Jacques Hamel
Jacques Hamel, né le à Darnétal et mort le dans l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, est un prêtre catholique français de l'archidiocèse de Rouen assassiné par deux terroristes islamistes. Un procès en béatification est initié en avril 2017.
Pour les articles homonymes, voir Hamel.
Curé Paroisse Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray (d) | |
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Curé Paroisse de Cléon (d) | |
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Curé Paroisse de Saint-Pierre-lès-Elbeuf (d) | |
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Vicaire Paroisse Notre-Dame-de-Lourdes de Sotteville-lès-Rouen (d) | |
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Vicaire Paroisse Saint-Antoine du Petit-Quevilly (d) | |
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Biographie
Ministère
Jacques Hamel est né le , à Darnétal, dans le département de la Seine-Inférieure (actuelle Seine-Maritime)[1]. Sa maison natale est rue Louis-Pasteur, non loin de l’église Saint-Ouen de Longpaon où il est baptisé. Son père est agent ferroviaire, sa mère est très pieuse. Il devient enfant de chœur à l'âge de six ans pour l'église Saint-Paul de Rouen, puis entre au petit séminaire à l'âge de quatorze ans[2]. À 23 ans, il effectue son service militaire de dix-huit mois en Algérie[3]. Sa sœur rapporte qu'il refusa « catégoriquement le grade d’officier qui lui était proposé compte tenu de son efficacité au poste de transmissions » pour n'être que simple soldat et ne pas avoir à « donner l’ordre à des hommes de tuer d’autres hommes[4] ».
Il est ordonné prêtre pour l'archidiocèse de Rouen, par Joseph-Marie Martin, le [5].
D'abord nommé vicaire à Saint-Antoine du Petit-Quevilly en 1958, il est ensuite nommé vicaire de la paroisse Notre-Dame-de-Lourdes de Sotteville-lès-Rouen en 1967, puis curé de Saint-Pierre-lès-Elbeuf en 1975 et curé de Cléon en 1988[5].
En 2000, il est transféré comme curé « in solidum » en la paroisse de Saint-Étienne-du-Rouvray[6]. Enfin, il est nommé prêtre auxiliaire de cette même paroisse en 2005[5]. Il devient alors l'assistant du père Auguste Moanda Phuati, curé de la paroisse, et célèbre régulièrement les baptêmes, communions, mariages et enterrements. Il est également chargé d'assurer les permanences durant le mois de juillet[7].
Il célèbre son jubilé d'or d'ordination sacerdotale en 2008[8],[9].
À partir de , il fait partie, avec le conseil régional du culte musulman, d'un comité interconfessionnel créé à la suite des attentats de janvier 2015[10]. Jean-Charles Descubes, archevêque émérite de Rouen, relève par ailleurs son « esprit missionnaire »[11],[12].
Assassinat
Le , à 9 h 43, au cours de la célébration de la messe du matin, deux terroristes islamistes munis d'armes blanches font irruption dans l'église Saint-Étienne. Dans un premier temps, ils s'en prennent au père Jacques Hamel qui officie devant quatre fidèles, dont deux religieuses. Selon un témoin, ils ont crié : « Vous les chrétiens vous nous supprimez ! » et ont contraint le prêtre à se mettre à genoux, puis l'ont agressé violemment[13]. La police ayant été prévenue, la Brigade de recherche et d'intervention de Rouen cerne les lieux puis abat les deux terroristes djihadistes alors que ces derniers sortent de l'édifice[14],[15],[16],[17]. Le père Hamel est retrouvé mort, égorgé par dix-huit coups de couteau[18], tandis qu'un fidèle est grièvement blessé à la gorge[19],[20]. « Va-t'en Satan » ont été les derniers mots du prêtre, adressés à son assassin[21],[22]. L'historien Jean-François Colosimo souligne que c'est la première fois qu'un prêtre est tué en France au cours d'une messe depuis la guerre de Vendée[23]. Il s'agit également du premier meurtre perpétré par l'État islamique dans une église européenne[24]. L'agence vaticane Fides précise que le père Hamel est l'unique prêtre catholique assassiné en Europe en 2016, sur un total de 28 missionnaires catholiques assassinés cette année-là dans le monde[25].
Selon un article publié le , la direction du Renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP) a eu à l'avance connaissance d'un message d'un des terroristes qui annonçait un attentat dans une église et mentionnait Saint-Étienne-du-Rouvray ; après l'assassinat, la DRPP a postdaté des documents qui révélaient son manque de réactivité[26].
Obsèques
Ses obsèques ont lieu le en la cathédrale Notre-Dame de Rouen au cours d'un office célébré par Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, Georges Pontier, président de la Conférence des évêques de France, Maroun-Nasser Gemayel, évêque des maronites de France, Jean-Gabriel Diarra, évêque de la province de San au Mali, et Jean-Charles Descubes, archevêque émérite de Rouen, en présence de plusieurs membres du gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, du président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius, de la députée Valérie Fourneyron, du maire de Rouen Yvon Robert, du président de la région Normandie Hervé Morin, du président du département de la Seine-Maritime Pascal Martin et de nombreux parlementaires. Trois mille personnes prennent part à la cérémonie, dont la moitié sur le parvis. Des représentants de la communauté juive et de la communauté musulmane, dont Bachar El Sayadi, président de l’Union des musulmans de Rouen[27], assistent aux obsèques. Ils sont salués par l'archevêque de Rouen. Parmi la famille du défunt, ses nièces et sa sœur lui rendent hommage[4]. Le père Hamel est ensuite inhumé au carré des prêtres du cimetière de Bonsecours[28],[29].
Réactions et hommages
Qualifié de martyr par des ecclésiastiques, politiques et journalistes français et étrangers[30],[31],[32],[33],[34], il est informellement qualifié de « saint prêtre » par le pape François. Une quinzaine de jours après sa mort, Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, se déclare prêt à enclencher une procédure de béatification dans le délai imposé de cinq ans, délai qui est révoqué par le pape[35].
Hiérarchie catholique
Le Vatican annonce en début d'après-midi que le pape François « participe à la douleur et à l’horreur pour cette violence absurde »[36]. Le , dans l'avion le menant à Cracovie, le pape déclare : « ce saint prêtre est mort dans un moment où il offrait ses prières pour toute l'Église [...] Combien de chrétiens, d'innocents, d'enfants ? N'ayons pas peur de dire cette vérité : le monde est en guerre, car il a perdu la paix »[37].
Georges Pontier, président de la Conférence des évêques de France, invite tous les catholiques de France à une journée de jeûne et de prière le en hommage à Jacques Hamel[38]. Le grand-rabbin de France, Haïm Korsia, décide de s'associer à ce jeûne[39].
Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, indique que « l'Église catholique ne peut prendre d'autres armes que la prière et la fraternité entre les hommes »[40] et décide de rentrer de Pologne où il était présent pour les Journées mondiales de la jeunesse[41]. Le , il déclare : « La mort du père Jacques ressemble à celle de Jésus comme la mort de tous les martyrs de la vérité, de la justice, de la paix, de la foi »[42].
Le , le cardinal Seán O'Malley, membre du Conseil des neuf cardinaux, estime que l'assassinat du père Hamel « pourrait bien réveiller la conscience et la foi de nombreux chrétiens » et « répondre aux critères du martyre ». Il rappelle que, pour cela, l'assassinat doit avoir eu lieu « in odium fidei ». Radio Vatican poursuit : « Or [la mort] du prêtre normand, tué en plein exercice de son ministère sacerdotal, correspond à cette condition. [...] Il appartiendra aux responsables de l'Église de France, et particulièrement du diocèse de Rouen, de réfléchir à une éventuelle procédure en béatification pour le père Jacques »[43]. Anthony Fisher, archevêque de Sydney et membre de la Congrégation pour la doctrine de la foi, considère lui aussi que l'assassinat a eu lieu « in odium fidei »[44]. Quelques jours plus tard, l'archevêque de Rouen se déclare prêt à enclencher la procédure dans le délai imparti[45].
Le , jour de la solennité de la Croix glorieuse, le pape François célèbre une messe en la chapelle de la résidence Sainte-Marthe à l'intention du père Hamel, dont la photo est exposée sur l'autel[46]. Le bréviaire du prêtre a été apporté par Lebrun en la basilique San Bartolomeo all'Isola afin d'y être conservé[47]. Environ 80 fidèles du diocèse de Rouen l'accompagnent en pèlerinage[48],[49]. Dans son homélie, le pape déclare que Jacques Hamel, « assassiné sur la croix, [...] fait partie de la chaîne des martyrs[50] », et ajoute que ce prêtre est un « bienheureux » qu'il faut prier[51]: « Nous devons le prier, c’est un martyr, et les martyrs sont des bienheureux, pour qu’il nous donne à tous la fraternité, la paix, et aussi le courage de dire la vérité : tuer au nom de Dieu est satanique. »
Le , à l'occasion de la messe de réparation pour la réouverture de l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray, Lebrun annonce l'ouverture du procès en béatification du père Hamel par dispense spéciale du pape[52],[53] qui supprime l'habituel délai de cinq ans. Une telle accélération de la procédure est exceptionnelle et n'a, ces dernières années, concerné que les cas de mère Teresa et de Jean-Paul II[54].
Le , Jeudi saint, Lebrun annonce l’ouverture de l’enquête diocésaine, première étape du procès en béatification, à l’issue de la messe chrismale, qui rassemble tous les prêtres du diocèse. Elle survient six mois après que le pape François a accordé en une « dispense du délai de cinq ans pour entamer le processus de béatification du père Jacques Hamel ». Le père Paul Vigouroux, vice-chancelier du diocèse et curé de la paroisse Saint-Jacques de Saint-Jacques-sur-Darnétal, est nommé postulateur de la cause avec pour mission de rassembler documents et témoignages sur la vie du père Hamel et sa pratique de la foi. Au terme de cette étape, une nouvelle enquête doit être menée par la Congrégation pour les causes des saints. En l'absence de l'attribution d'un miracle, la béatification peut être accordée par la reconnaissance du martyre[55], le père Hamel ayant été assassiné in odium fidei. La première audience s’est tenue le dans la chapelle d’Aubigné de l’archevêché de Rouen[56]. Elle se clôt le et rassemble 11 496 pages qui doivent être envoyées à Rome sous scellés[35]
Hommages
Le président de la République François Hollande se rend sur place quelques heures après l'attentat, en compagnie du ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve[57],[58]. Dans l'après-midi, depuis l'Élysée, il déclare : « attaquer une église, tuer un prêtre, c'est profaner la République qui garantit la liberté de conscience »[59].
Le président de la mosquée de Saint-Étienne-du-Rouvray, Mohammed Karabila, fait part de son émotion et de sa stupeur après l'assassinat du père Hamel, avec qui il participait à un comité interconfessionnel et qu'il n'hésite pas à qualifier d'ami. La mosquée de Saint-Étienne-du-Rouvray est bâtie sur une parcelle de terrain offerte par la paroisse catholique de la ville[60].
Le lendemain de l'attentat, , une messe en mémoire de Jacques Hamel est célébrée en la cathédrale Notre-Dame de Paris par le cardinal André Vingt-Trois en présence de François Hollande, du président du Sénat Gérard Larcher, du président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone, du Premier ministre Manuel Valls, ainsi que de plusieurs ministres et personnalités du monde politique dont les anciens présidents Nicolas Sarkozy et Valéry Giscard d'Estaing[61].
Dans de nombreuses villes de France, des veillées et des temps de recueillement ouverts à tous sont organisés en pleine semaine par l’Église catholique « en hommage au père Hamel, pour la paix et pour dire non à la barbarie »[62],[63]. À Saint-Étienne du Rouvray, un rassemblement est organisé le au parc omnisports Youri-Gagarine, en remplacement de la marche blanche interdite par les autorités pour des raisons de sécurité[64]. Le , de nouveaux hommages ont lieu à travers toute la France, dont un en la cathédrale de Rouen qui rassemble plus d’un millier de fidèles ainsi qu’une centaine de musulmans conviés à l’office[28].
Quelques jours après le drame, un peintre d'origine nord-africaine habitant en Touraine, Omar Moubine, offre à l'archevêché un portrait qu’il a peint du père Jacques Hamel[65]. Il est exposé lors des obsèques célébrées en la cathédrale de Rouen[27]. Le , une biographie de Jacques Hamel est publiée sous le nom de Martyr. Vie et mort du père Jacques Hamel. Elle est écrite par l'historien belge Jan de Volder (nl) et paraît aux Éditions du Cerf[66].
Le , le maire de Béziers, Robert Ménard, inaugure une promenade Jacques-Hamel au pied de la cathédrale Saint-Nazaire[67]. Le , Hugues Portelli, maire d'Ermont dans le Val-d'Oise, inaugure à son tour une place Jacques Hamel[68]. La municipalité de Saint-Étienne-du-Rouvray prévoit également en hommage au père Hamel qu'une stèle, « symbole de paix et de fraternité », soit dévoilée à côté de l'église[69], à l'été 2017. Le une plaque est dévoilée près de la collégiale Saint-Pierre à Six-Fours-les-Plages dans le Var par le député-maire Jean-Sébastien Vialatte[70]. Le , François de Canson, maire de La Londe-les-Maures, aussi dans le Var, inaugure la place « Père Jacques Hamel-en hommage aux victimes du terrorisme ». La plaque est dévoilée par le maire avec les autorités ecclésiastiques et des forces de l'ordre. Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon envoie un message à cette occasion[71].
Le rappeur Thierno Dia, fils d'un musulman laissé pour mort au lendemain de l'attentat[72],[73], rend hommage au père Jacques Hamel[74]. En novembre, dans l'album qui porte son nom, le chanteur Vianney dédie sa chanson L'Homme et l'Âme au père Hamel[75].
Le paraît le livre Requiem pour le père Jacques Hamel de Mohammed Nadim aux éditions Bayard[76].
Le est inaugurée à Saint-Pierre-lès-Elbeuf une rue Jacques-Hamel[77].
La Fédération des médias catholiques a créé le prix Père-Jacques-Hamel. Ce prix, doté de 1 500 €, récompense chaque année à partir de un travail journalistique au service de la paix et du dialogue interreligieux[78],[79].
Le , une messe anniversaire retransmise en direct à la télévision est célébrée en l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne de Rouvray par Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, en présence du président de la République, du Premier ministre, du ministre de l'Intérieur et des cultes, du maire et de personnalités civiles et religieuses. À l'issue de la cérémonie, une stèle comportant la Déclaration universelle des droits de l'homme gravée dans le bronze, placée le long de l'église, est inaugurée en présence du président de la République Emmanuel Macron[80]. Elle souligne dans son article 18 « la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seul ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites. »
Le , le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin participe, comme l'année précédente, à l'hommage rendu au père Jacques Hamel[81].
Procès en béatification
Une quinzaine de jours après cet attentat, Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, se déclare prêt à enclencher une procédure de béatification.
En septembre 2016, le pape François célèbre une messe en sa mémoire et l'évoque dans son homélie en le présentant comme martyr.
Le , au cours de la messe de réparation, Dominique Lebrun annonce l'ouverture du procès en béatification du père Hamel par dispense spéciale du pape.
Le procès en béatification commence officiellement le Jeudi saint , à l'issue de la messe chrismale, par l'ouverture de l'enquête diocésaine lancée par Dominique Lebrun. De ce fait, Jacques Hamel devient, pour l’Église catholique, un « serviteur de Dieu ». Le miracle n’est pas exigé par l’Église dans le processus de béatification d’un martyr. Elle considère le don de sa vie comme un miracle suffisamment important[82].
Postérité
En France, plusieurs rues et places portent le nom de Jacques Hamel :
- promenade Jacques-Hamel à Béziers (Hérault) ;
- place Jacques-Hamel à Ermont (Val-d'Oise)[68] ;
- place Jacques-Hamel à La Londe-les-Maures (Var) ;
- rue Jacques-Hamel à Saint-Pierre-lès-Elbeuf (Seine-Maritime) ;
- allée du Colonel-Arnaud-Beltrame-et-du-Père-Jacques-Hamel à Toulouse (Haute-Garonne).
Le prix Père Jacques Hamel commémorant son nom est décerné chaque année depuis 2018 pour récompenser le journalisme mettant en relief des efforts pour la paix et le dialogue interreligieux.
En 2020, Étienne de Montety publie le roman La Grande Épreuve, inspiré par la vie et la mort du père Jacques Hamel[83]. Le livre reçoit le grand prix du roman de l'Académie française.
Voir aussi
Bibliographie
- Jan De Volder et Andrea Riccardi, Martyr. Vie et mort du père Jacques Hamel, Paris, Éditions du Cerf, , 128 p. (ISBN 978-2-204-11725-8, lire en ligne)
- Armand Isnard, Père Jacques Hamel, Paris, Artège, 2018.
Articles connexes
Liens externes
- « Vidéo. Un reportage de 2009 sur le père Jacques Hamel », sur Aleteia, (consulté le ).
Notes et références
- (en) Adam Nossiter et Hannah Olivennes, « Jacques Hamel, 85, a Beloved French Priest, Killed in His Church », sur nytimes.com, (consulté le ).
- Cécile Bouanchaud et Romain Geoffroy, « Le père Jacques Hamel, ‘un homme bon mais qui ne transigeait pas’ », Le Monde, (lire en ligne).
- Jan De Volder 2016
- Anthony Quindroit et Franck Boitelle, « Des milliers de fidèles hier aux obsèques du père Jacques Hamel à la cathédrale à Rouen », paris-normandie.fr, (consulté le )
- « Communiqué de presse de l’archevêque de Rouen suite à la prise d'otages de Saint-Étienne du Rouvray ».
- Père Jacques Hamel, le prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray : Archive INA
- « Jacques Hamel, le prêtre égorgé à Saint-Étienne-du-Rouvray, « était un homme bon » », sur directmatin.fr, .
- (it) « Rouen, attacco in chiesa: chi era Padre Jacques Hamel, il prete ucciso dagli assalitori », sur repubblica.it, (consulté le ).
- (en) « Father Jacques Hamel: Tributes paid to priest who dedicated life to church », sur BBC, (consulté le ).
- « Qui était Jacques Hamel, ce prêtre assassiné qui prônait le dialogue interconfessionnel ? », sur paris-normandie.fr, .
- « Qui est Jacques Hamel... », huffingtonpost.fr (consulté le 27 juillet 2016).
- Jacques Hamel, « L’été, temps des vacances », Lettre paroissiale n°6, paroisse de Saint-Étienne du Rouvray, (consulté le ).
- Société - MYTF1News, « Saint-Étienne-du-Rouvray : "Ils ont crié 'vous les chrétiens, vous nous supprimez'" », sur lci.tf1.fr,
- Compte rendu de François Molins le 26 juillet 2016
- « Prêtre tué à Saint-Étienne-du-Rouvray : ce que l’on sait », Le Monde, (lire en ligne)
- Caroline Piquet, « Le point sur la prise d'otages meurtrière dans une église près de Rouen », Le Figaro, .
- « Prise d’otages dans une église à Saint-Étienne-du-Rouvray : les deux preneurs d’otage abattus, le curé assassiné, un paroissien entre la vie et la mort », sur Paris Normandie, .
- Ces dix-huit coups de couteau semblent avoir été portés par Abdel Malik Petitjean, cf. « La chronologie des événements », sur estrepublicain.fr (consulté le 30 octobre 2016).
- « Ce que l'on sait de Jacques Hamel, le prêtre égorgé à Saint-Étienne-du-Rouvray », sur Direct matin, .
- « Prise d'otages dans une église près de Rouen : le prêtre tué, deux assaillants abattus », sur France Info, .
- « "Va-t'en Satan". Les derniers mots du Père Hamel, prêtre tué près de Rouen, à son assaillant », Normandie-actu, 3 août 2016.
- « "Va-t'en Satan": il y a cinq ans, les dernières paroles du père Hamel », Le Figaro, 25 juillet 2021
- Jean-François Colosimo, émission C dans l'air, mardi 26 juillet 2016.
- « Les dernières heures du père Jacques Hamel », site des Dernières Nouvelles d'Alsace, 26 septembre 2016.
- (it) Paolo Affatato, « Lo scrigno dei missionari uccisi », sur lastampa.it, (consulté le )
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- Jacques Hamel, “curé de campagne“ et martyr
- Le père Jacques Hamel victime martyre du djihad ordinaire
- Jacques Hamel, martyr du fanatisme et des lâchetés politiques
- (ro) Luana Luban, « Jacques Hamel. 1930-2016. Martirul pentru care vor răsuna toate clopotele din Franţa… », sur adevarul.ro, (consulté le ).
- Didier Rance et Pierre Wolf-Mandroux, « Qu’est-ce qu’un martyr pour l’Eglise ? », La Croix, (lire en ligne)
- M. Moiroud-Musillo avec V. Arnould, « Rouen : l'enquête en vue de la béatification du père Hamel se termine ce samedi », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
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- Assassinat du Père Hamel : « Le monde est en guerre, car il a perdu la paix », déplore le pape
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- Des milliers de personnes rendent hommage au père Hamel dans sa ville
- Le père Jacques Hamel, un « martyr de la Foi » selon le cardinal O'Malley
- Fr Hamel was martyred ‘in odium fidei’, says Archbishop Fisher
- L'archevêque de Rouen..., site bfmtv.com (consulté le 13 août 2016).
- Texte de l'homélie et photo, Radio Vatican, 14 septembre 2016.
- Cette église est la dépositaire des reliques des martyrs récents. Cf. La Croix, article de Nicolas Senèze, 16 septembre 2016.
- (it) Iacopo Scaramuzzi, « Il Papa celebra una messa in suffragio di padre Hamel », sur lastampa.it, (consulté le )
- La Croix, 13 septembre 2016.
- La Croix, 14 septembre 2016.
- « Le pape François qualifie le meurtre du père Jacques Hamel de satanique », site 20minutes.fr, 14 septembre 2016.
- Agence France Presse, « Saint-Etienne-du-Rouvray : le pape François accélère la procédure en vue d’une béatification du père Hamel », lemonde.fr, (consulté le )
- Malo Tresca, « L’Église de Rouen ouvre la voie à la béatification du P. Hamel », sur la-croix.com,
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- Rencontre chaleureuse entre le chanteur Vianney et le cardinal Sarah au Puy du Fou
- Anne-Bénédicte Hoffner, « Un musulman adresse trente lettres au père Hamel dans un livre » sur le site de La Croix (consulté le 13 juin 2017).
- « Latifa Ibn Ziaten participe à un hommage au père Jacques Hamel », sur Aleteia, (consulté le ).
- « La Fédération des médias catholiques crée le prix Père Jacques Hamel », sur la-croix.com, .
- Clémence Houdaille, « Le prix Père-Jacques-Hamel 2019 décerné à Christelle Ploquin, journaliste du CFRT », sur la-croix.com, La Croix, (consulté le ).
- Jean-Marie Guénois, « Père Hamel : un an après, la France se souvient », sur Le Figaro, (consulté le )
- « Dossier Jacques Hamel », La Croix, .
- « Qu’est-ce qu’un martyr pour l’Eglise ? », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
- « Étienne de Montety, La Grande Épreuve », France Culture, 2020.
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