La Garde (Alpes-de-Haute-Provence)
La Garde est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
La Garde | |||||
Le village de La Garde dominé par le Rocher Saint-Martin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Castellane | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière | ||||
Maire Mandat |
Joel Laugier 2020-2026 |
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Code postal | 04120 | ||||
Code commune | 04092 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gardois | ||||
Population municipale |
118 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 7,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 49′ 51″ nord, 6° 33′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 777 m Max. 1 894 m |
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Superficie | 16,63 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Castellane | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le nom de ses habitants est Gardois[1].
Géographie
Le village est situé à 927 m d’altitude[2].
La Garde est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.
Les communes limitrophes sont Demandolx, Peyroules, Châteauvieux (dans le Var) et Castellane.
Relief
Les principaux sommets entourant le village sont[2] :
- à l’ouest, Destourbes (1 543 m) ;
- au sud, la colline de Sebet (1 238 m) ;
- à l’est, la crête du Teillon atteint 1 893 m aux Quatre Termes ;
- au nord, la crête de Rus culmine à 1 481 m ;
- enfin, proche du village, le sommet de Croueste est à 1 198 m.
À l’est, la RD 4085 franchit le col de Luens à 1 085 m[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
Les principaux cours d’eau de la commune sont le ravin des Gravières, qui naît sur les pentes du Teillon et passe à l’est du village. Il se jette dans le ravin de Destourbes, qui lui rejoint le Verdon en amont de Castellane[2].
Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
- rivière le jabron,
- ravins de destourbes, des costes, des sagnes, de maupas, des gravières, de la couissine, de sébet.
Voies routières
La commune est située sur la route départementale RD 4085, ancienne route nationale 85 et itinéraire emprunté par la route Napoléon. La route départementale RD 132 dessert la commune à partir du village où elle s’embranche sur la RD 4085[2].
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient La Garde est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de La Garde est également exposée à trois autres risques naturels[5] :
- feu de forêt,
- inondation,
- mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[6].
La commune de La Garde est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[7]. La route départementale RD 4085 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[8].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] et le Dicrim existe depuis 2011[9].
Sismicité
Globalement, et même si l’épicentre de certains séismes dévastateurs comme celui de Chasteuil en 1951 sont très proches, les séismes ont jusqu’à maintenant été faiblement ressentis[10].
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200 (la Gareda)[11]. Ce nom dérive de l’occitan garda, venant du germanique wart ou ward, lieu de guet[12],[13].
Urbanisme
Typologie
La Garde est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (26,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), prairies (0,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Histoire
Dans l’Antiquité, le peuple installé dans sur le territoire de la Garde à l’arrivée des Romains est celui des Suetrii[21].
La Garde jouait le rôle d’une place forte protégeant Castellane (la commune est située sur la route qui monte de Castellane au col de Luens, et au-delà vers Grasse et Draguignan). La seigneurie appartenait aux Castellane (XIIIe siècle)[22]. Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire, Guillaume du Puget, seigneur de La Garde, soutient Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le ralliement de Sisteron à la cause angevine, en novembre, entraîne son changement d’engagement, et il prête hommage le [23].
Le fief passe aux Gassendi (XVIIe siècle), puis aux Périer au XVIIIe siècle[22]. Une fois les barons de Castellane vaincus, Castellane devint chef-lieu d’une viguerie dont relevait La Garde[24].
Lors de la guerre de Succession d'Autriche, une armée austro-sarde envahit la Provence et occupe La Garde en décembre 1746. Elle est repoussée par une offensive des troupes franco-espagnoles les 21 et [25].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. En 1824, le cadastre dit napoléonien de La Garde est achevé[26].
Comme de nombreuses communes du département, celle de La Garde se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons[27]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[28], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent La Garde[29]. Si la commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[30], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de La Garde sont régulièrement scolarisées.
Héraldique
Blasonnement : |
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 44 personnes, dont 6 chômeurs[33]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (23 sur 39)[34] et travaillent majoritairement hors de la commune (21 actifs sur 39)[34].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[35].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est trop faible et couvert par le secret statistique depuis 2000[36]. Il était de huit en 1988[37], avec une surface agricole utile (SAU) de 429 ha[36].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait cinq établissements, sans salarié[35].
Des carrières de gypse ont été exploitées sur la commune[38].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (avec trois emplois salariés), auxquels s’ajoutent l’unique établissement du secteur administratif[35].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[39], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant marchande[40]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :
- un hôtel[41] (classé deux étoiles[42]) et une capacité de huit chambres[43] ;
- un camping deux étoiles[44] avec une capacité de 200 emplacements[45] ;
- plusieurs meublés labellisés[46].
Les résidences secondaires apportent un complément appréciable à la capacité d’accueil[47] : au nombre de 72, elles représentent plus de la moitié des logements. Parmi les résidences secondaires, quatre possèdent plus d’un logement[45],[43].
Politique et administration
Liste des maires
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[52] :
- total des produits de fonctionnement : 126 000 €, soit 1 526 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 118 000 €, soit 1 416 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 26 000 €, soit 311 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 33 000 €, soit 402 € par habitant.
- endettement : 0 €, soit 0 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 6,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 4,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 41,99 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 16,51 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[53].
Intercommunalité
La Garde fait partie :
- jusqu'en 2016, de la Communauté de communes du Moyen Verdon ;
- à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[54].
Population et société
Démographie
En 2019, La Garde comptait 118 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour La Garde). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
L’histoire démographique de La Garde, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1851. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. En 1911, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1836-1841[60]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population a repris sa croissance.
Cultes
Culte catholique, Doyenné Var et Verdon, Diocèse : Digne-Riez-Sisteron[61]
Lieux et monuments
- L’église paroissiale[62] est placée sous le vocable de Notre-Dame-des-Ormeaux[63],[24] et sous le patronage de sainte Anne[24] est un agrandissement d’une église plus ancienne (XIIIe siècle) : les deux travées centrales ont été conservées, la première modifiée, la dernière ajoutée, avec l’abside. Les raccords sont assez grossiers[63]. La cloche serait de 1605[64] ?
Les chapelles, oratoires et monuments commémoratifs
- L’ancienne église paroissiale[65] se trouve à moins d'un kilomètre à l'est du village : c’est actuellement la chapelle Saint-Martin[24].
- Une autre chapelle se trouve sur la route de Castellane, placée sous le vocable de Saint-Sébastien[66]. Elle est construite ici au XVIe ou au XVIIe siècle, pour protéger la communauté contre les dangers venant de l’extérieur[24].
- Enfin, l'entrée ouest du village est marquée par la chapelle Sainte-Anne[67].
- Monuments commémoratifs[68].
- Plaque commémorative de l'église.
- Plaque commémorative 1914-1918 de la mairie.
- Tombeau[69].
- Cimetière[70].
- Oratoires, croix de chemin[71],[72],[73].
Le petit patrimoine local
- Fontaines, lavoirs et puits[74],[75],[76],[77].
- Four à pain[78].
- Cabane troglodytique[79].
- Pont sur le ravin des Gravières[80].
- Chœur de la chapelle Sainte-Anne.
- Chapelle Saint-Martin.
- Chapelle Saint-Sébastien, sur la route nationale.
- Croix de mission.
- Oratoire est.
- Oratoire à l'ouest.
Pour approfondir
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Présentation de la commune de La Garde par le service régional de l'inventaire
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- La Garde sur le site archéoprovence
- La Garde sur le site Dignois
- Cadrans solaires du Pays du Verdon : La Garde
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Références
- Habitants.fr - Le nom des habitants des A.H.P
- « IGN, La Garde et environs » sur Géoportail (consulté le 3 mai 2012).
- Roger Brunet, « Canton de Castellane », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 23 juillet 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
- DICRIM La Garde, base Dicrim, consultée le 23 juillet 2011
- BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à La Garde », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 23 juillet 2012
- « Le castrum de La Gareda », notice no IA04001444, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 26758, p 1473
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 67.
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 « Peuples et habitats de l’époque pré-romaine », in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 176
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 422.
- Daniel Thiery, « La Garde », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 21 décembre 2010, consulté le 23 juillet 2012
- Pierre Grillon, « L'invasion et la libération de la Provence en 1746-1747 », Provence historique, volume 12, no 50, 1962, p. 354.
- Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 18.
- Labadie, op. cit., p. 11.
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
- Moyen Verdon 1 : La Garde, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- Insee, Dossier local - Commune : La Garde, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
- Insee, Dossier local, p. 7
- Insee, Dossier local, p. 16
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 11
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 16
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 21, 23 et 27
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
- « école primaire et mairie », notice no IA04001441, base Mérimée, ministère français de la Culture
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- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Cruis à Hospitalet(L’) (liste 3), consulté le 8 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Garde », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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- « Recensement de la population au 1er janvier 2009 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
- Paroisse La Garde
- « église paroissiale Notre-Dame-des-Ormeaux », notice no IA04000141, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 115
- Notice no IM04000976, base Palissy, ministère français de la Culture cloche (no 1)
- « église paroissiale Saint-Martin, actuellement chapelle Saint-Martin », notice no IA04001422, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « chapelle Saint-Sébastien », notice no IA04000143, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « chapelle Sainte-Anne », notice no IA04000142, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Synthèse des relevés
- « tombeau », notice no IA04001424, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « cimetière », notice no IA04001423, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « croix monumentale », notice no IA04001425, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « croix monumentale », notice no IA04001426, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « croix de chemin et oratoires de La Garde », notice no IA04001442, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « fontaine lieu-dit Costes (les) », notice no IA04001415, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « lavoir », notice no IA04001417, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « fontaine de la Place », notice no IA04001414, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « puits lieu-dit Sagnes (les) », notice no IA04001414, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « four à pain », notice no IA04001418, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « cabane troglodytique », notice no IA04001421, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « pont sur le ravin des Gravières », notice no IA04001515, base Mérimée, ministère français de la Culture
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