Kersaint-Plabennec
Kersaint-Plabennec [kɛʁsɛ̃ plabɛnɛk] (en breton : Kersent-Plabenneg) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France[1].
Kersaint-Plabennec | |
L'église Saint-Étienne de Kersaint-Plabennec. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Brest |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays des Abers |
Maire Mandat |
Patrice Boucher 2020-2026 |
Code postal | 29860 |
Code commune | 29095 |
Démographie | |
Gentilé | Kersaintais |
Population municipale |
1 495 hab. (2019 ) |
Densité | 125 hab./km2 |
Population agglomération |
37 226 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 28′ 24″ nord, 4° 22′ 23″ ouest |
Altitude | 90 m Min. 48 m Max. 121 m |
Superficie | 11,95 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Brest (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Plabennec |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.kersaint-plabennec.fr |
Géographie
Kersaint-Plabennec est une commune du plateau du Léon située à une quinzaine de kilomètres au nord-est de l'agglomération brestoise. La commune est désormais traversée par la RN 12, voie express allant de Brest à Rennes et au-delà se dirigeant vers Paris. Elle se trouve juste au nord-est de l'aéroport de Brest Bretagne.
- Kersaint-Plabennec : le carrefour principal du bourg.
Localisation
Cadre géologique
Kersaint-Plabennec est à l'extrémité sud-ouest du domaine structural de la zone de Léon qui constitue un vaste antiforme métamorphique de 70 km sur 30 km orienté NE-SW. Postérieurement au métamorphisme hercynien, se développe un important plutonisme : le chapelet nord de granites rouges tardifs (ceinture batholitique de granites individualisée pour la première fois par le géologue Charles Barrois en 1909[2], formant de Ouessant à Barfleur (Aber-Ildut, Carantec, Ploumanac'h, puis Flamanville et Barfleur) un alignement de plutons de direction cadomienne, contrôlé par les grands accidents directionnels WSW-ENE), datés aux alentours de 300 Ma, correspond à un magmatisme permien[3]. L'orogenèse hercynienne se termine par la formation de deux accidents crustaux majeurs qui décalent les granites carbonifères : le décrochement dextre nord-armoricain (faille de Molène – Moncontour) et le cisaillement senestre de Porspoder-Guissény (CPG)[4]. Le plutonisme sur le territoire de Kersaint-Plabennec se traduit par la mise en place d'un massif composé de deux granites distincts : le granite de Saint-Renan sensu stricto (granite fin à deux micas), intrusif dans le granite à biotite dominante de Kersaint, de grain grossier à porphyroïde. Ces venues granitiques sont associées au fonctionnement du décrochement nord-armoricain[5].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brest-Guipavas », sur la commune de Guipavas, mise en service en 1945[12] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 11,5 °C pour 1981-2010[15], puis à 0,7 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Kersaint-Plabennec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,8 %), zones agricoles hétérogènes (30,4 %), prairies (14,7 %), zones urbanisées (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Kersaint-Plabennec est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Plabennec.
Le nom de la commune s'est écrit « Kersain Plabennec » en l'an II (1793) et « Kersain-Plabennec » en 1801 avant d'adopter l'orthographe actuelle « Kersaint-Plabennec ».
Le nom de Kersaint (en breton : village des saints) tire certainement son nom des moines, qui sont venus de la Bretagne insulaire en Armorique à la suite de saint Ténénan dès le IVe siècle en Armorique. Les registres de l'état-civil de la paroisse ne remontent pas au-delà de 1680.
Histoire
Préhistoire
Plusieurs tumuli de l'âge du bronze s'élevaient sur le territoire de Kersaint, dont un de 50 mètres sur 2, au bourg, qui abritait la tombe d'un enfant. Un trésor de monnaies gauloises osismes découvert au Quinquis et la présence de fragments de tuiles à Saint-Elven témoignent de la continuité du peuplement[24].
Origines
Le centre paroissial a été déplacé de Kersaint-Goz (« vieux Kersaint »), où se trouve l'ancienne chapelle Notre-Dame-de-Lanvélar, vers le lieu où se trouvait la chapelle Saint-Michel.
- La chapelle Notre-Dame de Lanvélar 1 (à l'emplacement de l'ancien bourg de Kersaint-Goz).
- La chapelle Notre-Dame de Lanvélar 2.
Époque moderne
En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Quersaint-Ploabennec [Kersaint-Plabennec] de fournir 9 hommes et de payer 59 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[25].
Révolution française
Malgré la proximité de Brest, la Révolution ne bouleverse pas beaucoup la vie de la paroisse. Le recteur, M. Le Goff, et son vicaire, M. Keruzoré, refusent de prêter serment, et l'église reste constamment ouverte. Le , Guillaume Kerouanton est élu maire, Jean Kerboul procureur, et Kersaint devient commune du canton de Guipavas et du district de Brest. Le village compte alors huit cents habitants.
Le XIXe siècle
En 1840, une partie de l'économie dépend des quatre moulins à eau qui bordent l'Aber-Benoît. Mais ils ferment peu à peu, et l'agriculture devient la principale source de revenus de la commune.
En 1896, un document indique que les Sœurs de l'Immaculée Conception de Saint-Méen assistaient et soignaient gratuitement les malades de Kersaint-Plabennec à domicile[26].
L'église Saint-Étienne
Dédiée à saint Étienne, l'église paroissiale, par sa forme et ce qui reste de sa construction primitive, place son établissement au XVIIe siècle. Les murs sont refaits en grande partie en 1751 comme en témoigne l'inscription au-dessus de la porte latérale nord. Les travaux durent une année et l'on ne retouche pas à la façade ni à une partie du mur nord, où l'on trouve au-dessus la date de 1660. La tour a des problèmes de maçonnerie à tel point qu'il devient périlleux de mettre les deux cloches en branle en même temps. En 1781, on décide de la reconstruction de la tour et le travail ne se termine qu'en 1783, date que l'on retrouve au-dessus de la porte ouest. Le , la foudre tombe sur le clocher et la flèche est détruite. La boule de feu descend l'escalier et fait de nombreux dégâts dans l'église ; la flèche actuelle est plus courte.
Dans l'église, nous trouvons quelques statues « rescapées du Concile Vatican II ». À gauche du chœur, près du vitrail relatant son martyre, figure saint Étienne et à l'opposé saint Jean l’Évangéliste avec son aigle. Ces statues, ainsi que celle de Notre-Dame-de-Lesquelen, datent du début du XVIIIe siècle. Celles des douze apôtres ornent le petit porche, lui-même surmonté d'une niche extérieure abritant une statue de Kersanton représentant saint Étienne.
Les fonts baptismaux avec cuve octogonale, portent l'inscription : « V.ETD.MISSIRE.IAN.PRIGENT.R.1701 ». L'aspect extérieur de l'église a été mise en valeur récemment notamment par l'aménagement du bourg, l'abaissement des murs qui l'entourent et le déplacement du cimetière.
La Deuxième Guerre mondiale
Le , le Combat Command A, de la 6e division blindée américaine, venant du Huelgoat via Landivisiau, ville près de laquelle les soldats ont bivouaqué la nuit précédente, contourne Landerneau, mais est bombardé par les Allemands dans les environs de Saint-Thonan et Kersaint-Plabennec ; il passe la nuit suivante dans le secteur de l'Ormeau entre Plabennec et Gouesnou, nuit pendant laquelle il fut victime de tirs d'artillerie allemands qui firent de nombreuses victimes dans ses rangs[27].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2019, la commune comptait 1 495 habitants[Note 7], en augmentation de 10,17 % par rapport à 2013 (Finistère : +1,24 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Commentaire : La population de Kersaint-Plabennec est restée remarquablement stable dans le temps pendant près de deux siècles, sa population de 1962 étant quasi identique à celle de 1793 et, dans l'intervalle, les variations en dents de scie ont été très faibles, le minimum démographique de cette période étant atteint en 1831 avec 653 habitants et le maximum en 1886 avec 844 habitants. Une telle stabilité est très rare. Par contre, l'évolution démographique est plus contrastée depuis un demi-siècle, la commune perdant 114 habitants en 13 ans entre 1962 et 1975, pour atteindre son minimum démographique absolu depuis que les recensements existent avec 550 habitants en 1975, Kersaint-Plabennec étant frappée par l'exode rural. Par contre, depuis 1975, la commune connaît une rapide croissance démographique, gagnant 720 habitants entre 1975 et 2008 (+ 131 % en 33 ans) pour atteindre son maximum démographique absolu lors du dernier recensement. Proche de la voie expresse RN 12, au cœur du triangle formé par les agglomérations de Brest, Landerneau et Plabennec, la commune est touchée par la périurbanisation, avec la création de plusieurs lotissements ces dernières décennies.
La croissance démographique est due à la fois à un accroissement naturel positif constamment depuis 1968 et allant croissant (+ 0,4 % l'an entre 1968 et 1975, + 1,5 % l'an entre 1999 et 2008), mais aussi à un solde migratoire désormais largement positif (il était encore négatif, - 0,8 % l'an entre 1968 et 1975, mais est depuis constamment positif, le record étant détenu par la période intercensitaire 1975-1982 avec + 5,0 % l'an, même si les chiffres sont beaucoup plus faibles désormais (+ 0,1 % l'an seulement entre 1999 et 2008). Les naissances l'emportent largement sur les décès : entre 1999 et 2008 inclus, la commune a enregistré 223 naissances pour seulement 45 décès. La population est jeune : 26,6 de 0 à 14 ans, pour seulement 8,3 % de 65 ans et plus en 2008[32].
Le nombre des logements, presque uniquement des maisons individuelles, a été multiplié par trois en 40 ans, les résidences principales passant de 133 en 1968 à 452 en 2008, les résidences secondaires restant peu nombreuses (6 en 2008)[33].
Politique et administration
Monuments
- L'église de Kersaint-Plabennec, dédiée à saint-Étienne, date dans sa forme actuelle du XVIIe siècle.
- Kersaint-Plabennec : église Saint-Étienne, six apôtres du porche.
- Kersaint-Plabennec : église Saint-Étienne, les six autres apôtres du porche.
- Kersaint-Plabennec : inscription sur un des murs de l'église Saint-Étienne.
- Kersaint-Plabennec : stèle commémorant la Mission de 1938.
- La chapelle de Lanvelar dite de Kerzent Coz ou de Notre-Dame-de-Grâce.
Dédiée à Notre Dame de Grâces, la chapelle de Lanvélar est édifiée en 1837. L'emplacement serait celui du vieux bourg de Kersent-Coz, dont il ne reste aucune trace. En creusant les fondations de cette chapelle on découvre des monnaies datant de Louis VI Le gros, 1108 -1137. La chapelle primitive daterait donc, vraisemblablement du XIIe siècle.
C'est le que Monseigneur de Poulpiquet donne l'autorisation pour cette reconstruction. Pour bâtir l'édifice on utilise des matériaux de l'église Saint-Michel, tombée en ruines. Jusqu'à la fin des années 60, on y a célébré le culte régulièrement, ainsi que le pardon qui donne lieu à une procession partant du bourg de Kersaint.
- Nombreuses croix et calvaires : Dirou, Odebleis, Laven etc. voir ouvrage Y-P. Castel.
- Kersaint-Plabennec : le calvaire de Laven, vue d'ensemble.
- Kersaint-Plabennec : le calvaire de Laven, partie supérieure.
- Kersaint-Plabennec : le calvaire de Laven, pietà.
- Le monument aux morts de 1914-1918
Espace naturel valorisé
Au nord de la commune, la zone humide de Kerivin se situe à proximité de sentiers de randonnée et du bois de Keralias. Depuis 2009, un chemin traverse désormais ce site qui a fait l'objet d'aménagements spécifiques pour devenir ainsi un lieu de balade pour les familles. Plusieurs bornes et postes d'observation permettent d'en savoir plus sur la grande variété d'espèces végétales et animales qui peuplent ce milieu et son rôle de régulation de l'eau. On y trouve une aire de jeux, une aire de pique-nique, ainsi qu'une passerelle dominant une partie de la zone humide, accessible aux personnes à mobilité réduite.
Fin 2019, un projet de décharge à gravats est évoqué et mettrait à mal l'équilibre naturel de cette zone humide, à la source des Abers. Les habitants se mobilisent, notamment par l'installation de panneaux dans les rues de la commune.
Enseignement
Kersaint-Plabennec dispose d'une école, l'école privée Sainte-Thérèse.
- Kersaint-Plabennec : l'école privée Sainte-Thérèse.
Sports
- Badminton : Tennis Badminton Kersaint (T.B.K)
- Cyclisme : Vélo-Club de Kersaint (V.C.K)
- Danse bretonne : Danserien Bro Kerzent, mise en sommeil durant la pandémie COVID-19
- Football : Association Sportive Kersaint-Plabennec (A.S.K) membre du Groupement Jeune des 4 Clochers, permettant de créer une équipe locale compétitive dans les catégories jeunes.
- Karaté : Zanshin Karaté
- Randonnée : Les Semelles Kersaintaises
- Pétanque : Pétanque Kersaintaise
- Tennis de table : Tennis Badminton Kersaint (T.B.K)
- Ultimate : Les Crokers
- Yoga : Titali
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Kersaint-Plabennec sur le site de l'Institut géographique national
- C. Barrois, Carte géologique à 1/80000, feuille Lannion (1re édit.), 1909.
- Louis Chauris, « Le granite porphyroïde de Porzpaul dans l'île d'Ouessant: un nouvel élément dans la ceinture des « granites rouges » du Massif armoricain (France) », Comptes Rendus de l'Académie des Sciences, Paris, iI, t. 313, , p. 245-250.
- Eric Marcoux, Alain Cocherie, Gilles Ruffet, Jean-René Darboux, Catherine Guerrot, « Géochronologie revisitée du dôme du Léon (Massif armoricain, France) », Géologie de la France, no 1, , p. 19-20 (lire en ligne).
- Marcoux, op. cit., p. 27
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Brest-Guipavas - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Kersaint-Plabennec et Guipavas », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brest-Guipavas - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brest-Guipavas - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brest-Guipavas - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- P.-R. Giot, J. Cogné, « Fouille d’un tumulus de l’âge de bronze au bourg de Kersaint-Plabennec », dans Bulletin de la Société archéologique du Finistère, tome LXXIV, 1947
- "Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f7.image.r=Plovan?rk=21459;2
- La France charitable et prévoyante : tableaux des œuvres et institutions des départements, numéro 1, 1896, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5802221d/f627.image.r=Bourg-Blanc.langFR
- Éric Rondel, "La libération de la Bretagne", éditions Ouestetcompagnie, 2014, (ISBN 978-2-36428-039-7).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- http://recensement.insee.fr/chiffresCles.action?zoneSearchField=&codeZone=29095-COM&idTheme=3&rechercher=Rechercher
- http://recensement.insee.fr/chiffresCles.action?zoneSearchField=&codeZone=29095-COM&idTheme=6&rechercher=Rechercher
- « Kersaint-Plabennec. Patrice Boucher est le nouveau maire de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
Voir aussi
Liens externes
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