Les Isles-Bardel
Les Isles-Bardel (prononcé [lezilbaʁdɛl] ou [lɛzilbaʁdɛl][1]) est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 66 habitants[Note 1].
Les Isles-Bardel | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Falaise |
Maire Mandat |
Jacques Garigue 2020-2026 |
Code postal | 14690 |
Code commune | 14343 |
Démographie | |
Population municipale |
66 hab. (2019 ) |
Densité | 12 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 50′ 46″ nord, 0° 20′ 14″ ouest |
Altitude | Min. 54 m Max. 194 m |
Superficie | 5,69 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Falaise |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géographie
- Ce sont les très anciennes couches (au-delà de 500 millions d'années) du Précambrien - ère paléozoïque (ou ère primaire) du massif armoricain qui affleurent dans le secteur géographique des Isles-Bardel. Elles donnent aux paysages, aux murs des maisons des airs de Bretagne intérieure ou de Limousin.
- Depuis des siècles, l'activité humaine principale a été tournée vers l'agriculture; les résultats ont été essentiellement tributaires des seules conditions physiques liées à la géologie, à la géographie et au climat. C'est encore le cas dans beaucoup de pays en développement. Ce fut le lot de l'agriculture française jusqu'au XIXe siècle avant l'utilisation de la sélection végétale et animale, l'analyse chimique des sols, l'emploi des engrais et le développement du machinisme agricole.. Qu'en était-il aux Isles-Bardel dans les années 1830 ?
- 1828-1832 : dans Statistique de l'arrondissement de Falaise, Frédéric Galleron observe déjà que le sous-sol de la commune est constitué de schiste ; par décomposition cette roche donne un sol peu fertile.
- À cette époque, l'activité des habitants est essentiellement tournée vers l'agriculture : 2/3 des terres de la commune sont labourées.
- Cependant on ne peut pratiquer l'assolement triennal traditionnel ; il faut pratiquer la rotation sur quatre ans avec cultures successives de sarrasin, puis de blé ou de seigle, ensuite d'avoine, enfin de trèfle.
- Les pommiers donnent un cidre qui se conserve peu ; par contre les poiriers apportent un poiré de très bonne qualité.
(NB : Depuis les dernières décennies du XXe siècle, Bernard Langellier a effectué nombre d'études détaillées - consultables sur internet - sur la géologie du département de l'Orne avec ses multiples répercussions sur les paysages, les activités humaines...)
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pierrefitte Cin_sapc », sur la commune de Pierrefitte-en-Cinglais, mise en service en 1997[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 839,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 39 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Les Isles-Bardel est une commune rurale[Note 7],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,9 %), terres arables (26,8 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (5 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Is Bardel en 1390[22] et Ils Bardel en 1454[23],[24], Ys Bardel en 1554[25], Îles Bardel en 1585[26], Zys Bardel en 1710[27], Les Isles Bardel en 1793[28].
Le toponyme pourrait être issu d'un anthroponyme gaulois tel qu'Iccius[29], Icius ou Itius[24] (nom patronymique devenu nom de lieu).
René Lepelley considère quant à lui qu'il s'agirait d'une déformation d'ifs[30] (on trouve également non loin d'ici le lieu-dit : « Ils d'Ouilly »). L'orthographe actuelle Isles date du XVIIIe siècle. Sur un plan de 1829, près du lieu-dit « le cul de la Courbe » non loin du confluent avec la Baise, on voit que l'Orne formait bien deux petites îles qui se trouvaient au pied d'un promontoire, aisé à défendre, que le cours d'eau principal enserre dans un étroit méandre.
Il y a convergence pour voir en Bardel un anthroponyme médiéval. L'origine serait le nom d'une famille ayant marqué le lieu, peut-être, en y possédant des terres. La même origine serait proposée pour l'autre hameau de la commune appelé : la Bardellière[31].
Histoire
Sur le plan administratif et judiciaire
La paroisse Saint-Ouen des Ils-Bardel était située dans le duché de Normandie - Parlement de Rouen - intendance d'Alençon - élection et bailliage de Falaise - sergenterie de Thury.
Sur le plan religieux
La paroisse dépendait du diocèse de Séez, archidiaconé du Hiesmois, doyenné d'Aubigny.
La paroisse — comme celles de Saint-Philbert-sur-Orne et de Saint-Aubert-sur-Orne — était placée sous le patronage de l'abbaye Saint-Étienne de Caen, fondée par le duc Guillaume le Conquérant au XIe siècle. Ce monastère percevait donc la part la plus importante de la dîme versée par les habitants du lieu ; de plus, l'abbé de Saint-Étienne avait le privilège de proposer à l'évêque de Séez le nom du curé des Ils(-Bardel), chaque fois que le poste était vacant.
Le patron protecteur de la paroisse, saint Ouen (mort en 684) était chancelier du roi des Francs, Dagobert Ier, et évêque de Rouen (la capitale normande). Il œuvra à la diffusion du christianisme dans la province et encouragea en Normandie l'implantation de plusieurs monastères importants dont l'abbaye de Jumièges, l'abbaye Saint-Wandrille de Fontenelle. Ces établissements religieux exercèrent leur influence en créant nombre de dépendances (prieurés, prieurés-cures, granges monastiques ou granges dimières, ateliers métallurgiques, moulins...) qui étaient source d'importants revenus.
Rattachements depuis 1790
Les Isles Bardel appartenait jusqu'en 2015 au canton de Falaise-Nord et fait partie, depuis 2015 du canton de Falaise.
De 1800 à 1926, la commune appartenait à l'arrondissement de Falaise, rattaché en 1926 à l'arrondissement de Caen.
Depuis la création de celle-ci, en 1994, Les Isles-Bardel appartient à la communauté de communes du Pays de Falaise.
Au plan religieux, la paroisse des Isles-Bardel fait partie du regroupement paroissial Bienheureux François Jamet des Vallées, basé à Condé sur Noireau, dans le diocèse de Bayeux-Lisieux.
Éléments de chronologie
Les biens matériels de la majeure partie de la paroisse appartenaient à l'abbaye Saint-Étienne de Caen. (les biens temporels de ce monastère lui avaient été donnés au XIe siècle par le fondateur Guillaume le Conquérant ainsi que par des familles nobles soucieuses de leur salut après la mort). Seule échappait à l'abbaye une partie de la paroisse, le fief du château des Ils, acheté vers 1472 par Jacques de la Pommeraye, à l'époque où le roi Louis XI de France entreprenait de mettre de l'ordre dans les titres de noblesse et de propriété, après la période très troublée de la guerre de Cent Ans.
Au XIIe siècle, l'abbaye d'Ardenne de l'ordre des Prémontrés - proche de Caen - envoya quelques moines (conduits pense-t-on par un nommé Bardel), fonder un prieuré Saint-Nicolas au bord de la Baise, sur des terres données par Enguerrand de Vassy, seigneur de la Forest (Auvray).
NB : Au XVIe siècle, Jacques de Vassy seigneur de la Forest se convertit au protestantisme et saccagea le prieuré (qui fut restauré par la suite). En 1647, le petit monastère fut transféré au bord de l'Orne sur la paroisse de Saint-Aubert (lieudit Val Hulin). Puis, un des successeurs de Jean de Vassy - revenu au catholicisme - déplaça à nouveau le prieuré Saint-Nicolas à l'intérieur de son château de la Forest, sous la protection de ses hommes d'armes). Enfin, en 1718, l'évêque de Séez autorisa le prieur à transformer le prieuré Saint-Nicolas en simple chapelle castrale dans une des tours du château.
En 1577, Louis de Vassy, seigneur de La Forest (Auvray) et protestant, achète les terres des Isles-Bardel, de Saint-Aubert et de Saint-Philbert aux moines de l'abbaye Saint-Étienne, qui estimaient trop faibles les revenus tirés de ces trois paroisses.
S'estimant lésée par la transaction précédente, l'abbaye Saint-Étienne porte le différend devant la justice ; s'ensuivront d'interminables procédures.
C'est seulement au milieu du XVIIe siècle que l'abbé commendataire de Saint-Étienne Alphonse-Louis du Plessis de Richelieu, - qui était également cardinal- archevêque de Lyon et frère du ministre du roi Louis XIII de France, retrouva la pleine possession des terres des Isles-Bardel.
En 1656, Jean de la Pommeraye seigneur des Ils-Bardel décède et est enseveli dans l'église. Jeanne, sa fille unique, ayant épousé en 1600 Constantin de Brossard, écuyer, seigneur de Saint-Martin, la famille de Brossard prend possession de la seigneurie et du château.
En 1865, M. Frédéric fut instituteur et secrétaire de mairie.
En 1874, ouverture de la ligne de Falaise à Berjou. Cette voie de chemin de fer passait à proximité immédiate des Isles-Bardel (gare de Rapilly et du Mesnil-Villement) ; entre autres utilités, elle facilitait les déplacements vers les marchés et foires de Falaise, de Pont-d'Ouilly, Condé-sur-Noireau...
Au cours de la Première Guerre mondiale, de 1914 à 1918, la commune paye un lourd tribut au conflit compte tenu de sa population : six de ses habitants sont tués, morts pour la France : LANGE Émile, LEBAS Pierre, ONFROY Maurice, PAUTREL Pierre, SOYER Louis, VERRIER Léon.
En 1938 : fermeture aux voyageurs de la ligne de chemin de fer de Falaise à Berjou.
En , lors de la Seconde Guerre mondiale, à la fin de la bataille de Normandie, la commune accueille de nombreux réfugiés du Calvados et subit d'importantes destructions au moment des combats de la poche de Falaise.
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de sept membres dont le maire et deux adjoints[34].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2019, la commune comptait 66 habitants[Note 8], en diminution de 1,49 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Vers 1830, la commune comptait 60 feux, soit environ 400 habitants (dont l'activité quasi exclusive était l'agriculture).
Culture locale et patrimoine
L'église Saint-Ouen
Elle surprend au premier abord par sa simplicité et par la longueur de son unique nef, rappellant que la paroisse a été beaucoup plus peuplée dans le passé.
L'encadrement des ouvertures en calcaire ocre taillé, extrait hors de la paroisse, contraste avec la grisaille des murs. C'est le seul « luxe » qui distingue le lieu de culte paroissial des maisons paysannes construites avec la pierre sombre du sous-sol.
Elle porte surtout les marques des XVIIIe et XIXe siècles, avec quelques éléments antérieurs difficiles à dater.
Le maître-retable a été restauré en 2010 et 2011.
L’ancienne cuve baptismale retrouvée à l’extérieur a été nettoyée et placée au fond de l’église.
Le château des Ils
Les bâtiments actuels sont du XIXe siècle, date à laquelle ils ont remplacé une construction plus ancienne. (privé).
NB :* avant 1789, deux moulins ont été exploités par les moines , un moulin à farine sur la Baise, un moulin à drap (voir moulin à foulon) sur l'Orne (moulin de Donnet ?).(Les dates et causes de la cessation de ces activités ne sont pas connues).
- au XIXe siècle, trois petits fours à chaux - dont un près de la ferme de la Courbe - permettaient aux cultivateurs de recourir au chaulage des terres - peu fertiles d'origine.
L'église Saint-Ouen. La nef de l’église Saint-Ouen. Le retable de l’église Saint-Ouen. La cuve baptismale dans l’église Saint-Ouen. Le pont sur la Baize.
Personnalités liées à la commune
- Plusieurs membres de la famille de BROSSARD (depuis le XVIIe siècle) dont :
- la comtesse d'Auvilliers, de Brossard (1761-1820)
Le corps de la comtesse de Brossard repose dans un caveau entretenu par la famille du comte de Brossard. Sur sa tombe est indiqué « Ci-git le corps de Marie Périne Étiennette d'Auvilliers, épouse de François Constantin, comte de Brossard, né à Paris le , décédée le aux Ils-Bardel ». Mademoiselle d'Auvilliers, dite mademoiselle de Villemomble, est la fille de Mademoiselle Le marquis (Madame de Villemomble) et de Louis-Philippe de Bourbon, duc d'Orléans, premier prince du sang (1725-1785). Baptisée le à Charenton, sœur jumelle de Louis-Philippe de Saint-Albin, qui suivra son frère Louis-Étienne de Saint-Farre dans les ordres.
- Autres « personnalités :
- Me Lecois vicaire des Isles-Bardel en 1788.
- Me (« messire » sic) Benoist curé vers 1789.
- Jacques Gigon adjoint « officier municipal » en l'an XII.
- Louis Debaize adjoint officier de l'état-civil vers 1820.
- Claude Maline, adjoint officier de l'état-civil pendant de nombreuses années vers 1838.
- Victor Macé, adjoint officier de l'état-civil vers 1828-1829 - journalier.
- Gilles Vincent prêtre décédé curé en 1843.
- Jean Jacques Lange prêtre décédé curé en 1845.
- Alfred Letourneur adjoint officier de l'état-civil vers 1860.
- Pierre Ponel -curé de la paroisse- décédé au presbytère en 1861, à l'âge de 47 ans.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Population municipale 2019.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[38].
- Cahiers Léopold Delisle 1989, édités par la Société parisienne d'histoire et d'archéologie normandes (à propos du prieuré Saint-Nicolas fondé par le moine Bardel).
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 153
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pierrefitte Cin_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Les Isles-Bardel et Pierrefitte-en-Cinglais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pierrefitte Cin_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Les Isles-Bardel et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Cartulaire d’Ardennes.
- Cartulaire de Saint-Étienne.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
- Aveu du temporel de Saint-Étienne de Caen.
- Papier terrier de Falaise.
- Carte de de Fer.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 227
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 107
- Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados : comprenant les noms de lieu anciens et moderne, Impr. nationale (Paris, (lire en ligne), p. 14.
- Réélection 2014 : « Les Isles-Bardel (14690) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Jacques Garigue est le nouveau maire des Isles-Bardel », sur lesnouvellesdefalaise.fr, Les Nouvelles de Falaise (consulté le )
- Réélection 2020 : « Municipales à Les Isles-Bardel. Jacques Garigue repart pour un nouveau mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les Isles-Bardel sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)
- Portail du Calvados
- Portail des communes de France