (le « cours lotois de la Dordogne » et le « géoparc des causses du Quercy ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Gintrac est une commune rurale qui compte 104 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 516 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré. Ses habitants sont appelés les Gintracois ou Gintracoises.

    Géographie

    La commune est située en Quercy, dans le causse de Gramat. Elle s'étend de la Dordogne au nord (île des Escouanes, longue de km), jusqu'aux abords du gouffre de Padirac au sud. Le village est niché dans un cirque de falaises.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Gintrac[1]
    Tauriac Prudhomat
    Carennac Loubressac
    Miers Padirac

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 065 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaulieu S/dor. », sur la commune de Beaulieu-sur-Dordogne, mise en service en 1952[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 145,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune est dans le périmètre du « géoparc des causses du Quercy », classé Géoparc en mai 2017 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[16],[17].

    La commune fait également partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[18],[19].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : le « cours lotois de la Dordogne », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 569,6 ha[20].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Dordogne quercynoise »[22], d'une superficie de 5 567 ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :

    • « la Dordogne quercynoise » (2 081 ha), couvrant 24 communes dont deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt dans le Lot[25], qui comprend de nombreuses espèces déterminantes (soixante-six animales et cinquante végétales) ;
    • les « pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac » (3 605 ha), couvrant 10 communes du département[26]

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] :

    • le « cours inférieur de la Bave » (56 ha), couvrant 8 communes du département[27] ;
    • le « plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac » (10 133 ha), couvrant 11 communes du département[28] ;
    • la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 28 communes[Note 7] : deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Gintrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[30],[I 1],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,3 %), prairies (10,4 %), cultures permanentes (9,4 %), eaux continentales[Note 10] (3,8 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous la forme Gintraco dans un document de 1287[33].

    Le toponyme Gintrac est basé sur un anthroponyme germanique Gindo. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[34].

    Histoire

    Le village de Gintrac a été assiégé par les Anglais au XIIIe siècle.

    Pendant la Révolution française, le village de Loubressac a été rattaché à Gintrac.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Il existe très peu d'archives concernant les ruines du château de Taillefer qui domine le village. Il aurait été une commanderie de l'ordre du Temple, et aurait également fait fonction de léproserie. On raconte que ses habitants communiquaient à l'aide de signaux solaires avec les seigneurs du château de Turenne dans la Corrèze au sud de Brive, et ceux du château de Castelnau-Bretenoux dans la vallée de la Dordogne.

    Le château de Taillefer aurait été aussi une ancienne commanderie hospitalière des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui y auraient installé une léproserie.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[35]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1794 1799 Antoine Bel    
    1800 1813 Jean Lacrozille    
    1813 1815 Pierre Marbot    
    1815 1821 Jean Baptiste Ayrolle    
    1821 1831 Pierre Marbot    
    1831 1840 Jean Salgues    
    1840 1845 Armand Marbot    
    1846 1866 Charles Lacrozille    
    1866 1869 Eugène Marbot    
    1869 1874 Armand Marbot    
    1874 1876 Pierre Escudie    
    1876 1887 Firmin Marcellin Jayle    
    1887 1892 Antony Poux    
    1892 1896 Alphonse Pradayral    
    1896 1900 Jean Pierre Vailles    
    1971   Maurou PCF  
    2001 2014 Guy Sirieys    
    2014 En cours Christophe Proença DVG Conseiller départemental
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2019, la commune comptait 104 habitants[Note 11], en diminution de 6,31 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    400460516403439433413420428
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    402386359370342324299281254
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    24820821318917316414610297
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    918570888985104107113
    2017 2019 - - - - - - -
    103104-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]4,4 %4,3 %3,1 %
    Département[I 5]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 65 personnes, parmi lesquelles on compte 84,4 % d'actifs (81,2 % ayant un emploi et 3,1 % de chômeurs) et 15,6 % d'inactifs[Note 12],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 28 en 2013 et 34 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 54, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,1 %[I 8].

    Sur ces 54 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 94,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    9 établissements[Note 13] sont implantés à Gintrac au [I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 55,6 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 9 entreprises implantées à Gintrac), contre 13,5 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations121554
    SAU[Note 14] (ha)243399439439

    La commune est dans la vallée de la Dordogne », une petite région agricole occupant du petite partie (7 communes) du nord du territoire du département du Lot[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (12 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 439 ha[42],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin de Gintrac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[43].
    • Le château de Taillefer : les ruines du château de Taillefer, sur le causse à l'extrémité du cirque de falaises, dominent le village et les rives de la Dordogne. Malheureusement, il subsiste très peu d'archives sur ce site. Depuis ces ruines, on peut « voir trois châteaux et sept clochers » ; les trois châteaux sont Castelnau-Bretenoux, Saint-Laurent-les-Tours, et Montal. Il permettait de surveiller la navigation sur la Dordogne, les mouvements sur les chemins de pèlerinages dans la plaine et la circulation sur la route du sel. Il aurait pu être à l'origine un repaire du seigneur de Loubressac, futur baron de Gramat. Pendant les guerres de religion il a été occupé par les troupes protestantes des capitaines Bessonies et Duras[44]. La tradition locale dit que les religieuses présentes dans ces lieux auraient été mises dans des sacs avec des chats et précipitées dans le vide. Puis le château semble avoir été abandonné[45],[46],[47].

    Personnalités liées à la commune

    • Gérard Cinquin, industriel et pharmacien (fondateur de SYST'AM, entreprise d'équipement médical établie à Villeneuve-sur-Lot et leader du support de prévention de l'escarre) s'est installé à Gintrac.
    • Frédéric Gervoson, président de ANDROS.
    • Pierre Boin, ancien dirigeant de BOIN.

    Voir aussi

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Beaulieu S/dor. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Gintrac et Beaulieu-sur-Dordogne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Beaulieu S/dor. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Gintrac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    17. « géoparc des causses du Quercy », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    19. « Bassin de la Dordogne - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « le « cours lotois de la Dordogne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Gintrac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR7300898 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gintrac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF « la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « cours inférieur de la Bave » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF la « vallée de la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. Jean-Marie Cassagne - Villes et Villages en pays lotois, page 125.
    34. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 112.
    35. « Les maires de Gintrac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    40. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    41. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    42. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Gintrac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    43. « Église paroissiale Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    44. Symphorien de Durfort (vers 1523-mort le 12 mars 1563), fils de François Armand de Durfort, seigneur de Blanquefort et de Duras. Capitaine calviniste dès 1560. Il est combattu par Blaise de Monluc qui le bat à la bataille de Vergt. Il est tué pendant le siège d'Orléns.
    45. Anne-Marie Pêcheur, Le château de Taillefer et le chemin du sel, Bulletin de l’association Racines, no 18, 2013 (lire en ligne)
    46. Gilles Séraphin, Gintrac - Château du Bastit dit de "Taillefer" - Étude monumentale, Conseil général du Lot, avril 2007 (lire en ligne)
    47. Catherine Didon, Châteaux, manoirs et logis : le Lot, Chauray, Association Promotion Patrimoine, Éditions patrimoines & médias, , 336 p. (ISBN 2-910-13718-X), p. 57.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en Corrèze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en Corrèze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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