Marigny-Chemereau
Marigny-Chemereau est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Marigny.
Marigny-Chemereau | |||||
Église Saint-Nazaire. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées du Clain | ||||
Maire Mandat |
Rita Noreskal 2020-2026 |
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Code postal | 86370 | ||||
Code commune | 86147 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chémereaudais | ||||
Population municipale |
605 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 25′ 35″ nord, 0° 13′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 87 m Max. 142 m |
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Superficie | 11,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vivonne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Les citoyens de Marigny Chemereau sont nommés les Chémereaudais et les Chémereaudaises.
Pour sa superficie, la commune est la 17 057e commune de France. Elle est au 931e rang régional et 231e rang départemental.
Localisation
Le bourg est situé à 4 km à l'ouest de Vivonne par la route départementale D 27 et à 19 km au sud-ouest de Poitiers qui est la plus grande ville à proximité.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Les paysages de la commune sont composés de plaines vallonnées et boisées, de bocages et de vallées.
Le territoire de la commune est couvert pour 83 % de terres agricoles, pour 15 % de forets et milieux semi-naturels et pour 2 % de terres artificialisés (bourg, voirie...)[1].
Hydrographie
La commune contient 8 km de cours d'eau, avec comme rivière principale la Vonne sur une longueur de 6 km et un affluent important, la Longère.
La Vonne peut, certains hivers, causer des inondations comme en 1982, 1992, 1993, 1995, 1999 et 2010. Ces débordements peuvent être accompagnés de coulées de boue.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lusignan-Inra », sur la commune de Lusignan, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 817,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 18 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Voies de communication et transports
Les gares et haltes ferroviaires qui permettent de desservir la commune sont :
La commune de Marigny-Chemereau va être traversée par la LGV (ligne à grande vitesse) sur 4,49 km. Cinq ouvrages d'art de type pont route, pont rail, ou passage pour la petite faune, vont être construits et également un viaduc qui va permettre à la LGV de traverser la rivière Vonne.
Les aéroports et aérodromes les plus proches sont :
- aéroport de Poitiers-Biard à 18,9 km ;
- aérodrome de Niort - Souché à 50,4 km ;
- aéroport international Angoulême - Cognac à 77,5 km.
Urbanisme
Typologie
Marigny-Chemereau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), prairies (17,1 %), forêts (15,4 %), zones urbanisées (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes de la localité sont : Alodus nomine Marnei, situs in pago Pictavo, in vicaria Vicvedone, cum ecclesia constructa in honore sancti Fredemii atque sancti Nazarii v. 968[21], Margnec 1264[21], Margné[21], Marigné 1412[21], Rector de Marigneyo 1478[21], Marigny 1520[21], Marigny Chemereau 1757[22], S. Nazaire de Marigny-Chemereau 1782[21].
L'étymologie de la forme ancienne Marnei en 968 renvoie au nom de personne Matrinius, dérivé de Matrius, basé sur le gaulois matir « mère » auquel se superpose le latin mater de même sens. Il est suivi du suffixe -(i)acum[23], d'origine gauloise.
Histoire
Sous l'ancien régime la paroisse de Marigny-Chemerault faisait partie de l'archiprêtré et de la châtellenie de Lusignan, de la sénéchaussée et de l'élection de Poitiers[21].
Le 31 aout 1944, un avion allié a été abattu par les soldats allemands sur le territoire de la commune. Le sergent Félix Laplace est tombé sous les balles de l'ennemi au lieudit la Moinerie. Le deuxième homme de l'avion, Louis Combrisson, fut caché et sauvé par les habitants du village malgré les menaces, coups et représailles de la part des soldats allemands. Une stèle commémore cet événement à côté du lieu où l'avion a été abattu.
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2019, la commune comptait 605 habitants[Note 8], en augmentation de 2,72 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Marigny-Chemereau ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie de Marigny-Chemereau administre une population totale de 544 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (13 personnes) pour constater que la population permanente sur la commune de Marigny-Chemereau est de 531 habitants.
La répartition par sexe de la population est la suivante (INSEE) :
- en 1999 : hommes : 47,7 % et femmes : 52,3 %.
- en 2006 : hommes : 50,5 % et femmes : 49,5 %.
En 2006, le nombre de célibataires était de 33,2 % dans la population;les couples mariés représentaient 55,8 % des habitants;les divorcés représentaient 6,4 % et le nombre de veuves et veufs était de 4,6 %.
La répartition des naissances et des décès de 1999 à 2008 est, selon l’INSEE, la suivante :
- en 2008 : 12 naissances et 3 décès.
- en 2007 : 6 naissances et 4 décès.
- en 2006 : 14 naissances et 4 décès.
- en 2005 : 9 naissances et 6 décès.
- en 2004 : 4 naissances et 8 décès.
- en 2003 : 7 naissances et 1 décès.
- en 2002 : 7 naissances et 0 décès.
- en 2001 : 8 naissances et 3 décès.
- en 2000 : 8 naissances et 2 décès.
- en 1999 : 8 naissances et 5 décès.
L’évolution des naissances et des décès de 1968 à 2007 est la suivante (INSEE) :
- Entre 1999 et 2007 : 65 naissances et 29 décès.
- Entre 1990 et 1999 : 34 naissances et 34 décès.
- Entre 1982 et 1990 : 25 naissances et 28 décès.
- Entre 1975 et 1982 : 27 naissances et 26 décès.
- Entre 1968 et 1975 : 20 naissances et 25 décès.
La répartition de la population de Marigny-Chemereau par âge est la suivante (INSEE) en 2007 :
- de 0 à 14 ans : 121 habitants (81 en 1999).
- de 15 à 29 ans : 66 habitants (78 en 1999).
- de 30 à 44 ans : 141 habitants (91 en 1999).
- de 45 à 59 ans : 71 habitants (70 en 1999).
- de 60 à 74 ans : 75 habitants (57 en 1999).
- de 75 ans ou plus : 31 habitants (40 en 1999).
Répartition de la population masculine de Marigny-Chemereau par âge en 2007 (INSEE) :
- de 0 à 19 ans : hommes 72 et femmes 68.
- de 20 à 64 ans : hommes 146 et femmes 139.
- de 65 ans et plus : hommes 37 et femmes 43.
La commune, en 2008, est la 15 892e pour le nombre d'habitants en France. Elle est au 723e rang au sein de la région Poitou-Charentes et 165e rang au niveau départemental.
En 2011, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 50 hab/km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Enseignement
La commune de Marigny-Chemereau dépend de l'académie de Poitiers et les écoles primaires de la commune dépendent de l'inspection académique de la Vienne.
Économie
Le nombre d'établissements actifs au , selon l'INSEE, est de 27. La répartition par secteur est la suivante :
- Part de l'agriculture : 33,3 %
- Part de l'industrie : 3,7 %
- Part de la construction : 25,9 %
- Part du commerce, transports et services divers : 29,6 %
- Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale : 7,4 %
Agriculture
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[29], il n'y a plus que 11 exploitations agricoles en 2010 contre 13 en 2000.
62 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi du maïs), 14 % pour les oléagineux (2/3 en colza et 1/3 en tournesol) , 13 % pour le fourrage et 3 % restent en herbes[29].
Les élevages de bovins et d'ovins ont diminué au cours de cette décennie (le secret statistique ne permet pas de connaître la taille des troupeaux de la commune)[29]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[30]. Il existe une exploitation de canards assez importante au centre du village (M. Hubert MOINE).
Emploi
Le nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois de catégories A (personnes sans emploi et recherchant activement un emploi),B (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de 78 h ou moins au cours du mois), C (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de plus de 78 h au cours du mois), selon le Pôle emploi est de :
- au : 28
- au : 29
- au : 30
Taux d'activité des 15 à 64 ans est :
- de 71 % en 1999.
- de 80,3 % en 2006.
- de 80,3 % en 2009.
Taux de chômage des 15 à 64 ans est :
- de 6,5 % en 1999.
- de 7,6 % en 2006.
- de 2,8 % en 2009.
Les retraités et les préretraités représentaient 21,8 % de la population en 2006 et 17,7 % en 1999.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Nazaire du Xe siècle, bien restaurée à la fin du XIXe siècle. Partie la plus ancienne mur nord, à l'extérieur, corniche à jolis modillons, baie romane. A l'angle nord-est, statue de la Vierge à l'Enfant, en bois.
- Le château du XIXe siècle
- Le site pittoresque du cirque de Giez
Voir aussi
Articles de Wikipédia
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lusignan-Inra - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Marigny-Chemereau et Lusignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lusignan-Inra - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Marigny-Chemereau et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- REDET (L.) Dictionnaire topographique du département de la Vienne (1881), p. 251.
- IGN, Plan de Cassini vers 1757.
- MORLET M Th Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle (1968), t.3, p. 135-136.
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
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