Médaille d'argent du CNRS
La médaille d'argent du CNRS est une récompense scientifique décernée tous les ans en science à une quinzaine de chercheurs par le Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Elle distingue un chercheur pour « l'originalité, la qualité et l'importance de ses travaux, reconnus sur le plan national et international »[1]. Depuis 2008, le CNRS a décidé d'augmenter la visibilité des femmes scientifiques et applique un principe de parité pour l'attribution des médailles de bronze et d'argent[réf. nécessaire].
Médaille d'argent du CNRS | |
Organisateur | Centre National de la Recherche Scientifique |
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Pays | France |
Elle fait partie des médailles « Talents CNRS » avec la médaille d'or qui récompense l'ensemble d'une carrière scientifique, la médaille de bronze qui récompense les jeunes chercheurs, la médaille de l'innovation qui honore les travaux remarquables sur le plan technologique, thérapeutique, économique ou sociétal, et la médaille de cristal qui récompense les personnels d'appui à la recherche.
Liste des lauréats
Lauréat de la médaille d'argent du CNRS
- 2022 : Ingela Alger (économie) ; Michel Beaudouin-Lafon (informatique) ; Pascal Chabert (physique) ; Véronique Cortier (informatique) ; Sandrine Costamagno (archéologie) ; Sandra Duharcourt (biologie) ; François Forget (astrophysique) ; Claire Gardent (informatique) ; Didier Gigmes (chimie) ; Philippe Goldner (chimie) ; Laurent Groc (neurosciences) ; Bertrand Maury (mathématiques) ; Michel Naepels (anthropologie) ; François Parcy (biologie) ; Valérie Pichon (chimie) ; Frédéric Pierre (nanosciences) ; Ana Rodrigues (écologie) ; Carole Rossi (science des matériaux) ; Vincent Tatischeff (physique) ; Mercedes Volait (histoire) ; Marta Volonteri (astrophysique) ; Claire Wilhelm (chimie)
- 2021 : Michael Bender (physique) ; Gilles Berillon (histoire naturelle) ; Antoine Browaeys (optique) ; Rodolphe Clérac (chimie) ; Cathy Clerbaux (physique de l'atmosphère) ; Andréa Dessen (biologie structurale) ; Valentina Emiliani (optique) ; Guilaine Lagache (astrophysique) ; Jean-François Laslier (sciences humaines et sociales) ; Anke Lindner (physique) ; Hélène Morlon (biologie) ; Olivier Neyrolles (microbiologie) ; Gabriel Peyré (mathématiques) ; David Pointcheval (informatique) ; Patricia Reynaud-Bouret (mathématiques) ; Gisèle Sapiro (sociologie) ; Philippe Schlenker (sciences humaines et sociales) ; Catherine Tallon-Baudry (neurosciences) ; Marie-Hélène Verlhac (biologie) ; Jérôme Weiss (sciences de la Terre).
- 2020 : Sihem Amer-Yahia (informatique) ; Marie Balasse (archéozoologie) ; Silke Biermann (physique théorique) ; Tatiana Budtova (mise en forme des matériaux) ; Isabelle Chuine (écologie) ; Éric Collet (physique) ; Rosa Cossart (neurobiologie) ; Philippe Dillmann (archéomatériaux) ; Anna Erschler (mathématiques) ; David Farrusseng (chimie) ; Vanessa Fierro (chimie) ; Christophe Grangeasse (microbiologie) ; Gilles Havard (mondes américains) ; Boris Hippolyte (physique nucléaire) ; Jean-Luc Imler (modèles insectes) ; Denis Laborde (sciences humaines et sociales) ; Gaëlle Legube (biologie cellulaire) ; Philippe Poulin (chimie) ; Jérôme Rose (géosciences) ; Ronan Sauleau (télécommunication) ; Anne-Marie Thiesse (pays germaniques) ; Andréa Tommasi (géoscience)[2].
- 2019 : Nicolas Asher (informatique) ; Viviane Baladi (mathématiques) ; Jocelyn Benoist (philosophie) ; Alberto Bianco (nanomatériaux) ; Laurent Blanchoin (biochimie) ; Francisco Chinesta (ingénierie des matériaux) ; Marie Cornu (droit) ; Nicolas Galtier (biologie évolutive) ; Ruxandra Gref (chimie-physique) ; Satya Narayan Majumdar (physique théorique) ; Valérie Masson-Delmotte (climatologie) ; Claire Mathieu (informatique) ; Alessandro Morbidelli (planétologie) ; Jean-François Nierengarten (chimie) ; Emmanuelle Pouydebat (biologie de l'évolution) ; Claire Rougeulle (biologie) ; Marie-Claire Schanne-Klein (biophotonique) ; Marie-Hélène Schune (physique des particules) ; Johanna Siméant-Germanos (science politique) et Ekaterina Zhuravskaya (économie)[3].
- 2018 : Sandrine Bony (sciences de l'Univers) ; Pierre Comon (sciences des données) ; Pierre-Jean Corringer (biochimie et biophysique) ; Ghislaine Dehaene-Lambertz (sciences cognitives) ; Jérôme Gaillardet (sciences de l'Univers) ; Barbara Glowczewski (anthropologie) ; Julie Grollier (physique) ; Anne-Christine Hladky (acoustique) ; Mathieu de Naurois (astronomie) ; Éva Jakab Tóth (chimie bioinorganique) ; Bruno Klaholz (biologie structurale) ; Patrick Le Galès (science politique et sociologie) ; Marc Legros (physique des matériaux) ; Jean-François Lutz (chimie) ; Grégory Miermont (mathématiques) ; Marie-Dominique Nenna (archéologie) ; Olivier Pouliquen (ingénierie) ; Martine Simonelig (génétique) ; Sabine Szunerits (chimie) et Wilfried Thuiller (écologie et modélisation)[3].
- 2017 : Nabila Aghanim (cosmologie) ; Laure Bally-Cuif (neurobiologie) ; Jacqueline Bloch (physique quantique et optique) ; Lydéric Bocquet (physique) ; Christophe Breuil (mathématiques) ; Hélène Budzinski (chimie) ; Éric Chauvet (écologie fonctionnelle) ; Philippe Ciais (climatologie) ; Bérengère Dubrulle (physique théorique) ; Louis Fensterbank (chimie organique) ; François Hild (mécanique des matériaux) ; Jérôme Lang (intelligence artificielle) ; Purificación López-García (biologie évolutive) ; Frédérique Marion (physique des particules) ; Jacques Pelegrin (préhistoire) ; Jean-Luc Schwartz (sciences cognitives) ; Michael Sieweke (immunologie) ; Agnès van Zanten (sociologie de l'éducation) ; Frédérique Viard (écologie et biologie évolutive) et Marie Claire Villeval (économie)[3].
- 2016 : Madeleine Akrich (sociologie des techniques) ; Arezki Boudaoud (morphogenèse végétale) ; Didier Bourissou (chimie) ; Sophie Brasselet ; Jérôme Chave (écologie tropicale) ; Philippe Dagaut (cinétique chimique) ; Isabelle Gallagher (mathématiques) ; Jean-Marc Jézéquel (informatique) ; Elias Khan (physique nucléaire) ; Brigitte Pakendorf (dynamique du langage) ; François Payre (génétique moléculaire) ; Catherine Picart (biomatériaux) ; Violaine Sautter (géologie extraterrestre) ; Barbara Tillmann (sciences cognitives) ; Anne Tresset (archéozoologie) et Wolfgang Wernsdorfer (nano-physique)[3].
- 2015 : Monsef Benkirane (virologie moléculaire) ; Jérôme Chappellaz (glaciologie) ; Philippe Coussot (mécanique-physique) ; Gabrielle Demange (économie) ; Alain Dereux (nanophotonique) ; Tatiana Giraud (biologie évolutive) ; Christine Joblin (astrophysique) ; Vincent Lafforgue (mathématiques) ; Thomas Lecuit (biologie cellulaire) ; Bernard Manin (sciences politiques) ; Catherine Postic (physiologie métabolique) ; Valentine Roux (archéologie) ; Hélène Ruiz Fabri (droit) ; Patrice Simon (sciences des matériaux) ; Marie-Paule Teulade-Fichou (chimie des acides nucléiques) ; Jocelyne Troccaz (robotique médicale) et Fabian Zomer (physique des particules)[3].
- 2014 : Chantal Abergel (virologie environnementale) ; Dominique Bockelée-Morvan (astrophysique) ; Mireille Bousquet-Mélou (informatique mathématique) ; Jean-François Cardoso (sciences de l’information) ; Jean-François Carpentier (catalyse organométallique) ; Marie-Emmanuelle Chessel (histoire) ; Francesco d’Errico (préhistoire et évolution humaine) ; Saadi Khochbin (biologie moléculaire) ; Margaret Maruani (sociologie de l’emploi et du genre) ; Françoise Massines (procédés plasma à pression atmosphérique) ; Nicolas Moës (mécanique) ; David Quéré (physique des interfaces) ; François Recanati (philosophie analytique) ; Pascale Senellart-Mardon (nano-photonique) et Yves Sirois (physique des hautes énergies)[3].
- 2013 : Nalini Anantharaman (mathématiques) ; Benoît Douçot (physique de la matière) ; John Dudley (photonique) ; Jean-Philippe Girard (biologie cellulaire) ; Anne Houdusse Juillé (biologie moléculaire) ; Anne Imberty (glycobiochimie structurale) ; Bruno Karsenti (philosophie) ; Serge Lallemand (géodynamique) ; Astrid Lambrecht (physique théorique) ; Sandra Lavorel (écologie fonctionnelle) ; Jean-Michel Muller (informatique) ; Lluis Quintana-Murci (génétique des populations) ; Angela Sirigu (neurosciences cognitives) et Isabelle Wingerter-Seez (physique des particules)[3].
- 2012 : Jean-Louis Barrat (physique des matériaux) ; Janne Blichert-Toft (géochimie) ; Marie-Paule Cani (informatique) ; Bernadette Charleux (chimie des polymères) ; Bernard de Massy (biologie moléculaire) ; Jean Duprat (cosmochimie) ; Marie-Anne Félix (génétique évolutive) ; Samuel Forest (mécanique des matériaux) ; Pierre Fraigniaud (informatique) ; Éric Gourgoulhon (astrophysique théorique) ; Jean-Christophe Harmand (nanotechnologie) ; Marie-Christine Hellmann (archéologie) ; Ivan Huc (chimie supramoléculaire) ; Bernard Lahire (sociologie) ; Graça Raposo (biologie cellulaire) ; Paolo Samorì (nanochimie) ; Frédéric Thomas (biologie évolutive) et Marat Yusupov (biologie moléculaire)[3].
- 2011 : Dominique Cardon (histoire) ; Giacomo Cavalli (génétique et épigénétique) ; Franck Courchamp (écologie) ; Guillaume Fiquet (géophysique) ; Jean Goubault-Larrecq (informatique) ; Bruno Goud (biologie cellulaire) ; Jonathan Grainger (psychologie cognitive) ; François Hache (physique optique) ; Mir Wais Hosseini (chimie supramoléculaire) ; François Le Diberder (physique des particules) ; François Loeser (mathématiques) ; Silviu Niculescu (automatique) ; Jean-Philippe Pin (neuropharmacologie) ; Pere Roca Cabarrocas (physique des interfaces) ; Hubert Saleur (physique théorique)[3].
- 2010 : Chris Bowler (biologie végétale) ; Monique Arnaud (astrophysique) ; Agnès Barthélémy (physique de la matière condensée) ; Frédérique Battin-Leclerc (chimie-physique de la combustion) ; Azzedine Bousseksou (magnétisme et de la commutation moléculaires) ; Dominique Chatain (physico-chimie des matériaux) ; Bénédicte Dargent (neurobiologie) ; Patrick Flandrin (traitement du signal) ; Xavier Garbet (physique des plasmas de fusion par confinement) ; Alice Guionnet (mathématiques) ; Thierry Lebel (hydrométéorologie) ; Alain Manceau (sciences de l’environnement) ; Daniel Metzger (génomique fonctionnelle) ; Éric Moulines (traitement statistique de l’information) ; Anca Muscholl (informatique) ; Denise Pumain (géographie) ; Jean-Luc Redelsperger (modélisation météorologique) ; François Renaud (biologie de l’évolution) ; Gavin Salam (physique des particules) ; Olivier Sorlin (physique nucléaire) et Alain Trautmann (immunologie)[3].
- 2009 : Bruno Antonny (biologiste cellulaire) ; Pierre Astier (astrophysicien) ; Bruno Berge (physique de l'optique) ; Yves Bréchet (physico-chimie) ; Françoise Burel (écologie) ; Mathilde Cannat (géophysique) ; Élisabeth Charlaix (physique) ; Daniel Choquet (neurobiologie) ; Sylvie Derenne (géochimie) ; Valérie Doye (biologie cellulaire) ; Stéphan Fauve (physique des matériaux) ; Françoise Forges (économie) ; Olivier Gascuel (bioinformatique) ; Jean-François Le Gall (mathématiques) ; Yannick Mellier (cosmologie) ; Sylviane Muller (biologie moléculaire) ; Serge Paugam (sociologie) ; Jacqueline Vaissière (physiologie de la parole) ; Henri Weimerskirch (naturaliste) et Jieping Zhu (chimie)[3].
- 2008 : Jean-Yves Bigot (physique de la matière) ; Mireille Blanchard-Desce (chimie physique) ; Xavier Blase (physique théorique des matériaux) ; Karine Chemla (histoire des mathématiques) ; Hubert Comon-Lundh (cryptographie) ; François-Xavier Désert (astronomie) ; Alain Destexhe (neurosciences computationnelles) ; Noël Dimarcq (métrologie) ; Edith Heard (épigénétique) ; Dominique Iogna-Prat (histoire médiévale) ; Jean-François Joanny (physico-chimie théorique) ; Marie Malissen (immunologie) ; Stéphane Noselli (biologie du développement) ; Gilles Pinay (écologie fonctionnelle) ; Alexandre Rozanov (physique des particules) ; Stéphanie Thiébault (archéologie de l'antiquité) et Philippe Walter (archéologie physique)[3].
- 2007 : Anne Abeillé (linguistique) ; Benedita Barata da Rocha (immunologie) ; Michel Callon (sociologie) ; Gabriel Chardin (physique fondamentale) ; Laurent Charlet (géochimie des polluants) ; Jean-Marc Chomaz (mécanique des fluides) ; Abdelhak Djouadi (physique des particules) ; Jean-Luc Gauvain (traitement informatique de la parole) ; Antoine Georges (physique théorique) ; Jean Massies (physique des semi-conducteurs) ; Isabelle Olivieri (écologie) ; Michel Reddé (archéologie de l'antiquité) ; Denis-Didier Rousseau (climatologie) ; Philippe Sautet (chimie) ; Bertrand Séraphin (génétique moléculaire) ; Olivier Voinnet (biologie moléculaire) et Samir Zard (chimie organique)[3].
- 2006 : Philippe Aghion (économie) ; Alexei Baranov (physique des semi-conducteurs) ; Jean Baumgarten (linguistique juive) ; Gilles Chabrier (astrophysique) ; Martin Giurfa (cognition animale) ; Roberte Hamayon (anthropologie du chamanisme) ; Marcel Hibert (pharmacochimie) ; Ryszard Lobinski (chimie analytique) ; Annick Loiseau (physique des microstructures) ; Michel Magny (paléoclimatologie) ; Alain Marty (neuroscience cellulaire) ; Nigel Orr (physique corpusculaire) ; Isabelle Rico-Lattes (chimie) ; Pierre Rochette (minéralogie magnétique) ; Pascale Romby (biologie moléculaire) ; Stéphane Roux (physique de la matière) ; François Schweisguth (biologie du développement) ; Claire Voisin (mathématiques)[3].
- 2005 : Diego-Sebastian Amigorena (immunologie) ; Florence Babonneau (chimie) ; Hélène Bouchiat (physique de la supraconduction) ; Hervé Claustre (océanologie) ; Robert Descimon (histoire) ; Stéphane Douady (physique de la matière) ; Henri Duday (médecine archéologique) ; David Lyndon Emsley (chimie) ; Joël Guiot (paléoclimatologie) ; Patrick Janot (physique des particules) ; Patrick Mehlen (biologie cellulaire) ; Frank Merle (mathématiques) ; Pierre Montmitonnet (physique des matériaux) ; Eva Pebay-Peyroula (biologie structurale) ; Jean-Marcel Rax (physique des plasmas) ; Léna Sanders (géographie) ; Jacques Stern (cryptographie) et Hervé Vaucheret (biologie végétale)[3].
- 2004 : Sylvain Auroux, Denis Bernard, Bertram Blank, Jean-Paul Bravard, Jean-Pierre Brun, Philippe Flajolet, Marc Fontecave, Olivier Joubert, Rosine Lallement, Daniel Lincot, Michel Loreau, Bernard Maro, Guy Millot, Jean-Luc Nespoulous, Félix Rey, Paolo Sassone-Corsi, Olivier Talagrand, Vladimir Touraev et Stéphane Zaleski[3].
- 2003 : Jacques Barhanin (biologie cellulaire) ; Michel Campillo (géophysique) ; Phillippe Cinquin (médecine) ; Jean-Michel Claverie (bioinformatique) ; Rodolphe Dos Santos Ferreira (économie) ; Alain Doucet (physiologie) ; Jean Dubuisson (virologie) ; Joseph Gril (physique des matériaux) ; Mathieu Joanicot (physico-chimie) ; Louis Le Sergeant D'hendecourt (astrochimie) ; Pierre Ledoussal (physique théorique) ; Dominique Massiot (physique des matériaux) ; Lucia Reining (spectroscopie) ; Vanina Ruhlmann-Kleider (physique des particules) ; Jean Claude Schmitt (histoire) et François Waquet-Point (histoire intellectuelle)[3].
- 2002 : Marc Chaussidon, Jameleddine Chelly, Dominique Delande, Jean-René Duhamel, Philippe Grangier, Michel Kochoyan, Serge Kox, Dominique Langevin, Antoine Maignan, Dominique Mailly, Annie Marc, Bénédicte Michel, Philippe Normand, Dan Sperber, Jean Tirole et Jean-Denis Vigne[3].
- 2001 : Christophe Charle (histoire) ; Françoise Combes (astrophysique) ; Jean-Pierre Couderc (génie chimique) ; Guy David (mathématiques) ; Henri Godfrin (physique quantique) ; Christian Gourieroux (économie) ; Danièle Hervieu-Leger (sociologie) ; Christian Joachim (nanoélectronique moléculaire) ; Jacques Joyard (physiologie cellulaire végétale) ; Max Malacria (chimie organique) ; Patrick Roudeau (physique des particules) ; William Rutherford (biologie moléculaire) ; Artur Scherf (biologie moléculaire) ; Joseph Sifakis (informatique) ; Laszlo Tora (biologie moléculaire) ; Jean-Pierre Valet (géophysique)[3].
- 2000 : Geneviève Almouzni (épigénétique) ; Ignatios Antoniadis (physique théorique) ; Augustin Berque (géographie culturelle) ; Jérôme Bibette (chimie physique) ; Didier Blavette (physique des matériaux) ; Michel Bruneau (acoustique) ; Claude Chappert (nanomagnétisme) ; Christian Gautier (bio informatique) ; Michel Gonin (physique des particules) ; Pierre Meyrand (neurobiologie) ; Yannick Ricard (géophysique) ; Brigitte Senut (paléontologie) ; Marie-Claude Smouts (science politique) ; Philippe Tailhades (physique des matériaux) ; Philippe Vieillard (thermodynamique) et Francis-André Wollman (biologie cellulaire)[3].
- 1999 : Daniel Scherman ; Michel Brion (mathématiques).
- 1995 : Jean-Philippe Bouchaud (physique).
- 1988 : Gilles Sautter (géographie)[4].
- 1976 : Jacqueline M.C. Thomas (linguistique)
- 1967 : Jacqueline Beaujeu-Garnier (géographie)[4].
Notes et références
- Personnel de rédaction, « Médailles d'argent du CNRS », CNRS, (consulté le )
- « Talents CNRS Médailles d'argents 2020 », sur cnrs.fr (consulté le ).
- « Talents CNRS Médailles d'argents », sur cnrs.fr (consulté le ).
- Gérard Joly, Dictionnaire biographique de géographes français du XXème siècle, aujourd'hui disparus, Grafigéo, , 186 p. (ISBN 978-2-901560-83-8), p. 34
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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