Utelle

Utelle est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. La commune est particulièrement connue pour ses pèlerinages à la madone d'Utelle et son église classée monument historique.

Utelle

Le village d'Utelle.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Yves Gilli
2020-2026
Code postal 06450
Code commune 06151
Démographie
Gentilé Utellois
Population
municipale
867 hab. (2019 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 07″ nord, 7° 14′ 53″ est
Altitude Min. 126 m
Max. 2 080 m
Superficie 67,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tourrette-Levens
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Utelle
Géolocalisation sur la carte : France
Utelle
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Utelle
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Utelle

    Ses habitants sont appelés les Utellois.

    Géographie

    Localisation

    Commune située à 17 km de Lantosque, 19 km de Plan-du-Var et 23 km de Levens.

    Géologie et relief

    La commune d'Utelle est située au confluent du Var et de la Tinée.

    Mais le village est situé sur les hauteurs, dominant la vallée de la Tinée, comme celle de la Vésubie.

    Hameaux de la commune :

    Catastrophes naturelles - Sismicité

    Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[1]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le . L'Arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Utelle, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au "[2].

    Commune située dans une zone de sismicité moyenne[3].

    Hydrographie et eaux souterraines

    Saint-Jean-la-Rivière.

    Près du pont de Saint-Jean-la-Rivière se trouve la prise d'eau[4] du canal de la Vésubie qui alimente les différents villages jusqu'à Nice.

    La prise d'eau du canal de la Vésubie servant à alimenter en eau potable la campagne niçoise : cet aqueduc est réalisé à partir de 1881 par la Compagnie générale des eaux sur un projet de l’ingénieur E. Delacroix. L’ensemble des ouvrages de départ du canal dit de Saint-Jean-la-Rivière sont inscrits au titre des monuments historiques le [5].

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

    • fleuve le Var,
    • rivière la Tinée,
    • rivière la Vésubie,
    • 10 ruisseaux[7] : ruisseaux de Saint-Honorat, des Fournés, de Barra Rossa, de l'Infernet, des Lignes, de Campon, de la Cardinarde, des Lonas, de Gorgétta, des Carbonnières.
    • vallons des hirondelles, des fournés de bagnolar.

    Le Beausset dispose de trois stations d'épuration :

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[11].

    Voies routières

    Commune accessible notamment par la nationale 202, puis à la sortie de Plan-du-Var, par la route de la Vésubie M2565.

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Communes limitrophes

    Intercommunalité

    Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.

    Urbanisme

    La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le [13].

    Typologie

    Utelle est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    La commune était régie par une carte communale[19] et est désormais couverte par le PLUm de l'intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur[20].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %), cultures permanentes (0,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Économie

    Agriculture

    • Ferme auberge[23].
    • Élevage[24] et agriculture.

    Tourisme

    • Utelle est traversé par le GR 5, sentier de randonnée reliant La Mer du Nord à La Mer Méditerranée[25].
    • Gites de France[26],[27],[28].

    Commerces

    • Commerces et services de proximité[29],[30].

    Histoire

    Lieu de passage au XVe siècle de la route du sel depuis Hyères vers Borgo San Dalmazzo[31]. L’histoire d’Utelle a toujours été liée à celle de Nice et de son Comté. Nous retracerons donc brièvement l’histoire du comté, et nous efforcerons de voir les aspects propres à Utelle : Légende de la Reine Jeanne, Prise du Brec d’Utelle par Masséna, révolte des Barbets.

    • Les Ligures : le site est déjà peuplé à l’âge de bronze par les « Vesubiani » qui occupent la vallée et tirent leur nom de la rivière. Ils construisent des castellaras, oppidums protégés par de gros blocs de pierre, pour eux-mêmes et leurs troupeaux.
    • les Romains : après la domination romaine, Utelle devient un carrefour du commerce vers la Durance.
    • le comté de Provence[32] - période d’insécurité et de guerre, Utelle affirme sa soumission au Comte de Provence devenu roi de Naples. La Reine Jeanne confirme le privilège de porter des couteaux de longueur non limitée, d’où le surnom des Utellois « les couteliers ». À 17 ans Jeanne commence un règne truffé d’extravagance et de rebondissements.
    • le duché de Savoie - lors de la dédition (rattachement) de Nice à la Savoie en 1388, Utelle rend hommage aux comtes de Savoie.
    • La Révolution[33] - Au cours de la guerre entre les Français et les austro-Piémontais, les Français occupent le Comté de Nice. Plusieurs batailles ont lieu dans l’arrière-pays, à Utelle on note l’exploit de Masséna qui réussit à faire installer des canons sur le Brec d’Utelle pour bombarder Utelle et la Madone. Les Barbets, mi-résistants mi-bandits, mènent la vie dure aux soldats français. Les habitants souhaitent une réunion du Comté à la France. Utelle : 694 oui, 0 non.
    • la période contemporaine - depuis 1860, Utelle suit l’histoire de la France avec le développement du département. La route de la Vésubie par Levens et Duranus en 1864. Le percement de la basse vallée ne se fait qu’autour de 1900 avec l’idée d’un chemin de fer TNL (Tramway de Nice et du Littoral). La jonction Plan du Var – Saint-Jean-la Rivière est achevée en 1893. La première voiture (camionnette avec jantes en fer et pneus pleins) atteint Utelle en 1912. Concurrencé par l’automobile, le tramway s’arrête en 1928. Cette période est surtout marquée par l’exode rural : 2 400 habitants en 1860, 500 en 1960.

    Héraldique

    Blason
    D’argent aux deux pals d’azur, à l’ours en pied de sable brochant sur le tout[34].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? Gérard Bongioanni    
    11 mars 2001 mars 2002 Fernand Olivari    
    mars 2002 mars 2008 Alain Faraut[35] SE  
    mars 2008 2020 Bernard Cortes DVD  
    2020 En cours Yves Gilli    

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :

    • total des produits de fonctionnement : 678 000 , soit 794  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 588 000 , soit 689  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 478 000 , soit 559  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 543 000 , soit 636  par habitant ;
    • endettement : 804 000 , soit 942  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 10,91 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,51 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,16 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 410 [37].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1680. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

    En 2019, la commune comptait 867 habitants[Note 3], en augmentation de 9,33 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +1,25 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1680 1686 1689 1750 1793 1800 1806 1822 1838
    1 9182 0962 0551 4571 4491 4631 5991 8592 136
    1848 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3632 1721 9612 4381 8151 8271 6352 3601 640
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5311 5531 5281 3121 1541 040932776693
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    506516451398456488660685765
    2017 2019 - - - - - - -
    873867-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[42] :

    • Écoles maternelle et primaire[43],
    • Collèges à Roquebillière, Saint-Martin-du-Var,
    • Lycées à Valdeblore, Drap.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[44] :

    • Médecins à Levens, Lantosque,
    • Pharmacies à Levens, Lantosque,
    • Hôpitaux à Roquebillière, Villars-sur-Var.

    Cultes

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    Sanctuaire de la Madone d'Utelle.
    L'église du Chaudan.

    Monuments commémoratifs

    La porte de l'ancien hôpital Sainte-Christine.

    Autres patrimoines

    • L'ancien hôpital Sainte Christine[66] Sainte-Christine d'Utelle[67]. La fondation de l'hôpital est prévue dans le testament du notaire ducal Jacques Cristini fait le . Le testament prévoit que « la confrérie du Gonfalon (celle des pénitents blancs sous le vocable de la Sainte-Croix) établisse un hôpital pour les pauvres de ce lieu et les autres … pour ce, le chapelain de la dite confrérie devra faire réparer sa maison ».
    Il lègue aussi 4 draps, une douzaine de serviettes, 6 essuie-mains, 6 nappes et un lit. Le reste des dépenses devait être assuré par la confrérie. Le fils du premier donateur, J.-B. Christini, et ses neveux, J.-B. et Jean-Ludovic Ghinaudi instituèrent un jus-patronat sur la chapelle Sainte-Christine et rédigèrent dans leur testament dans lequel ils prévoient la création d'un hôpital dont la réalisation est confiée à Jean-Ludovic, prêtre et ancien prieur de Malaussène.
    À sa mort, en 1765, un inventaire de tous ses biens a été dressé et on vendit ceux n'ayant pas d'utilité pour l'hôpital. Avec l'argent ont été achetés meubles et ustensiles nécessaires. L'hôpital devait fonctionner un an après la mort du prêtre et recevoir ses premiers malades. L'hôpital a été administré comme toutes les fondations pieuses du Comté. Il suit les règles canoniques voulues par le fondateur et sous le patronage de l'évêque. Le testament de Jean-Luc Ghinaudi, rédigé le , prévoit que la direction de l'hôpital devait être collégiale : le curé de la paroisse, le prieur de la Confrérie du Gonfalon et le syndic de la ville Il est géré par le recteur-économe, Michel-Ange Massilia, à sa fondation. Le règlement de l'hôpital n'a été rédigé qu'en 1840.
    Le roi de Piémont-Sardaigne mit en place une réforme du système d'assistance dans l'édit du , pour assurer la gestion et placer son contrôle sous l'autorité du roi et de ses représentants. Malgré l'opposition du collège dirigeant l'hôpital, faisant remarquer que ces dispositions ne sont pas conformes aux testaments, elles furent appliquer par l'édit royal du . Cette organisation a perduré après le rattachement du Comté de Nice à la France. Un nouveau règlement entra en vigueur en 1900. Dès 1843, la commission administrative rappelait aux médecins qu'ils devaient aussi soigner à leur domicile les malades non accueillis à l'hôpital à cause du manque de lit ou atteints de maladies non admises. L'hôpital va aussi fournir de la nourriture aux plus pauvres. La Révolution va entraîner une baisse des revenus tirés des biens de l'hôpital, qui ne suffirent plus pour couvrir les dépenses.
    En 1798, les déficits de l'hôpital vont entraîner la liquidation des biens de l'hôpital. L'hôpital a eu des difficultés à recouvrer ses créances. La loi du « permettant la réduction des charges des fondations dans les établissements hospitaliers », va conduire à la fermeture de l'hôpital en mai 1928.
    • De nombreuses maisons anciennes dans les différentes rues du village.
    • Le pont de Saint-Jean-la-Rivière construit en 1908, étudié par le bureau d'études d'Armand Considère avec d'Henry Lossier, construit par l'entreprise Thorrand et Cie, pour la ligne de tramway des Alpes-Maritimes entre la station Levens-Vésubie et Saint-Martin-Vésubie.
    • Ouvrage fortifié du secteur fortifié frontalier dit chiuse de Saint-Jean-la-Rivière[68].
    • Ouvrage fortifié du secteur fortifié frontalier dit chiuse de Bauma [69].

    Personnalités liées à la commune

    Monument aux morts du Chaudan

    Madeleine Faraut (1899-1983) : Institutrice à Nice et communiste proche de Virgile Barel[70] et de Célestin Freinet, elle fut déplacée d'office en 1932 à Saint-Jean-la-Rivière. C'est le Front populaire qui la ramena à Nice. Elle s'y distingua en s’occupant pendant deux ans de l'Union des Femmes contre la misère et la guerre. Elle fut révoquée en et envoyée en résidence surveillée à Berre-les-Alpes. Elle fut ensuite internée dans le Tarn mais libérée en 1942 en raison de son mariage, et c'est en 1943 qu'elle entra en contact avec les maquis FTP de la région.

    À la Libération, elle entra comme représentante des « Femmes de France » dans l'équipe municipale (délégation spéciale) que dirigeait alors Virgile Barel. Membre du bureau fédéral du PC, elle fut élue conseillère municipale de Nice en 1947 et le resta jusqu'en 1965[71].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
    2. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
    3. Didacticiel de la règlementation parasismique
    4. « Prise d'eau du canal de la Vésubie », notice no PA06000022, base Mérimée, ministère français de la Culture
    5. « Prise d'eau de Saint-Jean-la-Rivière, ouvrage de tête du canal de la Vésubie », notice no PA06000022, base Mérimée, ministère français de la Culture
    6. L'eau dans le bassin Rhöne-Méditerranée
    7. Hydrographie
    8. Description de la station UTELLE Village
    9. Description de la station UTELLE St Jean rive droite
    10. Station La Vilette
    11. Table climatique
    12. Réseau régional de transport
    13. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. La carte communale de la commune a été approuvée le 28 janvier 2014
    20. « Métropole NCA |PLUm approuvé le 25.10.2019 », sur www.nicecotedazur.org (consulté le )
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ferme Le Merinos
    24. Élevage
    25. Le village
    26. Gites de France
    27. Gîtes
    28. Le moulin des Lucioles
    29. Commerces et services de proximité
    30. Annuaire des professionnels
    31. Philippe de Beauchamp, Le haut pays méconnu. Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, p. 31-35, Éditions Serre, Nice, 1989 (ISBN 2-86410-131-9)
    32. Ernest Hildesheimer, Utelle d'après les anciennes chartes, p. 7-34, Nice historique, Nice, 1952 (lire en ligne)
    33. Georges Baumet, Aspect de la vie économique et sociale dans la commune d'Utelle 1792-1814, p. 91-114, Nice historique, Nice, 1970 (lire en ligne)
    34. Nice Côte d'Azur 1 : Utelle, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    35. [Une élection municipale partielle eut lieu en 2002 à la suite de l'annulation de l'élection de 2001, amenant à l'élection d'Alain Faraut.
    36. Les comptes de la commune
    37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 1680, 1686, 1689, 1750, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    42. Établissements d'enseignements
    43. École maternelle et élémentaire
    44. Professionnels et établissements de santé
    45. Paroisse Saint Benoît les Oliviers
    46. Sanctuaire N.D. des Miracle
    47. Madone d'Utelle
    48. Église Saint Véran
    49. « Église Saint-Veran », notice no PA00080900, base Mérimée, ministère français de la Culture
    50. Église Le Chaudan
    51. Église Sainte-Trinité Le Cros d'Utelle
    52. L'église Saint Honorat Le Figaret
    53. Église Notre-Dame-du-Rosaire Le Reveston
    54. Chapelle Sainte Croix
    55. « Chapelle des Pénitents blancs », notice no PA00080899, base Mérimée, ministère français de la Culture
    56. Chapelle des Pénitents noirs
    57. Chapelle Saint-Sébastien
    58. Chapelle Saint-Antoine Villars
    59. Sainte-Anne Le Blaquet
    60. Saint-Jean-Baptiste Saint-Jean-la-Rivière
    61. Chapelle Saint-Pierre Saint-Jean-la-Rivière
    62. Chapelle Sainte-Barbe La Villette
    63. Le Figaret d'Utelle. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
    64. Le Cros d'Utelle. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
    65. Plaque commémorative : Conflits commémorés : 1914-1918
    66. Sainte Christine
    67. Janine Malausséna, Olivier Vernier, Un hôpital du comté de Nice au XIXe siècle : Sainte-Christine d’Utelle, p. 46-53, Nice historique, Nice, 1994 (lire en ligne), par Acadèmia Nissarda
    68. « Ouvrage fortifié du secteur fortifié frontalier dit chiuse de Saint-Jean-la-Rivière », notice no IA06000073, base Mérimée, ministère français de la Culture
    69. « ouvrage fortifié du secteur fortifié frontalier dit chiuse de Bauma Negra », notice no IA06000072, base Mérimée, ministère français de la Culture
    70. Barel Virgile (Barel Joseph, dit)
    71. Demande "officielle" portant 15 propositions de noms de femmes pour la dénomination des rues de Nice

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre-Robert Garino, La vallée de la Vésubie. Guide du visiteur, p. 66-72, Serre éditeur, Nice, 1998 (ISBN 2-86410-287-0).
    • Utelle : histoire
    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. I : Cantons d'Antibes à Levens, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 504 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Lantosque, Utelle, pp. 440 à 445
    • Utelle, village
    • Utelle : abris sous roches de la Villette; chapelle de la villette; four à plâtre; gravures de la Villette; mythe des têtes humaines; gravure du Figaret; moulins; moulins à sang; murs et linteaux; Sites militaires de Villette; vallée de la Vésubie; Site du Reveston; Utelle selon Casalis; Village de Baraba; Temple Vésubie et Pont du Cros
    • Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)
      Vallée de la Vésubie : Utelle, La chapelle des Pénitents blancs, pp. 61 à 62
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Utelle, p. 1192
    • Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
      Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Utelle, Église Saint-Véran, p. 79

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail des Alpes-Maritimes
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.