Pécharic-et-le-Py

Pécharic-et-le-Py est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.

Pécharic-et-le-Py

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Carcassonne
Intercommunalité Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère
Maire
Mandat
Floréal Soler
2020-2026
Code postal 11420
Code commune 11277
Démographie
Gentilé Pécharipyciens
Population
municipale
28 hab. (2019 )
Densité 4,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 15″ nord, 1° 50′ 11″ est
Altitude Min. 260 m
Max. 346 m
Superficie 5,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Piège au Razès
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Pécharic-et-le-Py
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Pécharic-et-le-Py
Géolocalisation sur la carte : Aude
Pécharic-et-le-Py
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Pécharic-et-le-Py

    Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Vixiège, le Rieutord, le ruisseau du Py et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « piège et collines du Lauragais ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Pécharic-et-le-Py est une commune rurale qui compte 28 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 313 habitants en 1841. Ses habitants sont appelés les Pécharicois ou Pécharicoises.

    L'ancienne école, la mairie

    Géographie

    Commune rurale au cœur de l'Occitanie, à 55 km de Toulouse, 50 km de Carcassonne, 20 km de Castelnaudary, 10 km de Mirepoix et 20 km de Pamiers, Pécharic-et-le-Py se trouve près de la limite de l'Aude, de l'Ariège et de la Haute-Garonne.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Pécharic-et-le-Py[1]
    Pech-Luna
    Belpech Cahuzac
    Plaigne Villautou

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Vixiège, le Rieutord, le ruisseau du Py, le ruisseau de la Selve, le ruisseau du Joncas et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[3],[Carte 1].

    La Vixiège, d'une longueur totale de 33,6 km, prend sa source dans la commune de Saint-Gaudéric et s'écoule du sud vers le nord, puis vers l'ouest et à nouveau vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Belpech, après avoir traversé 19 communes[4].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 823 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnaudary », sur la commune de Castelnaudary, mise en service en 1951[10] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 676,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 42 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[14], à 14,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[16].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : le « piège et collines du Lauragais »[18], d'une superficie de 31 216 ha, ayant une position de transition entre la Montagne Noire et les premiers contreforts pyrénéens. On y voit donc régulièrement des espèces à grand domaine vital soit en chasse, soit à la recherche soit de sites de nidification : le Vautour fauve, l'Aigle royal, le Faucon pèlerin sont ainsi plus ou moins régulièrement observés sur le territoire concerné[19].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[20] : les « collines de la Piège et lac du Rieutord » (4 812 ha), couvrant 11 communes du département[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[20] : les « collines de la Piège » (27 918 ha), couvrant 40 communes dont 38 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Pécharic-et-le-Py est une commune rurale[Note 7],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (62,1 %), forêts (20,4 %), terres arables (17,5 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Située dans les collines de la Piège, au bord de la vallée de la Vixiège, Pécharic est située au sommet d'un puèg (ou puòg souvent transcrits : pech, puech, pioch...) mot occitan signifiant colline, sommet, hauteur). Le nom de Pécharic vient de la contraction de Puèg d'Alaric (la colline d'Alaric, l'Alaric en question étant le deuxième du nom, roi des Wisigoths).

    Le Py (mot dont l'étymologie est incertaine) se situe au pied du pech, au bord du ruisseau appelé le Py (Lo Pi(n) en occitan).

    Ce nom de lieu désigne un ensemble constitué d'un cimetière, d'une chapelle et des restes d'une bâtisse (aujourd'hui transformée en maison d'habitation) appartenant autrefois aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Cet ensemble faisait partie d'un domaine agricole dépendant de l'importante commanderie de Pexiora. À Plaigne existe une autre commanderie.

    Histoire

    Les deux hameaux ont été érigés en commune à la Révolution.

    Les Hospitaliers

    La commune possède une commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem (le Py), antérieure à 1267, date à laquelle elle a été rattachée à Pexiora ; le commandeur de Pexiora nommait les consuls et le juge du Py. En 1481, après les ravages de la guerre de Cent Ans, le commandeur Paschal de la Tour accorda aux habitants du Py le droit d'édifier des bâtiments d'exploitation et des fours, ainsi que le droit de pêche, de chasse et le libre pacage des animaux sur tout le territoire de la commanderie. En 1641, 70 sétérées de terre noble s'étendaient tout autour. La chapelle, aujourd'hui église paroissiale et dont l'origine se perd dans la nuit des temps, a été remaniée maintes fois au cours des siècles, en particulier au XVe siècle, puis en 1866. Les propriétaires actuels en ont fait un temple de la musique[26].

    Héraldique

    Son blasonnement est : De sable à trois losanges d'argent


    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      1997 Bernard Marchand DVD  
    Juillet 1997 2001 Joachim « Jacky » Coll DVG  
    mars 2001 2007 Olivier Ruel DVG  
    décembre 2007 2008 Solange Tisseyre   1re adjointe
    mars 2008 2014 Floréal Soler    
    2014 - Floréal Soler    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28]. En 2019, la commune comptait 28 habitants[Note 8], en diminution de 9,68 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    153173203181175214313214204
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    186174158156147149132143155
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    12513712010010090926861
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    563223213031282630
    2015 2019 - - - - - - -
    2628-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 4]7,7 %16,7 %5 %
    Département[I 5]10,2 %12,8 %12,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 19 personnes, parmi lesquelles on compte 50 % d'actifs (45 % ayant un emploi et 5 % de chômeurs) et 50 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 8, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 37 %[I 8].

    Sur ces 8 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 88,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 11,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    Un seul établissement[Note 10] relevant d’une activité hors champ de l’agriculture est implanté à Pécharic-et-le-Py au [I 11].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations5544
    SAU[Note 11] (ha)368404438480

    La commune est dans le Razès, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aude[31], également dénommée localement « Volvestre et Razès »[Carte 4]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (cinq en 1988). La superficie agricole utilisée est de 480 ha[33],[Carte 6],[Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le village de Pécharic-et-le-Py possède deux types de monuments intéressants : deux moulins dans la partie haute du village et une commanderie au Py, fondée avant 1267.

    Personnalités liées à la commune

    Vie pratique

    Pour approfondir

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Pécharic-et-le-Py » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles (PRA) dans l’Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale de Pécharic-et-le-Py », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Sandre, « la Vixiège »
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Castelnaudary - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Pécharic-et-le-Py et Castelnaudary », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Castelnaudary - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Pécharic-et-le-Py et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pécharic-et-le-Py », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « site Natura 2000 FR9112010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pécharic-et-le-Py », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « collines de la Piège et lac du Rieutord » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « collines de la Piège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Jeannine Redon, Sur les traces des Templiers et des Hospitaliers ..., NPL, 2010, p. 120-122
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    32. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pécharic-et-le-Py - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Liens externes

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