Halloville

Halloville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Cet article possède un paronyme, voir Allonville.

Halloville

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes de Vezouze en Piémont
Maire
Mandat
Pierre Christian Monzein
2020-2026
Code postal 54450
Code commune 54246
Démographie
Gentilé Hallovillois
Population
municipale
66 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 18″ nord, 6° 51′ 43″ est
Altitude Min. 262 m
Max. 333 m
Superficie 3,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Baccarat
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Halloville
Géolocalisation sur la carte : France
Halloville
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Halloville
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Halloville

    Géographie

    Localisation

    Halloville est situe à 59 km à l'est de la préfecture Nancy, à 29 km à l'est de la sous-préfecture Lunéville, à 17 km de Baccarat, bureau centralisateur du canton de Baccarat, et à 5 km au sud de Blâmont, ville commerçante la plus proche, autrefois siège du canton supprimé de Blâmont.

    Le territoire de la commune est limitrophe de cinq communes.

    Communes limitrophes de Halloville
    Barbas Harbouey
    Nonhigny
    Ancerviller Montreux

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 393 hectares ; son altitude varie de 262 à 333 mètres[1].

    Hydrographie

    La ligne de séparation des eaux du Vacon et de la Blette traverse la commune du sud-est au nord-ouest. Le Vacon, affluent de la Vezouze et sous-affluent de la Meurthe, forme la limite nord-est entre la commune d'Halloville et celle d'Harbouey. Le village, qui est riche en lavoirs et fontaines d'eau vive, est situé dans la vallée de la petite rivière homonyme Halloville, qui prend sa source près du village et se jette après un parcours de 1,7 km dans le Vacon. Dans le sud de la commune se trouve la source du ruisseau de Valtenhaie, affluent de la Blette. Les autres ruisseaux dans la commune s'appellent : Ruisseau du Gué de Couvey, Ruisseau de Banvoire, Ruisseau la Petite Embanie. Plusieurs livres du XIXe siècle font mention d'une source d'eau froide « qu'on croit être ferrugineuse »[2].

    Voies de communication et transports

    Halloville est à l'ecart des routes de transit. La D 20b relie le village au sud-ouest avec Ancerviller et au nord avec la D 20, qui est la route secondaire entre Blâmont et Badonviller. La rue de Haut-Maix relie le village à l'est avec Nonhigny et avec la D 20.

    La gare la plus proche est celle d'Avricourt-Igney à 14 km, peu fréquentée. Il vaut mieux utiliser la gare de Baccarat à 17 km. La gare de Lunéville à 29 km offre les meilleures liaisons avec les grandes villes, Nancy, Metz, Strasbourg et Paris.

    Urbanisme

    Typologie

    Halloville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,9 %), zones agricoles hétérogènes (31,4 %), forêts (25,7 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Morphologie urbaine

    Le village est reconstruit dans les années 1921-1923 d'après le plan urbain d'aménagement des architectes Henri Deville et Pierre Le Bourgeois. Les habitations sont groupées autour de la mairie et de l'église dans deux rues parallèles et leur prolongement du D 20b au sud. Les exploitations agricoles se trouvent légèrement à l'écart.

    Logement

    En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 34[I 1].

    Parmi ces logements, 82,4 % étaient des résidences principales, 11,8 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants[I 2]. La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 96,4 %[I 3].

    Projets d'aménagement

    La commune semble ne pas avoir eu de plan d'occupation des sols, et semble ne pas avoir de plan local d'urbanisme.

    Toponymie

    La première mention du village apparaît sous le nom d'Halewiler en 1363[10]. On trouve ensuite Helloville ou Halloville en 1710[11].

    Histoire

    Halloville lorraine et française

    Avant la guerre de Cent Ans (1337-1453), Halloville, dont le nom était parfois germanisé en Haleweiler, était du duché de Lorraine. Pendant cette guerre, le comte français Thiébaut Ier de Blâmont (comte de 1342 à 1376) conquiert plusieurs villages lorrains, y compris une bonne part d'Halloville. C'est le début du partage d'Halloville entre la France et la Lorraine[12].

    Pendant la Guerre de Trente Ans, vers 1636, le village d'Halloville est abandonné[13].

    Halloville reste un village partagé jusqu'à la Révolution. La municipalité de Halloville partie de France écrit dans son cahier de doléances du « Que le petit village d'Halloville qui n'est que de 27 habitants dont aucun n'est fortuné, est composé de deux communautés »[14].

    En 1836, E. Grosse décrit ainsi le partage entre France et Lorraine : « La partie haute obéissait à l'évêque de Metz, et se trouvait enclavée dans le bailliage de Vic, généralité et parlement de Metz, avec les coutumes de l'évêché. L'autre partie, ancien domaine des sires de Blâmont et des comtes de Salm, passa aux ducs de Lorraine, et faisait partie du bailliage de Blâmont, généralité de Nancy, parlement et coutumes de Lorraine »[15].

    Révolution et Empire

    Après la Révolution, Halloville devient en 1893 une municipalité dans le canton de Blâmont, arrondissement de Lunéville, département de la Meurthe. En 1871, à la fin de la Guerre franco-allemande de 1870 le département de la Meurthe est divisé entre la France et l'Allemagne et supprimé. Halloville se retrouve dans le nouveau département de Meurthe-et-Moselle à quelques kilomètres de la nouvelle frontière franco-allemande.

    Première Guerre mondiale

    À la mobilisation, le , le 20e bataillon de Baccarat, qui a ordre de rester à dix kilomètres de la frontière, installent à Halloville des avant-postes au bois des Chiens et au bois des Haies. Les 9-10 août, Halloville est parmi les premiers villages français sous le feu de la guerre (début de l'offensive allemande par la Bataille des Frontières du 7 au 23 août 1914)[16].

    De 1914 à 1918, le village est occupé par les Allemands. La population valide de Halloville est, en 1915, emmenée prisonnière en Allemagne et les femmes, les enfants, les vieillards évacués en Suisse[17]. Le front de guerre suit la ligne de partage des eaux du Vacon et de la Blette, entre Domèvre et Bréménil, passant par Halloville, Nonhigny, et Montreux. En , les Allemands attaquent avec le gaz moutarde et le phosgène, c'est la première fois dans la région[18]. Les maisons du village servent de casemates. Tout au long de la guerre, Halloville est fréquemment bombardée par l'artillerie française. La moitié des bâtiments est détruite.

    En , la libération d'Halloville se passe sans éclats. En 1921, la commune d'Halloville est citée à l'ordre de l'Armée et reçoit la croix de guerre.

    Reconstruction

    Détruit au cours de la guerre 1914-1918, le village, à l'origine bâti sur le coteau et privé d'eau, est reconstruit dans la plaine[19], grâce à la Société coopérative de reconstruction par l'architecte Pierre Le Bourgeois. Le , le village fête sa résurrection et le même jour, la première pierre de la nouvelle église est posée[20]. L'église Saint-Georges, reconstruite par Deville, architecte en chef du département[21], est bénie le par Mgr Bonaventura Cerretti, nonce apostolique[22]. Le monument aux morts est inauguré le [23].

    Seconde Guerre mondiale

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, Halloville est occupée par les Allemands. À la fin de la guerre, début , la ligne de front se situe à 5 km au sud de Blâmont, dans la vallée de la Blette entre Montigny, Mignéville et Herbéviller. Halloville voit passer les évacués d'Ancerviller et Sainte-Pôle et se prépare à une évacuation. Les 12 et 13 novembre, Halloville subit une série de bombardements. Le , Halloville est libérée par le 1er bataillon du 315e régiment d'infanterie de la 79e DI[24].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant inférieur à 100, le nombre de membres du conseil municipal est de 7[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juillet 1888 1894 Jean-Joseph Baudet    
    1894 ... Jules Bridey[Note 2]    
    17 mai 1908 ... Désiré Monzein    
    vers 1927   Gustave Martin    
    mars 2001 mai 2020 Pierre Monzein[26]   Retraité agricole
    mai 2020 En cours Pierre Christian Monzein[26],[27]   Ancien agriculteur exploitant

    Répartitions administratives et électorales

    Sur le plan administratif, Halloville fait partie de l'arrondissement de Lunéville et du canton de Baccarat ; avant la réforme territoriale de 2014, elle faisait partie du canton de Blâmont. Depuis le , Halloville fait partie de la communauté de communes de Vezouze en Piémont, établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui a son siège à Blâmont et qui regroupe 51 communes.

    Sur le plan électoral, Halloville est l'une des communes de la quatrième circonscription de Meurthe-et-Moselle et depuis le redécoupage cantonal de 2014, l'une des 91 communes du canton de Baccarat.

    Coopérations intercommunales

    En plus de la communauté de communes de Vezouze en Piémont, Halloville participe aux syndicats suivants[28] :

    • Syndicat mixte départemental d'assainissement non-collectif de Meurthe-et-Moselle : sa compétence est l'assainissement non collectif. Le syndicat regroupe 234 communes et a choisi domicile auprès de l'Association des maires de Meurthe-et-Moselle à Laxou ;
    • Syndicat intercommunal scolaire de Blâmont : c'est un syndicat intercommunal à vocation unique (SIVU) dont les compétences sont les activités péri-scolaires, les actions de soutien à l'enseignement supérieur et l'organisation des transports non urbains. Ce syndicat dont le siège est à Blâmont regroupe 21 communes[Note 3] ;
    • Syndicat intercommunal du pays de Badonviller : c'est aussi un SIVU ; sa compétence est la création, aménagement, entretien et gestion de zone d’activités portuaire ou aéroportuaire. Le syndicat dont le siège est à Badonviller regroupe 19 communes ;
    • Syndicat intercommunal à vocations multiples de Nonhigny (SIVOM) ; ses compétences sont les activités péri-scolaires et l'acquisition en commun de matériel. Le syndicat regroupe sept communes et il a son siège à Nonhigny.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2019, la commune comptait 66 habitants[Note 4], en diminution de 10,81 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    148164190172174158167182180
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    178165158163142144137127123
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    135130105909111010610380
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    817562635964657468
    2019 - - - - - - - -
    66--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2013, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 43 personnes, parmi lesquelles on comptait 67,4 % d'actifs dont 60,5 % ayant un emploi et 7,0 % de chômeurs[I 4].

    On comptait 7 emplois dans la zone d'emploi, contre 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 26, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] est de 26,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre seulement un emploi pour quatre habitants actifs[I 5].

    Entreprises et commerces

    Le village est essentiellement agricole. Au , la commune compte cinq établissements : un établissement administratif, un établissement de construction et trois établissements agricoles[I 6], dont le groupement agricole d’exploitation commun (GAEC) des Troènes qui est aussi une ferme de découverte.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune ne compte ni monument, ni objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[33],[34] et aucun lieu répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[35] mais elle compte cinq « croix de chemin » répertoriées à l'inventaire général du patrimoine culturel[36].

    On peut cependant citer l'église Saint-Georges, reconstruite en 1921-1923 par l'architecte Deville dans un style neo-gothique avec un porche de style différent, mais contemporain de l'église puisqu'il figure sur un dessin d'Edmond Delorme publié en 1927[37], le monument aux morts, inauguré en 1927 ainsi que plusieurs lavoirs et fontaines.

    Patrimoine naturel

    Halloville est située dans deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[38] : la ZNIEFF 410030178 Ruisseau Vacon et affluents des sources à la confluence avec la Vezouze et la ZNIEFF 410010389 Vosges Moyennes.

    Il n'y a pas de site Natura 2000 dans la commune.

    Équipements culturels

    La commune dispose d'une « maison de la jeunesse et de la culture ».

    Héraldique

    Blason
    Blasonnement :écartelé aux 1 - 4 d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent ; aux 2 - 3 de gueules au dextrochère de carnation, vêtu d'azur, mouvant d'un nuage d'argent, tenant un épée d'argent garnie d'or accostée de deux cailloux de même. Sur le tout un écu en losange d'azur à la fasce d'argent surmontée en chef de deux roses du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Edmond Delorme, Lunéville et son arrondissement, t. 1 et 2, Imprimerie du journal de Lunéville, , 316 et 528 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Refugié en 1915, mort à Valbonne le 28-10-1917.
    3. En 2016, Pierre Monzein, maire de Halloville, en est le président.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    5. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    5. EMP T5 - Emploi et activité.
    6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2012.

    Autres sources

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. Louis Jacques Bégin et al., Dictionnaire des termes de médecine, chirurgie, art vétérinaire, pharmacie, histoire naturelle, botanique, physique, chimie, etc., Paris, Baillière, Crevot et Béchet, , 587 p. (lire en ligne), p. 329.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Edmond de Martimprey de Romécourt (comte), « Les sires et comtes de Blâmont, étude historique », Mémoires de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, 3e série, vol. 18, , p. 135 (lire en ligne).
    11. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, , 213 p. (lire en ligne), p. 93.
    12. Alphonse Dedenon (abbé), « Histoire du Blâmontois des origines à la Renaissance », sur Blamont.info, (consulté le ).
    13. Henri Lepage, Annuaire administratif, statistique, historique, judiciaire et commercial de Meurthe-et-Moselle, vol. 36 et 37, Nancy, Grimblot et veuve Raybois, , 404 p. (lire en ligne), p. 86.
    14. Charles Étienne, « Cahiers de doléances des bailliages des généralités de Metz et de Nancy pour les États généraux de 1789 », sur Blamont.info, (consulté le ).
    15. E.Grosse (abbé), Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe, contenant une introduction historique sur le pays, avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, hameaux, censes rivières, ruisseaux, étangs et montagnes, vol. 1 et 2, Lunéville, Creusat, , 608 p. (lire en ligne), p. 84.
    16. « Le 20e bataillon de chasseurs », Revue d'infanterie, (lire en ligne).
    17. Edmond Delorme, chap. 13 « La canton de Blâmont », dans Lunéville et son arrondissement, t. 2, (lire en ligne).
    18. François Vernier, « Ces plantes de la guerre que l’on nomme obsidionales », Études Touloises, no 151, , p. 7-19 (lire en ligne [PDF]).
    19. (en) George B. Ford, « Town Planning in the Devastated Regions of France », The American City, vol. 22, no 3, (lire en ligne).
    20. Fernand Rousselot, « La cérémonie d'Halloville », L'Est Républicain, (lire en ligne).
    21. Léandre Vaillant, « Le décor de la vie - en Lorraine », Le Temps, (lire en ligne).
    22. « Partie officielle », La Semaine Religieuse du Diocèse de Nancy & de Toul, no 47, , p. 721 (lire en ligne).
    23. Fernand Rousselot, « Halloville a honoré ses morts », L'Est Républicain, (lire en ligne).
    24. « La libération d'Halloville, d’après les témoignages de Michel Jacques et Georges Monzein », sur La Bataille de Lorraine de septembre 1944 à mars 1945 (consulté le ).
    25. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    26. « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. Fiche d'Halloville sur le site des intercommunalités de France.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. « Liste des monuments historiques de la commune d'Halloville », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Liste des objets historiques de la commune d'Halloville », base Palissy, ministère français de la Culture.
    35. « Liste des lieux et monuments de la commune d'Halloville à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Liste des objets de la commune d'Halloville à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
    37. Edmond Delorme, Lunéville et son arrondissement, t. 1, (lire en ligne), p. 214.
    38. « Liste des ZNIEFF - commune : Halloville », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le );
    • Portail de Meurthe-et-Moselle
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.