Jaure
Jaure est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Jaure | |||||
La mairie de Jaure. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord | ||||
Maire Mandat |
Philippe de Séverac 2020-2026 |
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Code postal | 24140 | ||||
Code commune | 24213 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Jaurands | ||||
Population municipale |
171 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 03′ 19″ nord, 0° 33′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 221 m |
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Superficie | 7,54 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Astier | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.jaure.fr | ||||
Géographie
La commune de Jaure se situe au nord-est du Landais, une région naturelle du Périgord.
La commune est desservie par la route départementale 107.
Le village de Jaure, traversé par la route départementale 107, se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud-est de Neuvic et dix kilomètres au sud de Saint-Astier.
Le sentier de grande randonnée GR 654 traverse le territoire communal du nord au sud sur environ 2,5 km.
Communes limitrophes
Jaure est limitrophe de quatre autres communes. À l'ouest, son territoire est distant de moins de 400 mètres de celui de Saint-Jean-d'Estissac.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Jaure est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | ||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent | ||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | ||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 93 m[5] au nord-ouest, là où le Jaures reçoit son affluent le Bernou, quitte la commune et entre sur celle de Grignols et 221 m[5] à l'extrême sud-est, au lieu-dit la Forêt, en deux endroits dont un en limite de la commune de Villamblard[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 7,54 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,75 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Jaures et le Bernou et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Affluent du Vern, le Jaurès, ou Jaures, prend sa source dans l'est de la commune, la traverse sur cinq kilomètres et lui sert de limite naturelle au nord sur deux kilomètres et demi, face à Grignols.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[24] et qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[26], à 13,1 °C pour 1981-2010[27], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[28].
Urbanisme
Typologie
Jaure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,2 %), zones agricoles hétérogènes (25,4 %), prairies (15,4 %)[34].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Jaure proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[35] :
- Barbecane
- Bois de Bellet
- Burel
- Chabirac
- Chantelouette
- Chante-Louve
- les Combeaux
- les Combes
- l'Étang
- les Fonrouges
- la Forêt
- les Gabilloux
- les Grabiaux
- les Juvenies
- Lamirand
- la Lande
- Maisons Basses
- Mèrebeuf
- les Mérigoux
- le Moulin Neuf
- la Réfrairie
- la Roche
- la Vigne Perdue.
Toponymie
Pour Chantal Tanet et Tristan Hordé, le nom du lieu se réfère à Gabrius, le nom d'une personne d'origine gauloise, issu du gaulois °gabros signifiant « chèvre »[36]. Selon Bénédicte Fénié, l'origine de Jaure serait gallo-romaine, signifiant « villa de Gabrus »[37].
En français comme en occitan limousin[38], la commune porte le même nom[37].
Histoire
Le territoire communal fut occupé par des Gaulois puis des Gallo-romains[36].
L'église Saint-Firmin date du XIIe siècle[39], et un château, détruit pendant la guerre de Cent Ans, a été édifié au XIIIe siècle[36].
La première mention écrite connue du lieu date de 1380, sous sa forme actuelle, « Jaure »[36].
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la paroisse de Jaure dépend de la châtellenie de Grignols[40].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Jaure a été rattachée au canton de Grignols qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[5].
Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[41].
Intercommunalité
Fin 2002, Jaure intègre dès sa création la communauté de communes Astérienne Isle et Vern. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Isle, Vern, Salembre en Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Jaure relève[46] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune se nomment les Jaurands et les Jaurandes[47].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].
En 2019, la commune comptait 171 habitants[Note 8], en augmentation de 6,21 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
En 2016, la commune de Jaure est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Grignols et Manzac-sur-Vern[51] au niveau des classes de primaire.
Jaure n'a plus d'école ; Grignols s'occupe de la grande section de maternelle, du cours préparatoire et du cours élémentaire (CE1 et CE2) ; Manzac-sur-Vern accueille les enfants en petite et moyenne sections et en cours moyen (CM1 et CM2)[52].
Économie
Emploi
En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 81 personnes, soit 48,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quinze) a très fortement augmenté par rapport à 2010 (quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 18,5 %.
Établissements
Au , la commune compte seize établissements[54], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[55].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Jaure, fortement rénové après un incendie au XIXe siècle[56], présente une tour-pigeonnier élancée du XVe siècle ornée de sculptures baroques[56], et un autre pigeonnier massif.
- L'église Saint-Firmin du XIIe siècle est inscrite au titre des monuments historiques en 1984[39].
- La fontaine Saint-Firmin, ou Saint-Fer, à vingt mètres de l'église de l'autre côté de la route, était un lieu de pèlerinage : « Les malades se lavent à la fontaine de Saint-Fer, et on y plonge les petits enfants »[57].
- Les mégalithes de la Fontrouge et des Rocs[58].
Le château de Jaure et sa tour-pigeonnier. Le pigeonnier du château de Jaure. L'église Saint-Firmin. Le lavoir et la fontaine Saint-Firmin. Croix en face de l'église.
Personnalités liées à la commune
- Le général Nicolas Obroutchev, ou Nikolaï Obroutcheff[59] (1830-1904), acteur de l'alliance franco-russe de 1892 avec le général de Boisdeffre, avait épousé la propriétaire du château de Jaure. Il est à l'origine des travaux de rénovation menés sur le château après son incendie au XIXe siècle et est mort à Jaure[59].
Héraldique
Blason | Écartelé : aux 1er et 4e de gueules à trois lions couronnés d'or, au 2e et 3e d'or à une croix ancrée de gueules[60].
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Détails | Écartèle les armes des comtes de Périgord (et de l'actuelle Dordogne) avec celles de la famille d'Aubusson. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Danielle Bernard, Jaure, ses habitants de 1770 à 1970, 2012, Imprimerie Iota, Saint-Astier
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Jaure » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Jaure » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Jaure », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « la Forêt » sur Géoportail (consulté le 29 juin 2022)..
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Jaure », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Jaure », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Jaure » sur Géoportail (consulté le 9 novembre 2014)..
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 180.
- Le nom occitan des communes du Périgord - Jaure sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
- « Église Saint-Firmin », notice no PA00082585, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 9 novembre 2014.
- André Bernard et Maurice Biret, Manzac-sur-Vern au fil des siècles, 2003, p. 23-24.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 4 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.
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- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 20.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Francis Senchou, Les grands quittent l'école sur Sud Ouest du 1er juillet 2014, consulté le 14 décembre 2014.
- L'école sur le site de la mairie de Grignols, consulté le 11 avril 2016.
- Dossier complet - Commune de Jaure (24213) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Jaure (24213) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 144
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 55.
- Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 391.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 718-719.
- « 24213 Jaure (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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