Maxime Blanchette-Joncas

Maxime Blanchette-Joncas est né à Rimouski dans la région du Bas-Saint-Laurent au Québec (Canada). Après un parcours scolaire difficile, il obtient son diplôme d'études secondaires dans un centre d'éducation des adultes et entre sur le marché du travail[1]. Il travaille six ans au centre d'appel de Telus, où il développe un goût pour l'action syndicale et la politique. Il décide de quitter son travail et de s'inscrire à l'université, sans passer par le cégep. Il obtient en 2019 un baccalauréat en administration des affaires de l'Université du Québec à Rimouski[1]. Au cours de ses études, il est engagé dans les associations étudiantes, dans l'aile jeunesse du Parti québécois et dans différents organismes comme la Librairie l'Alphabet, la Jeune chambre de Rimouski et la Société nationale de l'Est du Québec[2]. Il effectue aussi un stage, dans le cadre d'un échange, au cabinet de Pauline Véron, adjointe à la mairie de Paris[2]. Il représente également l'UQAR lors des Jeux du commerce de 2017.

Il occupe un emploi d'été à la Banque de développement du Canada, puis après l'obtention de son diplôme est engagé comme directeur-général adjoint de la municipalité de L'Isle-Verte.

Le 22 août 2019, Maxime Blanchette-Joncas annonce son intention d'être candidat du Bloc québécois aux prochaines élections fédérales[3]. Lors du scrutin du 21 octobre, il est élu avec 38 % des voix, soit 4 264 de plus que le député sortant Guy Caron.

En novembre 2019, il est nommé porte-parole pour les Comptes publics, la Voie maritime du Saint-Laurent et le Tourisme[4].

Il est réélu lors du scrutin du 20 septembre 2021 avec plus de 10 000 voix d'avance sur la candidate Léonie Lajoie, libérale.