Henri-Pierre Picou

Henri-Pierre Picou est élève de Paul Delaroche et Charles Gleyre à l'École royale des beaux-arts de Paris. Il est lauréat d'un deuxième prix de Rome[2] en 1853 pour Jésus chassant les vendeurs du temple[3].

Il est l'ami de plusieurs peintres contemporains comme Félix Jobbé-Duval et Auguste Toulmouche^{[réf. souhaitée]}.

• 1849 : La Naissance de Pindare, 1848, huile sur toile, 115 × 148 cm, n^o 1635[4].

États-Unis

• New York, musée d'Art Dahesh :
  • Andromède attachée à un rocher, 1874[5] ;
  • La Fin de l'Innocence, 1885[6] ;
  • L'Innocence séduite par l'Amour, 1886[7] ;
  • Le Jugement de Pâris[8].

France

• Nantes :
  • église Notre-Dame-de-Bon-Port : peinture murale du cul-de-four de l'abside représentant La Cène, œuvre disparue[9].
  • musée des Beaux-Arts :
    • L'Église Saint-Jacques à Nantes[10] ;
    • La Bonne aventure, 1872[11] ;
    • Jeune femme enlevant ses gants, dessin[12] ;
    • Portrait de Céphise Picou, sœur de l'artiste[13] ;
    • Portrait de Madame Henri-Jean-Pierre Picou, mère de l'artiste, 1846[14] ;
    • La Pêche miraculeuse, vers 1850[15] ;
    • Le Styx, 1849[16].
• Paris :
  • École nationale supérieure des beaux-arts : Jésus chassant les vendeurs du Temple, 1853.
  • musée d'Orsay : La Naissance de Pindare, 1848, Salon de 1849.

• Œuvres d'Henri-Pierre Picou
• 
  Portrait de Madame Henri-Jean-Pierre Picou, mère de l'artiste (1846), musée des Beaux-Arts de Nantes.
• 
  La Pêche miraculeuse, musée des Beaux-Arts de Nantes.
• 
  Andromède attachée à un rocher (1874), New York, musée d'Art Dahesh.