La Garde (Alpes-de-Haute-Provence)

La Garde est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Lagarde et La Garde.

La Garde

Le village de La Garde dominé par le Rocher Saint-Martin.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Joel Laugier
2020-2026
Code postal 04120
Code commune 04092
Démographie
Gentilé Gardois
Population
municipale
118 hab. (2019 )
Densité 7,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 51″ nord, 6° 33′ 29″ est
Altitude Min. 777 m
Max. 1 894 m
Superficie 16,63 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Garde
Géolocalisation sur la carte : France
La Garde
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
La Garde
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Garde

    Le nom de ses habitants est Gardois[1].

    Géographie

    Le village est situé à 927 m d’altitude[2].

    La Garde et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    La Garde est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.

    Les communes limitrophes sont Demandolx, Peyroules, Châteauvieux (dans le Var) et Castellane.

    Relief

    Les principaux sommets entourant le village sont[2] :

    • à l’ouest, Destourbes (1 543 m) ;
    • au sud, la colline de Sebet (1 238 m) ;
    • à l’est, la crête du Teillon atteint 1 893 m aux Quatre Termes ;
    • au nord, la crête de Rus culmine à 1 481 m ;
    • enfin, proche du village, le sommet de Croueste est à 1 198 m.

    À l’est, la RD 4085 franchit le col de Luens à 1 085 m[2].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Les principaux cours d’eau de la commune sont le ravin des Gravières, qui naît sur les pentes du Teillon et passe à l’est du village. Il se jette dans le ravin de Destourbes, qui lui rejoint le Verdon en amont de Castellane[2].

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval :

    • rivière le jabron,
    • ravins de destourbes, des costes, des sagnes, de maupas, des gravières, de la couissine, de sébet.

    Environnement

    Col de Luens sur la RD 4085 (1 054 m).
    Pont de l'ancienne route nationale 85 ou route Napoléon.

    La commune compte 630 ha de bois et forêts, soit 38 % de sa superficie[3].

    Voies routières

    La commune est située sur la route départementale RD 4085, ancienne route nationale 85 et itinéraire emprunté par la route Napoléon. La route départementale RD 132 dessert la commune à partir du village où elle s’embranche sur la RD 4085[2].

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient La Garde est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de La Garde est également exposée à trois autres risques naturels[5] :

    • feu de forêt,
    • inondation,
    • mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[6].

    La commune de La Garde est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[7]. La route départementale RD 4085 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[8].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] et le Dicrim existe depuis 2011[9].

    Sismicité

    Globalement, et même si l’épicentre de certains séismes dévastateurs comme celui de Chasteuil en 1951 sont très proches, les séismes ont jusqu’à maintenant été faiblement ressentis[10].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200 (la Gareda)[11]. Ce nom dérive de l’occitan garda, venant du germanique wart ou ward, lieu de guet[12],[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Garde est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (26,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), prairies (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    Dans l’Antiquité, le peuple installé dans sur le territoire de la Garde à l’arrivée des Romains est celui des Suetrii[21].

    La Garde jouait le rôle d’une place forte protégeant Castellane (la commune est située sur la route qui monte de Castellane au col de Luens, et au-delà vers Grasse et Draguignan). La seigneurie appartenait aux Castellane (XIIIe siècle)[22]. Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire, Guillaume du Puget, seigneur de La Garde, soutient Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le ralliement de Sisteron à la cause angevine, en novembre, entraîne son changement d’engagement, et il prête hommage le [23].

    Le fief passe aux Gassendi (XVIIe siècle), puis aux Périer au XVIIIe siècle[22]. Une fois les barons de Castellane vaincus, Castellane devint chef-lieu d’une viguerie dont relevait La Garde[24].

    Lors de la guerre de Succession d'Autriche, une armée austro-sarde envahit la Provence et occupe La Garde en décembre 1746. Elle est repoussée par une offensive des troupes franco-espagnoles les 21 et [25].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. En 1824, le cadastre dit napoléonien de La Garde est achevé[26].

    Comme de nombreuses communes du département, celle de La Garde se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons[27]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[28], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent La Garde[29]. Si la commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[30], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de La Garde sont régulièrement scolarisées.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à une tour d'argent, maçonnée de sable, sur une montagne de sinople.[31],[32]

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 44 personnes, dont 6 chômeurs[33]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (23 sur 39)[34] et travaillent majoritairement hors de la commune (21 actifs sur 39)[34].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[35].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est trop faible et couvert par le secret statistique depuis 2000[36]. Il était de huit en 1988[37], avec une surface agricole utile (SAU) de 429 ha[36].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait cinq établissements, sans salarié[35].

    Des carrières de gypse ont été exploitées sur la commune[38].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (avec trois emplois salariés), auxquels s’ajoutent l’unique établissement du secteur administratif[35].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[39], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant marchande[40]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

    Les résidences secondaires apportent un complément appréciable à la capacité d’accueil[47] : au nombre de 72, elles représentent plus de la moitié des logements. Parmi les résidences secondaires, quatre possèdent plus d’un logement[45],[43].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de La Garde[48].
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945   Alfred Escarras[49]    
    28 mars 1971 25 juin 1995 Fernand Laugier SE  réélu plusieurs fois
    mars 2001 réélu en 2008      
    avant 2005 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Henri Belisaire[50],[51] DVD Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[52] :

    • total des produits de fonctionnement : 126 000 , soit 1 526  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 118 000 , soit 1 416  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 26 000 , soit 311  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 33 000 , soit 402  par habitant.
    • endettement : , soit par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 6,60 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 4,60 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 41,99 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 16,51 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[53].

    Intercommunalité

    La Garde fait partie :

    Urbanisme

    La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[54].

    Population et société

    Démographie

    En 2019, La Garde comptait 118 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour La Garde). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution démographique
    1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
    38 feux8 feux274438237286281266285285
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    278252222208235236246237238218
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    211180156122116119130959581
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2019 -
    6854656888568490118-
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[22], EHESS[55], Insee à partir de 1968[56],[57],[58],[59])

    L’histoire démographique de La Garde, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1851. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. En 1911, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1836-1841[60]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population a repris sa croissance.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Cultes

    Culte catholique, Doyenné Var et Verdon, Diocèse : Digne-Riez-Sisteron[61]

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame-des-Ormeaux.
    • L’église paroissiale[62] est placée sous le vocable de Notre-Dame-des-Ormeaux[63],[24] et sous le patronage de sainte Anne[24] est un agrandissement d’une église plus ancienne (XIIIe siècle) : les deux travées centrales ont été conservées, la première modifiée, la dernière ajoutée, avec l’abside. Les raccords sont assez grossiers[63]. La cloche serait de 1605[64] ?

    Les chapelles, oratoires et monuments commémoratifs

    • L’ancienne église paroissiale[65] se trouve à moins d'un kilomètre à l'est du village : c’est actuellement la chapelle Saint-Martin[24].
    • Une autre chapelle se trouve sur la route de Castellane, placée sous le vocable de Saint-Sébastien[66]. Elle est construite ici au XVIe ou au XVIIe siècle, pour protéger la communauté contre les dangers venant de l’extérieur[24].
    • Enfin, l'entrée ouest du village est marquée par la chapelle Sainte-Anne[67].
    • Monuments commémoratifs[68].
      • Plaque commémorative de l'église.
      • Plaque commémorative 1914-1918 de la mairie.
      • Tombeau[69].
    • Cimetière[70].
    • Oratoires, croix de chemin[71],[72],[73].

    Le petit patrimoine local

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

    Références

    1. Habitants.fr - Le nom des habitants des A.H.P
    2. « IGN, La Garde et environs » sur Géoportail (consulté le 3 mai 2012).
    3. Roger Brunet, « Canton de Castellane », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
    4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    5. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 23 juillet 2012
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
    9. DICRIM La Garde, base Dicrim, consultée le 23 juillet 2011
    10. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à La Garde », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 23 juillet 2012
    11. « Le castrum de La Gareda », notice no IA04001444, base Mérimée, ministère français de la Culture
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 26758, p 1473
    13. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 67.
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 « Peuples et habitats de l’époque pré-romaine », in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire
    22. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 176
    23. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 422.
    24. Daniel Thiery, « La Garde », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 21 décembre 2010, consulté le 23 juillet 2012
    25. Pierre Grillon, « L'invasion et la libération de la Provence en 1746-1747 », Provence historique, volume 12, no 50, 1962, p. 354.
    26. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    27. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    28. Labadie, op. cit., p. 16.
    29. Labadie, op. cit., p. 18.
    30. Labadie, op. cit., p. 11.
    31. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
    32. Moyen Verdon 1 : La Garde, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    33. Insee, Dossier local - Commune : La Garde, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    34. Insee, Dossier local, p. 7
    35. Insee, Dossier local, p. 16
    36. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    37. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    38. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    39. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    40. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
    41. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 11
    42. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 16
    43. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    44. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 21, 23 et 27
    45. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
    46. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
    47. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    48. « école primaire et mairie », notice no IA04001441, base Mérimée, ministère français de la Culture
    49. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    50. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Cruis à Hospitalet(L’) (liste 3), consulté le 8 mars 2013
    51. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    52. Les comptes de la commune
    53. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    54. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
    55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Garde », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    56. « Résultats du recensement de la population - La Garde », sur le site de l'Insee (consulté le )
    57. « Recensement de la population au 1er janvier 2004 », sur Archives Wikiwix du site de l'Insee (consulté le )
    58. « Recensement de la population au 1er janvier 2009 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    59. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    60. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    61. Paroisse La Garde
    62. « église paroissiale Notre-Dame-des-Ormeaux », notice no IA04000141, base Mérimée, ministère français de la Culture
    63. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 115
    64. Notice no IM04000976, base Palissy, ministère français de la Culture cloche (no 1)
    65. « église paroissiale Saint-Martin, actuellement chapelle Saint-Martin », notice no IA04001422, base Mérimée, ministère français de la Culture
    66. « chapelle Saint-Sébastien », notice no IA04000143, base Mérimée, ministère français de la Culture
    67. « chapelle Sainte-Anne », notice no IA04000142, base Mérimée, ministère français de la Culture
    68. Synthèse des relevés
    69. « tombeau », notice no IA04001424, base Mérimée, ministère français de la Culture
    70. « cimetière », notice no IA04001423, base Mérimée, ministère français de la Culture
    71. « croix monumentale », notice no IA04001425, base Mérimée, ministère français de la Culture
    72. « croix monumentale », notice no IA04001426, base Mérimée, ministère français de la Culture
    73. « croix de chemin et oratoires de La Garde », notice no IA04001442, base Mérimée, ministère français de la Culture
    74. « fontaine lieu-dit Costes (les) », notice no IA04001415, base Mérimée, ministère français de la Culture
    75. « lavoir », notice no IA04001417, base Mérimée, ministère français de la Culture
    76. « fontaine de la Place », notice no IA04001414, base Mérimée, ministère français de la Culture
    77. « puits lieu-dit Sagnes (les) », notice no IA04001414, base Mérimée, ministère français de la Culture
    78. « four à pain », notice no IA04001418, base Mérimée, ministère français de la Culture
    79. « cabane troglodytique », notice no IA04001421, base Mérimée, ministère français de la Culture
    80. « pont sur le ravin des Gravières », notice no IA04001515, base Mérimée, ministère français de la Culture
    • Portail des communes de France
    • Portail des Alpes-de-Haute-Provence
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.