Jean Seberg
Jean Dorothy Seberg[1] [ d͡ʒin sebɛʁg][alpha 1],[2],[3] (en anglais : [ˈd͡ʒiːn ˈsiːbɚg][alpha 2],[4]), née le à Marshalltown dans l'Iowa et morte le à Paris[1], est une actrice américaine qui passa une partie importante de sa carrière en France et fut notamment une collaboratrice de Robert Cordier.
Pour les articles homonymes, voir Seberg.
Nom de naissance | Jean Dorothy Seberg |
---|---|
Naissance |
Marshalltown, États-Unis |
Nationalité | Américaine |
Décès |
(à 40 ans) Paris, France |
Profession | Actrice |
Films notables |
Sainte Jeanne Bonjour tristesse À bout de souffle La Ligne de démarcation |
De son Iowa natal au Paris de la Nouvelle Vague, Jean Seberg a incarné un idéal féminin pour toute une génération. À la fois américaine et française, elle connaît son premier triomphe en 1957 avec le personnage de Jeanne d'Arc, qu'elle incarne dans le film Sainte Jeanne d'Otto Preminger. À ce moment-là, le destin de Jean Seberg est scellé. De Bonjour tristesse, de Preminger et d'après Sagan, à À bout de souffle, de Godard et avec Belmondo pour partenaire, elle devient célèbre grâce à sa fraîcheur, sa beauté et sa spontanéité.
Sa vie privée tumultueuse et son mariage avec Romain Gary ont fait d'elle, au-delà de la star, une figure de la vie culturelle des années 1960. Elle est parmi les premières actrices à prendre des engagements politiques pour faire entendre la voix des Noirs américains dans un contexte de ségrégation raciale. Sa mort mal élucidée met un point final mystérieux à son existence.
Biographie
Enfance
Jean Dorothy Seberg est la fille de Dorothy Benson, institutrice remplaçante, et d'Edwards Seberg, pharmacien tenant un drugstore dans Marshalltown. Sa famille était de confession luthérienne et d'origine suédoise. À 12 ans, par admiration pour Marlon Brando, elle s'intéresse au métier d'acteur[5].
Carrière
Après l'université de l'Iowa, choisie parmi 18 000 candidates[6], elle tourne son premier film en 1957, Sainte Jeanne, adaptation de la pièce Sainte Jeanne de George Bernard Shaw, sous la direction d'Otto Preminger, dans laquelle elle tient le rôle de Jeanne d'Arc et manque d'être vraiment brûlée. Dans la foulée, elle joue dans Bonjour tristesse du même réalisateur. Ce remarquable coup de chance se présente comme une ouverture majestueuse pour une jeune fille que rien ne prédestinait au métier d'actrice. Elle fait à cette occasion la couverture des Cahiers du cinéma[7].
Grâce au film À bout de souffle de Jean-Luc Godard, en 1960, elle devient une icône de la Nouvelle Vague. Aux côtés de Jean-Paul Belmondo, elle y interprète Patricia Franchini, vendeuse de journaux (le Herald Tribune) sur les Champs-Élysées.
En 1969, elle apparaît dans son premier et seul film de comédie musicale, La Kermesse de l'Ouest (Paint Your Wagon), adapté d'un spectacle de Lerner et Lowe. Elle joue en compagnie de Lee Marvin et Clint Eastwood. Pour le chant, sa voix est doublée.
Lilith, « le film » qui a influencé son « moi », tourné en 1964 par Robert Rossen, est le plus révélateur de sa personnalité réelle. Dans les revues de l'époque, les critiques écriront « elle ne joue pas Lilith, elle est Lilith ». Pour les esthètes, ce film représente le couronnement de sa carrière.
Elle est le premier choix de François Truffaut pour le rôle de Julie dans La Nuit américaine mais après l'avoir sollicitée à plusieurs reprises et sans nouvelles, il décide de donner le rôle à Jacqueline Bisset. Son état mental à cette période est responsable de cette occasion manquée.
Engagement politique
Dès l'âge de 14 ans, malgré le désaccord de ses parents, elle adhère à la NAACP (National Association for the Advancement of Colored People). En 1967, de violentes émeutes raciales éclatent à Watts près de Los Angeles et font écho dans la conscience politique de Jean.
À la fin des années 1960, elle utilise sa célébrité pour des causes politiques, comme celles des Amérindiens et des Black Panthers[8]. Le FBI va la mettre sur écoute et la surveiller dans le cadre du COINTELPRO et de l'Opération CHAOS[9]. Ainsi que le montrent certains documents du FBI qui ont été publiés.
Le troisième mari de Seberg était le réalisateur Dennis Berry, fils de John Berry, lui aussi réalisateur, et membre éminent de la communauté des Américains exilés du maccarthysme à Paris. Tout cela avait éveillé l'intérêt des nombreuses organisations de renseignement américaines de cette période de la guerre froide.
Vie privée
En 1958, elle épouse l'acteur, réalisateur et producteur français François Moreuil[10] et vient vivre à Paris. Avocat d'affaires, Moreuil a en effet réussi à renégocier le contrat d'exclusivité qui liait sa future femme à Preminger en le revendant à Columbia[11]. La même année, Jean Seberg joue sous la direction de François Moreuil dans son film La Récréation (1961). Un peu avant les fêtes de Noël 1959, au consulat français de Los Angeles, elle rencontre l'écrivain et diplomate de 24 ans son aîné, Romain Gary. C'est le coup de foudre et le printemps suivant, Jean Seberg, qui a quitté son époux, s'installe avec Romain Gary dans un appartement de l’île Saint-Louis à Paris, et un an plus tard au second étage du 108 rue du Bac[12].
Cette rencontre scellera la fin de leurs mariages respectifs : Jean Seberg divorce neuf mois plus tard de François Moreuil mais la femme de Gary, l'écrivaine et éditrice Lesley Blanch, réclame une importante somme d'argent pour la séparation. Le divorce est finalement conclu en 1962 et le mariage précipité, le , dans le petit village corse de Sarrola-Carcopino[13], l'actrice était enceinte et menaçait de se suicider si elle mettait au monde leur enfant avant leur union[14]. Jean met au monde Alexandre Diego le , qui est élevé en Espagne par Eugénia Munoz. Pour sauver les convenances, on annonce sa naissance le [15]. Romain Gary parle de son couple et de leurs difficultés dans Chien blanc, elle apparaît également masquée dans Les Mangeurs d'étoiles (1966)[16]. En 1968, lorsque Romain Gary apprend la liaison entre sa femme et Clint Eastwood pendant le tournage de La Kermesse de l'Ouest, il prend l'avion et provoque l'acteur en duel au revolver mais le « cow-boy américain » se défile[17].
Alors qu'elle est mariée, elle subit l'influence de Hakim Jamal, cousin de Malcom X et fondateur de l'Organisation de l'unité afro-américaine, un groupe racialiste proche des Black Panthers, devenant sa maîtresse[18], bien que Jamal profite de son argent et la batte[19]. Durant l'été 1970, alors qu'elle est enceinte de sept mois et en train de divorcer de son deuxième mari Romain Gary, la chroniqueuse mondaine du Los Angeles Times révèle (sans citer son nom mais sans ambiguïté sur l'identité de l'actrice visée) sa grossesse et sa proximité avec les Black Panthers[20]. Un agent du FBI avait reçu de J. Edgar Hoover l'autorisation de donner de manière anonyme ces informations à la presse : il est donc très probable que le FBI soit responsable de cette divulgation, sans que la chroniqueuse ou le LA Times en ait forcément eu conscience. Des rapports du FBI appuyant ce fait ont été publiés. Jean Seberg tente de se suicider quelques jours avant la naissance deux mois avant terme, le , de sa fille, Nina, qui meurt deux jours plus tard. Jean la fait enterrer dans un cercueil de verre afin que tous puissent voir qu'elle était blanche[21]. Pour protéger son ancienne compagne, Gary, dans un texte retentissant, dénonce la presse à scandale et affirme que l'enfant était bien de lui[22] alors que le véritable père est Carlos Navarra, un aventurier tiers-mondiste rencontré lors d'un tournage au Mexique. Sombrant dans la dépression, elle devient dépendante à l'alcool et aux médicaments. Plusieurs fois hospitalisée et internée, elle est victime de crises de démence et tente encore de se suicider, le plus souvent aux dates anniversaires de la perte de sa fille[23]. En 1979, le FBI reconnaît avoir propagé de fausses rumeurs sur Jean Seberg et avoir inventé l'histoire du bébé noir afin de la discréditer, car il pensait qu'elle finançait les Black Panthers[24].
En 1972, elle épouse en troisièmes noces Dennis Berry, réalisateur et fils de John Berry. Son divorce avec Berry n'ayant pas encore été prononcé, le mariage qu'elle contracte en mai 1979 avec Ahmed Hasni, n'a pas de force légale. Hasni, Algérien mythomane lié à un trafic de stupéfiants, souhaite devenir son agent, finit de la dépouiller financièrement[25] et, lui aussi, la bat[26].
Mort
Le , elle est portée disparue, son compagnon Ahmed Hasni déclarant qu'elle était partie de son appartement 125 rue de Longchamp, nue sous son manteau, avec pour seul bagage une bouteille d'eau. Son corps est retrouvé le , enroulé dans une couverture à l'arrière de sa Renault blanche rue du Général-Appert dans le XVIe arrondissement de Paris, près de son domicile[27]. On trouve dans sa main un mot d'adieu adressé à son fils Diego[28]. Le rapport d'autopsie indique qu'elle a succombé à une surdose massive de barbituriques mais aussi d'alcool (8,2 g par litre de sang)[29]. L'enquête de police conclut au suicide[30].
Jean Seberg est enterrée dans la treizième division du cimetière du Montparnasse[31],[32].
Son second mari Romain Gary, père de son fils Alexandre Diego, se suicide un an plus tard. Dans la lettre qu'il laisse, il écrit : « aucun rapport avec Jean Seberg »[33].
Filmographie
Actrice
- 1957 : Sainte Jeanne (Saint Joan), d'Otto Preminger : Jeanne d'Arc
- 1958 : Bonjour tristesse d'Otto Preminger : Cécile
- 1959 : La souris qui rugissait (The Mouse That Roared) de Jack Arnold : Helen Kokintz
- 1960 : L'Étrange Destin de Nicky Romano (Let No Man Write My Epitaph) de Philip Leacock : Barbara Holloway
- 1960 : La Récréation de François Moreuil et Fabien Collin : Kate
- 1960 : À bout de souffle de Jean-Luc Godard : Patricia Franchini
- 1961 : Les Grandes Personnes de Jean Valère : Ann Westerling
- 1961 : L'Amant de cinq jours de Philippe de Broca : Claire
- 1961 : Congo vivo de Giuseppe Bennati
- 1963 : À la française (In the french style) de Robert Parrish
- 1964 : Lilith de Robert Rossen : Lilith Arthur
- 1964 : Les Plus Belles Escroqueries du monde, sketch Le Grand Escroc de Jean-Luc Godard : Patricia Leacock
- 1964 : Échappement libre de Jean Becker : Olga Celan
- 1965 : Choc (Moment to moment) de Mervyn Le Roy
- 1965 : Un milliard dans un billard de Nicolas Gessner : Bettina Ralton
- 1966 : L'Homme à la tête fêlée (A Fine Madness) d'Irvin Kershner
- 1966 : La Ligne de démarcation de Claude Chabrol : Mary, comtesse de Grandville
- 1967 : Estouffade à la Caraïbe de Jacques Besnard : Colleen O'Hara
- 1967 : La Route de Corinthe de Claude Chabrol : Shanny
- 1968 : Les oiseaux vont mourir au Pérou de Romain Gary : Adriana
- 1969 : Pendulum (Pendulum) de George Schaefer : Adèle Matthews
- 1969 : La Kermesse de l'Ouest (Paint Your Wagon) de Joshua Logan : Elizabeth Rumson
- 1970 : Airport de George Seaton : Tanya Livingston
- 1970 : Vague de chaleur (Ondata di calore) de Nelo Risi
- 1970 : Macho Callahan de Bernard L. Kowalski
- 1971 : Un amour insolite (Questa specie d'amore) d'Alberto Bevilacqua
- 1972 : Police Magnum (Kill) de Romain Gary : Emily Hamilton
- 1972 : L'Attentat d'Yves Boisset : Édith
- 1972 : Les Tueurs à gages (Camorra) de Pasquale Squitieri
- 1973 : La Corruption de Chris Miller (La corrupción de Chris Miller) de Juan Antonio Bardem
- 1974 : Pris au piège (Cat and Mouse) de Daniel Petrie
- 1974 : Les Hautes Solitudes de Philippe Garrel : Marilyn Monroe
- 1974 : Ballad for Billy the Kid, court métrage de Jean Seberg : la star
- 1974 : Bianchi cavalli d'agosto de Raimondo Del Balzo
- 1975 : Le Grand Délire de Dennis Berry : Emily
- 1976 : Le Canard sauvage (Die Wildente) de Hans W. Geißendörfer
- 1978 : Le Bleu des origines de Philippe Garrel
- 1979 : La légion saute sur Kolwezi de Raoul Coutard - scène coupée au montage
Réalisatrice
- 1974 : Ballad for Billy the Kid (court-métrage) — elle interprète aussi des chansons du film.
Hommages
- Une section des pelouses des jardins de l'Avenue-Foch (16e arrondissement de Paris) lui rend hommage (entre les nos 73 et 77 de l'avenue Foch)[34],[35].
Dans la culture
Benedict Andrews réalise en 2019 Seberg, biopic centré sur l'engagement de l'actrice avec les Black Panthers, sa traque par le FBI et le désespoir que celle-ci contribue à provoquer chez elle.
Notes et références
Notes
- Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.
- Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
Références
- (en) « Jean Seberg - Films as actress:, Film as director: » (consulté le ).
- « Le oui secret de Romain Gary à Jean Seberg », sur lejdd.fr, : « Jean (prononcer « Djinn ») ».
- « L'art passionnel, destructeur et sauveur de Romain Gary et Jean Seberg », sur France culture, .
- (en) « Say How », sur National Library Service (consulté le ) : « Seberg, Jean (SĒ-bûrg) ».
- (en) Jan Onofrio, Iowa Biographical Dictionary, North American Book Dist LLC, , p. 632.
- Maurice Guichard, Jean Seberg : portrait français, Éd. Jacob-Duvernet, 2008, p. 58.
- Antoine de Baecque, Godard, Grasset, , p. 41.
- Maurice Guichard, Jean Seberg : portrait français, Éd. Jacob-Duvernet, 2008, p. 183.
- Eric Ehrmann, « Une balade sur Hollywood Boulevard », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
- « François Moreuil », sur Comme au cinéma (consulté le ).
- (en) Ramona Fotiade, A Bout de Souffle, I.B.Tauris, , p. 33.
- Romain Gary, Légendes du je, Gallimard, , p. 551.
- « Ariane Chemin, l'histoire de Romain Gary et Jean Seberg du 11 juin 2016 - France Inter », sur France Inter (consulté le ).
- (en) Ralph Schoolcraft, Romain Gary. The Man Who Sold His Shadow, University of Pennsylvania Press, , p. 69.
- Maurice Guichard, Jean Seberg : portrait français, Éd. Jacob-Duvernet, 2008.
- Guy Amsellem, Romain Gary. Les métamorphoses de l'identité, Éditions L'Harmattan, , p. 174.
- (en) Daniel O'Brien, Clint Eastwood. Film-maker, B.T. Batsford, , p. 92.
- (en) Michael Coates-Smith, Garry McGee, The Films of Jean Seberg, McFarland, , p. 6 et 7.
- (en) David Bellos, Romain Gary. A Tall Story, Random House, , p. 304.
- (en) Bruce Lambert, « Joyce Harber a gossip columnist known for barbed commentaries », sur https://www.nytimes.com/, (consulté le ).
- Fabrizio Calvi et David Carr-Brown, FBI. L'histoire du Bureau par ses agents, Fayard, , p. 221.
- (en) Richard Gid Powers, Secrecy and Power - The Life of J. Edgar Hoover, Macmillan, 1987, p. 253.
- (en) Michael Coates, op. cit., p. 8.
- Los Angeles Times, « FBI admits Spreading Lies About Jean Seberg », sur lipstickalley.com/,
- Convaincu de vol et d'usage de faux, il sera condamné par défaut à deux ans d'emprisonnement en mars 1980. Source : Patrick Pesnot, « La mort de Jean Seberg », émission Rendez-vous avec X sur France Inter, 30 août 2014, 36 min 14 s.
- Vincent Mirabel, Hollywood Crime Stories, Éditions First-Gründ, , p. 221.
- David Richards, Jean Seberg : une vie, Éd. Jacob-Duvernet, 2008, pages 298 à 300.
- Maurice Guichard, Jean Seberg : portrait français, Éd. Jacob-Duvernet, 2008, p. 247, p. 248.
- Patrick Poivre d'Arvor, « Eté 1979 : Jean Seberg à bout de souffle », sur www.parismatch.com, (consulté le ). Bona 2001, p. 419 (p. 379 de l'édition de 1987) mentionne une imprégnation barbiturique de 20 mg/l [lire en ligne] et 7,94 g/l d'alcool [lire en ligne].
- Maurice Guichard, Jean Seberg : portrait Français, Éd. Jacob-Duvernet, 2008, p. 250, p. 251.
- Collectif Sarka-SPIP, « SEBERG Jean (1938-1979) - Cimetières de France et d'ailleurs », sur www.landrucimetieres.fr (consulté le ).
- Institut National de l’Audiovisuel – Ina.fr, « Obsèques de Jean Seberg à Paris », sur Ina.fr, (consulté le ).
- Maurice Guichard, Jean Seberg : portrait français, Éd. Jacob-Duvernet, 2008, p. 255.
- « Jardins de l’Avenue-Foch », sur paris.fr (consulté le ).
- « Délibération du Conseil de Paris ».
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Seberg, « Lettre d'amour aux camés », Libération, 1978.
- David Richards, Played Out: The Jean Seberg Story, Random House Inc (T), First édition, 1981.
- David Richards, Jean Seberg, une vie, Philippe Lebaud, 1982 (traduction du précédent ?).
- Dominique Bona, Romain Gary, Paris, Gallimard, coll. « folio », (1re éd. 1987), 445 p. (ISBN 2-07-041761-1), p. 228-256, 269-273, 277-282, 308-321, 327-335, 409, 417-422, 440.
- Guy-Pierre Geneuil, Ma star assassinée, Édition n° 1, 1995.
- Carlos Fuentes, Diane ou la chasseresse solitaire, Gallimard, 1996 (pour la traduction française). Roman réaliste sur sa relation avec l'écrivain mexicain Carlos Fuentes.
- Alain Absire, Jean S., éditions Fayard, 2004.
- Jacques Mandelbaum, Cahier du Cinéma no 7, Jean Luc Godard, 2007.
- Jean-Lou Alexandre, Jean Seberg, la tentation de l'échec, éditions Séguier, 2008.
- Maurice Guichard, Jean Seberg, portrait français, éditions Jacob-Duvernet, 2008.
- Bernard Pascuito, Célébrités, 16 morts étranges (dont un chapitre est consacré à sa mort suspecte), Editions Archipel, 2010.
- Pol Serge Kakon: Romain Gary Jean Seberg : Un amour à bout de souffle; ed Hugo&Cie 2011.
Documentaires
- Michèle Dominici, Les Derniers Jours de Jean Seberg, diffusé sur France 5 en 2006.
- Anne Andreu, Éternelle Jean Seberg, diffusé sur Arte à 22h40 le 15 janvier 2014.
Liens externes
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- Ressource relative à la mode :
- « Splendeurs et misères de la vie de star : Jean Seberg, Sainte et Martyre », Paris Match, 7 août 2018.
- Interview vidéo de Jean Seberg (1960).
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