Méailles

Méailles est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Méailles

Vue du village en venant du Fugeret.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Viviane Pons-Bertaina
2020-2026
Code postal 04240
Code commune 04115
Démographie
Population
municipale
121 hab. (2019 )
Densité 3,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 27″ nord, 6° 37′ 56″ est
Altitude Min. 867 m
Max. 2 183 m
Superficie 32,74 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Méailles
Géolocalisation sur la carte : France
Méailles
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Méailles
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Méailles

    Le nom de ses habitants est Méaillais[1].

    Géographie

    Géologie et relief

    Méailles et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Méailles est un petit village perché sur une crête qui domine la Vaïre, à 1 050 m d’altitude[2], dans une zone de moyenne montagne.

    Environnement

    La commune compte 815 ha de bois et forêts[1].

    Le village est placé sur un roc escarpé qui prend naissance dans le territoire du Fugeret et se prolonge sur la montagne du grand Coyer.

    La hauteur de ce roc procure une défense naturelle au village, qui est établi sur une petite plaine, où la culture des arbres fruitiers est possible.

    Le village est pittoresque[3], avec ses ruelles étroites, ses vieilles maisons en pierre, son clocher légendaire et ses châtaigniers.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Pont et cascade du Riou.

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4],[5] :

    • torrent la Vaïre,
    • ravins de l'Ubac, du Pasqueiret, du Maouna.

    Transports en commun

    La gare de Méailles est desservie par la ligne de Nice à Digne[6].

    Risques majeurs

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Annot auquel appartient Méailles est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Méailles est également exposée à quatre autres risques naturels[8] :

    • avalanche,
    • feu de forêt,
    • inondation,
    • mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[9].

    La commune de Méailles n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] et le Dicrim n’existe pas non plus[11].

    Sismicité

    Le seul tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui du 31 octobre 1997, dont l’épicentre se situait à Prads-Haute-Bléone, avec une intensité macro-sismique ressentie de IV et demi sur l’échelle MSK[12],[13].

    Toponymie

    Le nom de Méailles (du bas latin "Medullœ", Mazella en 1200, Mazulla en 1300, Mealha en 1351) dérive de l’occitan mistralien "Mealho"[14] ou classique « Mealhas », qui désigne une taxe ou une redevance[15],[16],[17].

    Mais, selon un prêtre de 1840, « L’étymologie du nom Méailles viendrait de « moelle » parce que le terrain est très fondé et fertile, ressemblant ainsi à de la moelle".

    Communes voisines

    Urbanisme

    Typologie

    Méailles est une commune rurale[Note 1],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 53 personnes, dont huit chômeurs[25] (cinq fin 2011[26]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (32 sur 45)[27] et travaillent majoritairement hors de la commune (28 actifs sur 45)[27].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait neuf établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et un emploi salarié[28].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de six en 2010. Il était de cinq en 2000[29], de 17 en 1988[30] (soit une perte des deux tiers des exploitations en 22 ans). Les activités de ces exploitations sont variées[29]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement diminué, de 230 à 97 ha[30]. La SAU a légèrement augmenté lors de la dernière décennie, à 117 ha[29].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait quatre établissements, employant sept salariés[28].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 11 établissements (sans emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant quatre personnes[28].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[31]. La seule capacité d'hébergement est celle des résidences secondaires : au nombre de 143, elles représentent 68 % des logements[32],[33],[34].

    Histoire

    Les grottes de la barre de Méailles (notamment le pertuis de Méailles et la grotte du Pertus II) sont fréquentées au néolithique, le territoire de la commune étant toujours occupé lors du chalcolithique[35]. Le nom du peuple installé dans la vallée à l’arrivée des Romains n’est pas certain, mais il peut s’agir des Nemeturii[36]. Après la Conquête (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Méailles dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas[37].

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIe siècle (Maldagas)[38], puis Mezallia au XIIIe[3]. Bien que l’ordre du Temple ait eu quelques droits sur le village, et donc des revenus, les Templiers n’y eurent aucun établissement[39]. Les Pontevès et les Glandevès se partageaient la seigneurie du lieu au XIVe siècle ; du XVe au XVIIe, ce sont les Villeneuve qui ont la seigneurie[3]. Jusqu’en 1245, la communauté de Méailles relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 Méailles faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers[40]. Elle est ensuite rattachée à la viguerie d’Annot à sa création au XVIIIe siècle[38].

    Le bois des forêts de Méailles était coupé et acheminé par flottage sur le Var pour être utilisé dans la construction de navires à l’arsenal de Toulon, à partir de la seconde moitié du XVIIe siècle. Cette pratique a perduré jusqu’au début du XXe siècle et l’arrivée du chemin de fer, avec d’autres usages pour le bois, dont la construction du port de Nice à partir de 1749[41].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[42].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1830 que le cadastre dit napoléonien de Méailles est achevé[43].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression s’abat sur ceux qui se sont levés pour défendre la République, dont un habitant de Méailles[44].

    Comme de nombreuses communes du département, Méailles se préoccupe de l’instruction primaire de ses enfants bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà une école ouverte aux garçons et aux filles[45]. La loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, donc Méailles n’était pas obligée de l’ouvrir. Mais si la première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants, et donc rend l’école de filles obligatoire à Méailles[46], la commune ferme son école de filles[47]. Ce n’est donc qu’avec les lois Ferry que les filles sont définitivement scolarisées à Méailles.

    La ligne de chemin de fer de Nice à Digne est inaugurée, après l’achèvement du tunnel de la Colle est achevé en 1903, du 5 au 7 août 1911 en présence de Victor Augagneur, ministre des Travaux Publics[48].

    L’éclairage du village a été réalisé en 1928.[réf. nécessaire]

    Le soir du 2 novembre 1943, quatre gestapistes montent de Nice en Citroën noire et s’arrêtent au village. Ils vont à l’hôtel Latil où ils contrôlent les identités de tous ceux qui y sont présents, se montrant violents et hurlant. Les cinq juifs qui y étaient assignés à résidence par Vichy sont raflés et descendus à la gare d’Annot avec une charrette louée à un habitant. De là, ils sont emmenés le 3 novembre à Nice en train, puis déportés pour être exterminés, sauf une jeune fille qui peut s’évader et est guidée par des jeunes gens vers La Colle-Saint-Michel[49].

    En 1947, sévit un orage des plus violents : fortes pluies, grêle, tout fut dévasté dans les champs, les rues elles-mêmes étaient transformées en véritables torrents.[réf. nécessaire]

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or, à un arbre de sapin de sinople, accosté à deux étoiles de gueules[50],[51].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Vers 1807   Honnoré Sauvan    
    Vers 1813   Jean-Baptiste Sauvan    
    Vers 1827   André Latil    
    Vers 1858   Jean-Pierre Sauvan    
    Vers 1868   Fortoul    
    Vers 1883   Latil    
    Vers 1920   François Sauvan    
             
    avant 1995   André Pascal[52]    
    avant 2005 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Viviane Pons-Bertaina[53],[54] DVD Retraitée Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[55] :

    • total des produits de fonctionnement : 192 000 , soit 1 681  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 148 000 , soit 1 300  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 90 000 , soit 786  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 159 000 , soit 1 394  par habitant ;
    • endettement : 35 000 , soit 306  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 11,67 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,46 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 82,73 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 22,50 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 15 781 [56].

    Intercommunalité

    Méailles fait partie :

    Urbanisme

    La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[57].

    Population et société

    Évolution démographique

    En 2019, Méailles comptait 121 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Méailles). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution démographique
    1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    30 feux500593559583536587567613622
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    637548607565527491451466464419
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    720360530335299278260253214148
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2019 - -
    15310280698789117121--
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[3], EHESS[58], Insee à partir de 1968[59],[60],[61],[62])

    L’histoire démographique de Méailles est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du XIXe siècle, jusqu'en 1861. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée[63]. En 1926, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[63]. Le mouvement de dépopulation se prolonge très tardivement, jusqu'aux années 1990, puis s'inverse jusqu'à nos jours.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L’église paroissiale Saint-Jacques (titulaire d’origine, mais Notre-Dame est parfois citée concurremment, saint Jacques serait alors patron[38]) date du XIIIe siècle, et a été agrandie par la suite (parties des XIVe et XVe siècles)[64]. La nef est restée de style roman[65]. Les arcs doubleaux sont soutenus par des corbeaux sculptés de figurines animales[66]. Assez exceptionnellement pour la région, elle possède un bas-côté, d’époque gothique et voûté de croisées d’ogives[65]. La chapelle latérale sud est probablement contemporaine, mais sa voûte d’arêtes date du XVIIe siècle[65]. Sur la façade, un cadran solaire date de 1897, ce qui est une date très tardive (l’heure légale date en France de 1881) et porte la légende « Fugit irreparabile tempus », d’après Virgile (en latin : Le temps fuit sans pouvoir être rattrapé). Il est orné d’entrelacs de lignes droites, et a été restauré[67]. La restauration de la toiture de l'église côté nord et la création de 2 cloches coulées sur site ont été réalisées en 2016[68].

    Elle possède un retable représentant la déposition de Croix, du XVIIe[69] classé aux Monuments historiques[70]. Il est orné notamment d’une Vierge à l’Enfant, d’une Annonciation, et d’autres peintures, datées de la fin du XVe siècle[71]. Plusieurs tableaux de l’église sont classés au titre objet :
    un tableau représentant ensemble saint Jacques le Majeur, saint Jacques le Mineur, saint Pierre, saint Barthélemy, saint Antoine et sainte Agathe, peint par Jean André en 1656[72] ;
    une donation du Rosaire de 1647, où Louis XIII est représenté[73].
    Sa croix de procession du XVIe siècle est classée[74].
    • Sur le bord de l’escarpement où est bâti le village, une maison est datée de 1554[75].
    • La route longeant la Vaïre (descente de la Colle-Saint-Michel) offre des vues superbes.
    • Il existe plusieurs chapelles sur le territoire de Méailles :
      • chapelle de la Combe[2],
      • Notre-Dame, à proximité du village, côté sud[38],
      • chapelle Saint-Jacques, proche du village[38],
      • Saint-Joseph[38].
    • Monument aux morts[76].

    Sites naturels

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton d’Annot », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 183.
    4. L'eau dans la commune
    5. Calcaires du Crétacé supérieur des hauts bassins du Verdon, Var et des affluents de la Durance
    6. Chemins de fer de Provence, Horaires Nice - Annot- Digne-les-Bains, consulté le 22 juin 2012
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    8. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 2 août 2012
    9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    11. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 2 août 2011
    12. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Méailles », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 2 août 2012
    13. BRGM, « fiche 40203 », Sisfrance, consultée le 2 août 2012
    14. http://www.lexilogos.com/provencal/felibrige.php?q=mazella
    15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., notice 27095, p 1494
    16. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 67.
    17. Méailles, son histoire
    18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Insee, Dossier local - Commune : Méailles, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    26. Insee, Dossier local, p. 8
    27. Insee, Dossier local, p. 7
    28. Insee, Dossier local, p. 15
    29. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    30. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    31. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    32. Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
    33. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    34. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    35. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 8-9.
    36. Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 « Peuples et habitats de l’époque pré-romaine », in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire.
    37. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
    38. Daniel Thiery, « Méailles », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 4 décembre 2011, consulté le 2 août 2012
    39. Joseph-Antoine Durbec (préf. Jacques Juillet), Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 430 p. (ISBN 978-2-9138-2613-7, présentation en ligne), p. 28 et 121.
    40. Philippe Jansen, « Les droits comtaux dans les vigueries de Provence orientale d’après l’enquête de 1333 », Rives méditerranéennes, 37 | 2010, mis en ligne le 15 octobre 2011, p. 3-4.
    41. Luc Thévenon, « Le flottage des bois sur le Var et ses problèmes », La forêt et le bois en Provence, Actes des 11es journées d’étude de l’espace provençal, Mouans-Sartoux, 13-14 mai 2000, Mouans-Sartoux, Centre régional de documentation occitane, (ISBN 2-9509775-7-X), p. 67.
    42. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
    43. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013 (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    44. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
    45. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    46. Labadie, op. cit., p. 16.
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    49. Jacqueline Ribot-Sarfati, « Camps d'internement et de déportation des juifs dans les Basses-Alpes, de la guerre aux occupations italienne et allemande (1939-1944) », in Robert Mencherini (directeur), Provence-Auschwitz : de l'internement des étrangers à la déportation des juifs (1939-1944), Aix-en-Provence : Publications de l'Université de Provence, 2007. (ISBN 978-2-85399-693-8), p. 264
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    51. Terres de Lumière : Méailles, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    52. André Pascal est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Jacques Cheminade (Solidarité et progrès) à l’élection présidentielle de 1995, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
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    55. Les comptes de la commune
    56. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    57. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
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    64. Raymond Collier, op. cit., p 116
    65. Raymond Collier, op. cit., p 172
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    68. Les rubans du patrimoine, palmarès 2017
    69. Raymond Collier, op. cit., p 471
    70. Arrêté du 25 mars 1956, notice de la Base Palissy, consultée le 22 novembre 2008
    71. Arrêté du 25 mars 1956, notice de la Base Palissy, consultée le 22 novembre 2008
    72. Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 22 novembre 2008
    73. Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 22 novembre 2008
    74. Arrêté du 25 mars 1956, notice de la Base Palissy, consultée le 22 novembre 2008
    75. Raymond Collier, op. cit., p 359
    76. « monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA04002205, base Mérimée, ministère français de la Culture
    77. Les grottes de Méailles
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