Marville-Moutiers-Brûlé
Marville-Moutiers-Brûlé est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Le suffixe Moutier Brûlé signale l'existence d'un ancien monastère incendié.
Marville-Moutiers-Brûlé | |||||
Marville-Moutiers-Brûlé et l'église Saint-Pierre, vues depuis le cimetière. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Dreux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Dreux | ||||
Maire Mandat |
Véronique Baston 2020-2026 |
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Code postal | 28500 | ||||
Code commune | 28239 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marvillois | ||||
Population municipale |
983 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 40′ 31″ nord, 1° 23′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 110 m Max. 175 m |
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Superficie | 20,24 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Dreux-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.marvillemoutiersbrule.fr/ | ||||
Géographie
Situation
- Marville-Moutiers-Brûlé dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Marville-Moutiers-Brûlé.
Communes limitrophes
Lieux-dits et écarts
La commune regroupe quatre hameaux : Blainville, Imbermais, Vigny et la Vovette.
Réseau routier
La commune de Marville-Moutiers-Brûlé est traversée par la route nationale 154.
Desserte ferroviaire
La gare la plus proche est la gare de Dreux à 8 km.
Bus
- Ligne d'autocar 20 du réseau TER Centre-Val de Loire.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1975 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1 | 3,1 | 4,3 | 7,6 | 10,3 | 12,3 | 12,3 | 9,9 | 7,6 | 4 | 1,7 | 6,3 |
Température moyenne (°C) | 3,9 | 4,3 | 7,3 | 9,5 | 13,2 | 16,4 | 18,8 | 18,8 | 15,6 | 11,8 | 7,1 | 4,2 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,5 | 7,6 | 11,6 | 14,8 | 18,8 | 22,5 | 25,4 | 25,3 | 21,2 | 16 | 10,2 | 6,7 | 15,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,6 07.01.1979 |
−16,3 07.02.12 |
−14,3 13.03.13 |
−4,2 08.04.03 |
−1,7 07.05.1979 |
−0,5 05.06.1991 |
3,9 02.07.1979 |
3 24.08.1980 |
0,1 19.09.1977 |
−5,4 30.10.1997 |
−9,8 30.11.10 |
−10 26.12.10 |
−18,6 1979 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,4 27.01.03 |
18,5 27.02.19 |
23,2 25.03.03 |
27,9 20.04.18 |
30,6 31.05.03 |
37,5 27.06.11 |
41,4 25.07.19 |
40,5 11.08.03 |
34,5 05.09.13 |
29,5 01.10.1985 |
20,4 01.11.14 |
16,6 06.12.1979 |
41,4 2019 |
Précipitations (mm) | 48 | 39,1 | 46,4 | 44 | 59 | 43,6 | 55,9 | 39,9 | 50,6 | 55,8 | 45,7 | 53,7 | 581,7 |
Urbanisme
Typologie
Marville-Moutiers-Brûlé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,8 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Marville-Moutiers-Brûlé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Cloche. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1987, 1999, 2001 et 2018[16],[14].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[17]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 55,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 420 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 252 sont en en aléa moyen ou fort, soit 60 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999, 2016, 2018 et 2019[14].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].
Toponymie
Les formes anciennes de Marville-Moutiers-Brûlé sont : Manulfivilla v.825[21], Matrevilla 980[21], Matervilla 982[21], Merrevilla 1246[21], Marrevilla-in-Drocensi 1300[21], Marville-en-Drouays 1530[21], Marville-Moutier-Bruslay 1612[21], Saint-Pierre de Marville-Moutié-Bruslé 1736[21], Marville-le-Mouthier-Brûlé 1750[21].
L'étymologie du premier terme du nom de la commune, Manulfivilla, indique un mot composé mérovingien formé du germ. man "homme" + germ. ulf "loup" + lat. villa "domaine"[22]. Qui évoluera près apocope en Matrevilla[23]. Il pourrait signifier "Domaine de l'homme loup".
Le deuxième, Moutier "monastère", est issu du lat. pop. monisterium attesté au VIIe siècle[24], indiquant la présence d'un oratoire dès l'époque mérovingienne.
Le troisième, Brûlé, tire son origine de l'incendie de l'église par les huguenots en 1562[21].
Histoire
Le , près du village de Blainville, la bataille de Dreux oppose l'armée du roi Charles IX aux soldats protestants commandés par le prince de Condé et l'amiral de Coligny. Les combats ont duré quatre heures et laissé 8000 morts sur le terrain. L'église Saint-Pierre est brûlée lors de ces combats[21].
Histoire d'Imbermais
Imbermais est connu depuis le VIIIe siècle sous les noms de Gimberti Vallis ou Imberti Vallis. Les moines de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés y envoyèrent des colons (colonat partiaire) qui cultivaient les terres.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2019, la commune comptait 983 habitants[Note 5], en augmentation de 5,59 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Pierre et monuments aux morts
Connu depuis 1157, les Anglais attaquent Marville lors de la guerre de Cent Ans entre 1421 et 1438 et l'église paroissiale (appelée moutier et non pas monastère) est la proie des flammes. Moutiers-Brûlé est alors ajouté au nom du lieu.
À côté de l'église se trouvent deux monuments aux morts :
- le premier, À nos chers Gardes Mobiles du 2° bat. tombés bravement au combat d'Imbermais, ;
- le second en hommage aux poilus de la guerre 1914-1918.
Dans le cimetière, situé à l'écart du bourg sur la route de Blainville, se trouve également un carré militaire rendant hommage à cinq soldats Morts pour la France entre 1914 et 1918.
- Façade nord de l'église Saint-Pierre.
- Façade ouest de l'église et le monument aux morts de la guerre 1870-1871.
- Le monument aux morts de la guerre 1870-1871.
- Le monument aux morts de la guerre 1914-1918.
- Carré des Morts pour la France du cimetière.
Hameau de Blainville
Le hameau de Blainville inclut la chapelle Sainte-Anne, dont la cloche, datée de 1531, est classée monument historique au titre d'objet[31].
Hameau d'Imbermais
Imbermais accueille « Les Jardins d'Imbermais », ferme proposant aux acheteurs de la région drouaise de faire eux-mêmes la cueillette de leurs fruits et légumes[32], ainsi que l'ancienne chapelle Saint-Jacques.
Hameau de Vigny
Vigny est doté d'un château d'eau, construit en 1935, d'une éolienne restaurée, ainsi que de l'ancienne chapelle Notre-Dame-de-Pitié.
Hameau de la Vovette
La Vovette est située au nord de la commune, entre le bourg et le hameau de Blainville.
- La chapelle Saint-Anne de Blainville.
- Les Jardins d'Imbermais.
- Château d'eau et éolienne de Vigny.
Personnalités liées à la commune
- François Joulet, sieur de Chatillon, d'Imbermais et de Houdainvilliers (1590), écuyer du roi Henri IV, inhumé en 1613 dans la chapelle d'Imbermais, ainsi que son épouse Anne de Gravelle en 1625, puis transférés dans l'église de Marville-Moutiers-Brûlé en 1838[33]. La dalle funéraire est classée monument historique en tant qu'objet et la plaque l'accompagnant inscrite à ce même titre[34],[35].
- Robert de la Rivière du Pré d'Auge, né le [36] au Pré d'Auge, Calvados, devient seigneur d'Imbermais à l'occasion de son mariage avec Suzanne le Forestier le [37]. Le manoir et la terre d'Imbermais, situés sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé, appartenaient jusqu'alors aux le Forestier, seigneurs de Saptel et d'Imbermais.
- Robert de la Rivière fut capitaine des troupes de la Marine (1673), puis gendarme de la garde du Roi à partir de 1675.
- Il fonda sa famille à Marville-Moutiers-Brûlé : Marie-Suzanne (1685-1759), Charles-Jacques (1687-1742), Athanase (1688-1688), Robert (1689-1743), Monique (1691-1763), Paule et Agathe (1692-1774), Clair (1698-1785) et Théodore-Augustin (1700-1750)[38].
- Robert de la Rivière décéda le [39] et fut inhumé dans la chapelle du manoir, aujourd'hui transformée en grange.
- René Étiemble, écrivain et linguiste, né le à Mayenne et mort le au hameau de Vigny où il avait son domicile au 4 rue de la Paletière.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Marville-Moutiers-Brûlé sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 28239001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Marville-Moutiers-Brûlé », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- MERLET (L.) Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir (1861), p. 114.
- FERGUSON (Robert) The Teutonic Name-system, Applied to the Family Names of France, England and … (1864), p. 58, 71.
- QUICHERAT (J.) De la formation française des anciens noms de lieu (1867), p.62.
- CNRTL, Moutier
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Cloche », notice no PM28000413, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Bienvenue aux Jardins d'Imbermais ! ouverture 6 jours sur 7 ! », sur Les Jardins d'Imbermais (consulté le ).
- Les environs de Dreux, Volume II. Pages 281-285. Édouard Lefèvre. Res Universis.
- « Dalle funéraire de François Joulet, écuyer et Anne de Gravelle, sa femme », notice no PM28000410, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Plaque funéraire (inscription funéraire) qui accompagnait la dalle funéraire de François Joulet et de son épouse Anne de Gravelle », notice no PM28001393, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Archives départementales du Calvados. Le Pré d'Auge. 5 MI-EC 2714
- Archives départementales d'Eure-et-Loir. Marville-Moutiers-Brûlé.3 E 239/1 - Vue 54
- Généalogie de la famille de la Rivière http://www.planete-genealogie.fr/danieldlr/
- Archives départementales d'Eure-et-Loir. Marville-Moutiers-Brûlé. 3 E 239/2 - Vue 14
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