Lestre

Lestre est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 249 habitants[Note 1].

Lestre

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Sylvie Amiot
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50268
Démographie
Gentilé Lestrais
Population
municipale
249 hab. (2019 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 34″ nord, 1° 20′ 06″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 45 m
Superficie 7,57 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lestre
Géolocalisation sur la carte : France
Lestre
Géolocalisation sur la carte : Manche
Lestre
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Lestre

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 969 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 24 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Lestre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[16],[17],[18].

    La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,4 %), zones agricoles hétérogènes (31 %), terres arables (19,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,9 %), zones urbanisées (0,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes ; Laxtra en 738 ; de Lestra entre 1159 et 1181[26], ancien hameau d'Anglesqueville-Lestre.

    L'origine du toponyme Lestre est incertaine. Peut-être s'agit-il d'un dérivé du bas latin extera (partie extérieure d'une propriété), l'ancien français l'estre désignait le jardin d'une maison ou le fossé d'un ouvrage fortifié[27], selon une proposition ancienne formulée par Albert Dauzat. Par ailleurs, on a fait l'hypothèse d'un pré-latin *Lasara altéré en Lastra par ajout d'un [t] intermédiaire comme dans nascere > naître, la racine las se retrouve par exemple dans la Laize, rivière du Calvados et dans le nom de nombreux autres cours d'eau européens[26]. En outre, la Sinope est nommée fleu de Lestre dans un texte médiéval, c'est-à-dire « rivière de Lestre ».

    Avant la création de la commune en 1793, le nom de la paroisse est attesté sous les formes Anglesville et Englesqueville-Lestre. Réunie en 1812 avec celles de Hautmoitiers et de Tourville pour former la nouvelle commune de Lestre. Il est à noter que le nom du hameau de Lestre avait remplacé dans l'usage celui de la paroisse Anglesqueville dès le XVIIe siècle, il s'agit du type toponymique normand Englesqueville, la graphie An- reflète une francisation (ou une latinisation) du toponyme initial, Englesqueville signifiant littéralement « domaine (rural) anglais ».

    À ne pas confondre avec la commune d'Aumeville-Lestre voisine appartenant, au Moyen Âge, au fief de Lestre.

    Le gentilé est Lestrais.

    Histoire

    Dans un texte de la fin du XIVe siècle il est mentionné que la paroisse, dans le cadre de la guerre de Cent Ans, avait été totalement détruite[28].

    En 1812, Lestre (568 habitants en 1806) absorbe Hautmoitiers (85 habitants, au nord-ouest du territoire) et Tourville (65 habitants, au sud)[29],[30],[31]. Lestre avait réuni les paroisses d'Anglesqueville et de Lestre avant la création des communes sous la Révolution.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 1990 Jacques de Bonneau de Beaufort DVD  
    1990[32] mars 2008 René Lefauconnier SE  
    mars 2008 3 octobre 2016[33] Alain Michel[34] SE Retraité de la fonction publique
    octobre 2016 En cours Sylvie Amiot SE Retraitée de la fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[34].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2019, la commune comptait 249 habitants[Note 8], en diminution de 9,12 % par rapport à 2013 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    490486568748730750718694640
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    628656670590557604536543558
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    539504452417413398422380394
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    397366277230256224248265247
    2019 - - - - - - - -
    249--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique de Hautmoitiers
    1793 1800 1806
    767185
    (Sources : EHESS[30])
    Évolution démographique de Tourville
    1793 1800 1806
    475465
    (Sources : EHESS[31])

    Lieux et monuments

    La chapelle Saint-Michel.
    Le château de Tourville.
    • Église Saint-Martin (XIIe – XVIIe siècle).
    • Ruines de la chapelle Saint-Michel située dans le bourg de Lestre. Elle figure sur la liste des monuments historiques de 1862[38].
    • La Cour de Lestre, manoir-ferme des XIIe et XVIIe siècles[39], qui fut la demeure des seigneurs de Lestre. On accède à son rez-de-chaussée surélevé par un escalier à double révolution. Des douves cernent les bâtiments en équerre que l'on franchit par un pont. La façade s'éclaire par des fenêtres à linteau droit, et les combles, par des lucarnes à œil-de-bœuf. Les communs possèdent une charretterie avec des arcades en plein cintre. À la fin du XVe siècle la seigneurie de Lestre passe entre les mains d'Olivier de Chapedelaine qui la vend à Guillaume d'Ursus[40]. En 1523, elle est la possession du sire Guillaume Dursus (d'Ursus)[41], seigneur de Lestre et d'Anneville[Note 9]. Après lui sont reconnus seigneurs de Lestre, Louis Dursus (1562), François Dursus (1576)[43].
    • Château de Tourville, du XVIIIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques depuis le [44].
    • Motte castrale de Tourville.
    • Fermes de la Motte et de la Rozelle (XVIIe – XVIIIe siècle).
    • Clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste, seul vestige de l'église de Tourville.
    • Ancien fort.
    • Monument mégalithique dit le Champ de pierres, découvert par F. Scuvée en 1971[42].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. C'est Guillaume d'Ursus, originaire de Navarre, qui introduisit des variétés de pommes d'Espagne, notamment au domaine de la Cour[42].

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Lestre et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Lestre et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 146.
    27. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 158.
    28. Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 176 p. (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 35.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Hautmoitiers », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Tourville », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    32. « La liste « D'intérêt communal » d'Alain Michel », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. Pour des raisons personnelles, le maire a présenté auprès de la préfecture le 3 aout sa demande de démission : celui-ci reste toujours conseiller municipal - OF du 12 octobre 2016
    34. Réélection 2014 : « Lestre (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. « Ruines de la chapelle Saint-Michel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-9139-2038-5), p. 199.
    40. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 115.
    41. Girard et Lecœur 2005, p. 15.
    42. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 366.
    43. Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 114.
    44. « Château de Tourville », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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