L'Équipe
L’Équipe est un journal quotidien sportif français, propriété du Groupe Amaury. Créé le par Jacques Goddet pour succéder à L’Auto, L’Équipe a notamment été à l'origine de la création de la Coupe d'Europe des clubs champions, et son ancêtre L’Auto a auparavant créé le Tour de France en 1903. De grands journalistes sportifs tels que Pierre Chany, Gabriel Hanot ou l'écrivain Antoine Blondin ont contribué à la renommée de ce titre.
Pour la chaîne de télévision, voir La chaîne L'Équipe.
L'Équipe | |
Pays | France |
---|---|
Zone de diffusion | France |
Langue | Français |
Périodicité | Quotidienne |
Format | Tabloïd (à partir du 18 septembre 2015) |
Genre | Presse sportive |
Prix au numéro | 2,20 euro du dimanche au vendredi 3.00 euros le samedi (avec Le magazine L'Équipe inclus) |
Diffusion | 243 863 ex. (2018 Diffusion France payée ACPM) |
Fondateur | Jacques Goddet |
Date de fondation | (il y a 76 ans) |
Ville d’édition | Boulogne-Billancourt |
Propriétaire | Groupe Amaury |
Directeur de la rédaction | Jérôme Cazadieu |
ISSN | 0153-1069 |
OCLC | 35791866 |
Site web | lequipe.fr |
Au cours du temps, le journal s'est diversifié : à partir de 1980, L’Équipe propose deux suppléments : L'Équipe Magazine (hebdomadaire - le samedi) devenu Le magazine L'Équipe depuis et L'Équipe Sport&Style (mensuel le premier samedi de chaque mois).
La SNC L’Équipe possède également une chaîne d’informations sportives en continu depuis 1998 (L'Équipe TV puis L'Équipe 21 puis La chaîne L'Équipe) ainsi que plusieurs sites Internet (lequipe.fr, ilosport.fr, sportetstyle.fr).
Historique
Prémices de la presse sportive en France
À la fin du XIXe siècle, en France, la presse sportive quotidienne (alors consacrée en grande partie au cyclisme) est dominée par un titre, Le Vélo, fondé par Paul Rousseau en 1892. À compter de 1899, la prise de position de son rédacteur en chef, Pierre Giffard[1], dans l'affaire Dreyfus fait des vagues. Les fabricants de cycles et autres industriels de l'automobile (pour la plupart antidreyfusards) qui financent son journal par la publicité n'apprécient pas. En 1900, leur fer de lance, le comte de Dion, choisit Henri Desgrange[2] pour lancer un journal concurrent, L'Auto-Vélo. Alors que Le Vélo est publié sur papier vert, Desgrange, en collaboration avec le gestionnaire Victor Goddet, choisit d'éditer le sien sur papier jaune (quelques années plus tard, cette même couleur va donner naissance au maillot jaune du Tour de France).
L'Auto
Le premier numéro de L’Auto-Vélo sort le . En 1903, la guerre entre Le Vélo et L’Auto-Vélo se poursuit. Le , de Dion perd un procès que lui a intenté Le Vélo, et se trouve contraint de rebaptiser L’Auto-Vélo qui devient L'Auto. Outre ce changement de titre, intervient l'arrivée de nouvelles publications sportives.
Desgrange, poussé par de Dion, doit alors rapidement trouver un moyen de contrer son principal concurrent. Or, son collaborateur Géo Lefèvre lui a suggéré d'organiser une course cycliste d'envergure : le tour de la France. Le , L’Auto annonce la création de « la plus grande épreuve cycliste jamais organisée ». Ce sera le Tour de France.
L'idée profite aux ventes du journal. Affecté, Le Vélo cesse sa publication l'année suivante.
Après les aléas de la guerre de 1914, L’Auto atteint la prospérité. Les capitaux de L’Auto changent plusieurs fois de mains. La famille Goddet, majoritaire un temps, ne l'est plus lorsque la guerre éclate. Henri Desgrange meurt en 1940. L'Occupant prend la main, laisse Jacques Goddet à la direction, mais utilise une rubrique d'informations générales pour sa propagande. À compter de 1943, la Résistance y est notamment fustigée. Le , L’Auto est frappé d’interdiction de parution.
L'Équipe
Jacques Goddet, directeur de L’Auto durant l'Occupation, excipe de ses relations avec la Résistance pour réhabiliter le journal sous un autre titre. L’Équipe paraît à partir du , trois fois par semaine, avec comme sous-titre : « le stade, l'air, la route ». Il devient quotidien le . En , il absorbe son concurrent Élans. Sports, autre quotidien né en 1946, issu de Sport Libre dans la clandestinité, devenu bihebdomadaire en 1947 (sauf pendant le Tour de France), puis hebdomadaire, disparaît en 1948.
Dans cette période, L'Équipe achète le journal officiel de la Fédération française de football (FFF), France Football, et le transforme en un hebdomadaire populaire.
L’Équipe et Le Parisien, déjà coorganisateurs du Tour de France, se rapprochent en 1956 pour le gérer ensemble. Création en 1959 des Cahiers de l'équipe (1959 à 2007). En 1964, intervient la fusion avec les Éditions Émilien Amaury, éditrices du Parisien libéré.
Depuis 1980, L'Équipe propose un supplément hebdomadaire tous les samedis : L’Équipe magazine. Il est complété depuis 2005 par un magazine lifestyle, Sport & Style. D’abord trimestriel, il devient mensuel en . De nombreuses figures du sport se sont retrouvées en couverture de Sport & Style, comme Thierry Henry, Roger Federer, Rafael Nadal, Zinédine Zidane.
Depuis le , il existe la version TV de L’Équipe : L'Équipe TV. Sous la direction de Jean Hornain
Le est lancé le site lequipe.fr[3].
Après la disparition de Philippe Amaury en 2006, le groupe est repris en main par son épouse, Marie-Odile, et leurs enfants. L’Équipe rachète en 2006 le mensuel gratuit Journal du golf[4].
En plus de son site Internet lequipe.fr, L’Équipe crée début 2007 un autre site spécialement destiné aux jeunes : lequipejunior.fr, avec parution tous les mercredis et samedis[5] jusqu'au .
En , L'Équipe crée la radio web RTL-L'Équipe. Cette radio naît de la collaboration entre RTL, première radio de France et L’Équipe, premier quotidien sportif de France. Elle obtient le l'autorisation d'émettre en numérique dans trois villes de France : Paris, Marseille et Nice[6]. Le CSA prévoit cependant de diffuser une nouvelle liste de villes concernées par le projet de la radio numérique terrestre, l'équivalent radio de la TNT qui doit être mis en place au . Teddy Riner, six fois champion du monde et d'Europe de judo, médaillé de bronze lors des Jeux olympiques de Pékin et champion olympique lors des Jeux de 2012 à Londres, est le parrain de la radio.
En , L’Équipe voit arriver deux concurrents pour la première fois depuis 1988 : Le 10 Sport (créé par Michel Moulin en partenariat avec NextRadioTV) et Aujourd'hui Sport (projet créé en réponse par le groupe Amaury)[7]. Mais le premier devient vite hebdomadaire et le second cesse rapidement de paraître.
En 2012, L'Équipe tente de profiter du phénomène pourtant fragile des mooks en lançant Hobo, un magazine trimestriel de photojournalisme avec une reliure plus large que haute dite « à l’italienne »[8],[9],. Les ventes sont médiocres, le magazine ne fait paraître finalement qu'un seul numéro[10].
Grâce au principe de protection des sources d'information des journalistes auquel est attachée la rédaction du journal, L'Équipe a produit de nombreuses révélations importantes dans le monde du sport, avec plusieurs scoops du journaliste Damien Ressiot sur Lance Armstrong.
Le , L'Équipe connaît une transformation avec un changement de format afin de relancer les ventes[11]. Le quotidien paraît dorénavant au format tabloïd[11]. Ce changement est accompagné d'une augmentation du nombre de pages et de la disparition du sous-titre « le quotidien du sport et de l'automobile » présent depuis la création du journal[11].
En 2018, grâce à la coupe du monde de football, le quotidien bat des records dans les kiosques et sur son site[12].
Le , L'Équipe, associé depuis des années à RTL, annonce avoir signé un partenariat avec Radio France qui durera jusqu'en 2024[13].
Touché par la crise liée au Covid-19 et l'arrêt des compétitions sportives, L'Équipe doit faire face à une crise économique [14] sans précédent.[15] La direction de L'Équipe propose dans ce contexte un projet d'accord de performance collective [16] qui a été rejeté par les syndicats et les salariés. La direction de L'Équipe a annoncé le la mise en place d'un plan d'économie alternatif qui sera effectif début 2021[17].
À partir du , les salariés de L'Équipe décident d'une grève massive qui s'étale sur plusieurs jours, afin de protester contre le plan d'économie prévu par la direction[18]. Les salariés ont embrayé après l'annonce de la suppression de 36 postes au sein de la rédaction[19]. Pour la première fois de son histoire, le quotidien sportif français subit une grève aussi longue et qui l'empêche de pouvoir éditer le journal.
Le , après une contre-proposition de la direction qui propose d'ouvrir un plan de départs volontaires plutôt que de supprimer des postes, l'inter-syndicale représentant les salariés annonce la reconduction de la grève, pour le onzième jour consécutif[20]. Au total, 15 jours de grève sont observés et le quotidien paraît de nouveau le , malgré une volonté de poursuite du mouvement de contestation qui se met en pause, faute de satisfaction obtenue de la part des salariés[21]. Le , Jean-Etienne Amaury, le directeur général du Groupe Amaury, répond aux salariés que le mouvement de grève est « en complet décalage avec la réalité économique de l'entreprise »[22].
Organisation
Directeurs
- 1946-1984 : Jacques Goddet ;
- 1984-1993 : Jean-Pierre Courcol ;
- 1993-2002 : Paul Roussel ;
- 2003-2008 : Christophe Chenut ;
- 2008-2014 : François Morinière ;
- 2014-2015 : Philippe Carli ;
- 2015-2018 : Cyril Linette ;
- depuis 2018 : Jean-Louis Pelé.
Directeurs des rédactions
- 1946-1954 : Marcel Oger ;
- 1954-1970 : Gaston Meyer ;
- 1970-1980 : Édouard Seidler ;
- 1980-1987 : Robert Parienté ;
- 1987-1989 : Henri Garcia ;
- 1989-1990 : Noël Couëdel ;
- 1990-1992 : Gérard Ernault ;
- 1993-2003 : Jérôme Bureau ;
- 2003-2008 : Claude Droussent ;
- 2008-2009 : Remy Dessarts ;
- 2009-2015 : Fabrice Jouhaud ;
- depuis 2015 : Jérôme Cazadieu.
Journalistes notables
- Gérard Ernault ;
- Jérôme Touboul ;
- Alain Lunzenfichter ;
- Georges Peeters ;
- Jacques Ferran ;
- Guy Lagorce ;
- Robert Parienté ;
- Geoffroy Garétier ;
- Thierry Bretagne ;
- Pierre Chany ;
- Gabriel Hanot ;
- Victor Sinet ;
- Henri Garcia ;
- Marcel Hansenne ;
- Denis Lalanne ;
- Jacques Carducci ;
- Jean-Philippe Réthacker ;
- Jacques Marchand ;
- Jacques Augendre ;
- Bernard Chenez ;
- Pierre Ballester ;
- Johnny Rives ;
- Christian Montaignac ;
- Pierre-Michel Bonnot ;
- Vincent Duluc ;
- Pierre Ménès ;
- Philippe Bouin ;
- Anne Giuntini ;
- Liliane Trévisan[23],[24] ;
- Jean-Michel Rouet ;
- Olivier Margot ;
- Philippe Brunel ;
- Philippe Bouvet ;
- Didier Braun ;
- Gérard Ejnès ;
- Max Urbini ;
- Antoine Blondin ;
- Serge Lang ;
- Damien Ressiot ;
- Bernard Chevallier ;
- Marc Chevrier.
Unes célèbres
- : « Il n'y avait pas essai ! »[25] trois jours après la finale polémique[26] du championnat de France de rugby 1993, un document photo[27] réalisé par Tempsport montre que l'essai de Gary Whetton qui prive Grenoble du titre n'était pas valable car Franck Hueber avait au préalable bien aplati le ballon dans son en-but[28].
- : « Pour l'Éternité » au lendemain de la victoire de l'équipe de France de football face au Brésil (3-0) en finale de la Coupe du monde 1998. L'édition du journal L'Équipe est aussi la plus vendue[29].
- : « Monumental » au lendemain de la victoire de l'équipe de France de football face à l'Italie (2-1) en finale de l'Euro 2000. L'édition réalise la 2e meilleure vente de l'histoire du journal[30].
- : « Géant » à la veille du jour de l'ouverture des Jeux olympiques d'été de 2012 à Londres où la couverture est dédiée à Usain Bolt. Avec 96,5 cm de diagonale, deux fois plus long et deux fois plus large que d'habitude, il rend hommage aux « géants » de ces Jeux olympiques et fait par la même occasion son entrée dans le Livre Guinness des records[31].
- : « Un bonheur éternel » au lendemain de la victoire finale de l'équipe de France lors de la Coupe du monde 2018. Avec 1 115 200 exemplaires, il s'agit de la 3e meilleure vente dans l'histoire du journal après celles du (« Pour l'éternité ») et du (« Monumental »)[30].
- Le , L'Équipe titre : « Comme en 18 » à la suite de la victoire de la France face à l'Allemagne lors d'un match de l'Euro 2020 s'étant déroulé la veille[32],[33],[34]. Faisant référence à la victoire de la France lors de la Coupe du monde 2018, mais également à la Première Guerre mondiale (avec l'expression « comme en 14 ») et à l'armistice de 1918, la une du journal fait polémique[35],[36],[37],[38].
Diffusion
La diffusion France payée de L’Équipe. Sources : OJD[39],[40],[41].
Titre | 1999 | 2000 | 2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Édition générale | 386 189 | 386 601 | 455 598 | 321 153 | 339 627 | 369 428 | 365 654 | 365 411 | 327 168 | 298 949 |
Édition du dimanche | – | – | – | – | – | – | – | – | – | – |
2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | |
Édition générale | 303 106 | 302 158 | 285 407 | 274 828 | 243 580 | 219 810 | 223 675 | 232 227 | 234 899 | 249 794 |
Édition du dimanche | 321 251 | 306 333 | 283 321 | 258 137 | 233 219 | 219 389 | 227 626 | 220 342 | 220 663 | 244 612 |
Pour comparer avec la diffusion des autres quotidiens nationaux français : Presse en France.
Sur un numéro, le record contrôlé par l'OJD a été enregistré le , au lendemain de la victoire des Bleus lors de la Coupe du monde de football : 1 645 907 exemplaires vendus, devant le numéro publié le , au lendemain de la victoire des Bleus à l'Euro 2000 : 1 255 633 exemplaires vendus.
Longtemps quotidien français le plus lu, L'Équipe a été dépassé par les journaux gratuits 20 minutes et Metro. En 2011, 2 759 000 personnes en France lisent 20 minutes chaque jour, contre 2 347 000 pour L'Équipe, selon la dernière Étude de la Presse d'Information Quotidienne (EPIQ) de TNS Sofres publiée en [42].
Site internet
Le site "L'Équipe interactif", lancé en 2010, est le premier site d'informations sportives français avec plus de 2,3 M de visiteurs uniques en et 230 M de pages vues[réf. nécessaire].
On y retrouve l'ensemble de l'information sportive en temps réel sous forme de textes, de photographies et de vidéos.
Toutes les disciplines sportives sont traitées et la base de données associée est composée de plus de 300 000 pages[réf. nécessaire].
Régulièrement le site propose des informations exclusives. Ainsi, l'annonce du dopage de Lance Armstrong, accompagnée des arguments et des premières réactions, y est lisible dès la veille au soir de ce scoop.
Depuis le , L'Équipe ainsi que sept autres éditeurs de presse français (Paris Match, Melty, Cosmopolitan, Vice, Konbini et Tastemade) diffuse tous les jours des contenus exclusifs et une expérience visuelle inédite sur Discover, l'espace réservé aux médias de l'application Snapchat[43].
En 2020, le site fête ses 20 ans avec une série d'articles spéciaux[44].
Trophées décernés par L'Équipe
- Challenge de la ville la plus sportive de France ;
- Champion des champions de L'Équipe (France et Monde).
Résultats financiers
L’Équipe a réalisé en 2017 un chiffre d'affaires de 160 705 000 € avec une perte de 7 675 700 € et un effectif (moyen) de 478 collaborateurs[45].
Notes et références
- Pierre Giffard, précurseur du journalisme moderne, par Jacques Seray. Éditions Le Pas d'oiseau, 2008.
- Henri Desgrange, père du Tour de France, par Jacques Seray et Jacques Lablaine. Éditions Cristel, 2006.
- « Joyeux anniversaire « Point-Éfère » ! - 20 ans du site L'Équipe », sur L'Équipe (consulté le ).
- « L'Équipe rachète le Journal du Golf », sur http://strategies.fr, .
- lequipejunior.fr.
- « Le CSA choisit Paris, Nice et Marseille pour lancer la radio numérique », sur http://radionumerique.biz, .
- « Deux nouveaux quotidiens sportifs en kiosque », sur France Info, .
- Solange Brousse, « L’Équipe explore le photojournalisme sportif avec Hobo », sur strategies.fr, (consulté le ).
- « Hobo et ses images vagabondes », sur Le Monde Blog, (consulté le ).
- « Les mooks: Une jungle où la survie est périlleuse », sur 20 Minutes, (consulté le ).
- B.W, « Le journal L'Équipe change de format », sur Europe 1, (consulté le ).
- Adrien Lelievre, « Le groupe L’Équipe dopé par la Coupe du monde 2018 » (version du 18 juillet 2018 sur l'Internet Archive), sur Les Échos, (consulté le ).
- Technic2radio, « Radio France et L'Équipe signent un partenariat », sur technic2radio.fr, (consulté le ).
- « Le journal « L’Équipe » se prépare à se serrer la ceinture », sur Les Échos, (consulté le ).
- « Le plan de sauvetage du journal « L’Équipe » », sur 20 Minutes (consulté le ).
- « L’accord de performance collective se précise à « L’Équipe » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- Le Figaro avec AFP, « L'Équipe : la direction va présenter un plan « alternatif » après le refus des syndicats », sur Le Figaro, (consulté le ).
- « La grève se poursuit au sein du groupe L’Équipe », sur La lettre de l'audiovisuel (consulté le ).
- Olivier Ubertalli, « La vie sans « L’Équipe » », sur Le Point, (consulté le ).
- « « L’Équipe » s’enfonce dans la crise », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le journal « L’Équipe » retrouve le chemin des kiosques après quatorze jours de grève », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Fin de la grève historique à L’Équipe : Colère et lassitude de salariés », sur Challenges (consulté le ).
- PODCAST. « Là, Michael Jordan me dit : suis-moi » : Liliane Trévisan a interviewé les plus grands, ouest-france.fr, 23 juin 2022, par Léo Belnou
- ITW Liliane Trévisan : « J’ai écrit avec fougue et passion », basket-retro.com, 30 juin 2022, Propos recueillis par Guillaume Paquereau
- Alexandre Mognol, « L'étrange finale Castres - Grenoble en 1993 », sur soundcloud.com, (consulté le ).
- « 1993, finale polémique », sur lirelactu.fr, (consulté le ).
- Frédéric Cormary, « Daniel Salles à propos de Castres-Grenoble en 1993 : « Je me suis trompé » », sur Sud Ouest, (consulté le ).
- Richard Escot, « Un jour - une finale : 1993, Castres sacré, Grenoble frustré », sur lequipe.fr, (consulté le ).
- Émile Gillet, « Top 10 des meilleures ventes du journal L’Équipe : un seul intrus au milieu de l’Équipe de France », sur SportBuzzBusiness.fr, (consulté le ).
- Christophe Gazzano, « Coupe du monde : L’Équipe réalise sa 3e meilleure vente historique grâce à la victoire des Bleus », sur Ozap (consulté le ).
- « Un numéro géant spécial JO de L'Équipe », sur Télérama, .
- « « Comme en 18 » : la une de « l’Équipe » sur la victoire des Bleus face à l’Allemagne ne passe pas », sur L'Obs, (consulté le ).
- Caroline Constant, « Une de l’Équipe : maladresse assumée ? », sur L'Humanité, (consulté le ).
- « « Comme en 18 » : la une de l’Équipe fait réagir les internautes », sur CNEWS, (consulté le ).
- Laurent Bruwier, « Comme en 18, l’Équipe déraille en 'Une' après France - Allemagne », sur RTBF, (consulté le ).
- « Euro 2021 : après France-Allemagne, L’Équipe titre « Comme en 18 » et fait polémique », sur Franceinfo, (consulté le ).
- Louise Wessbecher, « La Une de L'Équipe après France-Allemagne n'est pas appréciée par tout le monde », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- « Après la une polémique de « l’Equipe », l’ambassadeur allemand en France calme le jeu », sur Libération, (consulté le ).
- « L'Équipe édition générale », sur ojd.com.
- « L'Equipe Dimanche », sur ojd.com.
- « L'Équipe » (consulté le ).
- Emmanuel Berretta, « 20 Minutes domine le classement des quotidiens », sur Le Point, (consulté le ).
- Alexis Delcambre, « Snapchat lance une offre d’information en français sur Discover », Le Monde, (lire en ligne).
- « Les 20 ans du site L'Équipe », sur L'Équipe (consulté le ).
- « Identité, chiffre d'affaires, résultat et bilans », sur Societe.com (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Gérard Ejnès et al. (eds.), 60 ans L'Équipe. 1946-2006 : Soixante ans de la vie d'un journal, Issy-les-Moulineaux : SNC L'Équipe 2006.
- David Garcia, La face cachée de L'Équipe, Paris : Danger public 2008.
- L'équipe raconte L'Équipe, éditions Robert Laffont, 2015.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Site corporate
- Ressource relative aux organisations :
- Ressource relative à la recherche :
- « Le journaliste de L’Équipe Jérôme Touboul nommé directeur de la communication du PSG », sur Eurosport, (consulté le ).
- Numéros de L'Équipe accessibles dans Gallica
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