Léré (Cher)

Léré est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire, implantée sur la berge gauche de la Loire. Ancien port sur la Loire, Léré est à proximité immédiate de la centrale nucléaire de Belleville.

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Léré

Vue latérale de la collégiale Saint-Martin de Léré.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Bourges
Intercommunalité Communauté de communes Pays Fort Sancerrois Val de Loire
Maire
Mandat
François RENAUD
2020-2026
Code postal 18240
Code commune 18125
Démographie
Population
municipale
1 082 hab. (2019 )
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 28′ 15″ nord, 2° 52′ 26″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 198 m
Superficie 15,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cosne-Cours-sur-Loire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sancerre
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Léré
Géolocalisation sur la carte : France
Léré
Géolocalisation sur la carte : Cher
Léré
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Léré
Liens
Site web http://www.lere.fr/

    Géographie

    Située dans le lit de la Loire à proximité de la berge calcaire, son sous-sol est alluvionnaire et formé par les variations du cours du fleuve au long des siècles. C'est d'ailleurs toujours un port, mais uniquement de plaisance, le long du canal, qui voit passer l'été des bateaux touristiques[1].

    Localisation

    Urbanisme

    Typologie

    Léré est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Léré, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[5] et 2 867 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,2 %), forêts (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), prairies (7,8 %), zones urbanisées (6,1 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %)[10].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Léré est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage et [11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal latéral à la Loire, la Loire et le Moulin Neuf. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2001, 2003 et 2016[13],[11].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Léré.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[14]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 729 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 729 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2018 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[11].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

    Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[17].

    En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située à proximité de la centrale nucléaire de Belleville, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession [18].

    Histoire

    L'histoire, dont nous devons la connaissance à Jean Mellot (1916-1991) et son père (Arsène), historiens locaux, commence dans l'Antiquité[19].

    Dès la conquête romaine, la ville de Léré tire son existence de son port sur la Loire et l'on retrouve des traces d'un camp retranché normand sur le « plateau de Bel Air » mais elle a surtout servi de refuge pour les chanoines de Tours, lors de leurs fuites répétées devant la remontée du fleuve par ces envahisseurs normands, car les moines sont venus, semble-t-il, y abriter leurs précieuses reliques dans le sanctuaire de Léré. Au décours de ces épisodes, certains d'entre eux sont restés sur place, constituant le « chapitre de Léré » formé de douze prêtres au service de la collégiale Saint-Martin de Léré, dont l'importance est liée en grande partie à l'établissement d'enseignement couvrant le primaire et le secondaire, mais aussi la théologie et avec une ébauche d'enseignement technique.

    La ville, protégée par les fortifications qui datent de Philippe Auguste, est devenue autonome par décision de Philippe VI de France, mais a souffert des guerres de religion et aussi de la Révolution, qui a vu la création d'une unité de la Garde nationale, puis plus tard transformée en unité des sapeurs pompiers. Les fortifications ont actuellement complètement disparu mais donnent encore à la ville sa structure particulière.

    Léré a aussi bénéficié du passage à proximité immédiate du canal latéral à la Loire, ouvert en 1838 et équipé de 38 écluses reliant le bassin de la Seine à partir de Briare (Loiret) à celui du Rhône à Digoin (Saône-et-Loire) et qui servait au transport du charbon et des matériaux de construction, et transformé plus récemment en circuit touristique.

    La ville a subi un bombardement en juin 1940.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Commune de Léré[20].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 1995 Raymond Goudou DVD Pharmacien
    mars 1995 mars 2014 Patrice de Lammerville DVD  
    mars 2014 mai 2020 Marie-Christine Bergeron DVD  
    mai 2020   François Renaud sans étiquette Cadre technique
    Les données manquantes sont à compléter.

    À la suite de la crise sanitaire de 2020 liée au Covid-19, et malgré des élections municipales remportées dès le premier tour, le nom du nouveau maire n'aura été pris en compte que le 23 mai suivant, lors du premier conseil municipal.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[21].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2019, la commune comptait 1 082 habitants[Note 4], en diminution de 5 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7001 1251 0931 2601 3731 4731 4511 4701 607
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6671 6411 6901 6811 6711 6661 6641 6011 580
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5601 4951 3461 1811 1411 0761 0451 002922
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9219238809251 1611 2961 2341 2171 139
    2018 2019 - - - - - - -
    1 0831 082-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Le château de Villattes

    [26]Les plus anciens possesseurs connus de la terre de Villattes appartiennent à la famille de Louzeau. En 1546 Le noble homme Guillaume Louzeau écuyer, en est seigneur. En 1580 le possesseur était Jean de Louzeau, seigneur de Vilattes et du Pezeau, époux D'Abigaïl Le Fort, décédé en 1616 et dont la pierre tombale est dans l'église de Léré. Le château fut peut être l’œuvre de cette famille, à la fin du XVème siècle ou dans les premières années du XVIème siècle remplaçant probablement une construction plus ancienne.

    Le logis, de plan rectangulaire, assez massif, s'appuie sur deux tours rondes s'élevant à ses angles. Au droit de sa façade sur cour est appliquée une importante tour d'escalier octogonale, hors-œuvre munie d'un cadran solaire sur lequel figure l'inscription: "ut redit alma dies sic mutat hora vices " (comme le jour bienfaisant revient, ainsi l'heure modifie les destinées). Cette façade, largement percée de grandes croisées offre un décor flamboyant, intégrant quelques motifs de la première renaissance. C'est un bel exemple de l'architecture des années 1500, de style Louis XII. Elle est classée Monument Historique depuis 1922 et fut restaurée par M. Alphonse de Billy dans les années 1950, qui fit rétablir les meneaux des fenêtres. Les autres façades, comme celle de l'aile droite sur cour, construction médiévale en retour d'équerre ont été repercées au XVIIIème. Les toitures de l'ensemble de l'édifice corps de logis et aile en retour, furent alors modifiées. L'aspect de Villattes à la fin du XVIIIème siècle nous est restitué par la toile d'un trumeau d'une chambre du château. Le château, ancien ouvrage défensif de fond de vallée, était protégé par de larges fossés alimentés par la rivière la Judelle et en partie conservés aujourd'hui en servant de bief à un moulin. Un pavillon d'entrée permettait de les franchir à l'est. De part et d'autre de celui-ci, des dépendances étaient adossées à l'enceinte.

    Les importants communs situés au sud furent bâtis ou reconstruits dans les dernières années de l'Ancien Régime. Une clef d'un porche est siglée 1790.

    Après 1812, l'ouvrage d'entrée et les dépendances situées au nord furent détruits. Il ne reste que les bases de la tourelle qui protégeait l'angle nord-est de l'enceinte. Au-delà du fossé, le colombier, de la fin du XVIème et comportant environ 1100 boulins, ainsi qu'un puits couvert, furent maintenus, et ont fait l'objet d'une restauration en 2018. À la fin du XIXème, un grand pavillon carré fut adossé à la façade latérale de l'aile du corps de logis.

    Le logis est une construction authentique et homogène. Sa charpente à chevrons portant fermes est d'origine. La tour d'escalier a conservé son décor architectural des années 1500 . L'oratoire aménagé dans la tour d'angle nord-est présente un rare décor peint datant de la fin du XVIIème siècle: dans une architecture de marbre, les Seigneurs de Villattes invoquent le Saint Esprit. Des vues perspectives accompagnent le décor en trompe-l’œil.

    Situé entre les fiefs protestants de Chatillon sur Loire et de Sancerre, dans une zone frontalière de la Bourgogne, Villattes a subi à plusieurs reprises les aléas de l'histoire et de la guerre jusqu'à la Révolution Française pendant laquelle il fut entièrement démeublé et largement pillé.

    Depuis la famille de Louzeau dans les années 1500 jusqu'à nos jours, Villattes est constamment resté par transmission en ligne directe et souvent par les femmes dans la famille de l'actuel propriétaire. S'y succédèrent après la famille de Louzeau les Reugny, les La Barre de Villattes, les Maublanc de Chizeuil puis Varenard de Billy et Heurtault de Lammerville.

    Depuis 2000 à l'exclusion du pavillon d'angle et d'une terrasse XIXème, l'ensemble intérieur et extérieur, qui n'avait pas déjà été classé en 1922[27], a été inscrit à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques

    La collégiale

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    Construite à partir du XIe siècle, en pierre calcaire, elle dépend du chapitre de Saint-Martin de Tours.

    De cette époque, il ne reste plus que la crypte que l’on peut visiter.

    Le reste de la collégiale date du XIIe siècle mais elle a été transformée pour arriver dans l’état actuel.

    Lors des invasions normandes (XIe siècle) des villes en aval de Léré et notamment de Tours, les reliques de saint Martin y furent abritées.

    Bien que la collégiale fût à son tour saccagée, les reliques furent sauvegardées

    De cette époque, il reste une porte latérale en style roman[28].

    Les autres éléments comme la nef romane sans transept avec tour-porche et la porte gothique sont plus tardifs.

    En 1569 lors des guerres de Religion les protestants brulent la collégiale qui restera en l’état pendant deux siècles.

    De cette période, un tympan, malheureusement abimé mais original subsiste. Il représente saint Martin coupant son manteau pour donner à un pauvre. Il ne s’agit donc pas d’un jugement dernier comme sur bon nombre d’églises romanes.

    Le monument aux morts

    Ce monument, situé au centre du village devant la mairie, est un pilastre quadrangulaire surmonté d’une sculpture en bronze d’un soldat poilu enveloppé d’un drapeau et orné de feuille Lauriers.

    C’est l’œuvre du sculpteur Charles Henri Pourquet, et du fondeur Val d’Osne.

    Il a été inauguré le pour rendre hommage aux soldats morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale (1914-1918).

    À l’origine, on y trouvait seulement le nom de 72 hommes.

    En 1946 la municipalité décide de rajouter les morts du deuxième conflit mondial. Ainsi, on peut y trouver le nom de 7 militaires, 8 civils morts lors du bombardement du et d’un mort à la suite de la déportation.

    Ultérieurement fut également ajouté le nom d'un jeune soldat français du contingent tué durant la guerre d'Algérie.

    Personnalités liées à la commune

    • Léré est la patrie du poète et chansonnier Jacques Martel (1877-1941).

    Héraldique

    Les armes de Léré se blasonnent ainsi :

    D'azur aux trois glands d'or avec leur cupule de sable, posés en barre et feuillés de deux pièces aussi d'or en bande[29].


    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Tourisme fluvial à Léré », sur www.lere.fr (consulté le ).
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Léré », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. « Les risques près de chez moi - commune de Léré », sur Géorisques (consulté le )
    12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    13. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    19. http://www.lere.fr/histoire-et-patrimoine/l-histoire-par-j-mellot/bulletin-municipal-n1-janvier-1985-coup-d-oeil-sur-l-histoire-de-lere/
    20. http://www.lere.fr/
    21. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    26. « Château de Villattes », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    27. « Château de Villattes à Léré - PA00096823 - Monumentum », sur monumentum.fr (consulté le )
    28. « Berry Roman: en Berry: ma campagne a du style, Berry province.com », p. 40
    29. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : février 2009.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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