Le Vivier
Le Vivier est une commune française située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly.
Pour les articles homonymes, voir Vivier (homonymie).
Le Vivier | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Agly Fenouillèdes | ||||
Maire Mandat |
Éric Bouchadel 2020-2026 |
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Code postal | 66730 | ||||
Code commune | 66234 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Viviérols | ||||
Population municipale |
69 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 5,3 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 46′ 21″ nord, 2° 27′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 340 m Max. 1 020 m |
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Superficie | 12,90 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de l'Agly | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Matassa et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Le Vivier est une commune rurale qui compte 69 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 445 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Viviérols ou Viviéroles.
Géographie
Localisation
La commune du Vivier se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 37 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 17 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 34 km de Rivesaltes[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Martin-de-Fenouillet (2,0 km), Fosse (2,6 km), Feilluns (2,7 km), Prats-de-Sournia (3,1 km), Vira (3,2 km), Pézilla-de-Conflent (4,4 km), Sournia (4,9 km), Ansignan (5,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Le Vivier fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[5].
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 2] sont recensées sur la commune[8] :
- la « forêt de Boucheville » (4 928 ha), couvrant 8 communes dont deux dans l'Aude et six dans les Pyrénées-Orientales[9] ;
- le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[10].
Urbanisme
Typologie
Le Vivier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[I 2],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,7 %), zones agricoles hétérogènes (17,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,3 %), cultures permanentes (4,5 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune du Vivier est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[14],[15].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de l'Agly[16].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[17]. . L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[18]
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune duVivier est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].
Toponymie
En occitan, le nom de la commune est El Vivièr, ce qui s'explique car dans l'occitan du Fenouillèdes coexistent les articles lo, le et el[20]. Lo Vivièr constituerait une hypercorrection et il n'est pas souhaitable de l'utiliser. En catalan, le nom du village est El Viver.
Du latin vivarium (« vivier »).
Histoire
Le territoire du Vivier fait partie de la vicomté de Fenouillèdes de 874 jusqu'en 1261[21]. En 1367 le village compte 18 foyers qui payent l'impôt, avec Saint-Martin.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2019, la commune comptait 69 habitants[Note 4], en diminution de 17,86 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
selon la population municipale des années : | 1968[29] | 1975[29] | 1982[29] | 1990[29] | 1999[29] | 2006[30] | 2009[31] | 2013[32] |
Rang de la commune dans le département | 133 | 153 | 159 | 156 | 170 | 189 | 186 | 188 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Le Vivier ne dispose d'aucune école.
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 4,1 % | 4,7 % | 11,8 % |
Département[I 6] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 35 personnes, parmi lesquelles on compte 67,6 % d'actifs (55,9 % ayant un emploi et 11,8 % de chômeurs) et 32,4 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 17 emplois en 2018, contre 14 en 2013 et 9 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 21, soit un indicateur de concentration d'emploi de 79,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 35,8 %[I 9].
Sur ces 21 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 15 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Secteurs d'activités
8 établissements[Note 6] sont implantés au Vivier au [I 12]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 8 entreprises implantées au Le Vivier), contre 30,5 % au niveau départemental[I 13].
Entreprises et commerces
L'économie du village a toujours été de type agricole. Jusqu'aux années 1950, la polyculture était dominante (élevage, céréales, vignes...). Puis est venu le temps de la monoculture de la vigne. Cette culture a été prospère jusqu'aux années 1980. Puis lentement elle a décliné. La dernière crise mondiale viticole, conjuguée au vieillissement de la population active, a eu raison de cette culture au début des années 2000. La fin de cette activité a aussi engendré la fin de tous les commerces locaux. La vie économique actuelle est composée d'artisans, de nouveaux agriculteurs positionnés dans le BIO ou l'élevage et d'aide aux personnes.
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 21 | 13 | 3 | 1 |
SAU[Note 7] (ha) | 165 | 296 | 11 | 1 |
La commune est dans les Fenouillèdes », une petite région agricole occupant le nord-ouest du département des Pyrénées-Orientales[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 3]. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (21 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1 ha[36],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- L'église Sainte-Eulalie du Vivier, église romane.
- Le Château du Vivier - restauration en cours
Patrimoine naturel
- Le bois communal de Le Vivier abrite un hêtre remarquable appelé le fajas d'en Baillette[37].
Héraldique
Blasonnement :
d'or à la jumelle de gueules. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Vivier », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Le Vivier sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune du Vivier » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Vivier » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Vivier » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Vivier » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Le Vivier et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Le Vivier et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Le Vivier et Rivesaltes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches du Le Vivier », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Plan séisme » (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune duVivier », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de Boucheville » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
- « Les risques près de chez moi - commune duVivier », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune duVivier », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », (consulté le )
- Alibert, Louis (1884-1959)., Gramatica occitana : segon los parlars lengadocians, Institut d'estudis occitans, dl2000 (ISBN 8472835545, 9788472835542 et 2859102744, OCLC 490650821, lire en ligne).
- Jordi Bolòs i Masclans, « Atles dels comtats de Rosselló, Conflent, Vallespir i Fenollet (759-991) » (ISBN 9788423207343, consulté le ).
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- « Le Vivier : Canet de deuil : Le maire Michel Bénet n'est plus », L'Indépendant, , p. 19.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune du Le Vivier - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Le Fajas d’en Baillette, forêt communale du Vivier (Pyrénées-Orientales) », sur Krapo arboricole, (consulté le ).
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