Jacqueline Michel

Jacqueline Michel, née Jacqueline Irma Suzanne Bussereau le 17 septembre 1921 au Perray (Seine-et-Oise) et morte le 27 mai 1981 à Paris[1], est une journaliste française, critique de cinéma.

Jacqueline Michel

Biographie
Naissance	17 septembre 1921 Le Perray-en-Yvelines
Décès	27 mai 1981 (à 59 ans) 16e arrondissement de Paris
Nom de naissance	Jacqueline Irma Suzanne Bussereau
Nationalité	Française
Activités	Journaliste, critique de cinéma

Autres informations
A travaillé pour	France Inter

Biographie

Jacqueline Michel fait ses débuts dans la presse au Populaire, ainsi qu'à Jeunesse et Paris Matin avant d'exercer, à partir de 1946, les fonctions de courriériste théâtrale au Parisien libéré. Elle y devient, à la rubrique cinéma, l'assistante d'André Bazin auquel elle succède en 1958.

Elle intègre la rédaction de Télé 7 jours en 1962[2] dirigé par son mari Jean Diwo et y tient la rubrique de critique cinématographique.

Elle était l'épouse de Jean Diwo et la mère de François Diwo.

Publications

De briques et de brocs, avec Jean Diwo, Fayard, 1957
Drôles de numéros, avec Jean Diwo, Fayard, 1958
La Déprime, Stock, 1972[3]

Notes et références

Archives de Paris, 16^e arrondissement, année 1981, acte de décès n^o 931, cote 16D 262, vue 18/31
La Revue du cinéma, n^o 364, septembre 1981, p. 7
Sous-titré « roman vécu », l'ouvrage connaît un grand succès commercial, rappelle Alain Ehrenberg dans La fatigue d'être soi. Dépression et société (éditions Odile Jacob, 1998). Il écrit notamment : « Après un itinéraire de sept ans de médecin en médecin, elle retrouve la joie de vivre avec un antidépresseur ».

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[1] Archives de Paris, 16^e arrondissement, année 1981, acte de décès n^o 931, cote 16D 262, vue 18/31

[2] La Revue du cinéma, n^o 364, septembre 1981, p. 7

[3] Sous-titré « roman vécu », l'ouvrage connaît un grand succès commercial, rappelle Alain Ehrenberg dans La fatigue d'être soi. Dépression et société (éditions Odile Jacob, 1998). Il écrit notamment : « Après un itinéraire de sept ans de médecin en médecin, elle retrouve la joie de vivre avec un antidépresseur ».