Lambruisse

Lambruisse est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Lambruisse

Le village

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Robert Martorano
2020-2026
Code postal 04170
Code commune 04099
Démographie
Population
municipale
88 hab. (2019 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 02′ 57″ nord, 6° 26′ 34″ est
Altitude Min. 993 m
Max. 2 000 m
Superficie 21,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
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Lambruisse
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Lambruisse
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Lambruisse
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Lambruisse
Liens
Site web http://lambruisse.fr

    Le nom de ses habitants est Lambruissiens[1].

    Géographie

    Lambruisse et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Les communes limitrophes sont Thorame-Basse, Saint-André-les-Alpes, Moriez, Clumanc, Tartonne.

    Le village est situé à 1100 m d’altitude[2].

    Relief

    Montagne de Charvet et sommet de Meunier (1742 m)

    Le col du Défens, à 1267 m, donne accès à Tartonne et la vallée de l’Asse de Clumanc.

    Sommets :

    • Grande Séoune, à 1694 m ;
    • Sommet de la Sapée, à 1702 m ;
    • Le Cugulet, 1410 m.

    Géologie

    La commune est située dans le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence.

    Environnement

    La commune compte 767 ha de bois et forêts[1].

    Hydrographie

    La commune est traversée par l’Encure, qui se jette dans l’Issole.

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

    • torrents l'issole, l'encure, de chauchaous,
    • ravin de fouranne.

    Risques majeurs

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Saint-André-les-Alpes auquel appartient Lambruisse est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de Lambruisse est également exposée à trois autres risques naturels[5] :

    • feu de forêt,
    • inondation,
    • mouvement de terrain : quelques rares versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[6].

    La commune de Lambruisse n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[7]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] mais le Dicrim existe depuis 2011[8].

    La commune n’a été l’objet d’aucun arrêté de catastrophe naturelle[5]. Le seul tremblement de terre ressenti de manière sensible à Lambruisse est celui de Chasteuil, le 30 novembre 1951, avec une intensité macro-sismique ressentie de IV sur l’échelle MSK (l’intensité était plus forte à l’épicentre)[9],[10].

    Toponymie

    La forme ancienne du nom du village est Lambrusca vers 1200 d'après l'occitan Lambruisso, désignant la variante alpine de la « vigne sauvage »[11],[12] . Il s'agit de cette vigne sauvage méditerranéenne appelée lambrusque ou lambruche[13].

    Le nom du sommet du Cugulet, 1410 m, vient de *Kug-, oronyme (mot servant à nommer une montagne) préceltique, qui a peut-être évolué par rapprochement et métonymie avec cucullus, capuchon en latin[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Lambruisse est une commune rurale[Note 1],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Histoire

    Auguste fait la conquête de la vallée des Asses en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C.. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Lambruisse dépendait au Haut-Empire : Eturamina (Thorame) ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, sont avérés avec la disparition de l’évêché d’Eturamina[22].

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes vers 1239[23]. La communauté faisait partie de la viguerie du Val-de-Barrême[23]. L’église dépendait au Moyen Âge de la paroisse du Castellet des Robines, communauté qui disparaît avec la Grande Peste et qui est rattachée à Moriez[24].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[25].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que le cadastre dit napoléonien de Lambruisse est achevé[26].

    Comme de nombreuses communes du département, Lambruisse se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[27]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[28], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Lambruisse[29] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Lambruisse sont régulièrement scolarisées.

    Dans le deuxième tiers du XXe siècle, on a compté jusqu’à cinq distilleries de lavande à Lambruisse[30].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D’or à un cep de vigne arraché de sinople, fruité de sable, accolé à un arbre sec, arraché aussi de sable.[31],[32]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de Lambruisse, monument aux morts et clocher de l’église
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945   Alphonse Groulet[33]    
             
    avant 2005 mars 2008 Francis Raybaud    
    mars 2008 2014 Claudette Campioni[34]    
    avril 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Robert Martorano[35]   Retraité de l'enseignement
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :

    • total des produits de fonctionnement : 107 000 , soit 1 071  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 102 000 , soit 1 020  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 22 000 , soit 222  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 18 000 , soit 177  par habitant.
    • endettement : 62 000 , soit 618  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 14,60 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,78 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11,20 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 28,23 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 16 068 [37].

    Urbanisme

    La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[38].

    Intercommunalité

    Lambruisse fait partie:

    Population et société

    Évolution démographique

    En 2019, Lambruisse comptait 88 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Lambruisse). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution démographique
    1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
    58 feux18 feux241264273282214306320255
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    266263261265263243227221209189
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    19017615116412011710711097103
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2019 -
    867973495570719088-
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2004
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[39], EHESS[40], Insee à partir de 1968[41],[42],[43],[44])

    L’histoire démographique de Lambruisse est marquée par la crise des XIVe et XVe siècles, qui cause la perte des deux tiers au moins de la population. Elle est suivie d'un long mouvement de croissance jusqu’au milieu du XIXe siècle. La période d’« étale », constatée dans la plupart des communes du département, où la population reste relativement stable à un niveau élevé, est très courte à Lambruisse : elle ne dure que de 1831 à 1836. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul de longue durée. Dès 1906, la commune enregistre la perte de la moitié de ses effectifs du maximum historique de 1836[45]. Le mouvement de recul se prolonge ensuite jusqu'aux années 1980 ; depuis, la population a presque doublé.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 26 personnes, dont deux chômeurs[46] (huit fin 2011[47]). Ces travailleurs sont partagés de manière égale entre salariés et indépendant[48] ; la moitié d’entre travaillent dans la commune[48] et majoritairement dans le secteur primaire.

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 12 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et un emploi salarié[49].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de sept en 2010. Il était de huit en 2000[50], de neuf en 1988[51]. Actuellement, ces exploitants pratiquent l’élevage ovin et la polyculture[50]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) avait augmenté, de 1 447 ha à 1 926 ha[51]. La SAU a très fortement diminué lors de la dernière décennie, perte liée à la fermeture d’élevages ovins et donc à la non-prise en compte de vastes surfaces d’alpages, à 247 ha[50].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait trois établissements, n’employant aucun salarié[49].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait trois établissements (avec un seul emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant deux personnes[49].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[52]. Les seules capacités d’hébergement de la commune sont les résidences secondaires[53] : au nombre de 91, elles représentent trois logements sur cinq. Parmi les résidences secondaires, 11 possèdent plus d’un logement[54],[55].

    Lieux et monuments

    Au-dessus du village, et à proximité de la chapelle Notre-Dame, l’ancienne tour de protection est réduite à sa base[56].

    Un cadran solaire date de 1809 : il est très abîmé[57].

    Croix de mission en fer forgé. On aperçoit un cadran solaire sur la façade de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption

    L’église Notre-Dame-de-l’Assomption (ancienne église Notre-Dame-de-Consolation[23]) date du XVIe siècle. En mauvais état, elle est fermée depuis 2012. Elle abrite plusieurs objets classés ou inscrits monument historique au titre objet :

    Deux chapelles se trouvent dans la commune[23] :

    • la chapelle Notre-Dame-de-Consolation, à l’ouest du village,
    • et la chapelle Saint-Damase.

    Monuments commémoratifs[60],[61]:

    • Monument aux morts,
    • Stèle commémorative Ferme de Laval,
    • Stèle commémorative à l'entrée du village.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Saint-André-les-Alpes », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. L'eau dans la commune
    4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    5. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 27 juillet 2012
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    8. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 27 juillet 2011
    9. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Lambruisse », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 27 juillet 2012
    10. BRGM, « fiche 40099 », Sisfrance, consulté le 27 juillet 2012
    11. Ernest Nègre, Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne).. Notice 23303, p 1250
    12. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 101.
    13. « lambrusque ou lambruche », CNRTL (consulté le )
    14. Fénié & Fénié, op. cit., p. 22
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22-23
    23. Daniel Thiery, « Lambruisse », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 4 décembre 2011, consulté le 27 juillet 2012
    24. Daniel Thiery, « Moriez », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 11 décembre 2011, consulté le 5 août 2012
    25. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
    26. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    27. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    28. Labadie, op. cit., p. 16.
    29. Labadie, op. cit., p. 18.
    30. Véronique Blanc, « L’or bleu d’Argens », Verdons, no 26-27, décembre 2008, p. 140
    31. Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
    32. Moyen Verdon 2 : Lambruisse, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    33. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    34. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Jausiers à Montfort (liste 4), consulté le 8 mars 2013
    35. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    36. Les comptes de la commune
    37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    38. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
    39. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 179
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : mbruisse », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    41. « Résultats du recensement de la population - Lambruisse », sur le site de l'Insee (consulté le )
    42. « Recensement de la population au 1er janvier 2004 », sur Archives Wikiwix du site de l'Insee (consulté le )
    43. « Recensement de la population au 1er janvier 2009 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    44. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    45. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    46. Insee, Dossier local - Commune : Lambruisse, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    47. Insee, Dossier local, p. 8
    48. Insee, Dossier local, p. 7
    49. Insee, Dossier local, p. 15
    50. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    51. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    52. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    53. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    54. Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
    55. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    56. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 310
    57. Jean-Marie Homet et Franck Rozet, Cadrans solaires des Alpes-de-Haute-Provence, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN 2-7449-0309-4), p 99
    58. Arrêté du 28 novembre 1991, Notice no IM04001262, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 11 novembre 2008
    59. Arrêté du 28 novembre 1991, Notice no IM04001261, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 11 novembre 2008
    60. Monuments commémoratifs
    61. Plaque commémorative Louis Missud à Villefranche-sur-Mer
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