Maurecourt

Maurecourt est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. C'est une des communes de la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise.

Maurecourt

L'hôtel de ville.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise
Maire
Mandat
Joël Tissier (DVG)
2020-2026
Code postal 78780
Code commune 78382
Démographie
Gentilé maurecourtois
Population
municipale
4 414 hab. (2019 )
Densité 1 209 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 53″ nord, 2° 03′ 46″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 167 m
Superficie 3,65 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Conflans-Sainte-Honorine
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Maurecourt
Géolocalisation sur la carte : France
Maurecourt
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Maurecourt
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Maurecourt
Liens
Site web http://www.ville-maurecourt.fr/

    Ses habitants sont appelés les Maurecourtois.

    Géographie

    Position de Maurecourt dans les Yvelines.

    Description

    La commune se situe au nord du département des Yvelines, en limite du département du Val-d'Oise, bordée à l'est par l'Oise, en rive droite, et à l'ouest par la forêt domaniale de l'Hautil. Elle se trouve à environ 32 kilomètres au nord-ouest de Paris, à 27 kilomètres au nord de Versailles et à 14 kilomètres au nord de son chef-lieu d'arrondissement Saint-Germain-en-Laye.

    La commune rejoint la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise le [1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Conflans-Sainte-Honorine à l'est, sur la rive gauche de l'Oise, Andrésy au sud, Triel-sur-Seine à l'ouest, Jouy-le-Moutier au nord et Neuville-sur-Oise au nord-est, ces deux dernières communes faisant partie du département du Val-d'Oise.

    Voiries

    La RD 55 passe au centre du village et mène vers le sud à Andrésy et Poissy, et vers le nord à Jouy-le-Moutier et Cergy. La RD 48 permet de se rendre sur la RN 184 et le centre de Conflans-Sainte-Honorine.

    La voie communale no 4 relie Maurecourt et l'Hautil (Triel-sur-Seine).

    Transport en commun

    La commune est desservie par la gare de Maurecourt, sur la ligne J du Transilien. La station est toutefois située sur la commune voisine d'Andrésy.

    Le village est desservi par la ligne de bus 11 qui relie l'arrêt Maurecourt-Julia à la gare de Poissy en passant par la gare de Conflans Fin d'Oise, la ligne 14 qui relie la Gare de Cergy-Le-Haut à Poissy (Usine PSA), ces deux lignes faisant partie du réseau de bus de Poissy - Les Mureaux tout comme la ligne 12 qui permet de rejoindre en 13 minutes la Gare de Cergy-Préfecture et la Gare Vernouillet - Verneuil-sur-Seine en 27 minutes.

    Voies douces

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    La commune est reliée au nord par trois axes de circulation douce aménagés (deux axes en direction du Nord et un vers le Sud).

    Urbanisme

    Typologie

    Maurecourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].

    Berges aujourd'hui

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    Plusieurs projets ont été lancés[Quand ?] pour réaménager les berges de l’Oise :

    • Déplacement d ’une zone de stationnement de bateaux logements
    • Nettoyage d ’une ancienne friche industrielle tout en préservant la cale de l ’ancien chantier naval et le chemin de grue
    • Consolidation des berges à base de gabions pour éviter l’érosion des parties basses (pousseurs)
    • Mise en place de fascines ou de pieux vivants

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Mauricuria en 1209[10], Morcort[11].

    Le nom de « Maurecourt », qui s'écrivait autrefois « Morecourt », viendrait d'un nom romain, Maurus ou d'un anthroponyme germain, Moricho[10], suivi de l'appellatif postposé -court, qui signifie « cour de ferme », « établissement agricole entouré d'un mur d'enceinte ».

    Selon une autre hypothèse, Maurecourt - écrit Morecourt - se décompose en « more », soit « lande, marais, tourbière », d'une part, et en « court », soit « domaine rural, enclos[12]», de l'autre.

    Morecourt désignerait donc un domaine rural du marais (ou de la lande), soit, de nos jours, la ferme du marais (ou de la lande).

    Histoire

    Premiers peuplements

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    On a retrouvé à Maurecourt un petit coq en bronze datant de la préhistoire, mais les premières traces averrées remontent à l’époque romaine. Les Romains s’installent à Andrésy avec une tribu gauloise venant d’Andéritium. Ces ancêtres gaulois se révèlent de très bons constructeurs de bateaux. C’est un seigneur romain (descendant du chef de légion ou d’un tribun romain), le seigneur Maurus qui donne son nom aux terres dont il était propriétaire.

    Aux cours des premiers siècles après JC, plusieurs évangélistes passent sur ces terres : Saint-Denis, mais aussi Saint-Germain qui a laissé son nom à l’Église d’Andrésy.

    Moyen Âge

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    On a retrouvé la trace de tombeaux mérovingiens et carolingiens lors de la création de la ligne de chemin de fer "Paris-Mantes". La localité d’Andrésy est acquise à cette époque par l’archevêché de Paris. Le nom du hameau de Morcourt est alors mentionné pour la première fois dans leur registre. Le château de Glatigny (château fort avec chapelle) est édifié avec son moulin à eau sur un bras de l’Oise. Blanche de Castille, la mère de Saint-Louis fait de nombreuses retraites à Carrières sous Poissy, village limitrophe d’Andrésy.

    Du XIVe siècle à la Révolution française

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    Lors du siège de Paris en , Henri IV aurait prononcé sa phrase célèbre "Paris vaut bien une messe" au relais de chasse d’Andrésy. À la cour de Louis XIV, on apprécie le vin d’Andrésy mieux connu sous le nom de "ginglet". La Révolution de 1789 permet la séparation longtemps réclamée de Maurecourt et d’Andrésy.

    Le territoire communal était, jusqu'à la veille de la Révolution, inclus dans la seigneurie d'Andrésy, et, par conséquent, propriété du chapitre de Notre-Dame de Paris.

    En 1791, Maurecourt devient un village indépendant de la paroisse d'Andrésy-Maurecourt.

    À partir de 1808, Maurecourt, située au confluent de l'Oise et de la Seine, devient comme ses voisines Andrésy et Conflans-Sainte-Honorine, une escale fluviale importante pour les bateliers reliant Paris au nord de la France et à la Belgique.

    Du début du siècle dernier à nos jours

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    Début 1900, des bateaux style bateaux mouches arrivent de Paris chaque fin de semaine et accostent à l’Hautil, la "colline du bon air". Ils déversent des dizaines de parisiens venus se distraire, respirer l’air pur et passer une nuit dans les auberges de la célèbre colline. 

    L’eau de l’Oise est encore assez pure pour permettre la baignade. Une petite plage naturelle située au bout de la rue de l’Oise permet d’apprendre à nager. Pendant la semaine, cette plage est utilisée par les laveuses. En 1931, la baignade est installée au nouveau pont du confluent.

    Batellerie

    L’essor de la batellerie commence en 1855 à Conflans-Sainte-Honorine, avec l’installation de la tête aval de la chaîne de touage qui permet la remonte des péniches sur la Seine vers Paris, approvisionnant ainsi la capitale en plein développement urbain.

    Commerces du bord de l’Oise avant la Seconde Guerre mondiale

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    À Andrésy et Maurecourt, les commerces du bord de l’Oise bénéficient du trafic fluvial entre l’Oise et la Seine. Chaque jour, des mariniers viennent s’approvisionner dans les 6 cafés et café épicerie.

    Dans le premier café (Café Beranger Claire, devenu café Deneux et épicerie de 1922 à 1947), les femmes trouvent toute l’épicerie et les légumes dont elles ont besoin avant le départ, ainsi que des sabots, pantoufles, matériel pour la lessive, etc. Les hommes y achètent du goudron de Norvège et de houille appelé "gaz". Le pain est toujours arrivé avant le départ du matin.

    Dans le deuxième café, Marcel Deneux devenu café Wilky se vendent des agrès de marine : perches, cordages, esclain d’écoire ou d’aimntôt[Quoi ?] et des câbles d’acier "remorque". Quelques maisons plus loin sont implantés les ateliers pour les remorqueurs Liberlot.

    Après la Seconde Guerre, devenus les Ateliers de la CITE (société internationale de transport par les eaux), leur flotte atteint la centaine de bateaux. Les remorqueurs portent soit des noms de fleurs (Camélia, Narcisse, Bégonia) ou d’animaux sauvages (Ours, Chacal, Panthère).

    Rue Itasse, la mercerie Demez, au petit bonheur des marinières, devient le café épicerie Delille, Ferrey, Cornu Bée et Dussart avant de fermer en 1980.

    Le quatrième café, l’actuel café restaurant de la marine, fait à cette époque office d’épicerie et même de bal les samedis et dimanches soir.

    Le café Lachèvre est la dernière maison de Maurecourt avant les chantiers navals.

    Chantier naval Degesslincourt

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    Le chantier est installé en 1920 pour construire et réparer le matériel en fer : tout ce qui flottait et qui avait été employé pendant la Première Guerre sur la Seine et les canaux du Centre avaient en effet besoin de réparation. Les activités de réparation occupent le chantier jusqu'en 1928.

    Le chantier reste abandonné jusqu'en 1948. Il est repris par la société de remorquage « Les Bleus » et la coopération des mariniers artisans et prend le nom de « Chantiers du Confluent ».

    Ses activités :

    • construction d'automoteurs de Seine ;
    • rallongement d'automoteurs ;
    • motorisation de péniches.

    Les plus grosses unités de Seine y ont accès : les automateurs « Andréé » (m × 46 m), « Patricia » (5,60 m × 46 m), le convoi pétrolier de la Shell, « Udotée et Thalassa », et 2 pousseurs « Novice » et « Hardy ».

    On y construit aussi des bateaux de plaisance, un catamaran (« le Yo-Yang ») et une goëlette (« Miséricorde »). Le chantier est arrêté en 1984.

    Le chantier « Arches de Noë » pour péniches en bois est installé en 1918 et ferme en 1955.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune a été intégrée en 2012 dans le périmètre de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, administrée par la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise et dont Maurecourt est désormais membre.

    Liste des maires

    [13]
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 1983 Louis Moreau    
    mars 1983 mars 1989 Armand Lammens Sans étiquette Directeur de transports
    mars 1989 1992 Gérard Blondeau    
    1992 juin 1995 Pierre Renée    
    juin 1995 mai 2020[14] Gérald Rutault PS puis DVG Retraité de l'enseignement
    Vice-président de la CA de Cergy-Pontoise ( ? → 2020)
    mai 2020[15] En cours
    (au 10 juillet 2020)
    Joël Tissier DVG Vice-président de la CA de Cergy-Pontoise (2020 → )

    Jumelages

    • Brundall (Angleterre) (depuis le ).

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

    En 2019, la commune comptait 4 414 habitants[Note 3], en augmentation de 0,07 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    542542516461449476421396360
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    377422435426427414483461456
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4684987918669421 1731 1931 2751 632
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 7292 3802 8702 7303 3593 4934 0574 2124 411
    2018 2019 - - - - - - -
    4 3274 414-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,2 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 064 hommes pour 2 263 femmes, soit un taux de 52,30 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    0,8 
    4,8 
    75-89 ans
    6,5 
    15,4 
    60-74 ans
    14,4 
    21,0 
    45-59 ans
    21,7 
    19,5 
    30-44 ans
    20,9 
    15,8 
    15-29 ans
    15,5 
    23,0 
    0-14 ans
    20,2 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,3 
    5,7 
    75-89 ans
    7,7 
    13,4 
    60-74 ans
    14,5 
    20,6 
    45-59 ans
    20,3 
    19,8 
    30-44 ans
    19,9 
    18,4 
    15-29 ans
    17 
    21,5 
    0-14 ans
    19,4 

    Sports

    La ville propose des activités sportives : basket, tennis de table, football, judo, karaté, yoga[22]...

    Associations

    La commune regroupe différentes associations telles que celle des Anciens Combattants[23]. Il existe 40 associations sportives et culturelles[24].

    Manifestations culturelles et festivités

    La ville décerne chaque année un prix littéraire du premier roman[réf. nécessaire].

    Économie

    • Champignonnières ;
    • Port fluvial sur l'Oise.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Paroissiale Notre Dame de Lorette[25],[26] dite aussi Notre-Dame-de-la-Nativité a été construite au début du XVIe siècle en référence au sanctuaire marial de la Sainte Maison de Lorette sur les bords de la mer Adriatique. L'église contient notamment une peinture de « Vierge à l'Enfant » avec saints et donateurs datant du XVIe siècle, copie classée à l'inventaire des monuments historiques d'un tableau de Véronèse.
    Église Notre-Dame-de-la-Nativité.
    • Le château de Maurecourt du XVIIIe siècle et son parc[27].
    • Égout dit émissaire de la ville de Paris[28].
    • Gare de fin d'Oise[29].
    • Maison de campagne dite le château Itasse[30].
    • Maison de notable, dite château Lepic[31], ayant hébergé le comte Lepic, maire de Maurecourt en 1824-1825.

    Maurecourt et le cinéma

    Le cinéma fait son entrée à Maurecourt à cette époque. L'église de la Nativité de Notre Dame sert de lieu de tournage pour une scène de mariage dans le film L'Atalante de Jean Vigo (1934). Des Maurecourtois font office de figurants.

    C’est ensuite le chantier naval Degeslincourt qui sert de décor à l’un des premiers feuilletons de la télévision : L'homme de picardie. Plus récemment, on a pu reconnaître le quai Boubou Dado dans des scènes du feuilleton Navarro.

    À l'école Les Tilleuls seront tournées quelques scènes du téléfilm Heureusement qu'on s'aime avec Bernadette Lafont, Andréa Ferréol et... les enfants de l'école. Certains enfants iront tourner quelques scènes dans un studio de cinéma à Paris.

    Un documentaire sur la vie de Berthe Morisot a été réalisé par des Japonais qui sont venus filmer quelques plans à Maurecourt.

    Personnalités liées à la commune

    La Chasse aux papillons de Berthe Morisot, 1874 (Musée d'Orsay).

    Maurecourt a reçu la visite du duc de Windsor qui voulait acheter le château Itasse[Quoi ?] lors de son mariage en 1937 avec Bessis Wallis Warfield.

    Berthe Morisot, artiste peintre française de la fin du XIXe siècle, est venue peindre à Maurecourt où elle séjournait souvent chez sa sœur.

    Le colonel Louis Lepic, ancien maire de Maurecourt, à la bataille d'Eylau : « Haut les têtes, la mitraille c'est pas de la merde ! » (peinture d'Édouard Detaille).

    Le général comte Louis Lepic, qui participa à toutes les campagnes du 1er Empire et dont le nom figure sur la 20e colonne côté-est de l'arc de triomphe de l'Étoile à Paris, fut maire de Maurecourt de 1824 à 1825[32].

    Héraldique

    Les armes de Maurecourt se blasonnent ainsi :
    d'or à deux pals d'argent chargés d'un épi du champ, à la barre ployée d'azur brochant sur le tout, le tout lui-même surchargé en chef d'une grappe de raisin au naturel pamprée de sinople, et en pointe d'une galère d'argent mâté du champ mouvant du flanc senestre.


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Vonews - Cergy-Pontoise : Maurecourt 13e commune de l’agglomération dès 2012 ?
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, Volume 2, page 900, (ISBN 2600001336).
    11. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    12. André Pégorier, Les noms de lieux en France, glossaire des termes dialectaux (lire en ligne), Voir les articles "more", et "court"..
    13. Les maires de Maurecourt
    14. « Cergy-Pontoise : ces maires et candidats abandonnés par la concurrence : Dans six communes de l'agglo cergypontaine, une seule liste sera en piste lors des municipales de mars. La cause : une crise de la vocation, mais pas seulement », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Joël Tissier, premier adjoint (Eelv), pour la première fois tête de liste en mars à la suite du retrait du maire en place, Gérald Rutault (dvg) ».
    15. « Maurecourt 78780 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Maurecourt (78382) », (consulté le ).
    21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    22. « Le sport | Maurecourt », sur www.ville-maurecourt.fr (consulté le ).
    23. « Annuaire des associations | Maurecourt », sur www.ville-maurecourt.fr (consulté le ).
    24. http://www.ville-maurecourt.fr/content/heading553/content4773.html
    25. Ministère de la Culture, « Eglise paroissiale Notre Dame de Lorette », .
    26. Ministère de la Culture, « Eglise paroissiale Notre Dame de Lorette (2) ».
    27. « La nouvelle vie du château de Menucourt : Quelques mois après son parc, réhabilité par la Communauté d’agglomération, c’est au tour du château de Menucourt d’entamer une nouvelle existence. Reconstruit par la Fondation John Bost, il accueille désormais des personnes en situation de handicap psychique », 13 comme une, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Notice no IA78001110.
    29. Notice no IA78001053.
    30. Notice no IA78000973.
    31. Notice no IA78000958.
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