Le Brusquet
Le Brusquet est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Cet article possède des paronymes, voir Brusquet et Ravin du Brusquet.
Le Brusquet | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Provence-Alpes Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Gilbert Reinaudo 2020-2026 |
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Code postal | 04420 | ||||
Code commune | 04036 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brusquetier | ||||
Population municipale |
960 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 09′ 42″ nord, 6° 18′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 694 m Max. 1 550 m |
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Superficie | 22,25 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Digne-les-Bains (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Seyne | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le nom de ses habitants est Brusquetais[1].
Géographie
Localisation
Village situé à 10 km de Digne-les-Bains.
Géologie et relief
Le village est surtout connu pour sa colline de Lauzière. C'est sur cette colline que se trouvaient l'ancien château et la chapelle castrale. La commune est entourée par d'autres reliefs comme la Baisse d'Emporte, la Colle, Liman et le Blayeul.
La commune est répartie entre plaine, collines et montagnes de moyenne altitude.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[2] :
- La rivière principale est la Bléone, qui puise sa source à l'Estrop, dans le massif des Trois Évêchés, et rejoint la Durance.
- La commune est ensuite parcourue par de nombreux ruisseaux dont le Millesaule et le Riou (qui forme le Ravin du Riou et le Défens du Riou).
Le Brusquet dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 1000 équivalent-habitants[3].
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[4].
Environnement
Le domaine forestier est divisé entre des parcelles ONF, du reboisement et des parcelles appartenant à la commune.
La commune compte 1 138 ha de bois et forêts, soit la moitié de sa superficie[1].
Hameaux
- le Plan ;
- le Mousteiret ;
- le Pré Clot ;
- la Chenaie ;
Voies routières
- Village desservi par la D 900[5].
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Bus ligne Digne-les-Bains > La Javie[6].
- Transports publics : se déplacer dans le 04
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de La Javie auquel appartient Le Brusquet est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune du Brusquet est également exposée à trois autres risques naturels[8] :
- feu de forêt,
- inondation (dans la vallée de la Bléone),
- mouvement de terrain.
La commune du Brusquet est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[9]. La départementale RD 900 (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[10].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[9] et le Dicrim n’existe pas non plus[11].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle, liés à la nature du sol : pour des inondations et des coulées de boue en 1996, et pour des mouvements de terrain dus à la sécheresse en 2007[8]. Les tremblements de terre ressentis de la manière la plus sensible dans la commune sont ceux du 15 mars 1980, avec une intensité macro-sismique de V sur l’échelle MSK et La Javie pour épicentre, et celui du 29 septembre 1935, avec une intensité de V et encore La Javie pour épicentre[12].
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 496 personnes, dont 42 chômeurs[15] (40 fin 2011[16]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (87 %)[17] et travaillent majoritairement hors de la commune (86 %)[17].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 19 établissements actifs au sens de l’Insee et 1 emploi salarié[18].
Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est en légère baisse dans les années 2000, passant de 13 à 12 : à côté de 7 exploitations spécialisées dans les grandes cultures, on trouve également 3 exploitations tournées vers la polyculture, et des éleveurs[19]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a plus que doublé, de 410 ha à 879 ha, alors que le nombre d’exploitations chutait (de 20 à 13)[20]. La SAU a fortement diminué lors de la dernière décennie, passant à 180 ha, dont seulement 60 pour les grandes cultures[19].
Une ferme-élevage de chevaux islandais a été distinguée par le Conseil général en 2013[21].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 24 établissements, employant 16 salariés[18].
René Cossalter a fondé, avec son frère Gilles, la seule usine du village, qui produit des fermetures de bâtiment en bois de type provençal[22].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 27 établissements (avec six emplois salariés), auxquels s’ajoutent les 11 établissements du secteur administratif (salariant 27 personnes)[18].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est peu importante pour la commune, avec moins d’un touriste accueilli par habitant[23]. Les faibles capacités d'hébergement consistent essentiellement en meublés[24]. Les résidences secondaires apportent un complément à la capacité d’accueil[25] (avec 49 logements, soit 10 % du total de la commune, dont 5 comptant plus d’un logement[26],[27]).
Restaurant Bistrot de pays Lou mile sol[28],[29].
Histoire
Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune du Brusquet. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[30].
L’abbé Coriol a rédigé une monographie sur l’histoire du Brusquet. Le village était un fief des évêques de Digne[31]. Le prieuré appartenait à l’abbaye Saint-Honorat de Lérins[32].
La colline de Lauzière (dont le nom viendrait de Yeuses signifiant "terre plantée de chênes verts") à 950 m d’altitude, est choisie pour construire un château et déplacer le village au XIIe siècle. Les églises du Brusquet (Saint-Maurice, Sainte-Marie-de-Lauzière) relèvent de Digne (soit le chapitre, soit l’évêque, qui porte le titre de baron de Lauzière en 1476[33]). Le château est abandonné au XVe siècle, les guerres de Religion achevant de le ruiner. La chapelle est aménagée en ermitage, et continue d’être modifiée jusqu’à l’époque moderne[34].
Il est probable que le village actuel soit un déplacement de la communauté d’Eusira, citée en 1198 et 1251, établie sur la colline de Lauzière au Moyen Âge, et qui se serait établie sur l’emplacement actuel au XVe siècle[31],[35], le Brusquet préexistant à ce déplacement.
La communauté médiévale du Mousteiret, citée en 1320, est rattachée au Brusquet à la même époque[36],[33].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[37]. Le Brusquet est chef-lieu de canton au début de la Révolution, et absorbe la commune voisine de Mousteure avant 1794[38].
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 4 habitants du Brusquet sont traduits devant la commission mixte[39].
Comme de nombreuses communes du département, Le Brusquet se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède une, installée au chef-lieu, à laquelle s’ajoute l’école du Mousteiret par la suite. Ces écoles dispensent une instruction primaire aux garçons[40]. Alors que la loi Falloux (1851), n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants (puis la première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants[41]), Le Brusquet ouvre néanmoins une école de filles dès avant 1863[42]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve au Mousteiret et rénover l’école du village[43].
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture, qui s'était maintenue dans l'entre-deux-guerres mondiales malgré la crise phylloxérique[44], a depuis été abandonnée[45].
Héraldique
Blason | D'or à la plante de bruyère au naturel[46]. |
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Détails |
Politique et administration
Municipalité
Budget et fiscalité 2017
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[53] :
- total des produits de fonctionnement : 1 444 000 €, soit 1 432 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 382 000 €, soit 1 371 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 555 000 €, soit 550 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 233 000 €, soit 231 € par habitant ;
- endettement : 703 000 €, soit 697 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 14,36 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 34,95 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 101,22 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 533 €[54].
Intercommunalité
Les communes limitrophes du Brusquet sont La Javie, Draix, Marcoux, Digne-les-Bains, La Robine-sur-Galabre.
Le Brusquet fait partie :
- de 2003 à 2017, de la communauté de communes de Haute Bléone ;
- depuis le , de la communauté d'agglomération Provence-Alpes.
Urbanisme
Typologie
Le Brusquet est une commune rurale[Note 1],[55]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[56],[57].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[58],[59].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[60].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,1 %), zones urbanisées (3,4 %)[61].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[62].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[67].
En 2019, la commune comptait 960 habitants[Note 3], en diminution de 0,41 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
L’histoire démographique du Brusquet, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure peu, de 1831 à 1851. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide et de longue durée. En 1921, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[69]. Le mouvement de baisse s'interrompt ensuite très tôt dans les années 1950. Depuis, la population a quintuplé, dépassant son maximum historique du XIXe siècle.
Lieux et monuments
Architecture civile :
- La maison médiévale du Pilon, dont l’encorbellement est soutenu par une colonnette d’angle[70]. À proximité du Mousteiret se trouve une ferme du XVIIe siècle (deux corps de bâtiment en équerre, cour fermée par un mur avec portail en plein cintre et impostes de style toscan[71]).
- Il y a aussi la cheminée de l'ancienne briqueterie-tuilerie, au quartier du Plan[72].
Architecture militaire :
- subsistent la tour du XIIe siècle, et les restes (murs) du château des évêques de Digne, barons de Digne, en bel appareil[73].
Art religieux[74] :
- chapelle Notre-Dame-de-Lauzière, ancienne église castrale. Lorsque le village descend de la colline de Lauzière, la chapelle est aménagée en ermitage, et continue d’être modifiée jusqu’à l’époque moderne[34]. Elle contenait un tableau de Frédérique Maillard représentant la Nativité, classé[75] et disparu en 1991[76] ; un retable classé[77] du XVIIIe siècle[78],[79]. Le chœur est entièrement peint : scènes de la vie de la Vierge[80], trompe-l'œil pour le décor (1854)[81]. Le sol du chœur est revêtu de céramique colorée[82] ;
- l’église paroissiale Notre-Dame (1844), au village, de style roman. Elle possède deux chapelles latérales, le chœur est logé dans une abside hémisphérique (à l’extérieur) et à pans à l’intérieur. Le clocher, construit contre l’abside, est couvert d’ardoise[83]. Sept vitraux sont ornés. Des peintures ont été déposées en ex-voto, l’une en 1828 (classée au titre objet[84], l’autre en 1854, après l’épidémie de choléra (classée également[85]). La troisième provient de N.-D. de Lauzière, et date de 1899[86] ;
- l’église Saint-Maurice, église paroissiale jusqu’au milieu du XIXe siècle, date des XIIe et XIIIe siècles. Elle est située au cimetière. Elle est de style hybride roman intégrant, pour les voûtes, des croisées d’ogives. Le chœur et les chapelles latérales sont voûtées en plein cintre[87] ;
- la chapelle Saint-Joseph, construite en 1653-1654, a été reconvertie en école et logement de fonction pour l’instituteur[33] ;
- au hameau du Mousteiret, se trouvent deux édifices cultuels : l’église de l’Assomption (1869-1871)[88],[31], avec un clocher à tuiles vernissées, et une chapelle[89] ;
- sur la rive droite de la Bléone, une petite chapelle, Notre-Dame-de-Grand-Nom ou Notre-Dame-de Mannano[33].
- Monuments aux morts, conflits commémorés : guerres 1914-1918 et 1939-1945[90] :
- Le Brusquet[91],
- Le Brusquet (le Mousteiret).
Personnalités liées à la commune
L'histoire du Brusquet est marquée par des personnalités comme Marcel Roux (maire pendant près de trente ans).
Vie locale
Médias
La municipalité publie L'Écho de Lauzière, trimestriel d'information locale, qui atteint en 2014 son numéro 114[92].
Sports
- Football Club Le Brusquet[93],
- Section Tennis.
Traditions
- Le saint patron du village est fêté le 15 août[94].
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Roger Brunet, « Canton de La Javie », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
- L'eau dans la commune
- Station d'épuration
- Table climatique
- Village desservi par la D900
- Bus ligne Digne les Bains > La Javie
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 5 juillet 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 4 juillet 2011
- BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis au Brusquet », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 5 juillet 2012
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne). § 3960, p 266
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 100.
- Insee, Dossier local - Commune : Le Brusquet (04036), p. 5
- Insee, Dossier local, p. 8
- Insee, Dossier local, p. 7
- Insee, Dossier local, p. 16
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- « Des entreprises à l'honneur », Alpes-de-Haute-Provence, no 109, janvier 2013, p. 13
- Site officiel de Cossalter
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
- Insee, Dossier local, p. 17
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
- Fédération nationale des bistrots de pays
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 166
- Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.
- Daniel Thiery, « Le Brusquet », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 19 décembre 2010, consulté le 5 juillet 2012
- Daniel Vaissière, « Le Brusquet », Archéologie médiévale, 2009, no 39, p. 291
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 180
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 186
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 18.
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- André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=12403
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- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
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- « Gilbert Reinaudo, candidat à sa propre succession », La Provence, 19 février 2014, p. 5.
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- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De La Bréole à Corbières (liste 2) », Les communes du département, consultée le 17 avril 2014.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Plan local d'urbanisme
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Établissements d'enseignements
- Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Digne, publiée le 6 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
- École maternelle et élémentaire
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 363
- Raymond Collier, op. cit., p 372
- Raymond Collier, op. cit., p 415
- Raymond Collier, op. cit., p 314
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
- Arrêté du 7 septembre 1989, « Tableau : Nativité (la) », notice no PM04000049, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008
- Notice no PM04000049, base Palissy, ministère français de la Culture tableau : la Nativité de la Vierge
- Notice no PM04000048, base Palissy, ministère français de la Culture autel, retable (maître-autel)
- Arrêté du 20 juin 1933, « Autel, retable (maître-autel) », notice no PM04000048, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008
- Raymond Collier, op. cit., p 471
- Notice no PM04002813, base Palissy, ministère français de la Culture peintures monumentales du choeur
- Raymond Collier, op. cit., p 487
- Raymond Collier, op. cit., p 513
- Raymond Collier, op. cit., p 381
- Arrêté du 29 janvier 1990, « Tableau, ex-voto », notice no PM04000549, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008
- Arrêté du 29 janvier 1990, « Tableau, ex-voto : épidémie de choléra », notice no PM04000550, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008
- Arrêté du 29 janvier 1990, « tableau, ex-voto », notice no PM04000548, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008
- Raymond Collier, op. cit., p 128
- Raymond Collier, op. cit., p 387
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », , 72 (non-paginé), Relié (ISBN 2-7399-5004-7)
- Monument aux morts
- Monuments aux morts
- « Echo de Lauzière », Mairie du Brusquet.
- Sporrts à Le Brusquet
- « La fête patronale du Brusquet », L'Écho de Lauzière, no 114, p. 18.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Le Brusquet sur le site de l'Institut géographique national
- Site de la mairie du Brusquet
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Le Brusquet, paroisse, sur le site http://dignois.fr/
- Le Brusquet et Le Mousteiret, sur le site http://dignois.fr/
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Brusquet (Le), p. 209
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
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