Martigné-Ferchaud
Martigné-Ferchaud est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne et membre de Roche aux Fées Communauté. Elle est peuplée de 2 583 habitants[Note 1] (les Martignolais).
Pour les articles homonymes, voir Martigné (homonymie).
Martigné-Ferchaud | |||||
L’église Saint-Pierre. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Fougères-Vitré | ||||
Intercommunalité | Roche aux Fées Communauté | ||||
Maire Mandat |
Patrick Henry 2020-2026 |
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Code postal | 35640 | ||||
Code commune | 35167 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Martignolais | ||||
Population municipale |
2 583 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 49′ 40″ nord, 1° 19′ 06″ ouest | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 121 m |
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Superficie | 74,10 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de La Guerche-de-Bretagne | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.ville-martigneferchaud.fr | ||||
Géographie
Présentation
Martigné-Ferchaud est une commune de 7 410 hectares, ce qui en fait la seconde commune du département d'Ille-et-Vilaine juste après Paimpont.
Écologie
Du point de vue de la richesse de la flore, Martigné est à la huitième place des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 606 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 56 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 28 taxons protégés et 39 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237)[1]. La commune comprend ainsi la Forêt d'Araize.
Un point de suivi de la qualité des eaux du Semnon est présent sur la commune[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soudan », sur la commune de Soudan, mise en service en 1994[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 821,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 40 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Martigné-Ferchaud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,7 %), terres arables (27 %), prairies (17,5 %), forêts (14,4 %), zones urbanisées (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), mines, décharges et chantiers (1 %), eaux continentales[Note 7] (0,9 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Martiniacum au XIe siècle [23], Martigneium en 1218[24], Martigneium Ferri Calidi en 1516[25].
Martigné est un nom de domaine gallo-romain, basé sur l'anthroponyme Martinus[26], c'est-à-dire Martin, ou Martinius[25], lui-même dérivé de « Mars dieu de la guerre » et du suffixe -(i)acum « lieu de, propriété de » dont l'aboutissement régulier est la terminaison -é dans l'ouest.
Le déterminant complémentaire Ferchaud est un nom de personne d'origine germanique (latinisé en Farcaldus dans les textes), réinterprété en « fer chaud ».
Histoire
Révolution française
La population de la commune était, parait-il, favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[27].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Martigné-Ferchaud porte les noms de 159 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[28].
La Deuxième Guerre mondiale
Un groupe de résistants se forma en 1942, sur les communes de Martigné-Ferchaud, Retiers, Éancé et Forges-la-Forêt, leurs premières actions étant de cacher des réfractaires au Service du travail obligatoire (plus de 2 000 jeunes réfractaires furent camouflés), cacher des aviateurs alliés (plus de 150 aviateurs américains ou anglais furent cachés et rapatriés) et des évadés. En juin-juillet 1943 le capitaine François Vallée, puis ses deux adjoints, membres du réseau Buckmaster, renforcèrent ce réseau de résistance qui reçut des parachutages d'armes et fut actif dans tout le département d'Ille-et-Vilaine et même au-delà ; mais de nombreuses arrestations de membres de ce réseau eurent lieu vers la fin de l'année 1943 ; 50 membres de ce réseau sont morts ou disparus en déportation, dont 12 de Martigné-Ferchaud (Jean Richard[29], responsable du secteur de Martigné-Ferchaud, parvint à échapper à l'arrestation)[30]. Une plaque commémorative située sur une place de la ville porte 48 noms de membres du réseau Buckmaster morts pour la France[31].
Le , la Task Force Peter (une des quatre colonnes fantômes du 23rd Headquarters Special Troops, équipée de chats, jeeps, avions, etc.. gonflabes, destinés à faire croire aux reconnaissances aériennes allemandes qu'il s'agissait d'une véritable force militaire), après étre passé par Vitré, installa ses faux éléments gonflabes au sud de Martigné-Ferchaud[32].
Le monument aux morts de Martigné-Ferchaud porte les noms de 8 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[28].
Héraldique
Blasonnement :
D'argent à la quintefeuille de gueules. |
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2019, la commune comptait 2 583 habitants[Note 8], en diminution de 1,37 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Lieux et monuments
- Forge de Martigné-Ferchaud. Un haut-fourneau, créé en 1672 par René Saget, remplaça l'industrie des forges à bras, jusque-là très florissante. Le minerai de fer venait de Loire-Atlantique (Sion-les-mines et alentours) et le charbon de bois des forêts alentour. Les fers étaient exportés jusqu'aux Antilles.
- Étang de la Forge ou étang de Martigné. Il s'étend sur 80 ha et ses chutes étaient autrefois utilisées pour actionner les forges de la ville.
- Monument en hommage au réseau Buckmaster[42].
Activité culturelle et manifestations
Personnalités liées à la commune
L'abbé René Marie Guillou ( à Châteaugiron - à Rennes), curé de Martigné-Ferchaud (1774-1789 et 1803-1820), est député du clergé du au [47],[48].
L'abbé démocrate Louis Bridel (1890-1933) est inhumé dans la commune.
Charles Rabot, né à Nevers en 1856, dans une famille d’origine bretonne, est à la fois un géographe, un glaciologue, un explorateur, en même temps qu’un grand voyageur, un journaliste et un conférencier. Quelques semaines avant que la Seconde Guerre mondiale n’éclate, Charles Rabot se retire dans sa propriété de La Halinière à Martigné-Ferchaud en Ille-et-Vilaine, où il décède le . Dans l’hommage que lui rend L’Illustration (12/), Jacques Sorbets écrit : « Animé du seul désir d’élargir l’horizon du grand public, il s’effaçait complètement dans ses articles ou conférences derrière ce qu’il avait à écrire ou à dire. Son extrême modestie l’a maintenu en France dans une sorte d’incognito qui le laissait indifférent ».Charles Rabot fut inhumé dans le cimetière du Père-Lachaise à Paris.
Émile Bridel, industriel fondateur des laiteries Bridel (beurre, fromage…), est né en 1918 à Martigné-Ferchaud. Il meurt le à Missillac (Loire-Atlantique).
Le , Frédéric Boulay, militant raciste habitant la commune, tue deux ouvriers turcs et en blesse cinq autres, à Châteaubriant en Loire-Atlantique.
Voir aussi
Bibliographie
- Céline Blanchard, Retiers et Martigné-Ferchaud : deux chefs-lieux de canton pendant la Révolution, 1788-1800, Rennes, 2002, (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 824).
Notes et références
Notes
- Population municipale 2019, légale en 2022.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p. 170.
- « Qualit'eau 35 no 30 p.5 - bulletin du réseau de suivi de la qualité des eaux superficielles en Ille-et-Vilaine » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Soudan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Martigné-Ferchaud et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Soudan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Martigné-Ferchaud et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Erwan Vallerie : Traité de toponymie historique de la Bretagne. (3 volumes). Editions An Here. 1995.
- Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux de Haute Bretagne, Coop Breizh. 1990.[réf. non conforme].
- « Etymologie et Histoire de Martigné-Ferchaud », infobretagne (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Larousse, 1963; Librairie Guénégaud, 1978.[réf. non conforme].
- Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=10301&dpt=35
- http://memoiredeguerre.free.fr/biogr/richard-jean.htm
- Alain Lefort et Bernard Lucas, "Les hauts lieux de la Résistance en Bretagne", éditions Ouest-France, 1991.
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=21501&dpt=35
- Éric Rondel, "La libération de la Bretagne", éditions Ouestetcompagnie, 2014, (ISBN 978-2-36428-039-7).
- « Pierre Jégu, le maire, ne se représentera pas », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535, , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
- « Municipales à Martigné-Ferchaud. Patrick Henry, maire, veut dynamiser la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Le réseau Buckmaster en Ille-et-Vilaine », sur memoiredeguerre.free.fr, Maxime Le Poulichet et Jean Paul Louvet (consulté le ).
- « Notre histoire en quelques mots… », sur etincelles-aquatiques.org, association Étincelles aquatiques spectacle (consulté le ).
- « Étincelles aquatiques : 1 000 bénévoles sur le pont du 2 au 5 août », sur actu.fr, Le Journal de Vitré (consulté le ).
- « Axel Bauer s’arrête à Martigné », sur actu.fr, Le Journal de Vitré (consulté le ).
- « Martigné-Ferchaud. L'association Les Mines d'or va être dissoute », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'ami de la religion journal et revue ecclesiastique, politique et litteraire, t. 71, Paris, Librairie ecclésiastique d'Ad. Le Clère et Cie, (lire en ligne), p. 294.
- « René, Marie Guillou », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale (consulté le ).
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