Lannecaube

Lannecaube est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Lannecaube

L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Patrick Barbe
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64311
Démographie
Population
municipale
156 hab. (2019 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 06″ nord, 0° 12′ 41″ ouest
Altitude Min. 154 m
Max. 292 m
Superficie 8,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lannecaube
Géolocalisation sur la carte : France
Lannecaube
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Lannecaube
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lannecaube

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lannecaube se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 28 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Lalongue (1,9 km), Burosse-Mendousse (3,1 km), Coslédaà-Lube-Boast (3,4 km), Gayon (3,5 km), Vialer (3,8 km), Mouhous (3,8 km), Taron-Sadirac-Viellenave (4,2 km), Saint-Jean-Poudge (5,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Lannecaube fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    OpenStreetMap Limite communale

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Lannecaube.

    La commune est drainée par le Léès, le ruisseau de Castéra, le ruisseau de Couilhet, le ruisseau de Marchet, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le Léès, d'une longueur totale de 39 km, prend sa source dans la commune de Sedzère et s'écoule du sud vers le nord. Il longe le territoire communal sur son côté est et en constitue la limite séparative avec Lalongue, puis plus au nord avec Burosse-Mendousse. Il se jette dans le Léez à Lannux, après avoir traversé 21 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 108 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 059,8 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 20 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[20].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[22], d'une superficie de 220 ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[23],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Lannecaube est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[26],[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,7 %), forêts (19,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), prairies (17,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Bayle ;
    • Loumagne ;
    • Meillac ;
    • Menyette ;
    • Soubirou.

    Voies de communication et transports

    Elle est desservie par la route départementale 211.

    Toponymie

    Le toponyme Lannecaube apparaît sous les formes Lanecalba (1104[32], cartulaire de Lescar[33]), Lane-Caube (1385[32], censier de Béarn[34]), Lanecauba et Lana-Cauba (respectivement 1538[32] et 1540[32], réformation de Béarn[35]) et Lannecaube-Meillac[32] lors de la réunion du village de Meillac à Lannecaube.

    Le toponyme Loumagne est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[32] et désignait une ferme.

    Le toponyme Meillac apparaît sous les formes Melhac (1402[32], censier de Béarn[34]) et Meillacq (1793[36] ou an II).

    Histoire

    Paul Raymond[32] note que Lannecaube et son village Meillac possédaient tous deux une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. En 1385, on comptait à Lannecaube vingt-neuf feux et la commune dépendait du bailliage de Lembeye. La baronnie de Lannecaube était composée de Lannecaube, Lube, Meillac et Mouhous et était également vassale de la vicomté de Béarn.

    Meillac s'est unie à Lannecaube avant 1806[36].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 2014 Francis Routis-Cabé    
    2014 En cours Patrick Barbe    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Lannecaube fait partie de sept structures intercommunales[37] :

    • la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
    • le SIVU de la voirie du canton de Lembeye ;
    • le syndicat à vocation scolaire récré A5 ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat de l'entre-deux-Lées ;
    • le syndicat mixte d’alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès ;
    • le syndicat mixte de gendarmerie de la brigade de Garlin.

    La commune accueille le siège du syndicat à vocation scolaire récré A5.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2019, la commune comptait 156 habitants[Note 10], en diminution de 2,5 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    389427420437460475463482493
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    471450414410411408404417382
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    397402344294241239261212208
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    189182187162170149167165160
    2019 - - - - - - - -
    156--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Des vestiges d'un ensemble fortifié[42] témoignent du passé ancien du village.

    Lannecaube présente un ensemble de maisons et fermes anciennes[43], dont l'une date du XVe siècle, et plus communément des XVIIe et XVIIIe siècles.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Pierre[44] date partiellement du XIe siècle. Elle recèle du mobilier[45] et une estampe[46] enregistré à l'inventaire générale du patrimoine culturel.

    Équipements

    Éducation

    La commune dispose d'une école élémentaire.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Lannecaube » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lannecaube », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Lannecaube », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Lannecaube », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Lannecaube et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Lannecaube et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Lannecaube », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche communale de Lannecaube », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le Lées ».
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Lembeye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Lannecaube et Lembeye », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Lembeye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Lannecaube et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lannecaube », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR7200779 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lannecaube », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « coteaux calcaires du Béarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    32. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    33. Cartulaire de l'évêché de Lescar, publié dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    34. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
    35. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Meillac », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    37. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    42. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'ensemble fortifié
    43. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les fermes et maisons anciennes
    44. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'église Saint-Pierre
    45. Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Pierre
    46. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur l'estampe de l'église Saint-Pierre

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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