Jean Baup
Jean Baup, né le à Nyon et mort le à Lausanne, est une personnalité politique suisse, membre du Parti libéral[1].
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Jean Baup | |
Fonctions | |
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Député au Grand Conseil vaudois | |
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Conseiller d'État vaudois | |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Nyon |
Date de décès | |
Lieu de décès | Lausanne |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | Parti libéral suisse |
Profession | Avocat |
Religion | Protestant |
Biographie
De confession protestante, originaire de Vevey et de Coinsins, Jean Baup est le fils de Charles-Albert Baup, banquier. Il fait des études de droit à l'université de Lausanne et obtient son doctorat en 1906, puis son brevet d'avocat en 1909[1].
Carrière politique
Membre du Parti libéral, il siège au Grand Conseil vaudois entre 1912 et 1934 avant d'être nommé au Conseil d'État ; il y est responsable du département de justice et police entre le et le . Durant son mandat, il est le seul conseiller d'État à s'opposer à l'attribution du doctorat honoris causa à Benito Mussolini en 1937. À la fin de son mandat, en proie à des problèmes de santé, Jean Baup renonce à sa réélection et se retire de la vie politique[1],[2].
Références
- Maurice Meylan, « Jean Baup » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
- « Histoire du Conseil », sur www.vd.ch (consulté le ).
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