Lolme

Lolme est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lolme

Le village de Lolme.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Bernard Étienne
2020-2026
Code postal 24540
Code commune 24244
Démographie
Gentilé Lolmois
Population
municipale
193 hab. (2019 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 45″ nord, 0° 50′ 43″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 225 m
Superficie 6,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lolme
Géolocalisation sur la carte : France
Lolme
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Lolme
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lolme

    Géographie

    Communes limitrophes

    Carte de Lolme et des communes avoisinantes.

    Lolme est limitrophe de cinq autres communes. Au sud, son territoire est distant d'environ 120 mètres de celui de Saint-Cassien.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lolme est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Lolme.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 112 m et 225 m[5],[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 6,92 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Brayssou, la Véronne, le ruisseau du Fraisse et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[15],[Carte 1].

    Le Brayssou, d'une longueur totale de 13,74 km, prend sa source en Dordogne dans la commune de Rampieux et se jette en rive droite du Dropt en Lot-et-Garonne, à Rives[16]. Il borde la commune au sud-ouest sur deux kilomètres, face à Rampieux.

    La Véronne, affluent de la Couze, marque la limite territoriale au nord-est sur deux kilomètres face à Saint-Romain-de-Monpazier et Sainte-Croix.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[18]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La majeure partie du territoire communal, au nord, correspond au bassin versant de la Véronne et dépend du SAGE Dordogne Atlantique. Au sud, le bassin du Brayssou concerne moins de 20 % de la superficie communale et est rattaché au SAGE Dropt.

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 894 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lacapelle-Biron-Pailloles », sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[26] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[27],[Note 7], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 903,6 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 33 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Lolme est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,8 %), zones agricoles hétérogènes (36,8 %), prairies (19,7 %), terres arables (5,5 %), cultures permanentes (0,3 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de L'Orme[39].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Lolme a été rattachée au canton de Montferrand qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Monpazier dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].

    Intercommunalité

    Fin 1994, Lolme intègre dès sa création la communauté de communes du Monpaziérois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[40],[41].

    Liste des maires

    Mairie, ancienne école.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001[42]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Bernard Étienne SE[43] Employé de la fonction publique

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Lolme relève[44] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].

    En 2019, la commune comptait 193 habitants[Note 9], en diminution de 8,96 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    236260271312307318336332302
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    280272310258265246229209198
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    187188170147147142145115112
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    101104104110105111149146132
    2015 2019 - - - - - - -
    199193-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[48], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante-six personnes, soit 23,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatre) a augmenté par rapport à 2010 (un) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte seize établissements[49], dont six au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[50].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église est placée sous le patronage de Notre-Dame de la Nativité. C'est une église romane construite au XIIe siècle. Son plan est simple : nef rectangulaire unique avec clocher-mur à l'ouest et abside hémicirculaire à l'est.

    Un petit portail se trouvait dans le mur occidental mais il a été muré. Le portail principal en plein cintre se trouve côté sud et a dû être ouvert plus tardivement. L'abside, en petit appareil, est percée de deux fenêtres. Elle possède un toit couvert de lauzes reposant sur une corniche avec modillons. Les métopes entre les modillons sont percés.

    Un incendie, à une date inconnue, a donné cette couleur rouge à la pierre. Les voûtes de la nef et du chœur ont probablement été refaites après l'écroulement des voûtes initiales qui est peut-être dû à l'incendie signalé précédemment. Le mur sud de la travée du chœur est plus épais que le mur nord et plus épais que ceux des deux travées de la nef. Le mur nord du chœur a dû être modifié quand a été construit une chapelle additionnelle.

    La particularité de l'église de Lolme, c'est de posséder un ensemble d'inscriptions murales, de graffitis et de signes gravés. De plus, on trouve sur la façade occidentale des gravures figurant des contours de chaussures.
    Inscriptions du mur nord :

    "O DIVES DIVES NON OMNI TEMPORE VIVES
    FAC BENE DUM VIVIS POST MORTEM VIVERE SI VIS"

    Traduction :

    "O riche, riche, tu ne vivras pas tout le temps
    Agis bien pendant que tu vis, si tu veux vivre après la mort".

    Le second vers se retrouve sur plusieurs bâtiments (Saint-Génis-des-Fontaines, cloître de Saint-Bertrand-de-Comminges,...).
    Inscriptions du mur sud proposées par M. Robert Favreau:

    "O BONA CRUX DIGN(a) LIGNA OMNIA LIGNA
    ME TIBI CONS(ecro) NE MORTE MALIGNA PERCRU(cior)"

    Traduction :

    "O bonne Croix, bois dignes parmi tous les bois,
    Je me consacre à toi, afin de ne pas être tourmenté par une mort maligne".

    Les marques de chaussures semblent être une trace de l'accomplissement d'un pèlerinage. Cette interprétation est celle proposée par l'abbé Martigny dans son Dictionnaire des antiquités chrétiennes[53]: « l'usage de graver sur les murs des églises, des plantes de pied, marque un retour de pèlerinage, ou l'heureuse issue d'un long voyage » et rappelant la phrase "Ambulavit in Deo" ou "Ambulavit cum Deo", marcher avec Dieu, qu'on trouve, par exemple, dans la Genèse.

    Personnalités liées à la commune

    • Martial Rouby, poète et conteur occitan du XXe siècle, né à Lolme, ayant vécu au château de Sainte-Croix de Beaumont, décédé en 1981 à Prigonrieux. Il est l'auteur des ouvrages : Cansous de ma Crouséto et Ma Garbéto. Une plaque en son honneur a été placée sur la place centrale de Beaumont-du-Périgord au cours de la Félibrée 2009.

    Héraldique

    Blason
    D'azur à un lion d'or ; au chef d'argent chargé de trois tourteaux de gueules[54].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Élisée Cérou, La commune de Lolme, dans Cahier du Groupe archéologique de Monpazier, no 4 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Lolme » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Lolme » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Lolme », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Lolme », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Lolme », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. Sandre, « le Brayssou »
    17. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    18. « SAGE Dropt », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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    27. « Orthodromie entre Lolme et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le ).
    28. « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre Lolme et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    50. Dossier complet - Commune de Lolme (24244) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
    51. Voir le panneau d'information sur l'église, au parking à côté de l'église et du cimetière
    52. Jean-Pierre Verdon - Les églises romanes du Monpaziérois - p. 26-37 - Groupe archéologique de Monpazier - (ISSN 0767-9475).
    53. Joseph Alexandre Martigny, Dictionnaire des antiquités chrétiennes : contenant le résumé de tout ce qu'il est essentiel de connaître sur les origines chrétiennes jusqu'au Moyen Âge exclusivement, p. 543, Hachette, Paris, 1865 Google Livres
    54. « 24244 Lolme (Dordogne) », sur Armorial des villes et des villages de France (consulté le ).
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