Institut d'optique Graduate School
L’Institut d'Optique Graduate School (officiellement Institut d'Optique Théorique et Appliquée ou IOTA, aussi connu sous le nom d'École Supérieure d'Optique, SupOptique ou SupOp) est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[1] et est un « établissement-composante » de l'université Paris-Saclay[2]. Il est également membre de ParisTech[3] et est l’une des 14 écoles d’application de l’École Polytechnique.
Université Paris-Saclay
Fondation |
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Type |
École d'ingénieurs privée sous contrat d'État |
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Forme juridique | |
Nom officiel |
Institut d'Optique Théorique et Appliquée |
Régime linguistique | |
Fondateur | |
Président | |
Directeur | |
Devise |
A Lumine Motus (Animés par la Lumière) |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
450 élèves-ingénieurs |
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Enseignants |
250 enseignants et industriels intervenant dans la formation |
Chercheurs |
120 |
Pays | |
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Campus | |
Ville |
Sa spécialité est l'optique, la photonique et leurs applications industrielles et scientifiques.
L'École d'ingénieurs[4] de l'Institut d'Optique Théorique et Appliquée, l'École Supérieure d'Optique, fut ouverte en 1920 dans le but de former des ingénieurs et des cadres pour l'industrie de l'optique française. L'Institut d'Optique Théorique et Appliquée constitue ainsi le plus ancien établissement d'enseignement supérieur et de recherche en optique et en photonique du monde[5] et le plus important en nombre annuel de diplômés.
Cet établissement privé, reconnu d'utilité publique, dispense un enseignement supérieur scientifique et technique s'adressant à des étudiants issus principalement des classes préparatoires aux grandes écoles. Elle forme des ingénieurs destinés à prendre en charge le développement des techniques optiques dans les domaines des solutions durables pour l’énergie, de la société numérique, des avancées médicales, des mobilités nouvelles, de l'aéronautique, de l'électronique et de l'opto-électronique, des systèmes de mesure, de contrôle et de sécurité innovants. Elle forme également des chercheurs et des enseignants dans les domaines de l'optique et de la physique de la matière.
Depuis la rentrée 2006, le nom d'usage de l'établissement dans toutes ses composantes est « Institut d'Optique Graduate School », l'École étant également connue sous le nom de SupOptique.
En 2020, l’Institut d'Optique Graduate School fait son entrée dans l'édition du classement de Shanghai[6], qui récompense l'Université Paris-Saclay dans plusieurs disciplines.
Le classement établit notamment l'Université Paris-Saclay comme 1er établissement français et 14e mondial[7], mais également 1er mondial en mathématiques[8] et 9e en physique[9], ce qui augure d'une visibilité inédite pour un établissement français dans l'histoire de ce classement[10].
Présentation générale
Historique
L’Institut d’Optique Théorique et Appliquée est créé en 1917. Il s’agissait de former des ingénieurs en optique à des fins militaires. L’Institut commence à avoir une activité en 1920. La même année, l’École est reconnue d’utilité publique[11]. L’établissement est installé 140 boulevard du Montparnasse à Paris, son activité consiste à produire des études pour l’industrie. En 1926, l’Institut d’Optique déménage boulevard Pasteur, et la recherche devient plus fondamentale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1942, la durée de la scolarité passe un à deux ans[12].
En 1966, les laboratoires de l’Institut sont associés au CNRS. Du côté de l’École, la durée des études passe à trois ans en 1952 et le recrutement se fait sur concours. Une partie de l’Institut s’installe à Orsay (inauguration le )[13].
Entre 1999 et 2006, le nombre d’ingénieurs augmente fortement. Une antenne de l’Institut ouvre à Saint-Étienne[14]. Le , les nouveaux locaux de l’École à Palaiseau sont inaugurés et l'Institut prend comme nom d’usage « Institut d’Optique Graduate School ». En 2008, il s’engage dans le pôle ParisTech[15]. Et en 2012, un troisième campus est inauguré à Bordeaux.
Liste des directeurs
Présidents du conseil d'administration :
- Élisabeth Giacobino (depuis 2006)
- Catherine Bréchignac (2003-2006), membre de l'Académie des sciences
- Pierre Lallemand (2000-2003)
- Bernard Cagnac (1991-2000)
- Bernard Picinbono (1980-1990), membre correspondant de l'Académie des sciences
- Pierre Jacquinot (?-1979), membre de l'Académie des sciences, médaille d'or du CNRS 1978
- Alfred Kastler (1962-?), membre de l'Académie des sciences, prix Nobel de physique 1966
- Armand de Gramont (1919-1962), membre de l'Académie des sciences
- Robert Bourgeois (1918), membre de l'Académie des sciences
Directeurs généraux :
- Rémi Carminati (depuis le 1 )
- Jean-Louis Martin (2006-2022)
- Arnold Migus (2003-2006)
- André Ducasse (1999-2003)
- Christian Imbert (1984-1998)
- André Maréchal (1968-1983), membre de l'Académie des sciences
- Pierre Fleury (1946-1967)
- Charles Fabry (1919-1945), membre de l'Académie des sciences
Directeurs généraux adjoints :
- Raphaël Clerc (depuis 2022), DGAE par intérim
- Riad Haidar, (2019-2021) directeur général adjoint à l'enseignement
- Philippe Bouyer, (depuis 2017) directeur délégué de l’Institut d’Optique Graduate School en Aquitaine.
- François Balembois, (2014 - 2019), directeur général adjoint à l'enseignement
- Jean-Michel Jonathan, (1999 - 2013) directeur adjoint de l'École puis responsable du secteur formation puis directeur général adjoint à l'enseignement
- Pierre Chavel, (1998 - 2014) directeur du laboratoire Charles Fabry de l'Institut d'Optique, responsable du secteur recherche et valorisation puis directeur général adjoint à la recherche
- Alain Aspect, (1992 - 1994) directeur adjoint de l'École, membre de l'Académie des sciences, médaille d'or du CNRS 2005
- Christian Imbert, (1979 - 1984) directeur adjoint de l'École
- Albert Arnulf, (1945 - 1968) directeur des laboratoires
- Pierre Fleury, (1940 - 1945) directeur délégué
- Georges Guadet, (1936 - 1939) directeur
- Charles Dévé, (1919 - 1936) directeur adjoint puis directeur
Campus
L’École est installée à Palaiseau, dans des bâtiments de 12 200 m², sur le territoire de Paris-Saclay près de l'École polytechnique. L’école nationale supérieure de techniques avancées s'y est également installée en 2012, ainsi que l’école nationale de la statistique et de l'administration économique en 2017, Telecom Paris en 2018 et l'ENS Paris-Saclay en 2020.
L'Institut d'Optique Graduate School dédie un bâtiment de 10 000 m2 au 503, centre d'entrepreneuriat et d'innovation en photonique, situé sur le campus de l'Université Paris-Saclay, à Orsay.
L’École a ouvert une antenne à Saint-Étienne au sein du pôle optique Rhône-Alpes du Campus de Carnot. Les élèves peuvent suivre leurs deuxième et troisième années d'étude d'ingénieur en double diplôme avec le master en sciences et technologie à finalité recherche, mention Optique, Image et Vision délivré par l'université de Saint-Étienne. L'observatoire astronomique de l'école a été installé sur ce site.
Depuis 2012, l'École a ouvert une antenne à Bordeaux sur le Domaine universitaire de Talence Pessac Gradignan.
L'enseignement
Admission
Le recrutement des élèves-ingénieurs se fait majoritairement sur le concours Centrale-Supélec après les classes préparatoires aux grandes écoles (filière de classes préparatoires MP, PSI, PC, PT, TSI). Les barres d'admission sont révisées annuellement. Les admissions parallèles sont possibles en première ou en deuxième année. Il est également possible d'accéder au cursus d'ingénieur par la voie universitaire avec le concours GEI-univ.
SupOptique étant une des 18 écoles d'application de l'École polytechnique, certains élèves polytechniciens intègrent SupOptique en dernière année après des cours de mise à niveau. C'est aussi le cas de certains élèves de l'École Normale Supérieure de Paris-Saclay souhaitant obtenir un titre d'ingénieur diplômé.
Le recrutement pour la préparation du diplôme national de master se fait sur dossier.
Cycle ingénieur
La formation des ingénieurs dure trois ans. Trois filières sont proposées aux élèves :
- Filière classique
- Filière Innovation-Entrepreneur
- Filière par apprentissage (CFA SupOptique)
L'effectif total du cycle ingénieur est de 450 élèves environ[16].
La première année est consacrée à l'enseignement fondamental en physique et en sciences de l'ingénieur, la deuxième année, suivie à Bordeaux, à Palaiseau ou à Saint-Étienne, est axée sur l'étude des composants, enfin la troisième année porte en particulier sur l'intégration des technologies optiques dans les systèmes. Les stages concernent les étudiants de chaque année et des filières classique et Filière Innovation-Entrepreneurs. Les apprentis, étant déjà dans une entreprise, n’ont pas à effectuer de stage.
L’Institut d’Optique a conclu de nombreux accords pour favoriser des formations complémentaires (doubles diplômes) et cultiver l’ouverture d’esprit.
Au cours des deuxième et troisième années du cycle d’ingénieur, la Filière Innovation-Entrepreneurs (FIE) forme les élèves à l'innovation grâce à une pédagogie par projets. Ils bénéficient d'un écosystème favorable avec un FabLab, du coaching technologique, commercial et managérial.
L'enseignement est semestrialisé et organisé en unités d'enseignement auxquelles correspondent un certain nombre de crédits ECTS, ceci dans le cadre de la construction de l'espace européen de l'enseignement supérieur.
Titre d'ingénieur diplômé
L'École est habilitée à délivrer des diplômes conférant le titre d'ingénieur. À la suite de la promulgation de la loi du relative aux conditions de délivrance et à l'usage du titre d'ingénieur diplômé, le titre d'ingénieur diplômé de l'école a été immédiatement reconnu par l'État du fait de la formation d'ingénieurs des corps de l'État au sein de celle-ci[17].
Ce titre d'ingénieur permet notamment de se présenter à différents concours de la fonction publique (corps des ingénieurs de recherche des EPST, corps des ingénieurs hospitaliers en chef, corps des ingénieurs des travaux publics de l'État) et offre la possibilité, accessoirement…, d'exercer la profession réglementée d'opticien lunetier détaillant[18].
SupOptique fut une des premières écoles d'ingénieurs mixtes[réf. nécessaire], une femme faisant partie des quatre premiers diplômés de l'École, Éléonore Schwartz-Penciolelli épouse du physicien Georges Penciolelli. La proportion des jeunes femmes parmi les élèves est actuellement de 30 %, assez supérieure à la moyenne dans les écoles d'ingénieurs.
Masters
L'Institut d'Optique Graduate School propose de nombreux masters en doubles diplômes avec les universités des trois campus (l'université Paris-Saclay, l'université Jean Monnet à Saint-Étienne et l'université de Bordeaux).
Un quart des élèves-ingénieurs prépare en parallèle le diplôme de master, de nombreux cours étant communs aux deux formations.
Mastère spécialisé
Associé à un programme de recherche partenariale, le mastère fait partie de la chaire « Embedded Lighting System » principalement soutenue par les deux grands constructeurs français, Renault et PSA, et par deux grands équipementiers de dimension mondiale, Valeo et Automotive Lighting.
Le mastère de la chaire ELS regroupe trois partenaires académiques : l'Institut d'Optique, l'ESTACA et Strate École de Design.
Formation continue
La formation continue dans tous les domaines de l'optique et de la photonique est l’une des missions majeures de l’Institut d’Optique Graduate School depuis sa création en 1917.
Les formations s'appuient sur plus de 70 montages expérimentaux et travaux pratiques de haut niveau de l’École d'ingénieur.
La recherche
Laboratoire Charles Fabry
Le Laboratoire Charles Fabry a été créé en 1998. Il constitue une unité mixte de recherche (UMR no 8501) entre l'Institut d'Optique Graduate School et le CNRS et en partenariat avec l'Université Paris-Saclay. Organisé en huit groupes de recherche aux thèmes bien définis, il est le pilier historique de la recherche au sein de l'Institut d'Optique Graduate School. La recherche du laboratoire couvre un large spectre de l'optique-photonique et de ses applications.
Le laboratoire Charles Fabry est de ce fait un laboratoire d'interface entre deux instituts du CNRS. Principalement rattaché à l'Institut de Physique, il est également rattaché à l'Institut des Sciences de l'Ingénierie et des Systèmes. Depuis , il est dirigé par Patrick Georges.
Le Laboratoire Charles Fabry comprend en 2005 les groupes de recherche suivants :
- groupe Gaz Quantiques (resp. : Alain Aspect, médaille d'or 2005 du CNRS et prix Wolf de physique 2010, Denis Boiron, Isabelle Bouchoule)
- groupe Optique Quantique (resp. : Philippe Grangier, Antoine Browaeys, Rosa Tualle-Brouri)
- groupe Nanophotonique (resp. : Henri Benisty, Philippe Ben-Abdallah, Jean-Jacques Greffet)
- groupe Lasers (resp. : Patrick Georges, Frédéric Druon)
- groupe Biophotonique (resp. : Michael Canva, Nathalie Westbrook)
- groupe Matériaux non linéaires (resp. : Philippe Delaye, Nicolas Dubreuil, Sylvie Lebrun, Gilles Pauliat)
- groupe Optique XUV (resp. : Franck Delmotte)
- groupe Imagerie et Information (resp. : François Goudail, Caroline Kulcsár)
Laboratoire Photonique, Numérique et Nanosciences (LP2N)
Le Laboratoire Photonique, Numérique et Nanosciences (LP2N) est une Unité Mixte de Recherche (UMR 5298) entre l’Institut d’Optique Graduate School, l’Université de Bordeaux et le CNRS. Elle a été créée le . Elle forme une des composantes du site bordelais de l’Institut d’Optique au sein de l’Institut d’Optique d’Aquitaine où formation, recherche et innovation cohabitent. Sa recherche se concentre autour des systèmes complexes intégrant l’optique et l’informatique.
Le LP2N est une jeune structure dynamique déjà plusieurs fois récompensée. Elle est impliquée dans plusieurs grands projets nationaux et internationaux.
Laboratoire Hubert Curien
Le laboratoire Hubert Curien est une unité mixte de recherche (UMR 5516) de l'Université Jean Monnet de Saint-Étienne, du Centre National de la Recherche (CNRS) et de l'Institut d'Optique Graduate School. Ses activités de recherche sont organisées selon deux départements scientifiques : Optique, photonique et micro-ondes et Informatique, télécom et image. L'activité de recherche est structurée en projets scientifiques au sein de 6 équipes principales.
Rayonnement de la recherche
L'École a été en 2006 parmi les vingt premiers établissement de recherche français à obtenir le label Carnot du ministère de la Recherche. Elle fait partie de System@tic Paris-Région, un des six pôles de compétitivité mondiaux choisis en par le Comité interministériel de l’aménagement et du développement du territoire. L'école fait également partie du Triangle de la physique un des treize réseaux thématiques de recherche avancée choisis en par le ministre de la recherche pour former les fers de lance de la recherche française. Elle participe, via son antenne stéphanoise, au programme MINimage, un des douze programmes financés par l'Agence de l'innovation industrielle.
Vingt brevets ont été déposés ces cinq dernières années[19].
De nombreux chercheurs de l'école ont obtenu des prix et récompenses prestigieuses en optique, physique et sciences :
- Prix Fabry-de Gramont en 1975, 1983, 1987, 1994, 1997, 1998, 2004, 2005
- Médaille Mees de l’Optical Society of America en 1962, 1977, 1981, 1991, 1995
- Prix Max Born en 1999
- Médaille d'or du SPIE en 1989 et 1995
- Médaille d'argent du CNRS en 2002
- Médaille d'or du CNRS en 2005
- Prix Holweck SFP/IoP 1991
- Prix Félix-Robin de la SFP en 1917, 1944, 1962
- Prix Aimé Cotton de la SFP en 1968, 1988
- Prix Yves Rocard de la SFP en 1998
Historique des activités de recherche
L'activité de recherche de l'école a été contractualisée avec le CNRS dès la création des URA (unité de recherche associée) en 1966. À cette époque, l'école comprenait, sous la direction d'Albert Arnulf, 9 groupes de recherche :
- laboratoire d'optique instrumentale (resp. : Albert Arnulf)
- laboratoire des couches minces (resp. : Florin Abelès)
- laboratoire d'optique quantique (resp. : Jacques Ducuing)
- laboratoire des états de surface (resp. : Jean-Paul Marioge)
- laboratoire d'optique physique (resp. : Maurice Françon)
- laboratoire de filtrage des frequences (resp. : André Maréchal)
- laboratoire de microscopie optique (resp. : Georges Nomarski)
- laboratoire de métrologie optique (resp. : Jacques Vulmière)
- laboratoire de réalisation des pièces de haute precision.
Doctorat
L'Institut d'Optique est une Graduate School au sens international du terme : c'est une formation "graduate" puisque les formations couvrent toutes les études du master au doctorat.
35 % des diplômés continuent en thèse, que ce soit dans les laboratoires dont l'Institut est tutelle ou ailleurs dans le monde.
L'établissement
Organismes académiques
Le Centre national de la recherche scientifique est depuis sa création le principal partenaire pour les activités de recherches, 24 chercheurs et 30 ingénieurs, techniciens et agents administratifs sont affectés à l'établissement par le CNRS. L'école entretient des liens étroits avec l'université Paris-Sud 11 à laquelle elle est rattachée par décret[20]. Une convention permet en particulier l'affectation du personnel de l'Éducation nationale. À la suite du déménagement de l'établissement, l'École polytechnique est également amenée à devenir un partenaire de tout premier plan que ce soit au niveau de l'enseignement, de la recherche ou des infrastructures.
L'École est membre associé de deux pôles de recherche et d'enseignement supérieur : Université Paris-Saclay[21] et ParisTech[22] et a passé en 2013 une convention de collaboration entre son site de Bordeaux et l'ENSC.
Association des anciens
L'Association SupOptique Alumni a été créée en 1924. Son premier président fut Albert Arnulf. Elle a pour mission d'établir et d'animer le réseau d'anciens élèves, d'apporter un soutien aux élèves, de contribuer à l'évolution de SupOptique et de promouvoir l'optique. L'association publie une revue trimestrielle intitulée Opto. SupOptique Alumni fait partie de l'association ParisTech Alumini qui regroupe les anciens élèves de toutes les écoles membres de ParisTech.
La bibliothèque
Partie intégrante du projet initial de l'établissement, la bibliothèque de l'École était devenue à la veille de la seconde guerre mondiale la bibliothèque la plus riche en périodiques scientifiques de France. Elle demeure actuellement une des plus fournie au monde dans le domaine de l'optique avec six milliers d'ouvrages, dont plus d'un millier de thèses de doctorat, et possède un certain nombre de cours manuscrits témoins des cours pionniers des années 1920, notamment ceux d'Henri Chrétien et d'André Broca.
À la suite du déménagement de l'établissement à Palaiseau, la bibliothèque est maintenant associée avec celle de l'École polytechnique.
Éditions et revues
L'École a été dès sa création étroitement liée à la Revue d'optique théorique et instrumentale et sa société d'édition qui étaient placées sous son patronage. L'association des élèves de l'École publie depuis de nombreuses années une revue annuelle scientifique intitulée SupOptique Avenir.
Corps enseignant
250 enseignants et industriels interviennent dans les formations aux niveaux ingénieur et master.
Les premiers enseignants de l'École furent :
Professeurs :
- Henri Chrétien (Calcul des combinaisons optiques)
- Louis Dunoyer (Instruments d'optique)
- Charles Fabry (Introduction générale à l'étude de l'optique appliquée : 1°) Appareils spectroscopiques, photométrie ; 2°) Propriétés des plaques photographiques.)
Chargés de cours :
- André Broca (Optique physiologique)
- Paul Nicolardot (Physico-chimie et chimie des verres d'optique)
Conférenciers :
- Arnaud de Gramont (Spectroscopie)
- Aimé Cotton (Polarisation)
- Henri Mouton (Microscopie)
- Aymar de La Baume Pluvinel (Astronomie)
- Gustave Yvon (Contrôle des surfaces optiques)
- Maurice de Broglie (Physique des radiations)
- M. Martet (Calibres)
- Émile Haas (Travail des pièces optiques)
Voici un certain nombre d'enseignants ayant succédé aux précédents :
Formation des images (Optique géométrique et aberrations) | Calcul des combinaisons optiques | Instruments et conception de systèmes optiques (CSO) |
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Mesures optiques | Optique physiologique et optométrie | |
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Photométrie et radiométrie | Optique physique (interférences et diffraction) | Physique des images |
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Informatique | Couches Minces | Électronique analogique |
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Électronique logique et microprocesseur | Dessin et optomécanique | Langues |
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Analyse et signal | Statistique et bruit | Electromagnétisme et optique guidée |
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Électro & acousto optique, optique non-linéaire | Chimie et travail du verre | Mécanique quantique et physique atomique |
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Traitement des images | Semiconducteurs, physique et laser | Laser et optique quantique |
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Économie, comptabilité et gestion | Travaux pratiques d'électronique | Travaux pratiques d'optique |
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Classements
Classements nationaux (classée en tant qu'Institut d'optique Graduate School au titre de son diplôme d'ingénieur)
Nom | Année | Rang |
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DAUR Rankings[23] | 2022 | 17 ea |
L’Étudiant[24] | 2021 | 42-44 |
L’Usine Nouvelle[25] | 2021 | N.C. |
Le Figaro[26] | 2022 | N.C. |
Classements internationaux (classée en tant qu'Université Paris-Saclay)
Nom | Année | Rang (monde) | Rang (France) |
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CWUR[27] | 2022-2023 | 32 | 2 |
QS Top Universities[28] | 2023 | 69 | 4 |
Shanghai Ranking[29] | 2021 | 16 | 1 |
Times Higher Education[30] | 2022 | 117 | 4 |
Quelques SupOpticiennes et SupOpticiens célèbres
Les grands ingénieures/ingénieurs et inventrices/inventeurs
- Lucien Roux (1894-1956) et Armand Roux (ESO 23 et 29), inventeurs du Rouxcolor
- Pierre Angénieux (ENSAM Cluny 125 et ESO 29), 2 Oscars pour ses objectifs de caméra cinématographique
- Jean Blosse (ESO 34), inventeur du bloscope (œil de bœuf)
- Raymond Dudragne (ESO 38) et Roger Bonnet (ESO 43), pionniers des lentilles de contact
- François Laurent (ESO 42), inventeur des correcteurs Thalacétor pour les optiques anamorphiques sous-marines utilisées pour le tournage du Grand bleu de Luc Besson
- Bernard Maitenaz (ENSAM Paris 143 et ESO 47), inventeur du verre progressif (Varilux) et ancien président directeur général de la société Essilor
- André Masson (ESO 48), concepteur des caméras sur les missions Apollo et ancien directeur adjoint de la société Angénieux
- Roger Cuvillier (ESO 49), inventeur du zoom
- Pernelle Bernardi (ESO 2001), ingénieure française, médaille de cristal du CNRS en 2020[31],[32]
Les grandes et grands scientifiques
- Albert Arnulf (ESO 22), physicien
- Aniuta Winter (ESO 32), spécialiste des verres, en l'hommage à laquelle l'Académie des sciences a créé le prix Aniuta Winter-Klein
- Maurice Françon (ESO 38), physicien
- Ferdinand Blottiau (ESO 39), pionnier de la colorimétrie
- André Maréchal (ESO 43), physicien, membre de l'Académie des sciences
- André Mirau (ESO 46), inventeur de l'interféromètre de Mirau
- Florin Abelès (ESO 47), physicien, spécialiste mondial des couches minces et de l'ellipsométrie
- Georges Nomarski (ESO 49), inventeur du microscope à contraste interférentiel
- George W. Stroke (ESO 49), physicien américain, professeur à l'université du Michigan
- André Girard (ESO 50), inventeur du spectromètre à grilles
- André Baranne (ESO 56), astronome, inventeur du spectrographe Elodie
- Claude Boccara (ESO 65), physicien, professeur à l'ESPCI ParisTech, spécialiste de tomographie optique
- Antoine Labeyrie (ESO 65), astronome, titulaire de la chaire d'astrophysique observationnelle du Collège de France et membre de l'Académie des sciences
- Georges Penciolelli physicien, REOSC, CNRS, Institut d'optique, palmes académiques.
- Béatrice Chatel (ESO 93), physicienne française spécialiste des lasers femtoseconde
- Sophie Brasselet (ESO 94), physicienne française, médaille d'argent du CNRS en 2016
- Riad Haidar (ESO 99), ancien DGAE de l'école entre 2019 et 2021, Directeur general de la recherche à l'ONERA
Les dirigeantes et dirigeants d'entreprises
- Pierre Crochet (ESO 24), ancien directeur de la compagnie Saint-Gobain
- Bernard Maitenaz (ENSAM Paris 143 et ESO 47), inventeur du verre progressif (Varilux) et ancien président directeur général de la société Essilor
- Jean Espiard (ESO 48), ancien directeur général de la société REOSC
- Jacques Millot (ESO 49), ancien PDG de la société Jobin Yvon (aujourd'hui Horiba Jobin-Yvon), ancien président du Syndicat général de l'optique et des instruments de précision, ancien président de la Fédération européenne de l'optique et de la mécanique de précision
- Gilbert Hayat (ESO 68), président de Jobin Yvon Horiba Group
- Jean-Paul Lepeytre (ESO 70), directeur adjoint de Thales Group
- Denis Levaillant (ESO 76), ancien directeur général de Thales Angénieux
- Jean-Yves Le Gall (ESO 81), ancien directeur général d'Arianespace et actuel président du Centre national d'études spatiales (CNES)
- Philippe Rioufreyt (ESO 86), président de Reosc
- Thierry Campos (ESO 86), Président de HGH Systèmes Infrarouges
- Jacques Delacour (ESO 87), PDG de la société OPTIS
- Samuel Bucourt (ESO 91), PDG d'Imagine Optic et DG d Imagine Eyes, président de l AFOP de 2004 à 2010
- Nicolas Brusson (ESO 2000), cofondateur de BlaBlaCar
- Anaïs Barut (ESO 2014), cofondatrice et CEO de DAMAE Medical, nommée parmi les dix meilleurs innovateurs français de moins de 35 ans par le MIT Technology Review[33]
Autres
- Charles Lapicque (ESO 34), peintre
- Henri Alekan (cours du soir), chef opérateur, 1 César en 1983 pour La Truite, 1 nomination aux Oscars pour Vacances romaines en 1953[34]
- Pierre Lostis (ESO 56), recteur de l'Académie de Rennes de 1993 à 1997
- Claudine Laurent (ESO 65), ancienne vice-présidente du Conseil supérieur de la recherche et de la technologie
- Natalia Pouzyreff (ESO 86), députée de la 6e circonscription des Yvelines depuis 2017
- Pierre Hamon, concertiste flûtiste à bec, professeur au Conservatoire National de Musique et de danse de Lyon, codirecteur artistique du "Centre de musique médiévale de Paris
La vie associative
Comme toutes les écoles d'ingénieurs, les élèves se regroupent en de nombreux clubs et associations.
Bureau des élèves de l'Institut d'Optique
Le Bureau des Élèves (en abrégé BDE Institut Optique), est l'organe central et fédérateur qui organise la vie associative de l'école en coordinant les différents clubs et associations. Depuis sa création en 1961, il s'occupe aussi de lever des fonds (par exemple en démarchant des parrains de promotion) et de mettre en place diverses animations (semaine d'intégration, voyage au ski, soirées).
Les clubs suivants dépendent légalement et économiquement du BDE :
- Le club œnologie, Œno'ptique.
- Un club d'astronomie amateur qui organise régulièrement des observations (diurnes et nocturnes).
- Le club robotique, IOTArie, qui participe à des concours.
- Le Sonoptik qui s'occupe de l'animation son et lumière pendant les soirées inoubliables de l'Institut.
- FemTo, le club féministe de l'école qui organise des débats et des discussions à propos du féminisme. Ce club veille également au bon déroulement des événements du BDE en matière de violences sexistes et sexuelles.
- Interfère, le club écolo de l'école, qui se préoccupe de l'impact environnemental des étudiants, monte divers projets, et organise des conférences.
Opto Services
L'association Opto Services, créée en 1980, est la Junior-Entreprise de l'école. Elle a pour vocation de proposer aux élèves la réalisation d'études commandées par des entreprises, en leur permettant ainsi d'appliquer les connaissances acquises pendant leur cursus.
Opto Services réalise des études dans des domaines variés (optique, optronique, électronique, traductions techniques…). Organisée autour d'un noyau d'une quinzaine de membres administrateurs bénévoles, Opto Services compte entre 50 et 80 inscrits selon les années, qui sont rémunérés lorsqu'ils effectuent des prestations.
Forum de la Photonique
L'association Forum de la Photonique[35] (anciennement Forum de l'Optique) organise tous les ans une journée de rencontre entre les étudiants et les entreprises, et depuis deux ans entre les étudiants et les chercheurs. Cette journée est également l'occasion d'accueillir des conférenciers, par exemple Hubert Reeves, au sein de l'école. De plus, des visites des laboratoires, des ateliers de CV et d'entretiens sont proposés aux visiteurs de la journée.
Bureau des Sports SupOptique
L'Association sportive de l'École supérieure d'optique (en abrégé AS), association créée en 2004, s'occupe du sport à l'école par le biais de conventions avec l'université Paris-Saclay, Telecom Paris et Polytechnique. De plus, elle organise la participation de l'école au challenge de l'École centrale de Lyon ou à la Coupe de l'X. Elle organise aussi depuis quelques années le GOST, "Girls Only Supoptique Trophy", un tournoi sportif exclusivement féminin. Ce n'est pas un hasard car le taux de mixité des promotions de l'IOGS est bien supérieur au taux moyen des écoles d'ingénieurs.
Bureau des Arts de l'Institut d'optique
Le Bureau des arts de l'Institut d'optique (en abrégé BDA), association créée en 2007, a pour but de promouvoir les arts en organisant des concerts, des scènes ouvertes, des expositions, des représentations théâtrales etc.
Les clubs suivants dépendent du BDA :
- Troupe de théâtre, les Insupoptables. Encadrée par un comédien professionnel, la troupe organise chaque année une tournée sur les différents campus de l'école.
- Club Arts graphiques
- SMASH (club comédie musicale), en partenariat avec l'ENSTA Paris, l'ENSAE Paris et l'École Polytechique.
- Le MaSO (Musique à SupOptique) est le club des musiciens, comportant notamment une fanfare.
- Le SOAP (SupOp Art Production) qui est le club photo/vidéo de l'école
- New IOGS Times, abrégé en NIT, est le journal de l'école qui permet aux élèves d'exprimer leurs talents artistiques et leur potentiel créatif.
Institut d'Optique Sans Frontière (IOSF)
Il s'agit de l'association humanitaire de l'école. Entièrement gérée par des élèves, elle organise un voyage humanitaire tous les ans[36]. Depuis peu, elle participe à un projet de création d'une épicerie solidaire sur le plateau de Paris Saclay, et ce en collaboration avec la Croix-Rouge française et plusieurs autres écoles.
LaserWave
Association unique en France, elle se consacre depuis 20 ans aux spectacles LASER (Laser Shows en anglais)[37]. Son objectif est d'utiliser les connaissances théoriques et pratiques des étudiants de l'Institut pour des applications ludiques et évènementielles pour des animations LASER lors de soirées étudiantes, conférence, forums, galas (internes ou externes à l'École).
Parrains de promotions
- 2021 : Lumibird
- 2020 : HGH Systèmes Infrarouges
- 2019 : Thales
- 2017 : Essilor
- 2016 : Safran
- 2015 : EY
- 2014 : Sofradir
- 2013 : Alcatel-Lucent
- 2012 : Thales Optronique
- 2011 : EADS Sodern
- 2010 : Altran Technologies
- 2009 : Aquitaine Lasers Photonique et Applications (ALPHA RLH)
- 2008 : Quantel
- 2007 : Horiba Jobin-Yvon
- 2006 : Valeo
- 2005 : Essilor
- 2004 : Thales Optronique
- 2003 : Alcatel
- 2002 : CILAS
- 2000 : Optis
Notes et références
- Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
- « La nouvelle université Paris-Saclay vient d’être créée par décret | CentraleSupelec », sur www.centralesupelec.fr (consulté le )
- « Portail | ParisTech rassemble douze des plus prestigieuses grandes écoles françaises. », sur www.paristech.fr (consulté le )
- Une école des métiers du verre fut parallèlement ouverte au sein de l'Institut d'Optique Théorique et Appliquée pour former des ouvriers d'art opticiens.
- Son homologue des États-Unis, The Institute of Optics, composante de l'Université de Rochester, fut fondé en 1929.
- Kenza Cherkaoui, « La physique dans le classement de Shanghai », Institut d'Optique Graduate School Newsletter, (lire en ligne)
- Soazig Le Nevé, « Paris-Saclay, première université française à percer dans le classement de Shanghaï », Le Monde.fr, (lire en ligne)
- (en) « ShanghaiRanking's Global Ranking of Academic Subjects 2020 - Mathematics », sur shanghairanking.com,
- (en) « ShanghaiRanking's Global Ranking of Academic Subjects 2020 - Physics », sur shanghairanking.com,
- « CLASSEMENT DE SHANGHAI 2020, L’UNIVERSITÉ PARIS-SACLAY ENTRE À LA 14ÈME PLACE MONDIALE », universite-paris-saclay.fr, (lire en ligne)
- « Histoire : la création », sur www.institutoptique.fr (consulté le ).
- « 1919 - 1945 avec Charles Fabry », sur www.institutoptique.fr (consulté le ).
- « 1945 - 1968 avec Pierre Fleury », sur www.institutoptique.fr (consulté le ).
- « 1999 - 2003 avec André Ducasse », sur www.institutoptique.fr (consulté le ).
- « 2006 à nos jours avec Jean-Louis Martin », sur www.institutoptique.fr (consulté le ).
- « Chiffres clés », sur le site de l'Institut d'Optique Graduate School (consulté le ).
- Article 13 : Seront considérés comme reconnus par l'État les titres d'ingénieurs délivrés par les écoles techniques privées dont les cours et les travaux pratiques étaient fréquentés, à la date du , par des ingénieurs et élèves ingénieurs de l'État. La seule autre école ayant bénéficié de l'application de l'article 13 de cette loi est l'École supérieure d'électricité.
- « Arrêté du 8 décembre 1954 AGREMENT DU BREVET DE TECHNICIEN OPTICIEN LUNETIER ET DU DIPLOME D'INGENIEUR OPTICIEN DE L'INSTITUT D'OPTIQUE THEORIQUE ET APPLIQUEE DE PARIS », Journal Officiel de la République Française, , p. 139 (lire en ligne [PDF])
- Enquête Usine Nouvelle 2006.
- « Décret du 9 décembre 1974 portant rattachement de l’école supérieure d’optique à l’université Paris-XI ».
- Membre associé regroupé dans un consortium avec l'École des hautes études commerciales et l'École polytechnique.
- Membre associé, décision du conseil d'administration de ParisTech du , in La lettre de ParisTech no 6, .
- « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur daur-rankings.com
- « Classement général des écoles d'ingénieurs », sur L’Étudiant
- « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur Usine Nouvelle
- « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur Le Figaro étudiant
- « GLOBAL 2000 LIST BY THE CENTER FOR WORLD UNIVERSITY RANKINGS », sur CWUR
- « QS World University Rankings 2023 », sur QS Top Universities
- « 2022 Academic Ranking of World Universities », sur Shanghai Ranking
- « World University Rankings 2022 », sur Times Higher Education
- « Médailles de cristal 2020 | CNRS », sur www.cnrs.fr (consulté le )
- « Pernelle Bernardi lauréate de la médaille de cristal du CNRS - LESIA - Observatoire de Paris », sur lesia.obspm.fr (consulté le )
- Laurance N'kaoua, « Anaïs Barut, à fleur de peau chez Damae Medical », sur Les Echos Executives, (consulté le )
- (en), Récompenses d'Henri Alekan sur l'IMDB.
- « Forum de la Photonique », sur Forum de la Photonique (consulté le )
- « IOSF - Institut d'Optique Sans Frontières », sur IOSF - Institut d'Optique Sans Frontières (consulté le )
- « LaserWave : Faites rayonner vos soirées ! », sur www.laserwave.fr (consulté le )
Article connexe
- Lycée Fresnel (Paris)
Liens externes
- Site officiel
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