La Grée-Saint-Laurent

La Grée-Saint-Laurent [la gʁe sɛ̃ lɔʁɑ̃] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

La Grée-Saint-Laurent

Mairie.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Ploërmel Communauté
Maire
Mandat
André Josse
2020-2026
Code postal 56120
Code commune 56068
Démographie
Gentilé Laurentais, Laurentaise
Population
municipale
322 hab. (2019 )
Densité 41 hab./km2
Population
agglomération
11 700 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 59′ 46″ nord, 2° 29′ 52″ ouest
Altitude 95 m
Min. 40 m
Max. 117 m
Superficie 7,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ploërmel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploërmel
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Grée-Saint-Laurent
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Géolocalisation sur la carte : Morbihan
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La Grée-Saint-Laurent
Liens
Site web http://lagreesaintlaurent.fr

    Toponymie

    Le nom breton de la commune est Ar C'hrav-Sant-Laorañs.

    Le nom de la commune est constitué de deux parties « La grée » et « Saint Laurent ». La Grée est originaire du breton Créh (ou C'hrav), signifiant hauteur, colline de pierre, ou crête[1]. Saint-Laurent est le titulaire de son église.

    Géographie

    La Grée-Saint-Laurent est une petite commune bretonne du Morbihan faisant partie du canton de Josselin.

    Le Ninian est le principal cours d'eau de la commune.

    La Grée-Saint-Laurent est limitée au nord et à l'ouest par Lanouée, une très petite partie de la commune des Forges au nord, au sud par La Croix et Helléan, à l'est par le cours du Ninian, qui la sépare de Saint-Malo-des-Trois-Fontaines, ou de Mohon. Le Ninian forme la limite naturelle de Mohon à l'ouest ; La Grée, située au-delà de cette limite, semble avoir été formée d'un morceau de la commune de Lanouée.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 814 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ploërmel », sur la commune de Ploërmel, mise en service en 1951[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 749,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 45 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[12] à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Grée-Saint-Laurent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ploërmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), prairies (12,9 %), zones urbanisées (3,5 %), forêts (2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    Moyen Âge

    Ancienne trève de Mohon, La Grée-Saint-Laurent dépendait autrefois du doyenné de Lanouée et de l'évêché de Saint-Malo. Sur ces terres nous avons dès le XIVe siècle deux seigneuries. L'une appartenait à Jean de Montauban et l'autre à Jean Le Prévost.

    Renaissance

    La trêve de la Grée fut érigée en paroisse au XVIIIe siècle bien avant la Révolution. En 1728, les revenus du recteur étaient évalués de 310 livres et ses charges à 100 livres. L'historien Jean-Baptiste Ogée[21] indique que sa présentation appartenait au seigneur de l'endroit.

    De la Révolution à la Première Guerre mondiale

    D'après l'historien Joseph-Marie Le Mené[22], la Grée était du doyenné de Lanouée et de la sénéchaussée de Ploërmel. En 1790, elle fut érigée en commune, du canton de Lanouée, du district de Josselin, et annexée au département du Morbihan. Son recteur, M. Pierre Teffaine, refusa, en 1791, le serment schismatique. La Grée fut rattachée à l'arrondissement de Ploërmel en 1800, au canton de Josselin et au nouveau diocèse de Vannes en 1801. Rétablie comme paroisse en 1802, puis unie à Helléan, elle a repris son existence séparée par ordonnance du mois de . En 1891, ce petit territoire renferme une population de 351 habitants, sur une superficie de 790 hectares, dont la moitié est en landes suivant les documents historiques.

    De nos jours

    De nos jours, la commune est un village tranquille de Bretagne. Il n'y a pas d'industrie et la commune ne possède plus de commerce. Néanmoins, une école primaire est en activité dans le bourg (fermeture à la rentrée 2012 de prévue), il subsiste quelques fermes (cinq) réparties sur toute la commune, un gite/chambre d'hôte situé au lieu-dit « la Porte » est en activité (en vente), et un musée consacré aux vélo-cyclomoteurs est ouvert depuis 2004 (en vente également)[23].

    Blasonnement

    Les armoiries de La Grée-Saint-Laurent se blasonnent ainsi :

    De gueules au chevron écimé d’argent, accompagné en chef d’un lambel du même à quatre pendants chargés chacun d’une moucheture d’hermine de sable, et en pointe d’une macle d’or soutenue d’une divise ondée d’argent.


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1794 Pierre Le Moine    
    1794 1811 Jean Desmandé    
    1811 1812 Pierre Le Moine    
    1812 1831 Jean Joseph François Picard    
    1831 1848 Jean Marie Le Moine    
    1848 1857 Pierre Marie Gléhello    
    1857 1861 Vincent Mathurin Gléhello    
    1861 1871 Pierre Louis Loisel    
    1871   Guillaume Briend    
    19.. 19.. Henri Gouédo    
    19.. 1971 Joseph Jollivet    
    1971 1977 Joseph Ménezo    
    1977 1995 Jean Gléhello    
    2001 2014 Jean Claude Lozé    
    2014 2018[24] Thierry Conq    
    2018 23 mai 2020 Pascal Collin[24]    
    23 mai 2020 En cours André Josse[25]   Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2019, la commune comptait 322 habitants[Note 7], en diminution de 4,17 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    446307340457300355363369362
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    330350365392370372357351351
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    350352368333316327358360322
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    304321308299279271325336330
    2015 2019 - - - - - - -
    341322-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    chapelle Saint-Sébastien

    L'église Saint-Laurent actuelle date du XXe siècle. Cette église remplace un ancien édifice du XVe siècle, très fruste. L'ancien édifice était un vaisseau rectangulaire à chevet plat, avec deux chapelles ouvrant sur le chœur par de grandes arcades en tiers-point et formant croisillons. L'église actuelle abrite une statue en bois polychrome de la Vierge à l'Enfant (XVIe siècle) et une statue en bois polychrome de sainte Barbe (XVIe siècle). L'église offre une double arcade ogivale de chaque côté du chœur. Fait notable nous renseignant sur l'histoire de la commune une cloche porte cette inscription gothique : « Je fus fondu à Jocelin, IIcc XXXII III quars pessée au pouais angevin. — Vendredi XIIIe de mars, par le Sengneur de la Grée et capitaine de Rohan. — Marguerite fu apellée, N. Vcc couroit pour l'an ». Cette cloche de bronze de moyenne grandeur nous apprend qu'elle fut fondue à Josselin en 1500 et donnée à l'église par le seigneur de la Grée, alors capitaine de Rohan. Comme on le voit par cette inscription, La Grée était aussi le siège d'une seigneurie ; elle appartenait en 14.. à Jean Le Prévost. Nous avons aussi également connaissance au lieu-dit de Péer, d'une autre seigneurie à la Grée-Saint-Laurent, qui appartenait en 14.. à Jean de Montauban.

    La chapelle Saint-Sébastien est située sur le lieu-dit du même nom. La chapelle contient un retable qui date du début du XIXe siècle. Le retable est composé au centre par un tableau figurant les saints cœurs de Jésus et de Marie, et de part et d'autre les statues en bois polychrome de saint Fabien (XVIIIe siècle) et de saint Sébastien (XVIIIe siècle). Une fontaine dépendant de la chapelle située à quelques dizaines de mètres a été récemment refaite et est dédiée à saint Sébastien. La chapelle se situe à 80 mètres environ du lieu-dit « Peer » ancienne seigneurie de la Grée-Saint-Laurent.

    De mémoire d'ancien, il existe un tunnel reliant la chapelle Saint-Sébastien à la chapelle des Aulnais sur la commune de Lanouée (la chapelle est aujourd'hui détruite, il reste qu'un coin de mur) puis de ce tunnel se prolongeait à la chapelle des Broutay sur la commune de la Croix-Helléan (aujourd'hui reconverti en maison) [30].

    Une ancienne carrière de pierre aujourd'hui abandonnée existait dans le bas de la colline de roldedan.

    Calvaire du Bieux dédié à sainte Anne.

    De nombreux calvaires et croix sont sur la commune :

    • un calvaire au bourg
    • un calvaire entre le vieux bourg et le bourg
    • un calvaire au lieu-dit Penros et une croix sur un puits (oratoire ?).
    • un calvaire du lieu-dit Bieux en bois dédié à sainte Anne.
    • un au lieu-dit La Gaité / La Couaille.
    • une croix à la porte aujourd'hui démontée.

    Et aussi sur la commune : le village de Penros - le calvaire de Pommaint- le ruisseau de Camet - la rivière le Ninian - la fontaine de Saint-Laurent.

    Moulins

    La commune abrite le moulin à vent de Lorvran sur le lieu-dit le Bieux sur la colline de Roldedan dont il reste uniquement les fondations (48°00"22.70 N 02°29"27.88 O), les moulins à eau de Penros et de Couethout[31]. Le village du Bieux tire son nom du mot seigle en raison de la proximité de ce moulin.

    Costume et coiffes

    La paroisse a un costume traditionnel spécifique dont la forme et le port est illustré par les photos du présent paragraphe.


    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. synonymes Français par l'abbé Pierre Joseph André Roubaud à Paris chez Bossange, Masson et Besson, Barbou frères libraires en an IV, 1796 ére vulgaire, pages 414
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ploërmel - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Grée-Saint-Laurent et Ploërmel », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ploërmel - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Grée-Saint-Laurent et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. auteur du DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET GEOGRAPHIQUE de la province de Bretagne
    22. auteur du Histoire du diocèse de Vannes paru en 1888, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes paru en 1891
    23. site du musée
    24. « Municipales 2020 : Pascal Collin, maire de La Grée-Saint-Laurent, ne se représente pas », sur Actu.fr, (consulté le ).
    25. « Municipales à La Grée-Saint-Laurent. André Josse élu maire », sur Maville.com, (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. Les anciens avaient ouï dire que le souterrain allait jusqu'au château de Josselin.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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